Titre : Les Annales coloniales : revue mensuelle illustrée / directeur-fondateur Marcel Ruedel
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1929-05-01
Contributeur : Ruedel, Marcel. Directeur de publication
Contributeur : Monmarson, Raoul (1895-1976). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb326934111
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 mai 1929 01 mai 1929
Description : 1929/05/01-1929/05/31. 1929/05/01-1929/05/31.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Collection numérique : Protectorats et mandat... Collection numérique : Protectorats et mandat français
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k9743134p
Source : CIRAD, 2016-191112
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 12/09/2016
Les Annales Coloniales
Page 13
Si l'industrialisation de la pêche, c'est-a.
dire l'emploi de chalutiers à vapeur se rlé-
plaçant facilement, au lieu de voiliers, en-
traîne l'aménagement et l'outillage du port
de Saint-Pierre, entrepris sur l'insistance et
les affirmations des armateurs, celle de la
conservation du poisson doit entraîner la
création de plusieurs industries connexes sus-
ceptibles d'utiliser les déchets pour la fabri-
cation, soit d'huiles et de poudre de poisson,
soit encore de gélatine et de colle.
Un frigorifique construit par l'Etat fran
çais, au cours de la guerre 1914-1918, a été
exploité à l'origine par la Compagnie Fran- ,
co-Canadienne des Pêches et Frigorifiques.
Il a été concédé, dès le début de l'année
1928, à la Société Lorientaise de chalutag?
qui le remet en état et l'aménage en vu:
de la préparation des divers poissons et de
l'utilisation de leurs déchets.
L'industrie morutière
La morue, richesse alimentaire inépuisa-
sable ! En effet, malgré le chiffre formida-
ble de victimes qu'enregistre chaque campa-
gne de pêche, le nombre de morues ne dimi-
nue pas en raison de la prodigieuse fécon-
dité des femelles qui peuvent, chacune, pro-
duire jusqu'à neuf millions d'oeufs.
Très rapprochées du Banc de Saint-Pierre
et du Banquereau, situées à 48 heures du
Grand Banc, les îles Saint-Pierre et Mique-
lon constituent un point de concentration
extrêmement précieux pour les pêcheurs.
Aussitôt pêchée, la morue est ouverte,
vidée, on lui tranche la tête, les déchets
sont jetés à la mer et on ne conserve que les
foies et les rogues ou œufs.
Lorsqu'elle a été complètement débarrassée
de tout le sang qu'elle peut contenir, elle est
livrée au saleur qui répartit le sel de ma-
nière à en saturer surtout les parties char-
nues. Une fois salée, la morue est disposée
en tas, dans cet état, elle prend le nom de
morue verte.
Une grande partie des morues ainsi pré-
parées subit à Saint-Pierre même l'opération
du séchage en vue de laquelle, après avoir
fait l'objet d'un lavage préalable pour les
débarrasser du sel qui les imprègne, les mo-
rues sont exposées sur les graves, vastes
étendues de pierres et de galets, en choisis-
sant un jour où le soleil se montre assez
chaud sans être trop vif et se trouve tempéré
par une brise fraîche. Mais, ces deux con-
ditions n'étant pas aisément réalisables, on
est arrivé à rechercher un mode de séchage ar-
tificiel présentant moins d'aléas et pouvant
être employé en toute saison.A l'heure actuelle
la plupart des maisons d'armement possè-
dent, à côté de leurs graves, des séchoirs
dans lesquels sont préparées les morues sè-
ches dont l'expédition se fait directement de
Saint-Pierre même sur les lieux de consom-
mation.
Plusieurs entreprises d'armement ayant
leur siège dans la Métropole importent la
morue verte en France pour la réexporter
ensuite après lui avoir fait subir la prépara-
tion du séchage.
Les foies mis à part, à bord des bateaux,
pendant les opérations du dépeçage de la
morue, fournissent une huile noire qui ne
peut guère servir qu'à la tannerie.
Les huiles blondes qui offrent la trans-
parence de l'ambre clair et trouvent leur
emploi en pharmacie, sont préparées à^ terre
avec le plus grand soin et seuls, les foies de
morues pêchées le jour même, entrent dans
leur fabrication ; d'ailleurs, il est avéré que
les huiles de foie de morue provenant de
Saint-Pierre ont une supériorité incontesta-
ble sur les produits analogues.
Les rogues ou œufs de morue sont expé-
diés en France pour servir d'appât aux pê-
cheurs de sardine.
St-Pierre. Quai et Place de la Roncière.
Les langues (le morues et les adhérences
du has de la mâchoire sont considérées
comme un mets de choix.
