Titre : Les Annales coloniales : organe de la "France coloniale moderne" / directeur : Marcel Ruedel
Auteur : France coloniale moderne. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1927-01-03
Contributeur : Ruedel, Marcel. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32693410p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 03 janvier 1927 03 janvier 1927
Description : 1927/01/03 (A28,N1). 1927/01/03 (A28,N1).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone... Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique
Description : Collection numérique : Thème : L'histoire partagée Collection numérique : Thème : L'histoire partagée
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Collection numérique : Protectorats et mandat... Collection numérique : Protectorats et mandat français
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6450997z
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-LC12-252
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 22/10/2013
VINGT-HUITIEME ANNEE. - N° )
12 NUMERO : 30 rENTiMP.*
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Les Annales Coloniales
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Woolu - - tfO. Si > a à
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bom WA *" mm« de fflw.
Que Varenne se méfie!
-̃-- tu--
S'il est 1111 homme politique qui a fait
couier cit;s flots (j'oocre, ces teuipç derniers,
*'est, sans conteste, le Gouverneur Générai
.de l'Indochine. u(;iit (,'jén6.ral
Connue premier avntar, il fui traduit à la
barre socialiste et bouté hors du Parti, sans
application de la loi de pursis.
Ce débar^v.imeiii - feint opéré, il .s'em.
berque pour un pays tout nouveau pour lui,
où l'action gouvernementale n'est pas des
plus faciles. Il va se trouver en relation
avec ces. coloniaux, pour la plupart desquels
les indigènes sont des SHres inférieurs, tail-
lables et corvéables à merci.
Beaucoup plus près du ii,,us, à Alger-h-
Blaru'hc, il m'est arrivé d'eu faire l'expé-
rience.
Nous étions 11 bas. un certain nombre de
parlementaires, accompagnant Guibt hau,
alors ministre de la Alarme. Une association
bretonne nous demanda d'.tsstster à une ré-
ception oii chacun de nous fut prié de don-
ner ses impressions.
J'indiquai lie 1 t avr*; touft , la
(discrétion possMile cependant, combien j cutis
v étonné de voii deux civilisations se perpé-
tuer l'une à coté de l'autre, sans s'enche-
êtrcr. U paraît que j avais «t soin » une
nf)rmité-. Or ne nie î envoya pas dite, dos
flue le ministre fut hors ùe. portée.
* Ou ne fi" avait pas invité pou r (tonnrt
des conseils, j: ne evwmaissais rien à la si-
tuation, j'éta'3 un mauvais Français, mes
paroles étaient une provocation à la révolte,
eu meurtre de nos nationaux, à l'incendia,
au pillage, etc.
Polir un homme lidèle à ses idée,;, gou-
verner en Indochine est encore plus difficub
tl/CUX que d'administrer en Algérie. Là-bus
tout est bon pout « avoir. l'intrus.
A Saigon éclosent, comme pot enchantr-
ment des groupements socialistes, des ru-
mités radicaux, des loges maçonniques, du
sections de la Ligue des Droits de l'Homme,
vans lien aucun, comme bien l'on pense,
axefj les organismes européens co rie spot
liants, De tout cela, monpourrait, s'il le voulait, nous enseigner la
manière de b cn servir.
Malgré la mentalité de là-bas, malgré let:
traquenards tendus sous ses pas, Va renne a
Les
Les réformes qu'il a pouisui-
viei ou rtia1) au cours da son pfemier
stfjotii ont pour vut de satisfaire aux légi-
dmès satisfacturtu; des indigènes 11 a estimé
qlgré les oppouitions rencontrées. que la
Twttfa ration d" Dt'Ottft d? l'Homme et du
.itoyt."ft » était un auicle d'exportation. Il a
comprit que c'est en leur accordant les
égards qui leur sont dus, en respectant leur
"Idignité d'hommes, qu'il ferait accepter loya-
lement nota présence, aux populations indo-
chinoises.
A égalité de mtHte, égalité d'égards, de
utuanon, de traitement. pour les deux races,
..t-ÍI posé en principe.
La contrainte par corps, vestige de l'escla-
», appliquée jadis en plein arbitraire, a
supprimée en fait et c est mie grande
chose, au point de vue moral.
Le contrôle de la presse, an langue du
pays s'achemine vers le régime de la liberté,
,
là où régnait la plus lt S censures.
La crédit agricole a été développa et mis
À la disposition des cultivateurs modestes,
alors qu'il était l'apanage de forbans dont
les bénéfices énormes proviennent de l'usure
plutôt que de la cultme.
Les concessions ont été réglementées, La
législation du travail (accidents compris)
ya être appliquée.
Pour les fonctions publiques -– corps po-
litique tics administrateurs et magistrats
excepté - les Annamites, munis des mêmes
diplômes que les Français, sont nommés
dans les mêmes conditions aux mêmes em-
plois que les François.
L'enseignement complètement réorganisé
va permettre aux indigènes d'acquérir, sans
'déplacement, les grades universitaires et par-
eht'min divers qu'ils n'obtenaient jadis
qu'après des études faites dans les établis-
sements de la Métropole.
Et, si je suis bien renseigné, comme ca-
deau de ¡'r janvier, le service militaire en
Indochine sera réduit d'une année, en atten-
dant mieux, car la-bas, hélas ! on en est
encore au service de quatre mis, ce qui
constitue une véritable servitude.
On ne s'étonnera plus après cette brève
et très incomplète énumération, des attaques
incessantes dont Varenne a été l'objet.
Le ministre des Colonies a été mis en de-
meure de casser aux gages ce gouverneur
humanitaire. Il faut féliciter Léon Pcvi ier
d'avoir résisté.
La commission compétente de la Chambre
des députés a été saisie des Il agissements »
du gouverneur général d'Indochine. Mon
p'ni Henry Fontauier a raconté, ici même,
en termes excellents, avec, quel brio Varenne
a obtenu un vote unanime de confiance,
après avoir confondu ses accusateurs.
Mais les requins ne désarment pas faci-
lement. Démasqués devant les populations
indigènes, rabroués par le ministre, battus
en brèche par la commission des colonies,
ils ont imaginé un dernier stratagème -- le
dernier en date, naturellement.
Ils ont trouvé intelligent de faire depesev
par leurs alliés du Sénat, de faire soutenir
par les pires réactionnaires vie la Chambre,
au cours de la discussion de la loi des Fi.
nances, nn certain aiticie 47 gttittguics où
il était dit : « Les mandats de sénateur et
i de député sont incompatibles avec tous les
« autres emplois ou fonctions rétribuées peU
« l'Etat. »
Ce qui signifie en langage, courant : # Va-
« renne et Violletîe ayant des tètes qui ne
« nous reviennent pas, nous les destituons
« de leurs fonctions. »
Varenne n'est pas au bout de son œuvre,
ni sans doute de ses épreuves, mais le tra-
vail accompli avec une auvergnate ténacité
force déjà ses udversaiies eux-mêmes à la
sympathie.
Qu'il se mélie! Encore quelques actes de
bienveillante équité en faveur de ses admi-
nistrés et lsuai au nom du Puy-de-Doine,
Blum en notre nom à tous, le réintégrer ont
d'ofîice dans le Parti socialiste,
E. Goude.
DCyitic du J. ft,;stt'lt!
Membre d,t (a Comnmnnm
des (alouies
Et nous ?
0-0–
D'après un article de VEt^hm» Standard^
Londres pourra sou.5 peu Jlader, pa» T.S.F.,
ai ec ses dominions et ses "IJorllC!j d'outre-
mer.
On commencer;» par l'Afrique du Sud,
l'Australie et le Canada. Les Inde* et l'Acu(-
rique du Sud ue sort pas prévue*, poui le
moment. Le cuùt. vJ'unc conversation sera
moins élevé que le;, prix fixé, pevu l.::'-::!.:'':
et \cvv-Y"rk.
A-t-')n bien mesuré, clnv DOU, l'impur-
tance du rapprochement qt;e. pourrai», ame-
ner la T. S. F, cn're la Kiame et ses pM-
sessions lointaines i'
Point n'est besoin avantages pratiques des communications
« parlée» Il. Mais celles-d auraient d'autres
conséquences miH.'mcnt négligeables.
Tout ce que nous puuvons souh.titt"r pour
le moment, c'est, au moins entre la métro-
pole .;t l'Afrique, l'éehange de con\'cr!'atjr,D
\>{Jir-i f'll cs. Mais uu temps viendra certaine-
ment où les ondes merveilleuses entreront pu
service de* conversations privées, d'oreb -
commercial et même sentimental.
Ne pcut-01, à cr, propos, o.-«-r pat .Wtl(..T.
padon, l'image oV-i cimrni ait d'impondé-
rables et qui n'en oiair pas moin- liclt'?
L'AVIATION COLONIALE
_()oG--'M"
Ce Croyilm aux Indes
L'avion tri-molriii « bord duquel *ir Sa-
muel Iloare, miniatie de 1 se
rend aux tndctt, est arrivé duns ( '! '.:; vdlo
hier ù 15 heures.
Nuppelors que sir S/nrue) Koare ill".l)mpp,
,:nl' de sa femme. Iwl.v Mn". lionre, du nu-
réclinl de "Air Salîîiond. ooiuiuhnd tn' ).v •-
Itou aux In les, de son se'rét>iir a ermite 1 on*
dres le 27 décembre, a bnipor Uernard.
Il a lait successivement escale h Dijon MA,
selHe, PJse, Nflples, Malle, Itmn:" Boni/Vavl.
Solh.in, Aboukir el l.)arna*.
A Bugdud. Il a retrouvé sii, Sefton Brancker
directeur de l'r.vlation civile hriianT.«tt.t(\ qui
avait ]irécédé !•> niinistre de tlll'IQIIP. jours.
L'avion d'avanl-uarde a atteint Karochi.
Khartoum-Kisumu
L'hydravion britannmuc qui devnit Innn-
gM'er le nouvenu servi ie uérien tMilro Kar-
tiionni e! Kisumu a été sérieusrmcnl erioorn-
rnriaé pondunl une .sortie d'essais sur le N'il
T'ii-u.
De Zurich au Cap
L'uvialrtir suisse M'Meiliol/.e • q«ii était ar-
rivé à Dongnla a poursuivi sfoi vovage on
direction tb; Karl-iicnm.
Paris, Dakar-Bucnos-Ayrps Panama
Ne w-York-Pa ris
Celle .fornnluniélres o.i: étapes de i- ;vi ;>'KX* kilométi r^
inart|ueiM,ii. tilie n* uvcUe étapr
progrès de l'-v, 1;ĩ i.;! 1 !,i précédente ̃•viiu!
