Titre : Journal d'agriculture tropicale : agricole, scientifique et commercial / dir. Jean Vilbouchevitch
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1903-07-31
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343782789
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 31 juillet 1903 31 juillet 1903
Description : 1903/07/31 (A3,N25). 1903/07/31 (A3,N25).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6437464g
Source : CIRAD, 2012-235759
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 14/02/2013
- Aller à la page de la table des matières193
- Sommaire
- ETUDES ET DOSSIERS
- PARTIE COMMERCIALE
- ACTUALITES
- .......... Page(s) .......... 213
- .......... Page(s) .......... 216
- .......... Page(s) .......... 216
- .......... Page(s) .......... 217
- .......... Page(s) .......... 217
- .......... Page(s) .......... 218
- .......... Page(s) .......... 219
- .......... Page(s) .......... 219
- .......... Page(s) .......... 219
- .......... Page(s) .......... 220
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- .......... Page(s) .......... 221
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- .......... Page(s) .......... 224
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- LIVRES NOUVEAUX
- Annonces bibliographiques, §§413-430, sur papier bleu: Etats-Unis en général, Californie, Floride, Jamaïque, Chili, Brésil, Erythrée, Tonkin, Tahiti. - Canne, Riz, Caoutchouc, Indigo, Quinquinas, Mûrier, Jute, Vanille, Bois, Palmiers en général, Cocotier, Arbres fruitiers divers, Citrus, Figuier, Cultures potagères. - Mal de Caderas
- FIGURES
N° 25–JUILLET I9O3 JOURNAL D'AGRICULTURE TROPICALE 217
- « Le coton « Gallini » n'est autre chose
qu'une sous-variété du coton « Sea-Island ».
Comme ce dernier, il a été cultivé jadis en
Égypte pendant plus de 3o ou 40 ans; au-
jourd'hui il est complètement abandonné et
a fait place, comme le Sea-Island d'ailleurs,
aux « Suit-Afifi », « Abbassi » et « Janno-
vich », etc.
« Le Gallini,qui tire son nom du villagede
Gallin, provincede Gharbieh (Basse-Égypte),
vient mieux que les autres sur les terres
salantes. Sa fibre est très fine et très appré-
ciée. Elle vaut celle du meilleur Sea-Island.
Néanmoins, à cause de son rendement peu
élevé, de sa tardivité et de son faible rende-
ment à l'égrenage, il fut abandonné en même
temps que le Sea-Island qui lui a donné
naissance. t
« L'égrenage du Gallini présente aussi
quelques difficultés à cause de la longueur
de sa fibre et de la ténuité de cette dernière.
« Les variétés sus-mentionnées et le « Ash-
mouni » sont celles qu'on cultive aujourd'hui
presque exclusivement en Égypte. »
Le problème des machines pour tresser
la paille de riz.
Lettre de M. F. MAIN.
Une maison de commission parisienne qui a
de gros intérêts aux Antilles, nous écrivait der-
nièrement :
A l'Office Colonial, où nous nous étions
adressés pour demander conseil, on nous
donne obligeamment l'adresse du « Journal
d'Agriculture Tropicale » pensant que vous
pourriez nous procurer le renseignement sui-
vant :
« Pourriez-vous nous indiquer un fabri-
cant faisant une machine pour tresser la
paille de riz ou toutes autres pailles exo-
tiques? Ce serait surtout pour la fabrication
de chapeaux. »
Nous nous sommes empressés de signaler à
nos correspondants les constructeurs qui font de
la publicité dans le Journal et qui nous parais-
saient capables de répondre au problème posé.
D'autre part, nous demandions l'avis de M. F.
MAIN ; voici ce qu'il nous écrit après être allé aux
renseignements :
* « Mon cher Directeur, En réponse à la
question que vous m'avez posée, je dois vous
dire qu'il n'existe pas de machines à tresser
la paille; la raison est qu'il faudrait sans
cesse faire des ligatures, ce qui n'est pos-
sible qu'à la main et arrêterait le travail du
métier. Toutes les pailles sont tressées à la
main: dans ces conditions, l'ouvrière insère
le nouveau brin de paille dans la tresse sans
faire de nœuds et sans qu'on puisse voir la
jonction une fois le travail terminé.
« D'ailleurs, déjà pour les tresses et nattes
de soie ou de cordonnet, les métiers sont
très compliqués; avec le souci d'introduire
de nouveaux brins à tout moment, ils devien-
draient absolument impraticables pour la
paille. »
Veuillez agréer, etc.
F. MAIN.
Serpes à cacao
Un avantage du modèle de J. H. HART.
