Titre : L'Afrique française : bulletin mensuel du Comité de l'Afrique française et du Comité du Maroc
Auteur : Comité de l'Afrique française. Auteur du texte
Auteur : Comité du Maroc (Paris). Auteur du texte
Éditeur : Comité de l'Afrique française (Paris)
Date d'édition : 1919-01-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32683501s
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 janvier 1919 01 janvier 1919
Description : 1919/01/01 (N1)-1919/12/31 (N12). 1919/01/01 (N1)-1919/12/31 (N12).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k98041559
Source : CIRAD, 2017-132476
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 22/10/2017
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- SOMMAIRE
- Nos 1 et 2
- Nos 3 et 4
- Nos 5 et 6
- .......... Page(s) .......... 107
- .......... Page(s) .......... 111
- Nos 7 et 8
- Nos 9 et 10
BULLETIN DU COMITÉ DE L'AFRIQUE FRANÇAISE
corps d'occupation restant à la charge de l'Etat par appli-
cation de la loi de finances du 13 avril 1900, les dépenses
d'administration — partagées entre le budget local et le
budget général du groupe— s'élèveraient annuellement,
croit-on, à moins de 4 millions, cependant que les recettes
monteraient à 6 millions et demi. L'équilibre budgétaire
serait donc assuré sans subvention de la métropole.
*
* *
Il faut assurer l'avenir de ces colonies qui se
sont montrées si utiles pour la France. M. Lan-
dry y insiste longuement. Il préconise le déve-
loppement de la production, la création d'un ou-
tillage, l'organisation du crédit bancaire, une
bonne politique indigène, des réformes adminis-
tratives, etc. :
4 Pour la mise en valeur complète ,de nos colonies, il ne
suffit pas d'établir des programmes et d'écrire :« agis-
sons ». La métropole est profondément intéressée au déve-
loppement et à l'enrichissement rapides d'e nos colonies.
Aussi convient-il,v dans le plan financier pour l'aprés-
guerre que le facteur colonial ne soit point négligé. A cet
égard, il n'est pas inutile de rappeler que pour produire,
il est nécessaire de dépenser, et dedépenserlargement.
L'Etat devra donc faire encore des sacrifices pour les
colonies. Ils représenteront un placement qui vaudra bien
ceux qu'une épargne mal renseignéeet surtout mal dirigée
effectuait avant la guerre à l'étranger. Certains capitaux
allies, notamment ceux des Etats-Unis, pourront également
nous venir en aide. Enfin, les Français devront compter sur
eux-mêmes. Beaucoup se sont plaints, au cours de cette
guerre, de l'Intervention excessive de l'Etat dans la vie
économique du pays. Ils pourraient donner une preuve dé-
cisive de la valeur supérieure de l'initiative privée en
concourant spontanément, par leurs, personnes et parleurs
capitaux, au développement de nos possessions. Malheu-
reusement, les Français connaissent mal leurs colonies ;
c'est pour cela qu'ils s'y intéressent insuffisamment. De
même que, dans l'ordre matériel, le mot d'ordre devrait
être: c( outillage et bateaux » de même,dans l'ordre moral,
le mot d'ordre devrait être I( propagande '». Il ne saurait,
en effet, se faire de grandes choses dans nos colonies sans
ces puissants mouvements d'opinion qui, dans une démo-
cratie, conditionnent tous les efforts, tous les progrès.
*
# * \
Les dépenses civiles du ministère des Colonies
pour 1-919 sont prévues a24 millions 1/2.
A noter que la Commission du budget a élevé
de 300.000 francs les prévisions du ministre pour
encourager la culture du coton.
mis
RENSE!GNEMENTS DIVERS
Décorations. — Sont promus ou nommés dans la Légion
d'honneur :
MINISTÈRE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES. — Au grade de grand
officier : M. Jacquin de Mapgerie, ministre de France à Bruxelles;
au grade de commandeur M. Defraneo, haut commissaire en
Orient, ancien ministre à Bruxelles et au Caire ; au grade
d'officier : MM. de Peretti de la Rocca, ministre plénipotentiaire,
sous-directeur d'Afrique au ministère, Boisso'nnas, ministre plé-
nipotentiaire à Tanger, Gallini, délégué à la conférence consulta-
tive de'Tunisie ; au grade -de chevalier MM. Campana, ancien
consul, à Tanger, Gnouffre de Lapradelle, jurisconsulte du minis-
tère, J. Herbelte, rédacteur au Temps. Blanc, premier drogman de
la Résidence générale de France au Maroc, Manceron', secrétaire
général du gouvernement tunisien.
MINISTÈRE nEs COLONIES. - Au grade de commandeur: M. Gour-
beil, gouverneur de la Guadeloupe au grade d'officier
MM. Schrameck, gouverneur général de Madagascar, Mevvart,
gouverneur des colonies, Toulet, procureur général en Afrique
occidentale, Thomann, administrateur en chef en Afrique équato-
riale, Marchand, administrateur en chef en Afrique occidentale,
Auber, directeur du service de santé de la Réunion.