élé je a" i i cl do PHIi-lier dl^isy et de liesin,
pmcourant A toute vU^sso, e,n l!)r?/i, te ehc-
mm tk» Paris ii <..!mmdi;u.
l^^ux équipages é|.u mis à l'attention de la direction générale
do l'aéi-onnutique. L'un d'eux si» eonï|iese
du liouienavil ('.ou,donirt, pilote an oi° cégi-
nu-Mit rl • i v i i 11 i < 11 du lîourgct et du sergent
pilole TeiTuaier, «lu n.ernc régiment.
I cm vérilaléo e.oncours de In traversée di-
îvele d( •l'Alluritique aura lieu celte, anné.-.
car I ran<:,nis. Américains, Aillomands, 11 a -
hmis ol.ri £ 5l,ais s'y préparent.
^11» - ̃ ̃ -
A la Banque de Madagascar
La Barbue do Madagascar créée en lévrier
1926 a ouvert, dans le courant île l'année, une
succursale a Tananarivc et six agences dans les
localités suivantes : Tamalave, Majunga, Dié-
go-Suare/, Noysi-Bé, Mananjary et Fianarant-
soa.
De ce lait, elle a satisfait aux obligations
qui lui étaient imparties par l'article 4 de la
Convention annexée à la loi du 22 décembre
1025.
Par ailleurs, la Banque de Madagascar a
déjà mis en circulation 150 millions cle Ivllcts
Cette Société entre Jox dans sa phase active,
la période d'installation étant terminée.
M. H. S.,ucin, président du Conseil d'admi-
nistration, se trouve, à PIicutc actuelle, dan*
la Grande-!!.-: po\ii mettre la dernière main à
l'organisation 1c la Banoue
--- - - -. --------,., --, -.--'--------"
Le sucre de ln Réunion
, u-'i --
Au 1 'le1.niôre sem.one, lcc na-
vire? l'rainat- ,;tr,ng'c! ntres dan< les
ports de Maiv iK. ont reporté un tot.it de
05^ ki'os de ucre, doi'o 1.141.544. kilos
de la. Ké-ntion
A, 1. Hfillew
-–o-o
1 m a Vf : hier ;in\ lînllcs Centride-; uni hat.v-e
»te i?ri 40 rrnitc-i par cent «uc le.^ ar'Iehnuts
(l'Alger.
La révision des mandats coloniaux
-- ---
Je reviens à Varttclc fÊgmm ver, qui montrait les rcvendica
* • tiom simultanées, cf. a py ut ait
tonpere atlgltlis, également fonder s des lin
liens et des Allrmaflds, eu vue d'une atlri
du/ion itouitellc de mandats colcutaux. h. v i-
lement fondéesî Non, disent les AlLn»wds.
Non, répètent les Italiens. Il ('! évtdeut '1,'.('
ceux-ci et ceux-là font suivre cette nê^rthi
d'arguments opposés.
'Obtrvcr nous imitait. après I(MI d'of:
1res, il distinguer entre la politique ?w/>4.
de M. Mussolini et Sel poi.it t^ur réelle. So
mentir, si It-à actes du dictateur se ra/)1>'"
taient à son lainage, et même à ton pin ma
il y a longtemps que les choses se scto/n :
gâtées. Mais, eu définitive, M. Mu^soltm,
quand il ne prononce pas de 'nvongu. >. est
prudent >:t modéré. Il <1 ,,,¡,,,,' un ré il wail,
a endiguer l'ardeur intempérante des eusse
ccu du fascisme. L 'Ober\'ér l'en f/lutl", d
n "pelle à ceux-ci qu'aucun pays n'est nuic
sotis prétexte qu'il a otaucoup d' en-
tants, *\ se ruer sur ce qui ne lui appartint
pas, Il .1jOUf( même, du point de vue philo-
sophique, que la ttiese qui soutient la néces-
sité de mettre une limite à un lapitttsme dé-
mesuré est aussi valabl: que celle qui sou-
tient ICI légitimité des annexions forcées duns
le eus d'une race prolifique ci l'excès.
M. Mussc^ini se contente de montrer :/It'
Ifs débauché* coloniaux sont indispensables
à l Italie. Il le répétait dans h, propos 'lM
ont été publiés par la Chicago Tribune : te
peuple italien a besoin deplus que VAllemagne J Lit n'est pas le pro-
blème, et le Tevere le posatl ainsi en toute
franchise :
fi Cette question dis mandats a été plu-
sieurs f-ois affrontée par ta presse euro-
péenne; -n part'ctd.i r. depuis que l A!lungne a continence ,) • ecUtwer la n onstttui;on
de son t mpri t v a un droti de
priorité qu: descen i de la victoire, < > qu'on
pourra pas oublie., /uc l'Italie ne lais-
'il ,Y,! y\<% fildiẽ • Ifa repense a l'ar-
gtiincH' par leqinl les Allemands prétendent
qu'il tu peut s'agir de vainqueurs ou de
t er.nciK, et que cette distinction est abolie des
qu'un Li"f PlI IId sa pTace dan* la Sor-rtê
des Xoln ns. Assurément, il n'est plus s,",ml
de pirL r de vaincus et de vainqueurs, mats
.;eia ne signifie nullement que tout le passe
soit aboli, et que rien ne doive plus compte*
des sa< ri lices innombrables et doutounux
,o/l)('llfis pour assurer la victoire, a H y « un
irait de priorité qui descend de ICI victoire. »
.v,ti ne saurait le coniesti-r. Eli, ",tfil -.,,,.';, i':
ne refuse pas de le tendre un bras seccnrable
tuais laisse moi d'abord assurer ,n,l :- of>re
existence, ma propre sécurité, en ¡¡.i!o;,drPI:
mieux. Un vainqueur qui. tient '( iany
! ne poivrait Hre accusé d'aveir le itt< n>;<. u
insolent.
Priorité, nos ont»s ot>, raiSotr. Il< t-u* ,.,.:
quand- ils n'ptcehent ô ta presse /I..l,\,"':,\f
cl avoir déclaré que nous cO/Uprentons /c
les Italiens réclimen! de: mandats eidomi: ̃
mais de n'tr'oi»- pas ajoute quels ,;:,':(/
il serait bon de leur Otlroyer..< Quand fallu donner un nom géogrnfhtqui al'x dé
bouchés qui lè^itimciveni r. v-endraH ni à
l'/ta'ie, la presse française -• rt t'e 'vt elh
a du¡, t. que (/ t S tr f certdtllt/IICIII pal
iam f gâteau français qu'on taillerait une
par. .',(.Y/; Italie. • Ce n'est pas justi.
> en. mes nombreux qui ne 110US somme*
/ICI' "»v. et si ce n'est pas notre rôle de donner
i>. -tu géographique aux débouchés qui lé-
l'l, t".,..-tn:'lIt reviendrait ut à l'Italie, nous
̃' '; en toute tmpartialité, examiné le-tt
i*--t '̃ quelques solutions possible-, sonr même
.,.JS" le principe que la paît devait e'tr.'
- lilee tans d'autres gâteaux que le Ilôt".
i pourtant. rOJ/ tire n'est-ce pas nous qui
1: on> tu en /Jur/tlf'-- Il more eau oÙ -''; trouvait
la f;'f)(.
« 1rs voi,\ autorisas n' ont ¡., :' nnmqiu
pour conseille* à la l ranee offtculle de se
dit die d'un mandat onéreux cemnu celui
d* a Syrie. fi Nous avons écrit. tomme ¡oui
•i''ntrCi, que l'attribution fh) /na/.daf; d
peu lait non pas de la l o/tee, non pa -
l'une puissance affiliée à la Société de.
A niions, tuais de Ici Soc/etc dec Nations elle
iii/fi/t', qui a d'une part fa mission de dis
t'tbitir les mandats ti. de l'autre, c> lie d,
( ontrôler la façon dont il) sont exercés. Ji
suis de ceux qui ut se sont pas refuses ti
étudier l'hypothèse dans laquelle la Soeic't
des ValimlJ, si la Franee lui restituait sou
mandat de Syrie. /'attribuerait a nos - o.'-
: in>.
e h>' peut demander : conviendrait 1,' 1,
i'Italre d'accepter un aussi piète héritage
f.'Italie a non seulement le droit de résou-
'¡'. le problème de son émigred>e>n, mats de
l' résoudre btCII, » Fur or e un droit que nul
::,' lut conteste, et IIOtls moins que personne.
Jv i'e mandai > i .;c/< est un piètre hérttag -
pour :'/fa',:,', ,t <'il était Ici bonne affaire
1 .'w 'ilU'", peut-être cela arrangerait
A , l, 'J t'\ , ,
,!/<>.•.< '̃ a ri o m <1 •;C,ts> tne."f. A rV. roulons
t(7,b" tvao ftj/it. > : nf 'r: \U> -
lil., (! , nous ,,' !.'I ons fas\> r o- ,r-;t ! Al/
gîte, s écn.t.t 'l.' lfahin*. (h p 1/1,. 'l' ,,:0
lui 'e > uj répondre i-'i, tu" fou.-- '• s
,1'-11 ,t ,-("1,', \,,' t,.', 1).., \¡,,/, l'il ¡¡"
ileux e>- tcnP'l, : v..- , v* p, r,t .-> < •/
r fi, l datts ,:,' 1 1 ls gd* (1: l, , : f-iudte :'
1er p, ut (tue >< > d< u\ ••//• tn.% soient ,)","','H (
la fo-s. Situ.)-, .i ,'1 '(i'i ",,' >aisonnat>l.
One t Allemands «/.•'< <:•(- « Messit urs
Íc'{ h "lu us. tire: les l'¡t,,,;, 1" »
L'( «server etrf isageait hardiw < ;( H
it vpot '/es' s
* i>:t bien une vaste cv. *>e p rtifh' t a
y/talii cOmrnt à /M U( ne s em parer
d un large terrain de. colonisation, soit >.n
Asie. >.f. dans VAmérique du Std,
On le Come'l de G* nèce a obhg-'
*. ; dêp. yer la carte 4'Afrique et d'exami-
ner si, s i'is atpcl auv armes, on pourrait
ccco'de< dn débouché, eeloiranx a l'Aile-
mai ti' c'! à l'Italie, coopération de
VAngleterre, de la France, la Bel^ijue
e! ,f,'f /,(".tllf.:rt : fi II. fouira étudier dt i.'- o
̃̃eaux s y*t mes de mandats et de baux, ahis'
r. < pr, te niions Il l'annexion natuno
S'il doit y avoir nw
':<̃!! ̃ ., <>tt,-;ne de règlement part j 1.7,1t. >•
M t , v/ ̃ tint a.'ttie histone.
Mario Roaëtan,
' /Vfflett, anrien ministre.
!a Cnmrnl.Klim
¡¡"fI/LIM'ÍIIl", iïsa Colonie*.
