Titre : L'Agronomie coloniale : bulletin mensuel du Jardin colonial
Auteur : Jardin d'agronomie tropicale (Paris). Auteur du texte
Auteur : Institut national d'agronomie de la France d'outre-mer (Nogent-sur-Marne, Val-de-Marne). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des colonies. Auteur du texte
Éditeur : É. Larose (Paris)
Éditeur : Impr. nationaleImpr. nationale (Paris)
Date d'édition : 1937-06-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34351154x
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 10290 Nombre total de vues : 10290
Description : 01 juin 1937 01 juin 1937
Description : 1937/06/01 (A26,N234)-1937/06/30. 1937/06/01 (A26,N234)-1937/06/30.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6410055d
Source : CIRAD, 2012-231851
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 30/09/2013
- Aller à la page de la table des matières191
- TABLE DES MATIÈRES.
- TABLE PAR NOMS D'AUTEURS.
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- .......... Page(s) .......... 16
- .......... Page(s) .......... 19
- .......... Page(s) .......... 52
- .......... Page(s) .......... 17
- .......... Page(s) .......... 1
- LEPESME (P.). - Voir Vayssière (P.) et Lepesme (P.).
- .......... Page(s) .......... 11
- .......... Page(s) .......... 2
- .......... Page(s) .......... 33
- .......... Page(s) .......... 64
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- .......... Page(s) .......... 152
- .......... Page(s) .......... 17
- .......... Page(s) .......... 129
- .......... Page(s) .......... 182
- TABLE DES SUJETS TRAITÉS.
- .......... Page(s) .......... 25
- .......... Page(s) .......... 26
- .......... Page(s) .......... 161
- .......... Page(s) .......... 11
- .......... Page(s) .......... 16
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- .......... Page(s) .......... 1
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- .......... Page(s) .......... 151
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- .......... Page(s) .......... 2
- TABLE DES FIGURES.
VARIÉTÉS. 183
1 1 kilogrammes à 232.Li 9 6 kilogrammes au cours des neuf pre-
miers mois des deux années 1935 et 1936 mises en parallèle.
Cet accroissement de la culture bananière est favorisé sur place
par une production relativement aisée et par de nombreuses
facilités de tous ordres (vente de plants à bas prix, crédit agricole,
etc.) consenties aux planteurs.
Comme le fait remarquer l'auteur de l'article, on songe utile-
ment à compléter cet ensemble de mesures par la création d'une
marque d'origine (vignette) consacrant la standardisation prévue
des produits.
Après avoir noté le léger mouvement d'intérêt provoqué par
les bois et dû, sans doute, à quelques nouveaux débouchés aux
Antilles, l'auteur indique à la Guyane l'utilité d'une orientation
vers la production marchande des cafés et des cacaos de qualité
existant sur place.
N'oublions pas que les recherches historiques sur l'économie
ancienne de nos Antilles nous prouvent l'estime universelle dans
laquelle étaient tenus, en Europe, leurs cacaos et leurs cafés.
Mais ces mêmes documents historiques nous sont aussi des
témoins des engouements successifs qui, à la faveur de réussites
locales, poussèrent souvent ces vieilles colonies vers les abus de
la monoculture. Cacao, café, cannes à sucre — chaque succès du
jour tendait à faire oublier, souvent injustement, le succès de la
veille.
Peut-être est-il opportun de le rappeler au moment où la
jeune banane de la Guyane est l'enfant préféré de la maison.
Aussi, c'est très justement que l'on peut suggérer au service
de l'agriculture guyanaise de tout faire pour orienter les colons
vers les cultures — toutes les cultures — qui payent.
M. V.
1 1 kilogrammes à 232.Li 9 6 kilogrammes au cours des neuf pre-
miers mois des deux années 1935 et 1936 mises en parallèle.
Cet accroissement de la culture bananière est favorisé sur place
par une production relativement aisée et par de nombreuses
facilités de tous ordres (vente de plants à bas prix, crédit agricole,
etc.) consenties aux planteurs.
Comme le fait remarquer l'auteur de l'article, on songe utile-
ment à compléter cet ensemble de mesures par la création d'une
marque d'origine (vignette) consacrant la standardisation prévue
des produits.
Après avoir noté le léger mouvement d'intérêt provoqué par
les bois et dû, sans doute, à quelques nouveaux débouchés aux
Antilles, l'auteur indique à la Guyane l'utilité d'une orientation
vers la production marchande des cafés et des cacaos de qualité
existant sur place.
N'oublions pas que les recherches historiques sur l'économie
ancienne de nos Antilles nous prouvent l'estime universelle dans
laquelle étaient tenus, en Europe, leurs cacaos et leurs cafés.
Mais ces mêmes documents historiques nous sont aussi des
témoins des engouements successifs qui, à la faveur de réussites
locales, poussèrent souvent ces vieilles colonies vers les abus de
la monoculture. Cacao, café, cannes à sucre — chaque succès du
jour tendait à faire oublier, souvent injustement, le succès de la
veille.
Peut-être est-il opportun de le rappeler au moment où la
jeune banane de la Guyane est l'enfant préféré de la maison.
Aussi, c'est très justement que l'on peut suggérer au service
de l'agriculture guyanaise de tout faire pour orienter les colons
vers les cultures — toutes les cultures — qui payent.
M. V.
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