Titre : L'Agronomie coloniale : bulletin mensuel du Jardin colonial
Auteur : Jardin d'agronomie tropicale (Paris). Auteur du texte
Auteur : Institut national d'agronomie de la France d'outre-mer (Nogent-sur-Marne, Val-de-Marne). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des colonies. Auteur du texte
Éditeur : É. Larose (Paris)
Éditeur : Impr. nationaleImpr. nationale (Paris)
Date d'édition : 1926-12-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34351154x
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 10290 Nombre total de vues : 10290
Description : 01 décembre 1926 01 décembre 1926
Description : 1926/12/01 (A15,N108)-1926/12/31. 1926/12/01 (A15,N108)-1926/12/31.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64605224
Source : CIRAD, 2012-231851
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 12/08/2013
- Aller à la page de la table des matières244
- TABLE DES MATIÈRES
- TABLE PAR NOMS D'AUTEURS
- .......... Page(s) .......... 27
- .......... Page(s) .......... 71
- .......... Page(s) .......... 165
- .......... Page(s) .......... 29
- .......... Page(s) .......... 74
- .......... Page(s) .......... 184
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- .......... Page(s) .......... 233
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- .......... Page(s) .......... 20
- .......... Page(s) .......... 174
- .......... Page(s) .......... 26
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- .......... Page(s) .......... 121
- .......... Page(s) .......... 153
- .......... Page(s) .......... 156
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- .......... Page(s) .......... 185
- .......... Page(s) .......... 234
- .......... Page(s) .......... 235
- .......... Page(s) .......... 129
- .......... Page(s) .......... 69
- .......... Page(s) .......... 165
- TABLE DES SUJETS TRAITES
- .......... Page(s) .......... 30
- .......... Page(s) .......... 123
- .......... Page(s) .......... 186
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- .......... Page(s) .......... 187
- .......... Page(s) .......... 187
- .......... Page(s) .......... 187
- .......... Page(s) .......... 187
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- .......... Page(s) .......... 120
- .......... Page(s) .......... 184
- .......... Page(s) .......... 71
- .......... Page(s) .......... 76
- .......... Page(s) .......... 76
- .......... Page(s) .......... 196
- .......... Page(s) .......... 238
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- .......... Page(s) .......... 239
- .......... Page(s) .......... 184
- .......... Page(s) .......... 234
- .......... Page(s) .......... 156
- .......... Page(s) .......... 232
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- .......... Page(s) .......... 121
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- .......... Page(s) .......... 212
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- .......... Page(s) .......... 161
- .......... Page(s) .......... 165
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- .......... Page(s) .......... 120
- .......... Page(s) .......... 129
- .......... Page(s) .......... 171
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- .......... Page(s) .......... 235
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- .......... Page(s) .......... 171
- .......... Page(s) .......... 244
- .......... Page(s) .......... 161
- TABLE DES FIGURES
- Liquidembar. - Le Liquidembar orientale (J. Carle et J. Simons).
- .......... Page(s) .......... 167
- B: Bois encastrés dans l'arbre. - C: Coins en bois. - D: Plateau de bois. - F: Billot. - G. Cordes.
- Noix de palme. - Les Concasseurs à noix de palme (G. Passelègue).
- .......... Page(s) .......... 12
- .......... Page(s) .......... 86
- .......... Page(s) .......... 87
- .......... Page(s) .......... 89
- Planche hors texte n° XXI, entre les pages 14 et 15.
- Concasseur à noix de palme "Rose Downs et Thomson" modèle C., en essais.
- Planche hors texte n° XXII, entre les pages 84 et 85.
- Concasseur à noix de palme et séparateur de coques et d'amandes "Haake".
- Planche hors texte n° XXIII, entre les pages 88 et 89.
- Séparateur de coques et d'amandes "Olier".
- Palmier à huile. - La Fécondation artificielle du Palmier à huile (J. Lavergne).
- .......... Page(s) .......... 132
- .......... Page(s) .......... 138
- R: Régime en floraison. - S: Stipe. - F: Feuille. - P: Pétiole conservé. - E: Encoche. - L: Ligature. - C: Cornet protecteur. K: Kapok.
- .......... Page(s) .......... 139
- Riz. - Le Riz à Madagascar (J.-H. Leroy).
- Planche hors texte n° I, entre les pages 98 et 99.
- Fig. I. - Herse italienne. - Hersage de la rizière, à sec, immédiatement après le labourage.