Les pêcheurs ne laissent pas d'en être eux-
mêmes friands.
Autres richesses
La morue est la principale, mais non la
seule richesse de notre colonie nord-améri-
caine.
Dans un rapport fort intéressant, M. Gra-
Aménagement du port de St-Pierre.
La digue de la Pointe.
tien t'andace énumérait naguère les autres
espèce de poissons, les crustacés, les sous-
produits qui pouvaient faire l'objet d'un
commerce et d'une industrie lucratifs.
« Il est bon de remarquer, écrivait-il, que
la morue n'est pas le seul poisson que l'on
rencontre autour de Saint-Pierre et Mique-
lon. Bien que sa pêche ait été, jusqu'à ces
dernières années, pratiquée à l'exclusion de
toute autre, tant par l'armement métropoli-
tain que par l'armement local, il ne s'ensuit
pas qu'elle soit la seule possible. J'irai même
plus loin et je dirai qu'elle doit cesser d'être
L'Ile aux Chiens
l'unique ressource des îles, dont l'avenir ne
peut être subordonné à ses fluctuations.
« L'églefin ou ânon (le haddock des An-
glais), le colin ou charbonnier, le flétan et
le balai ou faux flétan, le hareng, le capelan
notamment, qui abondent autour de l'île,
pourraient alimenter une industrie nouvelle,
flétan congelé ou fumé, haddock, hareng salé
ou saur, filets de harengs, capelans salés ou
congelés, rogues et huile de hareng ou de
foie de hareng, etc... »
Et le distingué député étudiait ensuite en
détail ces diverses espèces marines, ainsi que
leurs sous-produits et indiquait à leur sujet
comme on va le voir des méthodes pratiques
d'utilisation.
L'Eglefin (haddock). — L'églefin ou ânon,
de la même famille que la morue, ne fournit
qu'un poisson salé de qualité inférieure;
mais, séché et fumé, il est extrêmement ap-
précié en Angleterre et aux Etats-Unis, où
il s'en fait une consommation considérable.
Le goût s'en est répandu en France et Paris
en reçoit chaque semaine 3.000 kilos, de
novembre à avril. La préparation du haddock
est fort simple: le poisson, fendu tout le
long de la face ventrale, est vidé à la brosse
dure. Après un court séjour dans une sau-
mure, à laquelle est ajouté un liquide colo-
rant, il passe dans la chambre de fumage
où, après être resté quelques heures à sécher,
il est fumé pendant 12 à 18 heures avec de
la sciure de bois dur. La saison du haddock
va d'octobre à avril. L'églefin ainsi préparé
rencontrerait le plus grand succès ; on pour-
rait également envisager la fabrication des
filets de petits haddocks ou « finnan had-
dies » très demandés sur le marché améri-
cain. Il importerait que des essais soient
entrepris sans retard.
Le Colin. — Le commerce de ce poisson
a commencé en 1927 à prendre quelque ex-
tension. A la fin d'août 1926, il en avait été
expédié 220.864 kilos, dont 131.700 aux An-
tilles françaises et 89.154 au Canada.
Le Flétan et le Balai. — Le flétan, peu
répandu en France, plus connu en Angle-
terre et plus encore aux Etats-Unis, est un
énorme poisson plat, blanc sous le ventre,
gris vert sur le dos, de la famille des pleu-
ronectes et qui peut atteindre des tailles con-
sidérables. Il n'est pas rare de voir des flé-
tans de 2 m. 50 et plus, dont le poids dé-
passe 200 kilos. Sa chair est excellente.
Le flétan qui n'est pas consommé à l'état
frais est fumé sous forme de morceaux tail-
lés en cubes et fait prime sur les marchés des
Etats-Unis et du Canada.
La pêche se fait au moyen de lignes de
fonds, boëttées avec du hareng, que vont
mouiller des bateaux de pêche, des voiliers
et même de grands vapeurs. Elle pourrait
être exercée, dans les mêmes conditions, par
de petits cordiers armant à Saint-Pierre. Le
poisson serait soit conservé dans le frigori-
fique, en vue de sa vente au Canada, soit
fumé. Cette opération dure deux à cinq
jours.
Le flétan est de bonne conservation. Si
l'opération de fumage a été bien conduite, il
peut se garder six et huit mois communé.
ment. Il serait en outre possible, après pré-
paration, de le mettre en boîtes en vue de sa
consommation en France, où il pourrait rem-
placer avantageusement les conserves de sau-
mon de Terre-Neuve ou du Canada.
Bien que le marché du f.étan ne tienne pas
à Saint-Pierre la place qu'il devrait occu-
per, il est particulièrement agréable de cons-
tater le développement du mouvement des
exportations concernant ce poisson.
En 1921, le chiffre des exportations
n accusait que 2 .799 kilos.
En 1922, il atteignait 10.726 —
En 1923 — 10.754 —
En 1924 — II. -741 —
En 1925 — ...... 20.803 —
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Si l'industrialisation de la pêche, c'est-a.
dire l'emploi de chalutiers à vapeur se rlé-
plaçant facilement, au lieu de voiliers, en-
traîne l'aménagement et l'outillage du port
de Saint-Pierre, entrepris sur l'insistance et
les affirmations des armateurs, celle de la
conservation du poisson doit entraîner la
création de plusieurs industries connexes sus-
ceptibles d'utiliser les déchets pour la fabri-
cation, soit d'huiles et de poudre de poisson,
soit encore de gélatine et de colle.
Un frigorifique construit par l'Etat fran
çais, au cours de la guerre 1914-1918, a été
exploité à l'origine par la Compagnie Fran- ,
co-Canadienne des Pêches et Frigorifiques.
Il a été concédé, dès le début de l'année
1928, à la Société Lorientaise de chalutag?
qui le remet en état et l'aménage en vu:
de la préparation des divers poissons et de
l'utilisation de leurs déchets.
L'industrie morutière
La morue, richesse alimentaire inépuisa-
sable ! En effet, malgré le chiffre formida-
ble de victimes qu'enregistre chaque campa-
gne de pêche, le nombre de morues ne dimi-
nue pas en raison de la prodigieuse fécon-
dité des femelles qui peuvent, chacune, pro-
duire jusqu'à neuf millions d'oeufs.
Très rapprochées du Banc de Saint-Pierre
et du Banquereau, situées à 48 heures du
Grand Banc, les îles Saint-Pierre et Mique-
lon constituent un point de concentration
extrêmement précieux pour les pêcheurs.
Aussitôt pêchée, la morue est ouverte,
vidée, on lui tranche la tête, les déchets
sont jetés à la mer et on ne conserve que les
foies et les rogues ou œufs.
Lorsqu'elle a été complètement débarrassée
de tout le sang qu'elle peut contenir, elle est
livrée au saleur qui répartit le sel de ma-
nière à en saturer surtout les parties char-
nues. Une fois salée, la morue est disposée
en tas, dans cet état, elle prend le nom de
morue verte.
Une grande partie des morues ainsi pré-
parées subit à Saint-Pierre même l'opération
du séchage en vue de laquelle, après avoir
fait l'objet d'un lavage préalable pour les
débarrasser du sel qui les imprègne, les mo-
rues sont exposées sur les graves, vastes
étendues de pierres et de galets, en choisis-
sant un jour où le soleil se montre assez
chaud sans être trop vif et se trouve tempéré
par une brise fraîche. Mais, ces deux con-
ditions n'étant pas aisément réalisables, on
est arrivé à rechercher un mode de séchage ar-
tificiel présentant moins d'aléas et pouvant
être employé en toute saison.A l'heure actuelle
la plupart des maisons d'armement possè-
dent, à côté de leurs graves, des séchoirs
dans lesquels sont préparées les morues sè-
ches dont l'expédition se fait directement de
Saint-Pierre même sur les lieux de consom-
mation.
Plusieurs entreprises d'armement ayant
leur siège dans la Métropole importent la
morue verte en France pour la réexporter
ensuite après lui avoir fait subir la prépara-
tion du séchage.
Les foies mis à part, à bord des bateaux,
pendant les opérations du dépeçage de la
morue, fournissent une huile noire qui ne
peut guère servir qu'à la tannerie.
Les huiles blondes qui offrent la trans-
parence de l'ambre clair et trouvent leur
emploi en pharmacie, sont préparées à^ terre
avec le plus grand soin et seuls, les foies de
morues pêchées le jour même, entrent dans
leur fabrication ; d'ailleurs, il est avéré que
les huiles de foie de morue provenant de
Saint-Pierre ont une supériorité incontesta-
ble sur les produits analogues.
Les rogues ou œufs de morue sont expé-
diés en France pour servir d'appât aux pê-
cheurs de sardine.
St-Pierre. Quai et Place de la Roncière.
Les langues (le morues et les adhérences
du has de la mâchoire sont considérées
comme un mets de choix.
Les pêcheurs ne laissent pas d'en être eux-
mêmes friands.
Autres richesses
La morue est la principale, mais non la
seule richesse de notre colonie nord-améri-
caine.
Dans un rapport fort intéressant, M. Gra-
Aménagement du port de St-Pierre.
La digue de la Pointe.
tien t'andace énumérait naguère les autres
espèce de poissons, les crustacés, les sous-
produits qui pouvaient faire l'objet d'un
commerce et d'une industrie lucratifs.
« Il est bon de remarquer, écrivait-il, que
la morue n'est pas le seul poisson que l'on
rencontre autour de Saint-Pierre et Mique-
lon. Bien que sa pêche ait été, jusqu'à ces
dernières années, pratiquée à l'exclusion de
toute autre, tant par l'armement métropoli-
tain que par l'armement local, il ne s'ensuit
pas qu'elle soit la seule possible. J'irai même
plus loin et je dirai qu'elle doit cesser d'être
L'Ile aux Chiens
l'unique ressource des îles, dont l'avenir ne
peut être subordonné à ses fluctuations.
« L'églefin ou ânon (le haddock des An-
glais), le colin ou charbonnier, le flétan et
le balai ou faux flétan, le hareng, le capelan
notamment, qui abondent autour de l'île,
pourraient alimenter une industrie nouvelle,
flétan congelé ou fumé, haddock, hareng salé
ou saur, filets de harengs, capelans salés ou
congelés, rogues et huile de hareng ou de
foie de hareng, etc... »
Et le distingué député étudiait ensuite en
détail ces diverses espèces marines, ainsi que
leurs sous-produits et indiquait à leur sujet
comme on va le voir des méthodes pratiques
d'utilisation.
L'Eglefin (haddock). — L'églefin ou ânon,
de la même famille que la morue, ne fournit
qu'un poisson salé de qualité inférieure;
mais, séché et fumé, il est extrêmement ap-
précié en Angleterre et aux Etats-Unis, où
il s'en fait une consommation considérable.
Le goût s'en est répandu en France et Paris
en reçoit chaque semaine 3.000 kilos, de
novembre à avril. La préparation du haddock
est fort simple: le poisson, fendu tout le
long de la face ventrale, est vidé à la brosse
dure. Après un court séjour dans une sau-
mure, à laquelle est ajouté un liquide colo-
rant, il passe dans la chambre de fumage
où, après être resté quelques heures à sécher,
il est fumé pendant 12 à 18 heures avec de
la sciure de bois dur. La saison du haddock
va d'octobre à avril. L'églefin ainsi préparé
rencontrerait le plus grand succès ; on pour-
rait également envisager la fabrication des
filets de petits haddocks ou « finnan had-
dies » très demandés sur le marché améri-
cain. Il importerait que des essais soient
entrepris sans retard.
Le Colin. — Le commerce de ce poisson
a commencé en 1927 à prendre quelque ex-
tension. A la fin d'août 1926, il en avait été
expédié 220.864 kilos, dont 131.700 aux An-
tilles françaises et 89.154 au Canada.
Le Flétan et le Balai. — Le flétan, peu
répandu en France, plus connu en Angle-
terre et plus encore aux Etats-Unis, est un
énorme poisson plat, blanc sous le ventre,
gris vert sur le dos, de la famille des pleu-
ronectes et qui peut atteindre des tailles con-
sidérables. Il n'est pas rare de voir des flé-
tans de 2 m. 50 et plus, dont le poids dé-
passe 200 kilos. Sa chair est excellente.
Le flétan qui n'est pas consommé à l'état
frais est fumé sous forme de morceaux tail-
lés en cubes et fait prime sur les marchés des
Etats-Unis et du Canada.
La pêche se fait au moyen de lignes de
fonds, boëttées avec du hareng, que vont
mouiller des bateaux de pêche, des voiliers
et même de grands vapeurs. Elle pourrait
être exercée, dans les mêmes conditions, par
de petits cordiers armant à Saint-Pierre. Le
poisson serait soit conservé dans le frigori-
fique, en vue de sa vente au Canada, soit
fumé. Cette opération dure deux à cinq
jours.
Le flétan est de bonne conservation. Si
l'opération de fumage a été bien conduite, il
peut se garder six et huit mois communé.
ment. Il serait en outre possible, après pré-
paration, de le mettre en boîtes en vue de sa
consommation en France, où il pourrait rem-
placer avantageusement les conserves de sau-
mon de Terre-Neuve ou du Canada.
Bien que le marché du f.étan ne tienne pas
à Saint-Pierre la place qu'il devrait occu-
per, il est particulièrement agréable de cons-
tater le développement du mouvement des
exportations concernant ce poisson.
En 1921, le chiffre des exportations
n accusait que 2 .799 kilos.
En 1922, il atteignait 10.726 —
En 1923 — 10.754 —
En 1924 — II. -741 —
En 1925 — ...... 20.803 —
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