108 RIZ ET RIZICULTURE
Il passe ensuite dans le crible supérieur qui trie les débris grossiers
et les rejette au dehors.
Le riz tombe ensuite dans le crible 2 qui sépare les grains minces
et les rejette, et enfin dans le crible 3 qui rejette les grains petits.
Le riz, désormais uniforme en largeur et épaisseur (non en lon-
gueur) rejoint successivement le tube de l'aspirateur arrière qui aspire
une seconde fois non seulement la poudre, mais les grains légers et
les conduit au réservoir à débris.
Les grains sont alors de grosseur uniforme. A travers un tube ils
rejoignent le cylindre alvéolé où ils sont séparés selon leur longueur.
Les grains plus courts sont rejetés au dehors, tandis que le reste, tou-
jours plus uniforme, est transporté au moyen d'un élévateur sur le plan
incliné oscillant. Les grains plus légers sont rejetés par une voie et
les grains lourds par une autre.
Ce trieur avec des modifications appropriées peut servir pour toutes
les graines, depuis le trèfle jusqu'au maïs. Il ne demande qu'une force
motrice de 2 à 3 HP.
GÉNÉRALITÉS SUR LA RIZICULTURE DANS DIVERSES
RÉGIONS
AMBEKAR R. — The crops of Sind : Their geography and
statistics. (Les cultures du Sind, géographie et statistique.)
Dept. of Agriculture, Bombay, Bull. n° 150, 1928, pp. 35-48.
La céréale la plus cultivée dans le Sind est le riz; les chutes de
pluie ne dépassant pas 25 centimètres par an, les cultures se font
surtout par irrigation. Les rizières couvrent une superficie de 488.324
hectares. Dans le Haut-Sind, où il fait très chaud, l'eau est amenée
par irrigation et les terres alluviales donnent jusqu'à 160 quintaux de
riz à l'hectare. Le repiquage est pratiqué. Dans le Bas-Sind, le riz
est semé à la volée, et les résultats sont moins bons que dans le Haut-
Sind.
Dans les rizières, où le repiquage est en pratique, les pépinières sont
préparées avec soin. La terre, d'abord labourée et nivelée, est recouverte
Il passe ensuite dans le crible supérieur qui trie les débris grossiers
et les rejette au dehors.
Le riz tombe ensuite dans le crible 2 qui sépare les grains minces
et les rejette, et enfin dans le crible 3 qui rejette les grains petits.
Le riz, désormais uniforme en largeur et épaisseur (non en lon-
gueur) rejoint successivement le tube de l'aspirateur arrière qui aspire
une seconde fois non seulement la poudre, mais les grains légers et
les conduit au réservoir à débris.
Les grains sont alors de grosseur uniforme. A travers un tube ils
rejoignent le cylindre alvéolé où ils sont séparés selon leur longueur.
Les grains plus courts sont rejetés au dehors, tandis que le reste, tou-
jours plus uniforme, est transporté au moyen d'un élévateur sur le plan
incliné oscillant. Les grains plus légers sont rejetés par une voie et
les grains lourds par une autre.
Ce trieur avec des modifications appropriées peut servir pour toutes
les graines, depuis le trèfle jusqu'au maïs. Il ne demande qu'une force
motrice de 2 à 3 HP.
GÉNÉRALITÉS SUR LA RIZICULTURE DANS DIVERSES
RÉGIONS
AMBEKAR R. — The crops of Sind : Their geography and
statistics. (Les cultures du Sind, géographie et statistique.)
Dept. of Agriculture, Bombay, Bull. n° 150, 1928, pp. 35-48.
La céréale la plus cultivée dans le Sind est le riz; les chutes de
pluie ne dépassant pas 25 centimètres par an, les cultures se font
surtout par irrigation. Les rizières couvrent une superficie de 488.324
hectares. Dans le Haut-Sind, où il fait très chaud, l'eau est amenée
par irrigation et les terres alluviales donnent jusqu'à 160 quintaux de
riz à l'hectare. Le repiquage est pratiqué. Dans le Bas-Sind, le riz
est semé à la volée, et les résultats sont moins bons que dans le Haut-
Sind.
Dans les rizières, où le repiquage est en pratique, les pépinières sont
préparées avec soin. La terre, d'abord labourée et nivelée, est recouverte
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