Au grade de chevalier : MM. Bouchage, conseiller à la Cour
d'appel de la Réunion, Didelot, secrétaire général du Sénégal ; les
administrateurs Dupont, Baret, Muller" Lignières,Wième (Afrique
occidentale), Compagnon, Orsini (Madagascar), Jessel (Afrique
-équaioriale), Fournier (Cameroun), Donati, chef de bureau des
secrétariats généraux à la Côte des Somalis, Dupuy, ingénieur
des travaux publics en Afrique occidentale, Fauchère, inspecteur
général des services agricoles, à Madagascar, Salvat, directeur à *
l'Institut Pasteur de Tananarive, Némorin, médecin principal de
l'assistance médicale en Afrique occidentale, Prémont, maire de
Saint-Paul (Réunion).
MINISTÈRE DE LA GUERRE. — A la dignité de grand-officier :
M. LUI,aud, ancien gouverneur général de l'Algérie, commandeur
du 9 janvier 1914. Comme gouverneur général de l'Algérie, a
donné une énergique impulsion à tous les services placés sous ses
ordres; n'a cessé de se dévouer aux intérêts généraux du pays et
particulièrement à la défense nationale en organisant le recru-
tement indigène.
aiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiniiMiiiiiinniiiiniMiiiiiiniiiiniiiinniinnnniriiinniinnniiiiiiniiiiniiiiiiiiiinniii
BIBLIOGRAPHIE
Fremdenlegionar Kirsch, par HANSPAASCIIE; voyage
d'aventures du légionnaire Kirsch du Cameroun aux
tranchées allemandes, en 1914-1915, 1 vol. illustré de
'180 pages.
Encore une production de Berlin pour déblatérer contre la
Légion, dont le Livre d'Or au cours de la guerre est de nature à
répondre victorieusement et sans paroles à ces calomnies inlas-
sables d'outre-Rhin. Ce qui peut surprendre, c'est que cette
pomme de.discorde, que l'Allemagne. cultivait soigneusement pour
y trouver un jour à 1 occasion un prétexte de guerre; ait continue
à servir au cours même de la lutte. La bibliothèque reptilienne
s'augmente là d'un volume illustré agréablement, contenant même
des photographies de pièces militaires, cartes, plaques d'identité,
groupes de soldats, de manière à convaincre le lecteur de la soi-
disant véracité du récit.
C'est l'histoire d'un colon allemand du Cameroun, fait prison-
nier par les Anglais à bord d'un navire pris en Côte d'Or, au dé-
but de la guerre, fuyant au Dahomey; s'engageant volontairement
dans la Légion avec l'espoir de rejoindre, ainsi plus vite l'Alle-
magne, fuyant en France du dépôt de Bayonne, mais arrêté près
de la frontière espagnole, fuyant du camp de la Valbonne, puis
arrêté près de la frontière suisse, s'échappant enfin un jour des
tranchées françaises en Champagne, près de Prunay, et rejoignant
sa chère patrie. Nous' ne le regretterons pas, mais il nous paraît
exagéré de suivre l'auteùr de la préface qui trouve que le légion-
naire Kirsch est un exemple faisant honneur à « la manière et à la
culture allemandes »!
Tout' du long de son séjour à la Légion, ce sujet du Kaiser
ment effrontément à ses chefs, et s'en vante. C'est la confirmation
de celte thèse abominable que tout est juste et bon pour le bien de
la Patrie, que la fin justifie les moyens, que les traités sont des
chiffons de papier... C'est ainsi qu'il paye les indigènes du
Dahomey en boutons de culotte de la compagnie Warmann.
Nous retrouvons naturellement dans cette production les habi-
tuels mensonges allemands sur la Légion, le peloton de punition,
les inspections grotesques, la brutalité des médecins et des gradés,
le gâtisme de nos généraux. Rien ne trouve grâce devant ce
héros!
C'est en se donnant pour Suisse qu'il arrive au front de France,
où il nous décrit complaisamment les effets de l'artillerie alle-
mande sur nos troupes, qui ne sont que « chair à canon ». Il se
hâte de franchir les lignes, et s'enrôle dans la marine — ce qui
lui permet peut-être aujourd'hui de se prélasser dans les meubles
d'un palais impérial!
Ce qui nous apparaît de plus intéressant dans ce volume, c j est
la suscription qu'il porte: du 1ti'l° au 2(><>a mille: Ainsi donc ces
paroles venimeuses ont été répandues par les autorités officielles
à foison daus le pays, pour entretenir la haine par le mensonge,
et tâcher peut-être un jour d'exiger la suppression de ce «bagne» de
la Légion! Et l'Allemagne ne cessait pendant ce temps de se ré-
clamer de la: Société des Nations!
, é Lieutenant-colonel R. NORMAND,
du Génie.
Le Gérant :J. LEGRAND. $
paris. — