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- NOTES ET DOCUMENTS
- Comptes-rendus et Bibliographie
- Statistiques et Graphiques
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tendance à la réduction voulue par les agriculteurs, mais simplement la proportion
plus forte des superficies sur lesquelles la récolte n'a pas été faite. Le groupe des
autres pays du continent sud-américain comprend aussi le Brésil qui a exporté
durant les deux dernières campagnes des quantités assez considérables de maïs.
Le commerce mondial de maïs a trouvé dans le Brésil un autre centre d'ap-
provisionnement éventuel en cas de pénurie de disponibilités exportables.
Dans le continent asiatique, la superficie cultivée en maïs prend un essor rapide
dont la quote-part dans la superficie mondiale passe de 9,3 pendant la moyen-
ne quadriennale à 10,4 en 1938 (1938-39). Ce continent renferme deux pays
importants exportateurs : l'Indochine et Java et Madoura, et plus récemment
aussi le Manchoukouo. Le groupe constitué par l'Indochine, le Manchoukouo et
la Turquie étend rapidement sa superficie cultivée en maïs. On en trouve
l'explication dans le développement des exportations en ces dernières années, de
l'Indochine et du Manchoukouo, tandis qu'à Java et Madoura et dans l'Inde qui
figurent dans la sous-catégorie « autres pays de l'Asie du Nord », la superficie
cultivée en maïs reste pour ainsi dire stationnaire.
Dans le continent africain, l'Union sud-africaine et l'Egypte sont des pays
d'importance considérable pour la culture du maïs. Dans l'Union sud-africaine,
dont l'importance relative par rapport au continent a été de 41,6 en 1938-39
et par rapport à la superficie mondiale de 3,5 %, la superficie cultivée par les
Européens augmente rapidement. Ce développement est plus important pour le
commerce mondial, parce que les exportations de ce pays y exercent des fonc-
tions stabilisatrices, particulièrement à l'époque pendant laquelle apparaissent sur
le marché les envois de l'Amérique du Sud provenant de la nouvelle récolte
(juillet-août), c'est-à-dire trois mois après la récolte de l'Argentine et trois mois
avant la récolte des pays danubiens.
L'U. R. S. S., qui n'est pas comprise dans le total, enregistre en 1938, d'après
les chiffres du Plan, une réduction de presque I million d'hectares de la superficie
cultivée en maïs par rapport à la moyenne quadriennale de 1933-36.
Dans son ensemble, on chiffre la superficie mondiale cultivée en maïs en 1938
(1938-39) à 77,0 millions d'hectares. Elle ne marque qu'une très légère augmenta-
tion par rapport à l'année précédente, mais par contre une réduction assez sensible
de 2,2 "ft par rapport à la moyenne quadriennale.
Cette réduction doit être attribuée aux Etats-Unis et à l'Argentine.
III. — Rendement unitaire du maïs
Durant la campagne de 1938 (1938-39), les rendements unitaires, à l'exception
de l'Afrique, sont légèrement inférieurs à ceux de la campagne de 1937 (1937-38).
Le groupe le plus important pour la production mondiale du maïs, l'Amérique
du Nord, a obtenu en 1938 un rendement unitaire de 19,3 quintaux contre 16,7
en 1937 et 11,9 en moyenne pendant la période quadriennale. Il faut remarquer
que cette moyenne comprend deux campagnes marquées par une sécheresse
exceptionnelle aux Etats-Unis, 1934 et 1936, ce qui explique pourquoi le rende-
ment moyen du continent est tellement bas. Par suite de l'importance relative
extrêmement grande de la culture du maïs aux Etats-Unis, le rendement unitaire
moyen du monde entier est également exceptionnellement bas, (12,4 quintaux par
hectare).
tendance à la réduction voulue par les agriculteurs, mais simplement la proportion
plus forte des superficies sur lesquelles la récolte n'a pas été faite. Le groupe des
autres pays du continent sud-américain comprend aussi le Brésil qui a exporté
durant les deux dernières campagnes des quantités assez considérables de maïs.
Le commerce mondial de maïs a trouvé dans le Brésil un autre centre d'ap-
provisionnement éventuel en cas de pénurie de disponibilités exportables.
Dans le continent asiatique, la superficie cultivée en maïs prend un essor rapide
dont la quote-part dans la superficie mondiale passe de 9,3 pendant la moyen-
ne quadriennale à 10,4 en 1938 (1938-39). Ce continent renferme deux pays
importants exportateurs : l'Indochine et Java et Madoura, et plus récemment
aussi le Manchoukouo. Le groupe constitué par l'Indochine, le Manchoukouo et
la Turquie étend rapidement sa superficie cultivée en maïs. On en trouve
l'explication dans le développement des exportations en ces dernières années, de
l'Indochine et du Manchoukouo, tandis qu'à Java et Madoura et dans l'Inde qui
figurent dans la sous-catégorie « autres pays de l'Asie du Nord », la superficie
cultivée en maïs reste pour ainsi dire stationnaire.
Dans le continent africain, l'Union sud-africaine et l'Egypte sont des pays
d'importance considérable pour la culture du maïs. Dans l'Union sud-africaine,
dont l'importance relative par rapport au continent a été de 41,6 en 1938-39
et par rapport à la superficie mondiale de 3,5 %, la superficie cultivée par les
Européens augmente rapidement. Ce développement est plus important pour le
commerce mondial, parce que les exportations de ce pays y exercent des fonc-
tions stabilisatrices, particulièrement à l'époque pendant laquelle apparaissent sur
le marché les envois de l'Amérique du Sud provenant de la nouvelle récolte
(juillet-août), c'est-à-dire trois mois après la récolte de l'Argentine et trois mois
avant la récolte des pays danubiens.
L'U. R. S. S., qui n'est pas comprise dans le total, enregistre en 1938, d'après
les chiffres du Plan, une réduction de presque I million d'hectares de la superficie
cultivée en maïs par rapport à la moyenne quadriennale de 1933-36.
Dans son ensemble, on chiffre la superficie mondiale cultivée en maïs en 1938
(1938-39) à 77,0 millions d'hectares. Elle ne marque qu'une très légère augmenta-
tion par rapport à l'année précédente, mais par contre une réduction assez sensible
de 2,2 "ft par rapport à la moyenne quadriennale.
Cette réduction doit être attribuée aux Etats-Unis et à l'Argentine.
III. — Rendement unitaire du maïs
Durant la campagne de 1938 (1938-39), les rendements unitaires, à l'exception
de l'Afrique, sont légèrement inférieurs à ceux de la campagne de 1937 (1937-38).
Le groupe le plus important pour la production mondiale du maïs, l'Amérique
du Nord, a obtenu en 1938 un rendement unitaire de 19,3 quintaux contre 16,7
en 1937 et 11,9 en moyenne pendant la période quadriennale. Il faut remarquer
que cette moyenne comprend deux campagnes marquées par une sécheresse
exceptionnelle aux Etats-Unis, 1934 et 1936, ce qui explique pourquoi le rende-
ment moyen du continent est tellement bas. Par suite de l'importance relative
extrêmement grande de la culture du maïs aux Etats-Unis, le rendement unitaire
moyen du monde entier est également exceptionnellement bas, (12,4 quintaux par
hectare).
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