Pour les Français noirs
M. ri'iitiei 1 C.alic;ie dép:i!é de i'!. t.u -'.lc-
loii| voudenil ressus, ;| ,*r J:(.'rfl" i- eue"-
en inviMir des noirs \eon-- .cm If r ''u Ira-
vail eri l-'rnnee. un 01 g-.uiii-nn > ̃ ̃ i1 • • 1 i » î o .'1
ee «i Loyer eoloni»ii qui rei^l:1 • « 1 x 'Ddi-
g.'iics, pendonl ln. guen .• <î" ::i< out'^tai.'li.-H
hei'vices cl qui u disparu ap.- >s 1' ; 1 r • » ; 1 s 1 ; < 1..
Interviewé n ce sujel. par îvére » n
M. Areliajo'bauii. d iJ'ii is-Soii. M. C n :a a fait. îiiiiamnirn!, Ir's néeln*vo; >n.s puivan-
t oh :
Oiiniih ii j'en ni re 'U <1 •-̃c- 111 ts- rut;i- - 'I.
i < "te
vie iverntenient •> avait fait traverser i -
pour venir siivir it ruris Il faut qe.ilt''
exploitation cesse. It fan' 0.110, dans eha n i -i
levuie. ou «:rêe un hu-emi le. renseimunneir̃- l,j'.
lise qui ne dirigerait s\tr ln l;run< >x It-- j,
aptes à. s'y unie, une Me honorable t;l. sur.- l.x
renom nièine de fays y est inK-ro.-^
Ces gens son. na^nn.r veno- Il.)\.:-; dre. f'.e 11 * • ̃ t h 11 pa- leur sol uni 'tait '-n p> r:t, Jl¡-;
pouvaient demeurer eh07, eux, 1.1 fond 1. b urs
fori't.s triimpiilles. In>nuiies tni-'es .pi" eus;>eHt
indifférents les tracas des civin-.Çept nu:ini.
ils sont venus, ils ont e\))0Sé leur vie; il-.
•oulferl pour protéger ette terre qui n'élaii pac
la ieur; ils se sont tmtt is. pas 1 cop mal. I.a-des-
sus, ou leur a parlé de fraternité, de reconnais-
sance éternelle: on leur a. lent promis.
'I (jne iMir donne-t-on des c-jups. « Sale ne-
are > pur-ei, « salo.'négre » par-la, voila ce ipi'ils
"iitel 11 leii'. Conaue c'est tnaiirt ! lis n'ont pas,
tes pauvres petits, vingt si'VIc? de civilisation
derrière
c Et puis, ce sont des faiblis.
« F,t. e.nltn, la Kra-in'o leur avait donne d' dle-|
ir.<*me une opinion si liante que la moindre désil-
lusion prenA l'importance ̃! un désastre. )
- r.a Flnnlp, a «'OMeiu M Candllt':, 11 est
heureusement nus rAuierique. 1 a France e^t Idie
tic l i Révolution. F'Ie a. lutté jadis pour c-Maocr
.lu mcngc. w ne
tant pas qu'elle mente à «-ou pa'I ,'uisi-anee iiomal' i-enr soa lioineair. pour
son ectmir, ne doit pas s'al ii r.er -< - - l "i ;> IJ
L" député de la « îuadeloupe. li.'ito i^-nous
de le nob-J il mai .'Me lo en.rac'ôl e CN- op.
lionne! des hPUhili'.és d» geste ou d" inu-
L'ape dont les noirs» (>nl, pu élro ictunes en
bianoi MiMs o\e,' : ,isc.ii. il a signalé le
fV.ngci l't'i! y aurni1 à laisser oi>s Kr.in«,:atS
de "I)ll',l' Q!'I\I'¡\!\';" leura v« ssonl ivri'mts.
i',> 1 i, e • 1. pas ie 1, a t il dit, l'^spril du
peuple, rie considérer c.oiatne n-t\e bire une
superficielle robualtori >.
Itien n'ost piuc- vioi t I nous nous asso-
cions pleinement pour uo'rc part, aux pa-
roles de M. Laminée, si pleines de justice et
d'émotion communient tve.
R. B. de Laromiguière
Les exportations
de la Côte d'Ivoire en 1925
A:, '.n'-. d F .1 e née 102; la valeur des
ona-ic di. 1 1 l'ote d'ivoire .;oUI la
r. '-v. et 1 .<:i-ev -'est -levée à 134.209.ji)J
! i, a - -j ,:')J\t',', 1 ,0.433.francs en 1024, soi:
j t : .j augmen'atiou de 17.77^01 i'ranes.
Si l'on lient • ompîc de la plus-value t->-
yultart de- exportations a d> ination de
FA O. ?.. qui n'a d'aillejrs d'intérêt «pjo
pour lo r 1,-• -î" fo'.i ; doni la raajeuie pane
v c-O. < fiti et qui CSV estimée a .0 mil-
lions -r ,\ uou. ~ïa "'lIr/¡g¡'.:-e, poui 1025, une
pUis-v.t'ue iota'-, 'ei -8 raillions ?xir Le- ré-
sultat-; de H).,.
C ci.te .iUf;i.rientalion est. due auiant à i'' ;io• 1
froissement de la valeur des produits qu'à
c: lui de- quantités expouées. Le cacao e.-i
p«H-,é de 4.29J. tonne- "n m>4 à -j.278 toii-
noï e;-! 'O^ï; i.?•• iioix de colas progressent
de 1.0'>5 tonnes -vu 19.-4 et atteignent. 2.50?
tonne- 1 n 1925- ;oS tonnes de eaoutchouc
ont été exportées eont. 210 en 1924. La j^lu
ti fili un bond de 183 Y, en passant- de :n;
tor.ne? ?i 493 tonnes en. If; 2 ),
On a constaté également une augmentaium
si nsibie huv les produits du o limier a huile.
Les amaudes de palme on» Illc\nt q. S U!:.jI1
kilos, estimés à la sorne de 't eolonie à m ne-
valeur de 20.587.963 frnïK- C- 'onnage re-
présente le cinquicn. des exportations 1..
l'A. O. F. en amande- de. palme. F'I \CF"
il avait été de 13.057 tonnes. I ;;1',\.; de
palme (le
Il)2; pour ,tJ,¡,() 1. i 1 o s .om ; e 7 ¡¡hj 304 ki-
!o« en Ki.14
Fti s'élevani à plu- de -/>; inné-, î<. -or- 1
lie? -le : oton accu sec' un excédent de 330
tonnes sur 'armée 19^-4.
Quelques 'U!nhnl.ltim;¡ ,:.(01" -'¡Ir de-,
oroduits de moindre importance pour la Côte
d'Ivoire : les peaux de Ixeufs liassent de 2^
à 50 tonnes, k - dépouilles d animaux «au-
cages vie (o à 23 'iiU'H ̃ -, >•> mais de e 64
fonnes ; Faraciude. de o à tonnes. I es tis-
«us. lc<; nattes du pays le.- pie v.. jnédica-
c^ scr.t égal, mc.r en p-;c'vicn*ad-»o
Par "onvre, il a été ".porte !•• ,\h ,il ''l'
V:>cajou contre 117.î>>- vu 19.: -:", '1;'
es de i-Hii- exotiqvu- «ommmv ••inu >
Enfin, l'exportation lu poisso • ri: n-', -pour
laquelle, est exigée, une autori-aiio'i spéciale
st tombée do. 2v) tonnes à 139 tmcv ; telle
de. l'ivoire passe de 5.4^7 & V?'1 t'i1.I"1,
Le c<>ntrft^e des produits du ru, < "éé par
arrôté du 2é mars 192.1, -1 pu vcxercer nor-
malement au tours de T025 e* a e.intribué
pour utio large part lt assurer ,m'" mei iev. e,
qualité rur produits exporté':.
Le soleil qui désalière
--0-0--
si toute la chaleur aolairo était miploy-
ebaulï.'r lo l'eau jusqu'à l'ébullilion e.t u
fa réduire eu vapeur, on cnlouJe îocileinoiU
oie, duii'S < es conditions, la quantité d'euu
nlllSl v'¡'P(jnsc, oiu'bi disfili1- e, t»« r 0 d'un
u inoinfl d'un kdogruuuiio pu iriètje
c,i! rô * 1. par heure. Ln .̃̃uniptan' ; T' une
dl)t!""} d'insolation lo de: l.t\,lre n été
délil b: sud funtsioii, on \cit que, p< ̃ dis-
t J I! i' MK> !l'n's ,l'HU pur jour-, 1: l'audru i <•
cui'illir III chali ur !ola!.! t'- ue [.• .r dix nic-
hes carrés de !a surface du r- !. C'est-»! •
dire qu'il faudra ik's nppUlr"t:} W¡:l. HU-
lHwfants i"JIS-t.jU(' iour surface minuit 1 sera
de dix mè-'r.'-- -anes.
En fait, il semble que ee rondenu-ii ne
',!;Iis() ul'e être supérieur à -4 ';,' Kn
effef, ifiii.s tnu dos meilleures uisla i.ilioos
do ce gen."- qui ait :,I é iusqu'iei n
Celle de !q ,:IL l'ouvi (' • j-lgv pb
l'appui- o donné Ui'O q;;,-in-;i'é um\inut de
v "II :":" , a oS*j ffruiuoe^ n.o la i"
c'e.sl'ù-tlji e c11v.11 u moitié lie ta '¡';,t..
fité ibéoi itun
Cet uj^iuî '.-s* formé par des ̃ bouil
leurs >•., d(s r< eipionts our-is, re- .juvcr's
de lames «le. vôtres et o 1 se vupoiiso
pan*' -c < ouclcnS"r 'UlSUill' c-on.-; finraie d' r',
tîislilié!-. l.n eti.ilour solau • < s ! onc.titi. <•
sur e s l.e-.ilK'uis put 1 intermédiaire <(«•
'•uuXh oO 'U's •cylindriques à .--eetion par-i-
boiapie a 1 fov< 1 desque-'s son' 'ilacés les
1 '-,ui11''ui'.s Iubulnir. L'inslnli,'.1 mu tp la
Sun Power C" u une .surface; <'< 1 ^'îl mf-
lios 11 r,
M. Lucien Suint, à Tunis, a Mrs au.
concours en o'PlW'dl :,,'TTIH'!t'I!',: (¡'p;;I,1 !I,
par uhlisu'ion -do 'lu chah ur sol-aii., d<
l'euu disfiUé*; iUuks les régions d.; ̃ .•
'•mpire nord-a.fricaiii où l'"m.i l etu:., lo , -t
s-oii i.Vre et très ( hntgée « ri sois d'yiiiagnc
ki- T,ll )'s b.r>:nsl's m .1: oui l^attviHr. u
sud nlgérit'u '«u 'e s'n! tumsii n coim.M^si^.l
ce fui1, auoui-l ceeenivs en q'I'!'I¡nIl ;;
tifini- but dl' : -'oé-dior.
s région- » :'ri'-f»;e,f.fl dont ri s'agit sont
(itirticnii. reta ai \'IJ'!I"(,. jxv.ir une utili- 1
sali-»;. r\- :• « 1 ; "le d" In "tmleur solaire : le
,'il:'" e -s' raient, -dl le s-ob
e'c es! ..,1 'J;' ("I'!k' par lo» n iages vue
jllllt1..I,!II, ir> à. '1 ':', d. s journées.
Kl. t "eii'.u: «'e-» ''oiiditians .oininjt é-1 ̃ réa
:j-;,-', s. ''1 il \1 «'hurles Nordui.t.nu d̃ u« t<>
A f: Ii , lorsque purloui. ''ans !̃.̃« iMaficis»
•b. s diara .d'iugcni'-ux appare 's a moteur
'obiiic iourniron' de l'eau puce aux ns-
Boili'S, or; pourra dk'e du soi I! m tî'ie.
1 l' inps du ro; poi b-p;u !:>' • •̃ < r*.1 s^bre d»- M. Prudrouim : 1 > saie-.'
.-v-f ciiit j'i tl^fendre it 1.
s' ir> à lu eonihadrc. Pareillement le so-
teii m11' proé.nit la soif ftrs •oyjg'eihrs eo-
tm'u-, i.s servi, n m Tv^Vm ft Vv ombntlre.
---- ,,-- ,.---..- .-- ---------
Le commerce cls produits
de l'cîvvagc
en Guinée frai\çaise en 1925
-,.) -(;.---
Le dénonéartmenl 015 diverse*, espèce.-, do
mestiques ea Guinée l rançaise 'ier.\jt. Il apr< !j
les (!{:mlf( rcn?x:ignei:ieiitr connus, de 4^P-- ! i4
bvruf>, ! I6.3f4 moutons, !,+..; {¡\t.;f'
L 8d 3 porc;, 2.^20 ¡-\C'"j,,\ et 4')h ânes .j'.
mu lets
Le commerce tHé-tcu, de I ci -i'a tcn^i-te
d; n le raVaillerncnt des j>* at ipau\ < n» - - ̃
lrou',('.,nt sur la i;JnC' de.i dlcrnllh ,!:- f'-r le..
1er,. Kanclin. 'Viamou, Paixda. L¡:..iki:r¡
"'-, Jllrous< a et Kankan. Il s etcud éga lemcn-
tns ia région tibér'enne
Les prit pratiqués au (ou.s Je 1()25 ont été.
pour cit i animaux moyen* : brci -.. de O() .»
750 francs : moutons. t!e u.) à ivlO franc- clié-
vrc, de >0 ?\ 50 Ira i- :1 ion oue les .umnaut
.nt été aehete< en pays <1 ,',!r'a¡:.e ou c'aïc cc;
l, j ï
1 contrées clémuTe. - de bétf.i!, comm.- 'a région
libérienne.
Pendant la même année, la colon e a exporté
,ur .Sierra Leone 1'),,156 ixfuiU et 17. ')h": mou-
lons contre I0.14H ci U.&H en I92d Cet
accroissement est de à la hausse de ia uvr0 «1er-
hng,
A Conakrv. ^61 et
vants ont été embarqués sur les ca1 eaux de pa-
ac connme orovisions de tard.
Il a. en outre, été exporté i4 7Cb peaux de
cl rt, et 171.27) cuir de bo-ui, ,,,-'),,t
123 100 peaux provenant de Ir iroioiuc : ce
v'crniei ilidire ic[>rcsente, à laison v'.e 100 kdos
de viande net > at bétm environ 1- >10.100
kilos de Mande qui ont été conhaV.itants de ln Ciuiner. I^a ptv.'ula'ion «le la
olonic étant, a.» 1' janvier l()2"n te y nul
¡ icn lJ,l:¡ïQ nabitants, la con-ocaa.ai v)", r.»;,.;»en-
ne la même ann. ••• ï t ».t de <̃
'kito:- 'J8j le
était c'e b k;i. ̃- Ph'" L.n Iran, e c.i.? e-t de
50 kilo- pji ,iit e: ;>ar haltoer;
----.-.--. '.I"-' .., .-,,- .-..,.,..
A r.iéL "r'Qtùy* du uhar f
k! v tind - Bassi. m
••i - i:t e, se i i ̃: - - c i o. w. i'1 ; ; ̃•» i
,. ,., Je. d.c .ca-.d iuv j,_ F e
i, ; • ;d : F ;,:'',:',:' ,: a .i ;,",: été - a a - -.o v
iet d a. a - d a. •• t, m p. de..-.. oe,.-. - a
de or tl .Iï dio o" a1 ix :-o.- i 1
ioai.-s du Sud, dvi.' 'i:-;,'\:','
cbligo pour 'ce'" 'a. v ,"',J"':' t-
r;.v igrition..b: tou; ; .a 1, e p ; »• •
1'111" «ie^nl4raFle.
i.'ctt • at-o:i a pr o i ;-*• <(
r i i oa bicaie. p a .'i av C te qa' r,n- j
prendre pont aaié!io: a àa:.- u c-ar-'• !
pos-ible. les moyens t..;;, •• .u :.- t oe.
a.oj^eiaent en r.de il r,,:.,.:-
i .r;\c< :i n.VM:- ̃ a l, ,!\ 1 p.i ;ei
oii.- en servi e u t ta ! .rai ̃ : ̃ da .̃--e.i
giàce, à eue o j;.i*at'oi -i.n., \)\'<\d a
'"im.tionneive ̃ • v cet nt i • o c t ranl' a
l '1H!('menî:'-.. :.. r"¡:"( 1', »!̃; uiu. Oa e •-
mdeaient •.
la !.. w ha : t l' •-
être portée i nue.llenv : j-'>.«xio te" r.-.
noa comprt » ronea^a ¡', I),,,, p.1. ,Ilii. pa;
ln
progv*"1 \1, '-1.t';\( ; 'e c.an ite.ni:'-a dont
!e .-on/ienTe cuvai; "1'\ - p. qu'\ ee j.,;.,
Nos tauieurs sur loulS les mers
«
i el est l'ardent désir qugues, uu rustre do la Marine, a exprimé le 1er
'îovci a-i ei p.vuirt te ahef s des grands se^v.ces
dr -on min.dér-,
l'aie n j-“ 'oucai '¡UTh''J:' ce diriger .'! Dé
(j.ti t "n.-;.t. a \« -"tne, a dit M. i;f;or(.!c:',
L::',';.!UI", uj • v y lté ,.t atoll effort ::;(:',:rO(}!, A
'eiuncr ne e.-, m, nias, a 'Ue'tro n Jjt un
umtvrfet F e 'Ltl -jupeneure, n entraînée P.W'
état --îu'i.|i• nos équipages ,r' les faisan'
uavigut"* ! • {'iU rcasil'U' »•» a -a auni -•••• :
sysUfine j;" I':lieu; ,:, .! 1.l1-I' 'rf':: :", nia;1 •
a tnon'rei '.-n« e' -s \¡jsib amie e s de I).¡
pie à pc-unle. 1:', couleurs sur 1. uh les mers.
Nous savons que, par la croisitlre c'e J'Aden
titiue, M Lnyues déjà montrr
qlicile mpoii an ce il .îttaehc à faire vce* oo
belles unités navale « .h;-" nos ports ,'()!.; iux;
où leur:, états major*; leurs équipages ont été
accueilli* avec cntboovae- ne.
ïOoll O u £g:(;
L»' Ci/peur (rtiin'ais Aig.a.m t'e^l ':'-/¡,(lli(
it' 'in-hior fii n ed/#> >0- IH'lavSurirez .-t;
n •'<( 'hins OU'' i/ositioa diitnirren^e
(Fur (b'p.'- fie
--..-- --,--.----------
La politique méditerranéenne
de l'Italie
---o-\)- -
\u <<./•;)>> I une- oilorva^v. ac- ji d» • •« -m
h| -n-dant à Ko)'le de ! oMtc.' u lt-tvh-
¡ :' , ! Vi.nuii M. MustJo|i'.::'"Fie i-n'i. ̃> > : i. • (!.,*o , J"., \b-dib i to-'
,Ii'
: ,,!'., le Vfedih c ,', '-'. :1\1: partout,
'a u- •=. l'ita'a- .J«sir»' ip; r-' a.aai.-- 'III'¡"
U a :'ai"o; : nie.', que -i , t'. ,C,-^e JIU
"':' • ̃ - - - dr- ; >. -.ut --ptjeU
•i e- I t'll - -, s-, iliéâ lU'! .:1, \.J'
•• a •'•• -..ù. 'es a/.-se.- rivi; ̃ n
'•• t"i-' o ;1 - ai v<-0 ('Cor • .j 1
̃ - • 1 : ; mon' •. ;. •
̃ "• • : i .;.o i .e médé •. ai en-
:. , : l *: M. a 1 t u, ̃ :• { i o!- ''a 1
̃ : ̃ ;e- a» : il' .! -ir '1 a> i :i. a.
h. • • .n..r,' une a». .a -; .': -,• i
'I' t\¡J:' ri."t,a: e
----,-- ,-- .---..----_. - ----
Le statut de Tanger
P hou." i-ax euîKMiens ont eu F< ce-
: a- -îiiti" les Ciouvcvrcmcatà Italie et
cp;-.an.! a.»ujet da Tanger
oe'oe. ccrtâmes infonnatk>u:>, l' t'" 1 :':, "tu;
n'a point accepté le statut actuei ie l ingc,
reconnaît par faite tuent les uUé.'Vô primo.
diaux de l'Angleterre, de la Vrance et y
i'Espagne, iille serait toutRfois favoiabî ̃
la demande d'annexion de 'a lùxxe.
tionab: au protectorat espagnol t;a échange
d". t agilités accordée-, à sou émigration e:
de .',\ participation uux eutreptiies de ua«
'-"'X p-Jbii"j et c--; .y.if.nlsa'ion.
.-------- ---- -.. - ----.-- ,-. -" - "- -.-.'
AU SAHAKA '-'
--- -o(--
A motocyclette
t j; : l' ..- l i r.o. t à i ( ., i,-;
i • 4 >' l' .1: n ! l -•
Il e, .1- I ,.r d- F ̃ - e. J : l u.
I • s' • - e 1 1 v a gU» • ̃' 11. ; ! 'i
j ¡, i •. ̃ • -, «-•••̃ i vé si!
l , -, ."I! •! j » oie p • • 1 n- «il ..: I'
• « e iii «'. dll oc' e 'U!' Il: :-,'1' :
1.: l' 4, ;.,,, 111 ',,¡:' '1
.! l' e - - il "';, e i. s .- ,o ̃ :
1 ! ,1 ; ̃• ! i • l, t 1. ire ,1 , :' ssu-, ,.;: i an
doi.e-
- - - - - - - –-
Les colonies à L. foire
i internationale de Lille
i ,\ ,..u"
Au uis de av an.. ,,' - , 1
L'ib n 1 t' o ie" a-.:L u.;; ,
!tu;i' !'cr\. a « re 11 a - - ,, i i e e-
! • li->-, (.oulïè.re: ,pl''! ! i. 1 1 :
̃a p.Oi- a ùe- "!i.!;. et L -
:e.-ta-i-j-'. é-a. m-n.o, e-
N -a e- a r • : - a' s
v r l' '1 ;. a' - ,t' ,, 't ; i V : *
',:" a-qu- : • a ';!