- Fig. II. - Herse italienne. - Hersage dans la rizière submergée, montrant, au centre, le terrain non encore travaillé, et le résultat obtenu après le passage de la herse.
- Planche hors texte n° II, entre les pages 100 et 101.
- Fig. III. - Rizière italienne. - Emottage à sec, à la main, par les femmes.
- Fig. IV. - Rizière italienne. -Emottage dans l'eau, à la main, par les femmes.
- Planche hors texte n° III, entre les pages 142 et 143.
- Fig. V. - Nivellement de la rizière, en Italie, avec la "Spianone". - Après submersion de la rizière, et pour obtenir un nivellement parfait, le riziculteur emploi la "Spianone" sorte de longue planche traînée par un cheval, sur laquelle monte le conducteur.
- Fig. VI. - Semoir Cabrini-Mocchi. - Ce semoir, traîné dans la rizière légèrement submergée, y forme des billons espacés de 30 centimètres, et sème directement le riz au sommet de ces billons.
- Planche hors texte n° IV, entre les pages 146 et 147.
- Fig. VII. - Rizière ensemencée au semoir. - Aspect de la rizière après le passage du semoir Cabrini-Mocchi. On voit, au sommet des bilons, la ligne du riz semé.
- Fig. VIII. - Rizière ensemencée au semoir Cabrini-Mocchi. - Aspect de la rizière 40 jours après les semailles, montrant la régularité et la puissance de la végétation.
- Planche hors texte n° V, entre les pages 148 et 149.
- Fig. IX. - Houe sarcleuse Cabrini-Mocchi. - Cette houe, munie de patins qui s'adaptent au fond des sillons creusés par le semoir, est munie de couteaux sarcleurs, qui travaillent au rez de la ligne de riz, sans déviation possible.
- Fig. X. - Sarclage à la main de la rizière italienne. - Comme à Madagascar ce travail est exécuté par des femmes, dans les, rizières semées à la volée ou repiquées à la main.
- Planche hors texte n° VI, entre les pages 150 et 151.
- Fig. XI. - Le repiquage, très prisé par les riziculteurs italiens, en raison des hauts rendements qu'il permet d'obtenir, est exécuté dans des conditions presque identiques à celles des rizières malgaches. En raison de son prix de revient il tend de plus en plus à être remplacé par le semis au semoir, ou le repiquage mécanique.
- Fig. XII. - La pépinière. - Arrachage des plants de riz dans la pépinière italienne pour le repiquage. Au premier plan, paniers ou cadres destinés à une machine à repiquer le riz. En arrière, tombereau chargé de porter le plant sur les rizières à repiquer.
- Planche hors texte n° VII, entre les pages 150 et 151.
- Fig. XIII. - Repiquage du riz à la main, sur les billons tracés par le semoir Cabrini-Mocchi. - Le semoir a simplement été utilisé comme traceur de billons et traîneau transporteur des plants de riz. Des femmes repiquent sur le sommet des billons; le travail est ainsi exécuté plus rapidement. Le riz est planté en ligne permettant l'emploi de la houe sarcleuse.
- Fig. XIV. - Machine Rossi à repiquer le riz. - Cette machine comprend trois tapis roulants actionnés par elle-même. Ces tapis sont garnis de légères tringles distantes de 20 centimètres, correspondant à l'emplacement des plants. Les plants placés à la main sur le tapis, tombent à l'arrière de la machine. Un disque visible sur la figure, passe sur la racine, l'enterre et oblige ainsi le plant à se relever.
- Planche hors texte n° VIII, entre les pages 152 et 153.
- Fig. XV. - Machine Cavalleri à repiquer. - Fonctionne sur le même principe que la machine précédente, mais ne comporte qu'un seul tapis roulant; elle ne plante donc qu'une seule ligne à la fois.
- Fig. XVI, - Appareil Forni, pour le repiquage du riz. - Est constitué par un traîneau de 2 m , 60 de large en forme de trapèze portant 13 repiqueuses. En marche, le traîneau tiré par des boeufs, trace 13 lignes sur lesquelles les femmes repiquent à la main. Les ouvrières étant traînées, le travail est plus rapide; en outre le repiquage est fait en ligne permettant le sarclage mécanique. Il y a, ainsi, environ 30 % d'économie au repiquage, et encore plus au sarclage.
