Titre : Bulletin de l'Agence générale des colonies
Auteur : Agence économique des territoires africains sous mandat. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Melun)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1930-07-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb42445178p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 23647 Nombre total de vues : 23647
Description : 01 juillet 1930 01 juillet 1930
Description : 1930/07/01 (A23,N258)-1930/07/31. 1930/07/01 (A23,N258)-1930/07/31.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1 Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1
Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone... Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64748960
Source : CIRAD, 2012-231802
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 26/03/2013
- Aller à la page de la table des matièresIII
- TABLE DES MATIÈRES
- I. - ÉTUDES GÉNÉRALES
- Pages.
- .......... Page(s) .......... 171
- .......... Page(s) .......... 177
- .......... Page(s) .......... 425
- .......... Page(s) .......... 454
- .......... Page(s) .......... 543
- .......... Page(s) .......... 549
- .......... Page(s) .......... 566
- .......... Page(s) .......... 576
- .......... Page(s) .......... 591
- .......... Page(s) .......... 803
- .......... Page(s) .......... 812
- .......... Page(s) .......... 887
- II. - TRAVAUX DU SERVICE D'ETUDES DES PRODUCTIONS COLONIALES de l'Agence générale des Colonies.
- pages
- .......... Page(s) .......... 69
- .......... Page(s) .......... 137
- .......... Page(s) .......... 173
- .......... Page(s) .......... 183
- .......... Page(s) .......... 310
- .......... Page(s) .......... 473
- .......... Page(s) .......... 600
- .......... Page(s) .......... 710
- .......... Page(s) .......... 815
- .......... Page(s) .......... 964
- III. - INFORMATIONS
- a) COMMERCE - INDUSTRIE
- b) AGRICULTURE - ÉLEVAGE - FORÊTS - ZOOTECHNIE
- C) HYGIÈNE - ASSISTANCE MÉDICALE - MAIN-D'OEUVRE
- d) ENSEIGNEMENT - LETTRES - SCIENCES ET ARTS
- e) TRANSPORTS - TOURISME - TRAVAUX PUBLICS
- .......... Page(s) .......... 84
- .......... Page(s) .......... 84
- .......... Page(s) .......... 146
- .......... Page(s) .......... 207
- .......... Page(s) .......... 214
- .......... Page(s) .......... 343
- .......... Page(s) .......... 490
- .......... Page(s) .......... 617
- .......... Page(s) .......... 723
- .......... Page(s) .......... 834
- .......... Page(s) .......... 978
- .......... Page(s) .......... 1195
- .......... Page(s) .......... 90
- .......... Page(s) .......... 216
- .......... Page(s) .......... 216
- .......... Page(s) .......... 221
- .......... Page(s) .......... 358
- .......... Page(s) .......... 362
- .......... Page(s) .......... 364
- .......... Page(s) .......... 523
- .......... Page(s) .......... 528
- .......... Page(s) .......... 746
- .......... Page(s) .......... 764
- .......... Page(s) .......... 852
- .......... Page(s) .......... 854
- .......... Page(s) .......... 856
- .......... Page(s) .......... 858
- .......... Page(s) .......... 860
- .......... Page(s) .......... 862
- .......... Page(s) .......... 864
- .......... Page(s) .......... 865
- .......... Page(s) .......... 868
- .......... Page(s) .......... 871
- .......... Page(s) .......... 999
- .......... Page(s) .......... 1000
- .......... Page(s) .......... 1001
- .......... Page(s) .......... 1003
- .......... Page(s) .......... 1005
- .......... Page(s) .......... 1209
- .......... Page(s) .......... 1210
- .......... Page(s) .......... 1213
- .......... Page(s) .......... 1215
- .......... Page(s) .......... 95
- .......... Page(s) .......... 95
- .......... Page(s) .......... 155
- .......... Page(s) .......... 258
- .......... Page(s) .......... 252
- .......... Page(s) .......... 372
- .......... Page(s) .......... 529
- .......... Page(s) .......... 671
- .......... Page(s) .......... 791
- .......... Page(s) .......... 873
- .......... Page(s) .......... 1007
- .......... Page(s) .......... 1220
- .......... Page(s) .......... 695
- Discours prononcé à l'ouverture de la deuxième session ordinaire du Conseil général en 1929 (N° 259).......... Page(s) .......... 702
- .......... Page(s) .......... 171
- HEIM DE BALSAC (Prof. F.). - Travaux du service d'études des productions coloniales de l' Agence générale des Colonies . Résumés. (Voir rubrique II de la table des matières)
- .......... Page(s) .......... 177
- .......... Page(s) .......... 425
- .......... Page(s) .......... 549
- .......... Page(s) .......... 543
- .......... Page(s) .......... 566
- .......... Page(s) .......... 803
- VERDAT (Marguerite), archiviste paléographe, bibliothécaire de l' Agence générale des Colonies . - Ouvrages reçus à notre bibliothèque (voir rubrique IV de la table des matières) Les Colonies à travers les Arts (voir rubrique V de la table des matières)
- SOMMAIRE DÉTAILLÉ
Pages.- Etudes générales (Voir couverture).
- .......... Page(s) .......... 617
- .......... Page(s) .......... 635
- .......... Page(s) .......... 638
- Ile de la Réunion: Rapport sur le commerce et la navigation pendant l'année 1928.