1 ; \1, - - :î V -
a. 1 t -o --. ea t
!ll\ v i V S , 11* i
Il - ( a,. a c'-
a'1 •••• , ̃ \! - e
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s. i a l a i.- ••
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l. '1' 1
Le io\iiv de Tan colonies
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Il '"îbl; p.e
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A ! • lOu-s t-r oe
- e t:c-; - ne-
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bl
lN "II! - ftt.~ Awaj
bom WA *" mm« de fflw.
Que Varenne se méfie!
-̃-- tu--
S'il est 1111 homme politique qui a fait
couier cit;s flots (j'oocre, ces teuipç derniers,
*'est, sans conteste, le Gouverneur Générai
.de l'Indochine. u(;iit (,'jén6.ral
Connue premier avntar, il fui traduit à la
barre socialiste et bouté hors du Parti, sans
application de la loi de pursis.
Ce débar^v.imeiii - feint opéré, il .s'em.
berque pour un pays tout nouveau pour lui,
où l'action gouvernementale n'est pas des
plus faciles. Il va se trouver en relation
avec ces. coloniaux, pour la plupart desquels
les indigènes sont des SHres inférieurs, tail-
lables et corvéables à merci.
Beaucoup plus près du ii,,us, à Alger-h-
Blaru'hc, il m'est arrivé d'eu faire l'expé-
rience.
Nous étions 11 bas. un certain nombre de
parlementaires, accompagnant Guibt hau,
alors ministre de la Alarme. Une association
bretonne nous demanda d'.tsstster à une ré-
ception oii chacun de nous fut prié de don-
ner ses impressions.
J'indiquai lie 1 t avr*; touft , la
(discrétion possMile cependant, combien j cutis
v étonné de voii deux civilisations se perpé-
tuer l'une à coté de l'autre, sans s'enche-
êtrcr. U paraît que j avais «t soin » une
nf)rmité-. Or ne nie î envoya pas dite, dos
flue le ministre fut hors ùe. portée.
* Ou ne fi" avait pas invité pou r (tonnrt
des conseils, j: ne evwmaissais rien à la si-
tuation, j'éta'3 un mauvais Français, mes
paroles étaient une provocation à la révolte,
eu meurtre de nos nationaux, à l'incendia,
au pillage, etc.
Polir un homme lidèle à ses idée,;, gou-
verner en Indochine est encore plus difficub
tl/CUX que d'administrer en Algérie. Là-bus
tout est bon pout « avoir. l'intrus.
A Saigon éclosent, comme pot enchantr-
ment des groupements socialistes, des ru-
mités radicaux, des loges maçonniques, du
sections de la Ligue des Droits de l'Homme,
vans lien aucun, comme bien l'on pense,
axefj les organismes européens co rie spot
liants, De tout cela, mon
manière de b cn servir.
Malgré la mentalité de là-bas, malgré let:
traquenards tendus sous ses pas, Va renne a
Les
Les réformes qu'il a pouisui-
viei ou rtia1) au cours da son pfemier
stfjotii ont pour vut de satisfaire aux légi-
dmès satisfacturtu; des indigènes 11 a estimé
qlgré les oppouitions rencontrées. que la
Twttfa ration d" Dt'Ottft d? l'Homme et du
.itoyt."ft » était un auicle d'exportation. Il a
comprit que c'est en leur accordant les
égards qui leur sont dus, en respectant leur
"Idignité d'hommes, qu'il ferait accepter loya-
lement nota présence, aux populations indo-
chinoises.
A égalité de mtHte, égalité d'égards, de
utuanon, de traitement. pour les deux races,
..t-ÍI posé en principe.
La contrainte par corps, vestige de l'escla-
», appliquée jadis en plein arbitraire, a
supprimée en fait et c est mie grande
chose, au point de vue moral.
Le contrôle de la presse, an langue du
pays s'achemine vers le régime de la liberté,
,
là où régnait la plus lt S censures.
La crédit agricole a été développa et mis
À la disposition des cultivateurs modestes,
alors qu'il était l'apanage de forbans dont
les bénéfices énormes proviennent de l'usure
plutôt que de la cultme.
Les concessions ont été réglementées, La
législation du travail (accidents compris)
ya être appliquée.
Pour les fonctions publiques -– corps po-
litique tics administrateurs et magistrats
excepté - les Annamites, munis des mêmes
diplômes que les Français, sont nommés
dans les mêmes conditions aux mêmes em-
plois que les François.
L'enseignement complètement réorganisé
va permettre aux indigènes d'acquérir, sans
'déplacement, les grades universitaires et par-
eht'min divers qu'ils n'obtenaient jadis
qu'après des études faites dans les établis-
sements de la Métropole.
Et, si je suis bien renseigné, comme ca-
deau de ¡'r janvier, le service militaire en
Indochine sera réduit d'une année, en atten-
dant mieux, car la-bas, hélas ! on en est
encore au service de quatre mis, ce qui
constitue une véritable servitude.
On ne s'étonnera plus après cette brève
et très incomplète énumération, des attaques
incessantes dont Varenne a été l'objet.
Le ministre des Colonies a été mis en de-
meure de casser aux gages ce gouverneur
humanitaire. Il faut féliciter Léon Pcvi ier
d'avoir résisté.
La commission compétente de la Chambre
des députés a été saisie des Il agissements »
du gouverneur général d'Indochine. Mon
p'ni Henry Fontauier a raconté, ici même,
en termes excellents, avec, quel brio Varenne
a obtenu un vote unanime de confiance,
après avoir confondu ses accusateurs.
Mais les requins ne désarment pas faci-
lement. Démasqués devant les populations
indigènes, rabroués par le ministre, battus
en brèche par la commission des colonies,
ils ont imaginé un dernier stratagème -- le
dernier en date, naturellement.
Ils ont trouvé intelligent de faire depesev
par leurs alliés du Sénat, de faire soutenir
par les pires réactionnaires vie la Chambre,
au cours de la discussion de la loi des Fi.
nances, nn certain aiticie 47 gttittguics où
il était dit : « Les mandats de sénateur et
i de député sont incompatibles avec tous les
« autres emplois ou fonctions rétribuées peU
« l'Etat. »
Ce qui signifie en langage, courant : # Va-
« renne et Violletîe ayant des tètes qui ne
« nous reviennent pas, nous les destituons
« de leurs fonctions. »
Varenne n'est pas au bout de son œuvre,
ni sans doute de ses épreuves, mais le tra-
vail accompli avec une auvergnate ténacité
force déjà ses udversaiies eux-mêmes à la
sympathie.
Qu'il se mélie! Encore quelques actes de
bienveillante équité en faveur de ses admi-
nistrés et lsuai au nom du Puy-de-Doine,
Blum en notre nom à tous, le réintégrer ont
d'ofîice dans le Parti socialiste,
E. Goude.
DCyitic du J. ft,;stt'lt!
Membre d,t (a Comnmnnm
des (alouies
Et nous ?
0-0–
D'après un article de VEt^hm» Standard^
Londres pourra sou.5 peu Jlader, pa» T.S.F.,
ai ec ses dominions et ses "IJorllC!j d'outre-
mer.
On commencer;» par l'Afrique du Sud,
l'Australie et le Canada. Les Inde* et l'Acu(-
rique du Sud ue sort pas prévue*, poui le
moment. Le cuùt. vJ'unc conversation sera
moins élevé que le;, prix fixé, pevu l.::'-::!.:'':
et \cvv-Y"rk.
A-t-')n bien mesuré, clnv DOU, l'impur-
tance du rapprochement qt;e. pourrai», ame-
ner la T. S. F, cn're la Kiame et ses pM-
sessions lointaines i'
Point n'est besoin avantages pratiques des communications
« parlée» Il. Mais celles-d auraient d'autres
conséquences miH.'mcnt négligeables.
Tout ce que nous puuvons souh.titt"r pour
le moment, c'est, au moins entre la métro-
pole .;t l'Afrique, l'éehange de con\'cr!'atjr,D
\>{Jir-i f'll cs. Mais uu temps viendra certaine-
ment où les ondes merveilleuses entreront pu
service de* conversations privées, d'oreb -
commercial et même sentimental.
Ne pcut-01, à cr, propos, o.-«-r pat .Wtl(..T.
padon, l'image oV-i cimrni ait d'impondé-
rables et qui n'en oiair pas moin- liclt'?
L'AVIATION COLONIALE
_()oG--'M"
Ce Croyilm aux Indes
L'avion tri-molriii « bord duquel *ir Sa-
muel Iloare, miniatie de 1 se
rend aux tndctt, est arrivé duns ( '! '.:; vdlo
hier ù 15 heures.
Nuppelors que sir S/nrue) Koare ill".l)mpp,
,:nl' de sa femme. Iwl.v Mn". lionre, du nu-
réclinl de "Air Salîîiond. ooiuiuhnd tn' ).v •-
Itou aux In les, de son se'rét>iir a ermite 1 on*
dres le 27 décembre, a bnipor Uernard.
Il a lait successivement escale h Dijon MA,
selHe, PJse, Nflples, Malle, Itmn:" Boni/Vavl.
Solh.in, Aboukir el l.)arna*.
A Bugdud. Il a retrouvé sii, Sefton Brancker
directeur de l'r.vlation civile hriianT.«tt.t(\ qui
avait ]irécédé !•> niinistre de tlll'IQIIP. jours.
L'avion d'avanl-uarde a atteint Karochi.
Khartoum-Kisumu
L'hydravion britannmuc qui devnit Innn-
gM'er le nouvenu servi ie uérien tMilro Kar-
tiionni e! Kisumu a été sérieusrmcnl erioorn-
rnriaé pondunl une .sortie d'essais sur le N'il
T'ii-u.
De Zurich au Cap
L'uvialrtir suisse M'Meiliol/.e • q«ii était ar-
rivé à Dongnla a poursuivi sfoi vovage on
direction tb; Karl-iicnm.
Paris, Dakar-Bucnos-Ayrps Panama
Ne w-York-Pa ris
Celle .fornn
inart|ueiM,ii. tilie n* uvcUe étapr
progrès de l'-v, 1;ĩ i.;! 1 !,i précédente ̃•viiu!