- .......... Page(s) .......... 162
- Fig. 1. - P: Parenchyme; L: Fibres libériennes. -Fig. 2. - Faisceaux de fibres libériennes. - Fig. 3. - Fibres en long; C: Canal; P: Pointes.
LE RIZ A MADAGASCAR 209
reux de tous. Au soleil, à Madagascar, le thermomètre monte
à 600, tandis que la température maxima d'un bon séchage
ne devrait jamais dépasser 350.
Si les riz glacés Italiens atteignent presqu'à la perfection,
on peut dire que ce résultat est dû, en grande partie, aux
soins apportés au séchage.
En Italie, aussitôt moissonné, le paddy est battu et séché
artificiellement, dans des séchoirs spécialement construits,
dont la température maximum ne dépasse jamais 350. A
l'entrée dans les appareils, lorsque le paddy est très humide,
il rencontre la température la plus basse et ce n'est que vers
la fin de l'opération qu'il est en contact avec de l'air à 35°.
Le paddy passe successivement dans trois appareils avec
repos de vingt minutes entre chaque appareil, de façon à
laisser à l'humidité restante le temps de se répandre dans
la masse et de s'uniformiser.
Il existe de nombreux modèles de séchoirs, mais le plus
simple consiste simplement en un tronc de cône de 6 mètres
environ de hauteur et de 1 mètre de diamètre, formé d'une
armature sur laquelle est tendue, à double parois, une toile
métallique. Entre les deux parois, espacées de 25 centimè-
tres, le riz est introduit et remplit complètement l'espace
libre. L'alimentation a lieu par le haut, et est continue,
tandis que, par le bas, un système de distributeur en permet
l'écoulement régulier à une vitesse déterminée.
L'air chaud passe au centre de l'appareil venant de la
partie inférieure ; il rencontre donc, à la base, le riz le plus
sec et en haut, où la température est la moins forte, le paddy
le plus humide, ce qui est d'ailleurs favorable à une bonne
dessiccation progressive.
Un élévateur reprend le riz, sortant du premier appareil,
et le conduit dans la trémie d'attente du deuxième séchoir,
où il séjournera vingt minutes avant d'être séché à nouveau.
Ce procédé, appliqué dans nos colonies, nous débarasse-
rait complètement des riz fermentés, et des grains jaunes.
Le rendement en grains entiers augmenterait en outre consi-
dérablement le rendement.
reux de tous. Au soleil, à Madagascar, le thermomètre monte
à 600, tandis que la température maxima d'un bon séchage
ne devrait jamais dépasser 350.
Si les riz glacés Italiens atteignent presqu'à la perfection,
on peut dire que ce résultat est dû, en grande partie, aux
soins apportés au séchage.
En Italie, aussitôt moissonné, le paddy est battu et séché
artificiellement, dans des séchoirs spécialement construits,
dont la température maximum ne dépasse jamais 350. A
l'entrée dans les appareils, lorsque le paddy est très humide,
il rencontre la température la plus basse et ce n'est que vers
la fin de l'opération qu'il est en contact avec de l'air à 35°.
Le paddy passe successivement dans trois appareils avec
repos de vingt minutes entre chaque appareil, de façon à
laisser à l'humidité restante le temps de se répandre dans
la masse et de s'uniformiser.
Il existe de nombreux modèles de séchoirs, mais le plus
simple consiste simplement en un tronc de cône de 6 mètres
environ de hauteur et de 1 mètre de diamètre, formé d'une
armature sur laquelle est tendue, à double parois, une toile
métallique. Entre les deux parois, espacées de 25 centimè-
tres, le riz est introduit et remplit complètement l'espace
libre. L'alimentation a lieu par le haut, et est continue,
tandis que, par le bas, un système de distributeur en permet
l'écoulement régulier à une vitesse déterminée.
L'air chaud passe au centre de l'appareil venant de la
partie inférieure ; il rencontre donc, à la base, le riz le plus
sec et en haut, où la température est la moins forte, le paddy
le plus humide, ce qui est d'ailleurs favorable à une bonne
dessiccation progressive.
Un élévateur reprend le riz, sortant du premier appareil,
et le conduit dans la trémie d'attente du deuxième séchoir,
où il séjournera vingt minutes avant d'être séché à nouveau.
Ce procédé, appliqué dans nos colonies, nous débarasse-
rait complètement des riz fermentés, et des grains jaunes.
Le rendement en grains entiers augmenterait en outre consi-
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