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- TABLE DES MATIÈRES
- I ARTICLES ORIGINAUX
- II EXTRAITS ET ANALYSES
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- .......... Page(s) .......... 134
- A. CHEVALIER. - Sur une scrofulariée (Striga Hermonthica) parasite des céréales en Afrique tropicale.......... Page(s) .......... 134
- .......... Page(s) .......... 202
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- .......... Page(s) .......... 205
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- .......... Page(s) .......... 59
- .......... Page(s) .......... 136
- ANONYME. - La grande valeur des sous-produits du riz pour l'alimentation du bétail et de la volaille.......... Page(s) .......... 136
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- .......... Page(s) .......... 216
- III DOCUMENTS STATISTIQUES ET COMMERCIAUX
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EXTRAITS ET ANALYSES 99
élevé. Le carburant le plus économique serait sûrement la balle de riz.
Toutefois, la plus grande difficulté provient de l'installation et de
la manutention des appareils. Il est nécessaire que la chaleur soit uni-
formément distribuée ; une assez grande quantité d'éléments produc-
teurs de la chaleur est indispensable, que ce soit des radiateurs ou des
thermosiphons.
Le plus grand avantage de cette méthode est que l'on obtient des
plants à repiquer plus tôt, en particulier dès le mois de mai, ce qui
permet d'allonger la période du repiquage et peut-être de rendre le
repiquage universel dans les rizières italiennes.
Et l'on ne sera peut-être pas loin de penser à faire deux pépinières
successives sur un même terrain, les semailles ayant lieu à un mois de
distance, puisque le temps nécessaire aux plants pour atteindre l'âge du
repiquage sera presque diminué de moitié.
Un autre avantage serait d'augmenter le rapport de la surface des
pépinières à celle des rizières. Ce rapport qui est actuellement de 1/8,
pourrait peut-être atteindre 1 /20. Dans le premier cas, on compte 6 à
7 quintaux de semences par hectare de pépinière, et dans le second cas,
il faudrait compter 10 quintaux.
La quantité d'eau courante nécessaire à l'irrigation d'une pépi-
nière est en moyenne de 2 litres par hectare et par seconde.
Quelle doit être la température de l'eau ?
L'auteur dit qu'on ne saurait donner des chiffres catégoriques et
constants; mais on peut affirmer qu'elle ne devra pas être telle qu'elle
puisse déterminer une différence importante avec la température exté-
rieure, sous peine de causer des désordres physiologiques dans la
plante. Elle variera avec la température atmosphérique, avec le jour
et la nuit et les différents mois. Mais l'auteur pense que l'on peut, sans
danger, réchauffer l'eau jusqu'à 10 degrés au-dessus de la température
extérieure.
KIKKANA SUKETENI. — Sur l'influence de la tempé-
rature de l'eau d'irrigation du riz. Proceedings of the Impérial
Academy, Tokio, vol. 7, 1929.
Depuis longtemps il a été reconnu que la température de l'eau
d'irrigation du riz a une très grande influence sur le rendement de la
plante.
élevé. Le carburant le plus économique serait sûrement la balle de riz.
Toutefois, la plus grande difficulté provient de l'installation et de
la manutention des appareils. Il est nécessaire que la chaleur soit uni-
formément distribuée ; une assez grande quantité d'éléments produc-
teurs de la chaleur est indispensable, que ce soit des radiateurs ou des
thermosiphons.
Le plus grand avantage de cette méthode est que l'on obtient des
plants à repiquer plus tôt, en particulier dès le mois de mai, ce qui
permet d'allonger la période du repiquage et peut-être de rendre le
repiquage universel dans les rizières italiennes.
Et l'on ne sera peut-être pas loin de penser à faire deux pépinières
successives sur un même terrain, les semailles ayant lieu à un mois de
distance, puisque le temps nécessaire aux plants pour atteindre l'âge du
repiquage sera presque diminué de moitié.
Un autre avantage serait d'augmenter le rapport de la surface des
pépinières à celle des rizières. Ce rapport qui est actuellement de 1/8,
pourrait peut-être atteindre 1 /20. Dans le premier cas, on compte 6 à
7 quintaux de semences par hectare de pépinière, et dans le second cas,
il faudrait compter 10 quintaux.
La quantité d'eau courante nécessaire à l'irrigation d'une pépi-
nière est en moyenne de 2 litres par hectare et par seconde.
Quelle doit être la température de l'eau ?
L'auteur dit qu'on ne saurait donner des chiffres catégoriques et
constants; mais on peut affirmer qu'elle ne devra pas être telle qu'elle
puisse déterminer une différence importante avec la température exté-
rieure, sous peine de causer des désordres physiologiques dans la
plante. Elle variera avec la température atmosphérique, avec le jour
et la nuit et les différents mois. Mais l'auteur pense que l'on peut, sans
danger, réchauffer l'eau jusqu'à 10 degrés au-dessus de la température
extérieure.
KIKKANA SUKETENI. — Sur l'influence de la tempé-
rature de l'eau d'irrigation du riz. Proceedings of the Impérial
Academy, Tokio, vol. 7, 1929.
Depuis longtemps il a été reconnu que la température de l'eau
d'irrigation du riz a une très grande influence sur le rendement de la
plante.
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