élé je a" i i cl do PHIi-lier dl^isy et de liesin,
pmcourant A toute vU^sso, e,n l!)r?/i, te ehc-
mm tk» Paris ii <..!mmdi;u.
l^^ux équipages é|.u
do l'aéi-onnutique. L'un d'eux si» eonï|iese
du liouienavil ('.ou,donirt, pilote an oi° cégi-
nu-Mit rl • i v i i 11 i < 11 du lîourgct et du sergent
pilole TeiTuaier, «lu n.ernc régiment.
I cm vérilaléo e.oncours de In traversée di-
îvele d( •l'Alluritique aura lieu celte, anné.-.
car I ran<:,nis. Américains, Aillomands, 11 a -
hmis ol.ri £ 5l,ais s'y préparent.
^11» - ̃ ̃ -
A la Banque de Madagascar
La Barbue do Madagascar créée en lévrier
1926 a ouvert, dans le courant île l'année, une
succursale a Tananarivc et six agences dans les
localités suivantes : Tamalave, Majunga, Dié-
go-Suare/, Noysi-Bé, Mananjary et Fianarant-
soa.
De ce lait, elle a satisfait aux obligations
qui lui étaient imparties par l'article 4 de la
Convention annexée à la loi du 22 décembre
1025.
Par ailleurs, la Banque de Madagascar a
déjà mis en circulation 150 millions cle Ivllcts
Cette Société entre Jox dans sa phase active,
la période d'installation étant terminée.
M. H. S.,ucin, président du Conseil d'admi-
nistration, se trouve, à PIicutc actuelle, dan*
la Grande-!!.-: po\ii mettre la dernière main à
l'organisation 1c la Banoue
--- - - -. --------,., --, -.--'--------"
Le sucre de ln Réunion
, u-'i --
Au 1 'le1.niôre sem.one, lcc na-
vire? l'rainat- ,;tr,ng'c! ntres dan< les
ports de Maiv iK. ont reporté un tot.it de
05^ ki'os de ucre, doi'o 1.141.544. kilos
de la. Ké-ntion
A, 1. Hfillew
-–o-o
1 m a Vf : hier ;in\ lînllcs Centride-; uni hat.v-e
»te i?ri 40 rrnitc-i par cent «uc le.^ ar'Iehnuts
(l'Alger.
La révision des mandats coloniaux
-- ---
Je reviens à Varttclc fÊgmm ver, qui montrait les rcvendica
* • tiom simultanées, cf. a py ut ait
tonpere atlgltlis, également fonder s des lin
liens et des Allrmaflds, eu vue d'une atlri
du/ion itouitellc de mandats colcutaux. h. v i-
lement fondéesî Non, disent les AlLn»wds.
Non, répètent les Italiens. Il ('! évtdeut '1,'.('
ceux-ci et ceux-là font suivre cette nê^rthi
d'arguments opposés.
'Obtrvcr nous imitait. après I(MI d'of:
1res, il distinguer entre la politique ?w/>4.
de M. Mussolini et Sel poi.it t^ur réelle. So
mentir, si It-à actes du dictateur se ra/)1>'"
taient à son lainage, et même à ton pin ma
il y a longtemps que les choses se scto/n :
gâtées. Mais, eu définitive, M. Mu^soltm,
quand il ne prononce pas de 'nvongu. >. est
prudent >:t modéré. Il <1 ,,,¡,,,,' un ré il wail,
a endiguer l'ardeur intempérante des eusse
ccu du fascisme. L 'Ober\'ér l'en f/lutl", d
n "pelle à ceux-ci qu'aucun pays n'est nuic
sotis prétexte qu'il a otaucoup d' en-
tants, *\ se ruer sur ce qui ne lui appartint
pas, Il .1jOUf( même, du point de vue philo-
sophique, que la ttiese qui soutient la néces-
sité de mettre une limite à un lapitttsme dé-
mesuré est aussi valabl: que celle qui sou-
tient ICI légitimité des annexions forcées duns
le eus d'une race prolifique ci l'excès.
M. Mussc^ini se contente de montrer :/It'
Ifs débauché* coloniaux sont indispensables
à l Italie. Il le répétait dans h, propos 'lM
ont été publiés par la Chicago Tribune : te
peuple italien a besoin de
blème, et le Tevere le posatl ainsi en toute
franchise :
fi Cette question dis mandats a été plu-
sieurs f-ois affrontée par ta presse euro-
péenne; -n part'ctd.i r. depuis que l A!lun
de son t mpri t v a un droti de
priorité qu: descen i de la victoire, < > qu'on
pourra pas oublie., /uc l'Italie ne lais-
'il ,Y,! y\<% fildiẽ • Ifa repense a l'ar-
gtiincH' par leqinl les Allemands prétendent
qu'il tu peut s'agir de vainqueurs ou de
t er.nciK, et que cette distinction est abolie des
qu'un Li"f PlI IId sa pTace dan* la Sor-rtê
des Xoln ns. Assurément, il n'est plus s,",ml
de pirL r de vaincus et de vainqueurs, mats
.;eia ne signifie nullement que tout le passe
soit aboli, et que rien ne doive plus compte*
des sa< ri lices innombrables et doutounux
,o/l)('llfis pour assurer la victoire, a H y « un
irait de priorité qui descend de ICI victoire. »
.v,ti ne saurait le coniesti-r. Eli, ",tfil -.,,,.';, i':
ne refuse pas de le tendre un bras seccnrable
tuais laisse moi d'abord assurer ,n,l :- of>re
existence, ma propre sécurité, en ¡¡.i!o;,drPI:
mieux. Un vainqueur qui. tient '( iany
! ne poivrait Hre accusé d'aveir le itt< n>;<. u
insolent.
Priorité, nos ont»s ot>, raiSotr. Il< t-u* ,.,.:
quand- ils n'ptcehent ô ta presse /I..l,\,"':,\f
cl avoir déclaré que nous cO/Uprentons /c
les Italiens réclimen! de: mandats eidomi: ̃
mais de n'tr'oi»- pas ajoute quels ,;:,':(/
il serait bon de leur Otlroyer..< Quand
bouchés qui lè^itimciveni r. v-endraH ni à
l'/ta'ie, la presse française -• rt t'e 'vt elh
a du¡, t. que (/ t S tr f certdtllt/IICIII pal
iam f gâteau français qu'on taillerait une
par. .',(.Y/; Italie. • Ce n'est pas justi.
> en. mes nombreux qui ne 110US somme*
/ICI' "»v. et si ce n'est pas notre rôle de donner
i>. -tu géographique aux débouchés qui lé-
l'l, t".,..-tn:'lIt reviendrait ut à l'Italie, nous
̃' '; en toute tmpartialité, examiné le-tt
i*--t '̃ quelques solutions possible-, sonr même
.,.JS" le principe que la paît devait e'tr.'
- lilee tans d'autres gâteaux que le Ilôt".
i pourtant. rOJ/ tire n'est-ce pas nous qui
1: on> tu en /Jur/tlf'-- Il more eau oÙ -''; trouvait
la f;'f)(.
« 1rs voi,\ autorisas n' ont ¡., :' nnmqiu
pour conseille* à la l ranee offtculle de se
dit die d'un mandat onéreux cemnu celui
d* a Syrie. fi Nous avons écrit. tomme ¡oui
•i''ntrCi, que l'attribution fh) /na/.daf; d
peu lait non pas de la l o/tee, non pa -
l'une puissance affiliée à la Société de.
A niions, tuais de Ici Soc/etc dec Nations elle
iii/fi/t', qui a d'une part fa mission de dis
t'tbitir les mandats ti. de l'autre, c> lie d,
( ontrôler la façon dont il) sont exercés. Ji
suis de ceux qui ut se sont pas refuses ti
étudier l'hypothèse dans laquelle la Soeic't
des ValimlJ, si la Franee lui restituait sou
mandat de Syrie. /'attribuerait a nos - o.'-
: in>.
e h>' peut demander : conviendrait 1,' 1,
i'Italre d'accepter un aussi piète héritage
f.'Italie a non seulement le droit de résou-
'¡'. le problème de son émigred>e>n, mats de
l' résoudre btCII, » Fur or e un droit que nul
::,' lut conteste, et IIOtls moins que personne.
Jv i'e mandai > i .;c/< est un piètre hérttag -
pour :'/fa',:,', ,t <'il était Ici bonne affaire
1 .'w 'ilU'", peut-être cela arrangerait
A , l, 'J t'\ , ,
,!/<>.•.< '̃ a ri o m <1 •;C,ts> tne."f. A rV. roulons
t(7,b" tvao ftj/it. > : nf 'r: \U> -
lil., (! , nous ,,' !.'I ons fas\> r o- ,r-;t ! Al/
gîte, s écn.t.t 'l.' lfahin*. (h p 1/1,. 'l' ,,:0
lui 'e > uj répondre i-'i, tu" fou.-- '• s
,1'-11 ,t ,-("1,', \,,' t,.', 1).., \¡,,/, l'il ¡¡"
ileux e>- tcnP'l, : v..- , v* p, r,t .-> < •/
r fi, l datts ,:,' 1 1 ls gd* (1: l, , : f-iudte :'
1er p, ut (tue >< > d< u\ ••//• tn.% soient ,)","','H (
la fo-s. Situ.)-, .i ,'1 '(i'i ",,' >aisonnat>l.
One t Allemands «/.•'< <:•(- « Messit urs
Íc'{ h "lu us. tire: les l'¡t,,,;, 1" »
L'( «server etrf isageait hardiw < ;( H
it vpot '/es' s
* i>:t bien une vaste cv. *>e p rtifh' t a
y/talii cOmrnt à /M U( ne s em parer
d un large terrain de. colonisation, soit >.n
Asie. >.f. dans VAmérique du Std,
On le Come'l de G* nèce a obhg-'
*. ; dêp. yer la carte 4'Afrique et d'exami-
ner si, s i'is atpcl auv armes, on pourrait
ccco'de< dn débouché, eeloiranx a l'Aile-
mai ti' c'! à l'Italie, coopération de
VAngleterre, de la France, la Bel^ijue
e! ,f,'f /,(".tllf.:rt : fi II. fouira étudier dt i.'- o
̃̃eaux s y*t mes de mandats et de baux, ahis'
r. < pr, te niions Il l'annexion natuno
S'il doit y avoir nw
':<̃!! ̃ ., <>tt,-;ne de règlement part j 1.7,1t. >•
M t , v/ ̃ tint a.'ttie histone.
Mario Roaëtan,
!a Cnmrnl.Klim
¡¡"fI/LIM'ÍIIl", iïsa Colonie*.
