Titre : Coton et culture cotonnière / périodique ... publié par l'Agence générale des colonies
Auteur : Comité d'encouragement aux recherches scientifiques coloniales. Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des colonies. Auteur du texte
Éditeur : Agence générale des colonies (Paris)
Date d'édition : 1928-11-01
Contributeur : Agence de la France d'Outre-mer. Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327497196
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 3487 Nombre total de vues : 3487
Description : 01 novembre 1928 01 novembre 1928
Description : 1928/11/01 (FASC3,VOL3)-1928/11/30. 1928/11/01 (FASC3,VOL3)-1928/11/30.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6460516d
Source : CIRAD, 2012-235622
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 26/03/2013
- Aller à la page de la table des matièresNP
- SOMMAIRE
- .......... Page(s) .......... 218
- .......... Page(s) .......... 225
- .......... Page(s) .......... 237
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- .......... Page(s) .......... 237
- .......... Page(s) .......... 238
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- .......... Page(s) .......... 240
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- .......... Page(s) .......... 241
- .......... Page(s) .......... 243
- .......... Page(s) .......... 244
- .......... Page(s) .......... 246
- .......... Page(s) .......... 249
- .......... Page(s) .......... 257
- .......... Page(s) .......... 271
- TABLE DES MATIÈRES
- Première Partie
- Deuxième Partie
- I
- II
- PL. - Tige. - Ecorce et zone externe du cylindre central, planche: page 62 de la première partie; texte: page 62 de la deuxième partie.
- PL. - Feuille: planche 64 de la première partie; texte: page 64 de la deuxième partie.
- III
- .......... Page(s) .......... 23
- .......... Page(s) .......... 78
- .......... Page(s) .......... 37
- .......... Page(s) .......... 85
- .......... Page(s) .......... 100
- .......... Page(s) .......... 107
- .......... Page(s) .......... 71
- .......... Page(s) .......... 67
- .......... Page(s) .......... 73
- .......... Page(s) .......... 27
- .......... Page(s) .......... 28
- .......... Page(s) .......... 29
- .......... Page(s) .......... 31
- .......... Page(s) .......... 97
- .......... Page(s) .......... 104
- .......... Page(s) .......... 117
- IV
- TABLE DES MATIÈRES
- .......... Page(s) .......... 7
- Première Partie
- Deuxième Partie
- I
- II
- III
- IV
- TABLE DES MATIÈRES ANNÉE 1928
- .......... Page(s) .......... 20
- II
- BOTANIQUE DES COTONNIERS.
- GENRE ET VARIETE.
- BIOLOGIE ET GENETIQUE.
- CHIMIE DU COTONNIER ET DE SES PRODUITS.
- MALADIES DE NUTRITION.
- MALADIES CRYPTOGAMIQUES.
- .......... Page(s) .......... 47
- .......... Page(s) .......... 141
- .......... Page(s) .......... 141
- .......... Page(s) .......... 47
- .......... Page(s) .......... 49
- .......... Page(s) .......... 141
- .......... Page(s) .......... 49
- .......... Page(s) .......... 142
- .......... Page(s) .......... 240
- .......... Page(s) .......... 142
- .......... Page(s) .......... 143
- .......... Page(s) .......... 50
- .......... Page(s) .......... 240
- .......... Page(s) .......... 241
- .......... Page(s) .......... 143
- INSECTES NUISIBLES.
- .......... Page(s) .......... 144
- .......... Page(s) .......... 51
- .......... Page(s) .......... 51
- .......... Page(s) .......... 241
- .......... Page(s) .......... 242
- .......... Page(s) .......... 242
- .......... Page(s) .......... 51
- .......... Page(s) .......... 242
- .......... Page(s) .......... 145
- .......... Page(s) .......... 56
- INFLUENCES METEOROLOGIQUES.
- .......... Page(s) .......... 58
- SOLS. - ENGRAIS.
- METHODES CULTURALES.
- IRRIGATION.
- CUEILLETTE.
- .......... Page(s) .......... 59
- EGRENACE ET PREPARATION.
- TECHNOLOGIE.
- .......... Page(s) .......... 150
- CULTURE ET PRODUCTION DANS LES DIVERS PAYS COTONNIERS.
- STATIONS EXPERIMENTALES ET TERMES.
- PRODUCTION COTONNIERE DANS SES RAPPORTS AVEC LE COMMERCE ET L8NDUSTRIE.
- III
- RECHERCHES TECHNOLOGIQUES
- ATLAS ICONOGRAPHIQUE DU COTONNIER par HEIM DE BALSAC
- .......... Page(s) .......... 75
- .......... Page(s) .......... 199
'258 COTON ET CULTURE COTONNIIRE
verneur général CARDE a prescrit que, sauf en des cas spéciaux, le
producteur n'ait pas à parcourir, pour s'y rendre, une distance supé-
rieure à une trentaine de kilomètres.