- Renseignements divers:
- .......... Page(s) .......... 671
- .......... Page(s) .......... 672
- .......... Page(s) .......... 674
564 BULLETIN DE L'AGENCE GÉNÉRALE DES COLONIÉ3
distribue des cartes de traitement et prodigue les piqûres d'atoxyl.
Malgré tous nos efforts, ce terrible fléau ne paraît pas encore
près d'être enrayé, mais il revêt une forme moins grave que dans
les régions forestières du Cameroun ou du Congo ; cela tient sans
doute au fait que la race cabraise mange à sa faim, et que cette
maladie trouve, sur des individus sains et forts, un terrain moins
bien préparé.
Comme sur toute l'étendue du territoire du Togo, il y a des
« tsé-tsé » dans la région, mais cela n'implique pas que la maladie
du sommeil ait toujours existé à l'état endémique au pays cabrais:
elle a probablement été transmise par des voyageurs ou des
races voisines.
Il convient de poursuivre, dans l'intérêt de ces races primi-
tives, un effort de plus en plus grand du côté de l'organisation
médicale. Dans le pays noir, nous avons vu des spectacles lamen-
tables de pauvres malades, pourtant curables, abandonnés aux
soins répugnants des guérisseurs ou des sorciers. Le médecin
européen n'est consulté qu'en désespoir de cause et, le plus
souvent trop tard, car il réside à des centaines de kilomètres.
Il effectue bien de temps en temps une tournée d'inspection,
mais, pour faire un travail sérieux, il faudrait un effectifde docteurs
dix fois plus important qu'il ne l'est à l'heure actuelle.
Nos colonies d'Afrique contiennent en réserve des trésors
immenses, avec infiniment peu de bras : notre devoir, comme
notre intérêt bien compris, est de protéger et de soigner cette
main-d'œuvre; il faut ouvrir encore plus de dispensaires et de
maternités et ne rien négliger pour conserver, améliorer et
augmenter cette population.
On comprend et on applique d'ailleurs cette politique de plus
en plus, et, au Togo, l'Administration française fait tout ce qu'elle
peut pour améliorer le sort de ses protégés.
A ce point de vue, nous ne pouvons qu'admirer l' œuvre entre-
prise dans ce pays par le Commissaire de la République, le
gouverneur Bonnecarrère, et par tous ses administrateurs.
Au pays cabrais, nous avons pu apprécier l'œuvre personnelle
du capitaine Durain, qui, tant comme chef de la subdivision de
Lama-Kara que comme administrateur du cercle de Sokodé, a
toujours su tirer le maximum des ressources dont il disposait. En
intensifiant, comme il l'a fait, les plantations de kapokiers, il a
certainement assuré à la région le plus bel avenir économique.
Nous tenons d'ailleurs à exprimer tous nos remercîments au
distribue des cartes de traitement et prodigue les piqûres d'atoxyl.
Malgré tous nos efforts, ce terrible fléau ne paraît pas encore
près d'être enrayé, mais il revêt une forme moins grave que dans
les régions forestières du Cameroun ou du Congo ; cela tient sans
doute au fait que la race cabraise mange à sa faim, et que cette
maladie trouve, sur des individus sains et forts, un terrain moins
bien préparé.
Comme sur toute l'étendue du territoire du Togo, il y a des
« tsé-tsé » dans la région, mais cela n'implique pas que la maladie
du sommeil ait toujours existé à l'état endémique au pays cabrais:
elle a probablement été transmise par des voyageurs ou des
races voisines.
Il convient de poursuivre, dans l'intérêt de ces races primi-
tives, un effort de plus en plus grand du côté de l'organisation
médicale. Dans le pays noir, nous avons vu des spectacles lamen-
tables de pauvres malades, pourtant curables, abandonnés aux
soins répugnants des guérisseurs ou des sorciers. Le médecin
européen n'est consulté qu'en désespoir de cause et, le plus
souvent trop tard, car il réside à des centaines de kilomètres.
Il effectue bien de temps en temps une tournée d'inspection,
mais, pour faire un travail sérieux, il faudrait un effectifde docteurs
dix fois plus important qu'il ne l'est à l'heure actuelle.
Nos colonies d'Afrique contiennent en réserve des trésors
immenses, avec infiniment peu de bras : notre devoir, comme
notre intérêt bien compris, est de protéger et de soigner cette
main-d'œuvre; il faut ouvrir encore plus de dispensaires et de
maternités et ne rien négliger pour conserver, améliorer et
augmenter cette population.
On comprend et on applique d'ailleurs cette politique de plus
en plus, et, au Togo, l'Administration française fait tout ce qu'elle
peut pour améliorer le sort de ses protégés.
A ce point de vue, nous ne pouvons qu'admirer l' œuvre entre-
prise dans ce pays par le Commissaire de la République, le
gouverneur Bonnecarrère, et par tous ses administrateurs.
Au pays cabrais, nous avons pu apprécier l'œuvre personnelle
du capitaine Durain, qui, tant comme chef de la subdivision de
Lama-Kara que comme administrateur du cercle de Sokodé, a
toujours su tirer le maximum des ressources dont il disposait. En
intensifiant, comme il l'a fait, les plantations de kapokiers, il a
certainement assuré à la région le plus bel avenir économique.
Nous tenons d'ailleurs à exprimer tous nos remercîments au
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