Pour les Français noirs
M. ri'iitiei 1 C.alic;ie dép:i!é de i'!. t.u -'.lc-
loii| voudenil ressus, ;| ,*r J:(.'rfl" i- eue"-
en inviMir des noirs \eon-- .cm If r ''u Ira-
vail eri l-'rnnee. un 01 g-.uiii-nn > ̃ ̃ i1 • • 1 i » î o .'1
ee «i Loyer eoloni»ii qui rei^l:1 • « 1 x 'Ddi-
g.'iics, pendonl ln. guen .• <î" ::i< out'^tai.'li.-H
hei'vices cl qui u disparu ap.- >s 1' ; 1 r • » ; 1 s 1 ; < 1..
Interviewé n ce sujel. par îvére » n
M. Areliajo'bauii. d iJ'ii is-Soii. M. C n :a
t oh :
Oiiniih ii j'en ni re 'U <1 •-̃c- 111 ts- rut;i- - 'I.
i < "te
vie iverntenient •> avait fait traverser i -
pour venir siivir it ruris Il faut qe.ilt''
exploitation cesse. It fan' 0.110, dans eha n i -i
levuie. ou «:rêe un hu-emi le. renseimunneir̃- l,j'.
lise qui ne dirigerait s\tr ln l;run< >x It-- j,
aptes à. s'y unie, une Me honorable t;l. sur.- l.x
renom nièine de fays y est inK-ro.-^
Ces gens son. na^nn.r veno- Il.)\.:-; dre. f'.e 11 * • ̃ t h 11 pa- leur sol uni 'tait '-n p> r:t, Jl¡-;
pouvaient demeurer eh07, eux, 1.1 fond 1. b urs
fori't.s triimpiilles. In>nuiies tni-'es .pi" eus;>eHt
indifférents les tracas des civin-.Çept nu:ini.
ils sont venus, ils ont e\))0Sé leur vie; il-.
•oulferl pour protéger ette terre qui n'élaii pac
la ieur; ils se sont tmtt is. pas 1 cop mal. I.a-des-
sus, ou leur a parlé de fraternité, de reconnais-
sance éternelle: on leur a. lent promis.
'I (jne iMir donne-t-on des c-jups. « Sale ne-
are > pur-ei, « salo.'négre » par-la, voila ce ipi'ils
"iitel 11 leii'. Conaue c'est tnaiirt ! lis n'ont pas,
tes pauvres petits, vingt si'VIc? de civilisation
derrière
c Et puis, ce sont des faiblis.
« F,t. e.nltn, la Kra-in'o leur avait donne d' dle-|
ir.<*me une opinion si liante que la moindre désil-
lusion prenA l'importance ̃! un désastre. )
- r.a Flnnlp, a «'OMeiu M Candllt':, 11 est
heureusement nus rAuierique. 1 a France e^t Idie
tic l i Révolution. F'Ie a. lutté jadis pour c-Maocr
.lu mcngc. w ne
tant pas qu'elle mente à «-ou pa'
son ectmir, ne doit pas s'al ii r.er -< - - l "i ;> IJ
L" député de la « îuadeloupe. li.'ito i^-nous
de le nob-J il mai .'Me lo en.rac'ôl e CN- op.
lionne! des hPUhili'.és d» geste ou d" inu-
L'ape dont les noirs» (>nl, pu élro ictunes en
bianoi MiMs o\e,' : ,isc.ii. il a signalé le
fV.ngci l't'i! y aurni1 à laisser oi>s Kr.in«,:atS
de "I)ll',l' Q!'I\I'¡\!\';" leura v« ssonl ivri'mts.
i',> 1 i, e • 1. pas ie 1, a t il dit, l'^spril du
peuple, rie considérer c.oiatne n-t\e bire une
superficielle robualtori >.
Itien n'ost piuc- vioi t I nous nous asso-
cions pleinement pour uo'rc part, aux pa-
roles de M. Laminée, si pleines de justice et
d'émotion communient tve.
R. B. de Laromiguière
Les exportations
de la Côte d'Ivoire en 1925
A:, '.n'-. d F .1 e née 102; la valeur des
ona-ic di. 1 1 l'ote d'ivoire .;oUI la
r. '-v. et 1 .<:i-ev -'est -levée à 134.209.ji)J
! i, a - -j ,:')J\t',', 1 ,0.433.francs en 1024, soi:
j t : .j augmen'atiou de 17.77^01 i'ranes.
Si l'on lient • ompîc de la plus-value t->-
yultart de- exportations a d> ination de
FA O. ?.. qui n'a d'aillejrs d'intérêt «pjo
pour lo r 1,-• -î" fo'.i ; doni la raajeuie pane
v c-O. < fiti et qui CSV estimée a .0 mil-
lions -r ,\ uou. ~ïa "'lIr/¡g¡'.:-e, poui 1025, une
pUis-v.t'ue iota'-, 'ei -8 raillions ?xir Le- ré-
sultat-; de H).,.
C ci.te .iUf;i.rientalion est. due auiant à i'' ;io• 1
froissement de la valeur des produits qu'à
c: lui de- quantités expouées. Le cacao e.-i
p«H-,é de 4.29J. tonne- "n m>4 à -j.278 toii-
noï e;-! 'O^ï; i.?•• iioix de colas progressent
de 1.0'>5 tonnes -vu 19.-4 et atteignent. 2.50?
tonne- 1 n 1925- ;oS tonnes de eaoutchouc
ont été exportées eont. 210 en 1924. La j^lu
ti fili un bond de 183 Y, en passant- de :n;
tor.ne? ?i 493 tonnes en. If; 2 ),
On a constaté également une augmentaium
si nsibie huv les produits du o limier a huile.
Les amaudes de palme on» Illc\nt q. S U!:.jI1
kilos, estimés à la sorne de 't eolonie à m ne-
valeur de 20.587.963 frnïK- C- 'onnage re-
présente le cinquicn. des exportations 1..
l'A. O. F. en amande- de. palme. F'I \CF"
il avait été de 13.057 tonnes. I ;;1',\.; de
palme (le
Il)2; pour ,tJ,¡,() 1. i 1 o s .om ; e 7 ¡¡hj 304 ki-
!o« en Ki.14
Fti s'élevani à plu- de -/>; inné-, î<. -or- 1
lie? -le : oton accu sec' un excédent de 330
tonnes sur 'armée 19^-4.
Quelques 'U!nhnl.ltim;¡ ,:.(01" -'¡Ir de-,
oroduits de moindre importance pour la Côte
d'Ivoire : les peaux de Ixeufs liassent de 2^
à 50 tonnes, k - dépouilles d animaux «au-
cages vie (o à 23 'iiU'H ̃ -, >•> mais de e 64
fonnes ; Faraciude. de o à tonnes. I es tis-
«us. lc<; nattes du pays le.- pie v.. jnédica-
c^ scr.t égal, mc.r en p-;c'vicn*ad-»o
Par "onvre, il a été ".porte !•• ,\h ,il ''l'
V:>cajou contre 117.î>>- vu 19.: -:", '1;'
es de i-Hii- exotiqvu- «ommmv ••inu >
Enfin, l'exportation lu poisso • ri: n-', -pour
laquelle, est exigée, une autori-aiio'i spéciale
st tombée do. 2v) tonnes à 139 tmcv ; telle
de. l'ivoire passe de 5.4^7 & V?'1 t'i1.I"1,
Le c<>ntrft^e des produits du ru, < "éé par
arrôté du 2é mars 192.1, -1 pu vcxercer nor-
malement au tours de T025 e* a e.intribué
pour utio large part lt assurer ,m'" mei iev. e,
qualité rur produits exporté':.
Le soleil qui désalière
--0-0--
si toute la chaleur aolairo était miploy-
ebaulï.'r lo l'eau jusqu'à l'ébullilion e.t u
fa réduire eu vapeur, on cnlouJe îocileinoiU
oie, duii'S < es conditions, la quantité d'euu
nlllSl v'¡'P(jnsc, oiu'bi disfili1- e, t»« r 0 d'un
u inoinfl d'un kdogruuuiio pu iriètje
c,i! rô * 1. par heure. Ln .̃̃uniptan' ; T' une
dl)t!""} d'insolation lo de: l.t\,lre n été
délil b: sud funtsioii, on \cit que, p< ̃ dis-
t J I! i' MK> !l'n's ,l'HU pur jour-, 1: l'audru i <•
cui'illir III chali ur !ola!.! t'- ue [.• .r dix nic-
hes carrés de !a surface du r- !. C'est-»! •
dire qu'il faudra ik's nppUlr"t:} W¡:l. HU-
lHwfants i"JIS-t.jU(' iour surface minuit 1 sera
de dix mè-'r.'-- -anes.
En fait, il semble que ee rondenu-ii ne
',!;Iis() ul'e être supérieur à -4 ';,' Kn
effef, ifiii.s tnu dos meilleures uisla i.ilioos
do ce gen."- qui ait :,I é iusqu'iei n
Celle de !q ,:IL l'ouvi (' • j-lgv pb
l'appui- o donné Ui'O q;;,-in-;i'é um\inut de
v "II :":" , a oS*j ffruiuoe^ n.o la i"
c'e.sl'ù-tlji e c11v.11 u moitié lie ta '¡';,t..
fité ibéoi itun
Cet uj^iuî '.-s* formé par des ̃ bouil
leurs >•., d(s r< eipionts our-is, re- .juvcr's
de lames «le. vôtres et o 1 se vupoiiso
pan*' -c < ouclcnS"r 'UlSUill' c-on.-; finraie d' r',
tîislilié!-. l.n eti.ilour solau • < s ! onc.titi. <•
sur e s l.e-.ilK'uis put 1 intermédiaire <(«•
'•uuXh oO 'U's •cylindriques à .--eetion par-i-
boiapie a 1 fov< 1 desque-'s son' 'ilacés les
1 '-,ui11''ui'.s Iubulnir. L'inslnli,'.1 mu tp la
Sun Power C" u une .surface; <'< 1 ^'îl mf-
lios 11 r,
M. Lucien Suint, à Tunis, a Mrs au.
concours en o'PlW'dl :,,'TTIH'!t'I!',: (¡'p;;I,1 !I,
par uhlisu'ion -do 'lu chah ur sol-aii., d<
l'euu disfiUé*; iUuks les régions d.; ̃ .•
'•mpire nord-a.fricaiii où l'"m.i l etu:., lo , -t
s-oii i.Vre et très ( hntgée « ri sois d'yiiiagnc
ki- T,ll )'s b.r>:nsl's m .1: oui l^attviHr. u
sud nlgérit'u '«u 'e s'n! tumsii n coim.M^si^.l
ce fui1, auoui-l ceeenivs en q'I'!'I¡nIl ;;
tifini- but dl' : -'oé-dior.
s région- » :'ri'-f»;e,f.fl dont ri s'agit sont
(itirticnii. reta ai \'IJ'!I"(,. jxv.ir une utili- 1
sali-»;. r\- :• « 1 ; "le d" In "tmleur solaire : le
,'il:'" e -s' raient, -d
e'c es! ..,1 'J;' ("I'!k' par lo» n iages vue
jllllt1..I,!II, ir> à. '1 ':', d. s journées.