Dans une note de notre 21, sur les Serpes à
cacao, nous mettions en cause M. OULIKU, de
Sainte-Lucie (Antilles britanniques) en lui deman-
dant de bien vouloir nous dire les avantages du
modèle préconisé par M. HART, directeur du Jardin
botanique de Trinidad. M. DULIEU nous répond :
« C'est par erreur sq ue
vous ai dit que je me sers de
la serpe de M. HART. Je me
sers de la serpe A (modèle
courant de Trinidad) de votre
n° 21. Le seul avantage que je
reconnaisse à la serpe E (mo-
dèle HART), c'est que si l'outil
n'est pas suffisamment affilé,
la forme E glissera sur le pé-
doncule du fruit, tandis que
l'outil A arrachera le fruit
en emportant un morceau de
l'écorce de l'arbre. Or, com-
me les fleurs du cacaoyer sor-
tent directement sur l'écorce,
la partie écorchée reste très
longtemps avant d'en pro-
duire de nouvelles. »
H. DULIEU
Fig.
Fig. 17.
- « Le coton « Gallini » n'est autre chose
qu'une sous-variété du coton « Sea-Island ».
Comme ce dernier, il a été cultivé jadis en
Égypte pendant plus de 3o ou 40 ans; au-
jourd'hui il est complètement abandonné et
a fait place, comme le Sea-Island d'ailleurs,
aux « Suit-Afifi », « Abbassi » et « Janno-
vich », etc.
« Le Gallini,qui tire son nom du villagede
Gallin, provincede Gharbieh (Basse-Égypte),
vient mieux que les autres sur les terres
salantes. Sa fibre est très fine et très appré-
ciée. Elle vaut celle du meilleur Sea-Island.
Néanmoins, à cause de son rendement peu
élevé, de sa tardivité et de son faible rende-
ment à l'égrenage, il fut abandonné en même
temps que le Sea-Island qui lui a donné
naissance. t
« L'égrenage du Gallini présente aussi
quelques difficultés à cause de la longueur
de sa fibre et de la ténuité de cette dernière.
« Les variétés sus-mentionnées et le « Ash-
mouni » sont celles qu'on cultive aujourd'hui
presque exclusivement en Égypte. »
Le problème des machines pour tresser
la paille de riz.
Lettre de M. F. MAIN.
Une maison de commission parisienne qui a
de gros intérêts aux Antilles, nous écrivait der-
nièrement :
A l'Office Colonial, où nous nous étions
adressés pour demander conseil, on nous
donne obligeamment l'adresse du « Journal
d'Agriculture Tropicale » pensant que vous
pourriez nous procurer le renseignement sui-
vant :
« Pourriez-vous nous indiquer un fabri-
cant faisant une machine pour tresser la
paille de riz ou toutes autres pailles exo-
tiques? Ce serait surtout pour la fabrication
de chapeaux. »
Nous nous sommes empressés de signaler à
nos correspondants les constructeurs qui font de
la publicité dans le Journal et qui nous parais-
saient capables de répondre au problème posé.
D'autre part, nous demandions l'avis de M. F.
MAIN ; voici ce qu'il nous écrit après être allé aux
renseignements :
* « Mon cher Directeur, En réponse à la
question que vous m'avez posée, je dois vous
dire qu'il n'existe pas de machines à tresser
la paille; la raison est qu'il faudrait sans
cesse faire des ligatures, ce qui n'est pos-
sible qu'à la main et arrêterait le travail du
métier. Toutes les pailles sont tressées à la
main: dans ces conditions, l'ouvrière insère
le nouveau brin de paille dans la tresse sans
faire de nœuds et sans qu'on puisse voir la
jonction une fois le travail terminé.
« D'ailleurs, déjà pour les tresses et nattes
de soie ou de cordonnet, les métiers sont
très compliqués; avec le souci d'introduire
de nouveaux brins à tout moment, ils devien-
draient absolument impraticables pour la
paille. »
Veuillez agréer, etc.
F. MAIN.
Serpes à cacao
Un avantage du modèle de J. H. HART.
Dans une note de notre 21, sur les Serpes à
cacao, nous mettions en cause M. OULIKU, de
Sainte-Lucie (Antilles britanniques) en lui deman-
dant de bien vouloir nous dire les avantages du
modèle préconisé par M. HART, directeur du Jardin
botanique de Trinidad. M. DULIEU nous répond :
« C'est par erreur sq ue
vous ai dit que je me sers de
la serpe de M. HART. Je me
sers de la serpe A (modèle
courant de Trinidad) de votre
n° 21. Le seul avantage que je
reconnaisse à la serpe E (mo-
dèle HART), c'est que si l'outil
n'est pas suffisamment affilé,
la forme E glissera sur le pé-
doncule du fruit, tandis que
l'outil A arrachera le fruit
en emportant un morceau de
l'écorce de l'arbre. Or, com-
me les fleurs du cacaoyer sor-
tent directement sur l'écorce,
la partie écorchée reste très
longtemps avant d'en pro-
duire de nouvelles. »
H. DULIEU
Fig.
Fig. 17.
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