Titre : Journal d'agriculture tropicale : agricole, scientifique et commercial / dir. Jean Vilbouchevitch
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1913-04-30
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343782789
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 30 avril 1913 30 avril 1913
Description : 1913/04/30 (A13,N142). 1913/04/30 (A13,N142).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6418412h
Source : CIRAD, 2012-235759
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 14/02/2013
98 JOURNAL D'AGRICULTURE TROPICALE o H2 - AYRIL 1913
voir sur la figure, et se rejoignant au tation. Ce trempage est fort long; il dure
FIG. 2.' — Machine à ouvrir les noix de coco.
parfois un an, généralement
plusieurs mois, et les divers
procédés qui ont été préco-
nisés pour en réduire la durée
à quelques jours ou quelques
heures ne semblent pas avoir
donné dans la pratique des
résultats susceptibles d'en
généraliser l'emploi.
Avant l'extraction propre-
ment dite, il est bon de faire
subir aux enveloppes un bro-
yage qui facilite le travail en
opérant déjà une première
séparation des fibres et des
débris du trempage. C'est le
but du broyeur (fig. 3) sim-
plement composé de deux
cylindres profondément can-
nelés, entre lesquels on fait
passer les coques; elles en
ressorlent aplaties, les fibres
déià partiellement libérées de
milieu du conduit qui prolonge la trémie la matière qui les agglutine. Puis on passe
en bas. La noix est saisie par le
mouvement de ces couteaux et
entraînée de haut en bas; rapi-
dement entamée, elle tombe sur
le sol en trois parties parfai-
tement séparées. Des renseigne-
ments que nous avons reçus
d'un de nos abonnés qui utilise
une de ces machines, le débit
atteint 44.000 noix par jour, ce
qui représente le travail de plus
de 14 ouvriers exercés, car on
admet qu'il faut un ouvrier bien
exercé pour arriver à ouvrir
1.000 noix par jour. -
L'opération suivante ne peut
se faire à la machine, tout au
moins jusqu'à nouvel ordre. On
considère, en effet, que le trem-
page ou rouissage a non seu-
lement pour résultat d'amollir
les fibres et de préparer leur
séparation, mais aussi de leur donner une
couleur jaune favorable à leur présen-
à l'extracteur (fig. 4). On travaille géné-
ralement avec deux machines, une dégros-
FiG. 3. — Machine à broyer les coques.
voir sur la figure, et se rejoignant au tation. Ce trempage est fort long; il dure
FIG. 2.' — Machine à ouvrir les noix de coco.
parfois un an, généralement
plusieurs mois, et les divers
procédés qui ont été préco-
nisés pour en réduire la durée
à quelques jours ou quelques
heures ne semblent pas avoir
donné dans la pratique des
résultats susceptibles d'en
généraliser l'emploi.
Avant l'extraction propre-
ment dite, il est bon de faire
subir aux enveloppes un bro-
yage qui facilite le travail en
opérant déjà une première
séparation des fibres et des
débris du trempage. C'est le
but du broyeur (fig. 3) sim-
plement composé de deux
cylindres profondément can-
nelés, entre lesquels on fait
passer les coques; elles en
ressorlent aplaties, les fibres
déià partiellement libérées de
milieu du conduit qui prolonge la trémie la matière qui les agglutine. Puis on passe
en bas. La noix est saisie par le
mouvement de ces couteaux et
entraînée de haut en bas; rapi-
dement entamée, elle tombe sur
le sol en trois parties parfai-
tement séparées. Des renseigne-
ments que nous avons reçus
d'un de nos abonnés qui utilise
une de ces machines, le débit
atteint 44.000 noix par jour, ce
qui représente le travail de plus
de 14 ouvriers exercés, car on
admet qu'il faut un ouvrier bien
exercé pour arriver à ouvrir
1.000 noix par jour. -
L'opération suivante ne peut
se faire à la machine, tout au
moins jusqu'à nouvel ordre. On
considère, en effet, que le trem-
page ou rouissage a non seu-
lement pour résultat d'amollir
les fibres et de préparer leur
séparation, mais aussi de leur donner une
couleur jaune favorable à leur présen-
à l'extracteur (fig. 4). On travaille géné-
ralement avec deux machines, une dégros-
FiG. 3. — Machine à broyer les coques.
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