Kl. t "eii'.u: «'e-» ''oiiditians .oininjt é-1 ̃ réa
:j-;,-', s. ''1 il \1 «'hurles Nordui.t.nu d̃ u« t<>
A f: Ii , lorsque purloui. ''ans !̃.̃« iMaficis»
•b. s diara .d'iugcni'-ux appare 's a moteur
'obiiic iourniron' de l'eau puce aux ns-
Boili'S, or; pourra dk'e du soi I! m tî'ie.
1 l' inps du ro; poi b-p;u !:>' • •̃ <
.-v-f ciiit j'i tl^fendre it 1.
s' ir> à lu eonihadrc. Pareillement le so-
teii m11' proé.nit la soif ftrs •oyjg'eihrs eo-
tm'u-, i.s servi, n m Tv^Vm ft Vv ombntlre.
---- ,,-- ,.---..- .-- ---------
Le commerce cls produits
de l'cîvvagc
en Guinée frai\çaise en 1925
-,.) -(;.---
Le dénonéartmenl 015 diverse*, espèce.-, do
mestiques ea Guinée l rançaise 'ier.\jt. Il apr< !j
les (!{:mlf( rcn?x:ignei:ieiitr connus, de 4^P-- ! i4
bvruf>, ! I6.3f4 moutons, !,+..; {¡\t.;f'
L 8d 3 porc;, 2.^20 ¡-\C'"j,,\ et 4')h ânes .j'.
mu lets
Le commerce tHé-tcu, de I ci -i'a tcn^i-te
d; n le raVaillerncnt des j>* at ipau\ < n» - - ̃
lrou',('.,nt sur la i;JnC' de.i dlcrnllh ,!:- f'-r le..
1er,. Kanclin. 'Viamou, Paixda. L¡:..iki:r¡
"'-, Jllrous< a et Kankan. Il s etcud éga lemcn-
tns ia région tibér'enne
Les prit pratiqués au (ou.s Je 1()25 ont été.
pour cit i animaux moyen* : brci -.. de O() .»
750 francs : moutons. t!e u.) à ivlO franc- clié-
vrc, de >0 ?\ 50 Ira i- :1 ion oue les .umnaut
.nt été aehete< en pays <1 ,',!r'a¡:.e ou c'aïc cc;
l, j ï
1 contrées clémuTe. - de bétf.i!, comm.- 'a région
libérienne.
Pendant la même année, la colon e a exporté
,ur .Sierra Leone 1'),,156 ixfuiU et 17. ')h": mou-
lons contre I0.14H ci U.&H en I92d Cet
accroissement est de à la hausse de ia uvr0 «1er-
hng,
A Conakrv. ^61 et
vants ont été embarqués sur les ca1 eaux de pa-
ac connme orovisions de tard.
Il a. en outre, été exporté i4 7Cb peaux de
cl rt, et 171.27) cuir de bo-ui, ,,,-'),,t
123 100 peaux provenant de Ir iroioiuc : ce
v'crniei ilidire ic[>rcsente, à laison v'.e 100 kdos
de viande net > at bétm environ 1- >10.100
kilos de Mande qui ont été con
olonic étant, a.» 1' janvier l()2"n te y nul
¡ icn lJ,l:¡ïQ nabitants, la con-ocaa.ai v)", r.»;,.;»en-
ne la même ann. ••• ï t ».t de <̃
'kito:- 'J8j le
était c'e b k;i. ̃- Ph'" L.n Iran, e c.i.? e-t de
50 kilo- pji ,iit e: ;>ar haltoer;
----.-.--. '.I"-' .., .-,,- .-..,.,..
A r.iéL "r'Qtùy* du uhar f
k! v tind - Bassi. m
••i - i:t e, se i i ̃: - - c i o. w. i'1 ; ; ̃•» i
,. ,., Je. d.c .ca-.d iuv j,_ F e
i, ; • ;d : F ;,:'',:',:' ,: a .i ;,",: été - a a - -.o v
iet d a. a - d a. •• t, m p. de..-.. oe,.-. - a
de or tl .Iï dio o" a1 ix :-o.- i 1
ioai.-s du Sud, dvi.' 'i:-;,'\:','
cbligo pour 'ce'" 'a. v ,"',J"':' t-
r;.v igrition..b: tou; ; .a 1, e p ; »• •
1'111" «ie^nl4raFle.
i.'ctt • at-o:i a pr o i ;-*• <(
r i i oa bicaie. p a .'i av C te qa' r,n- j
prendre pont aaié!io: a àa:.- u c-ar-'• !
pos-ible. les moyens t..;;, •• .u :.- t oe.
a.oj^eiaent en r.de il r,,:.,.:-
i .r;\c< :i n.VM:- ̃ a l, ,!\ 1 p.i ;ei
oii.- en servi e u t ta ! .rai ̃ : ̃ da .̃--e.i
giàce, à eue o j;.i*at'oi -i.n., \)\'<\d a
'"im.tionneive ̃ • v cet nt i • o c t ranl' a
l '1H!('menî:'-.. :.. r"¡:"( 1', »!̃; uiu. Oa e •-
mdeaient •.
la !.. w ha : t l' •-
être portée i nue.llenv : j-'>.«xio te" r.-.
noa comprt » ronea^a ¡', I),,,, p.1. ,Ilii. pa;
ln
progv*"1 \1, '-1.t';\( ; 'e c.an ite.ni:'-a dont
!e .-on/ienTe cuvai; "1'\ - p. qu'\ ee j.,;.,
Nos tauieurs sur loulS les mers
«
i el est l'ardent désir qu
'îovci a-i ei p.vuirt te ahef s des grands se^v.ces
dr -on min.dér-,
l'aie n j-“ 'oucai '¡UTh''J:' ce diriger .'! Dé
(j.ti t "n.-;.t. a \« -"tne, a dit M. i;f;or(.!c:',
L::',';.!UI", uj • v y lté ,.t atoll effort ::;(:',:rO(}!, A
'eiuncr ne e.-, m, nias, a 'Ue'tro n Jjt un
umtvrfet F e 'Ltl -jupeneure, n entraînée P.W'
état --îu'i.|i• nos équipages ,r' les faisan'
uavigut"* ! • {'iU rcasil'U' »•» a -a auni -•••• :
sysUfine j;" I':lieu; ,:, .! 1.l1-I' 'rf':: :", nia;1 •
a tnon'rei '.-n« e' -s \¡jsib amie e s de I).¡
pie à pc-unle. 1:', couleurs sur 1. uh les mers.
Nous savons que, par la croisitlre c'e J'Aden
titiue, M Lnyues déjà montrr
qlicile mpoii an ce il .îttaehc à faire vce* oo
belles unités navale « .h;-" nos ports ,'()!.; iux;
où leur:, états major*; leurs équipages ont été
accueilli* avec cntboovae- ne.
ïOoll O u £g:(;
L»' Ci/peur (rtiin'ais Aig.a.m t'e^l ':'-/¡,(lli(
it' 'in-hior fii n ed/#> >0- IH'lavSurirez .-t;
n •'<( 'hins OU'' i/ositioa diitnirren^e
(Fur (b'p.'- fie
--..-- --,--.----------
La politique méditerranéenne
de l'Italie
---o-\)- -
\u <<./•;)>> I une- oilorva^v. ac- ji d» • •« -m
h| -n-dant à Ko)'le de ! oMtc.' u lt-tvh-
¡ :' , ! Vi.nuii M. MustJo
,Ii'
: ,,!'., le Vfedih c ,', '-'. :1\1: partout,
'a u- •=. l'ita'a- .J«sir»' ip; r-' a.aai.-- 'III'¡"
U a :'ai"o; : nie.', que -i , t'. ,C,-^e JIU
"':' • ̃ - - - dr- ; >. -.ut --ptjeU
•i e- I t'll - -, s-, iliéâ lU'! .:1, \.J'
•• a •'•• -..ù. 'es a/.-se.- rivi; ̃ n
'•• t"i-' o ;1 - ai v<-0 ('Cor • .j 1
̃ - • 1 : ; mon' •. ;. •
̃ "• • : i .;.o i .e médé •. ai en-
:. , : l *: M. a 1 t u, ̃ :• { i o!- ''a 1
̃ : ̃ ;e- a» : il' .! -ir '1 a> i :i. a.
h. • • .n..r,' une a». .a -; .': -,• i
'I' t\¡J:' ri."t,a: e
----,-- ,-- .---..----_. - ----
Le statut de Tanger
P hou." i-ax euîKMiens ont eu F< ce-
: a- -îiiti" les Ciouvcvrcmcatà Italie et
cp;-.an.! a.»ujet da Tanger
oe'oe. ccrtâmes infonnatk>u:>, l' t'" 1 :':, "tu;
n'a point accepté le statut actuei ie l ingc,
reconnaît par faite tuent les uUé.'Vô primo.
diaux de l'Angleterre, de la Vrance et y
i'Espagne, iille serait toutRfois favoiabî ̃
la demande d'annexion de 'a lùxxe.
tionab: au protectorat espagnol t;a échange
d". t agilités accordée-, à sou émigration e:
de .',\ participation uux eutreptiies de ua«
'-"'X p-Jbii"j et c--; .y.if.nlsa'ion.
.-------- ---- -.. - ----.-- ,-. -" - "- -.-.'
AU SAHAKA '-'
--- -o(--
A motocyclette
t j; : l' ..- l i r.o. t à i ( ., i,-;
i • 4 >' l' .1: n ! l -•
Il e, .1- I ,.r d- F ̃ - e. J : l u.
I • s' • - e 1 1 v a gU» • ̃' 11. ; ! 'i
j ¡, i •. ̃ • -, «-•••̃ i vé si!
l , -, ."I! •! j » oie p • • 1 n- «il ..: I'
• « e iii «'. dll oc' e 'U!' Il: :-,'1' :
1.: l' 4, ;.,,, 111 ',,¡:' '1
.! l' e - - il "';, e i. s .- ,o ̃ :
1 ! ,1 ; ̃• ! i • l, t 1. ire ,1 , :' ssu-, ,.;: i an
doi.e-
- - - - - - - –-
Les colonies à L. foire
i internationale de Lille
i ,\ ,..u"
Au uis de av an.. ,,' - , 1
L'ib n 1 t' o ie" a-.:L u.;; ,
!tu;i' !'cr\. a « re 11 a - - ,, i i e e-
! • li->-, (.oulïè.re: ,pl''! ! i. 1 1 :
̃a p.Oi- a ùe- "!i.!;. et L -
:e.-ta-i-j-'. é-a. m-n.o, e-
N -a e- a r • : - a' s
v r l' '1 ;. a' - ,t' ,, 't ; i V : *
',:" a-qu- : • a ';!
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Il - ( a,. a c'-
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Le io\iiv de Tan colonies
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