Les transactions ne peuvent se faire que sur les marchés officiels;
le producteur reste libre, bien entendu, de ne pas y porter le coton
et d'utiliser sa récolte pour lui-même, ou pour une industrie familiale.
Comme le marché officiel a pour objet non seulement d'assurer aux
vendeurs et aux acheteurs des facilités et des garanties auxquelles ils
pourraient renoncer, mais aussi de contrôler la présentation du produit
dans l'intérêt général de la colonie, il était indispensable d'interdire de
procéder à des opérations commerciales en tout autre point.
Au Congo belge, il existe un système un peu différent, mais qui
en pratique, sur ce point, revient à peu près au même. Les producteurs
peuvent vendre leur récolte soit au marché, soit directement à une
usine d'égrenage; chaque usine d'égrenage reçoit une zone d'action
qui lui est réservée, en ce sens que si les habitants sont libres d'aller
vendre en dehors leur récolte, aucune autre usine ne peut faire acheter
du coton dans cette zone, aucune égreneuse ne peut y être installée
par quelqu'un d'autre que le concessionnaire pour égrener du coton
acheté aux indigènes, aucun marché ne peut être installé à moins de
10 kilomètres de la zone d'action.
Le Gouvernement belge a estimé, en effet, que pour inciter des
Compagnies privées à construire, des usines d'égrenage, il était utile,
sans leur donner un véritable monopole, de leur garantir un minimum
de matière première. Les zones d'action ne sont pas, d'ailleurs, très
étendues, puisqu'elles ne peuvent avoir, dans leur plus grande dimen-
sion, une longueur supérieure à 40 kilomètres ; cela permettrait aux
indigènes, s'ils y trouvaient intérêt, de se rendre à un marché voisin
pour chercher un autre acquéreur ; de plus, comme sur les marchés
officiels, le concessionnaire doit respecter les prix minima en dessous
desquels il est interdit d'acheter le coton.
Le système belge a donné au Congo, où il est appliqué depuis
1921, de très bons résultats, de sorte qu'il a été question de l'adopter
dans nos colonies africaines et, du reste, il a reçu un commencement
d'application dans l'Oubangui-Chari. Pour nos colonies de l'Afrique
Occidentale, où l'Association Cotonnière Coloniale a particulièrement
porté ses efforts, il n'y aurait plus aucun intérêt à favoriser la création
d'usines d'égrenage en leur réservant des zones d'action ; car les instal-
verneur général CARDE a prescrit que, sauf en des cas spéciaux, le
producteur n'ait pas à parcourir, pour s'y rendre, une distance supé-
rieure à une trentaine de kilomètres.
Les transactions ne peuvent se faire que sur les marchés officiels;
le producteur reste libre, bien entendu, de ne pas y porter le coton
et d'utiliser sa récolte pour lui-même, ou pour une industrie familiale.
Comme le marché officiel a pour objet non seulement d'assurer aux
vendeurs et aux acheteurs des facilités et des garanties auxquelles ils
pourraient renoncer, mais aussi de contrôler la présentation du produit
dans l'intérêt général de la colonie, il était indispensable d'interdire de
procéder à des opérations commerciales en tout autre point.
Au Congo belge, il existe un système un peu différent, mais qui
en pratique, sur ce point, revient à peu près au même. Les producteurs
peuvent vendre leur récolte soit au marché, soit directement à une
usine d'égrenage; chaque usine d'égrenage reçoit une zone d'action
qui lui est réservée, en ce sens que si les habitants sont libres d'aller
vendre en dehors leur récolte, aucune autre usine ne peut faire acheter
du coton dans cette zone, aucune égreneuse ne peut y être installée
par quelqu'un d'autre que le concessionnaire pour égrener du coton
acheté aux indigènes, aucun marché ne peut être installé à moins de
10 kilomètres de la zone d'action.
Le Gouvernement belge a estimé, en effet, que pour inciter des
Compagnies privées à construire, des usines d'égrenage, il était utile,
sans leur donner un véritable monopole, de leur garantir un minimum
de matière première. Les zones d'action ne sont pas, d'ailleurs, très
étendues, puisqu'elles ne peuvent avoir, dans leur plus grande dimen-
sion, une longueur supérieure à 40 kilomètres ; cela permettrait aux
indigènes, s'ils y trouvaient intérêt, de se rendre à un marché voisin
pour chercher un autre acquéreur ; de plus, comme sur les marchés
officiels, le concessionnaire doit respecter les prix minima en dessous
desquels il est interdit d'acheter le coton.
Le système belge a donné au Congo, où il est appliqué depuis
1921, de très bons résultats, de sorte qu'il a été question de l'adopter
dans nos colonies africaines et, du reste, il a reçu un commencement
d'application dans l'Oubangui-Chari. Pour nos colonies de l'Afrique
Occidentale, où l'Association Cotonnière Coloniale a particulièrement
porté ses efforts, il n'y aurait plus aucun intérêt à favoriser la création
d'usines d'égrenage en leur réservant des zones d'action ; car les instal-
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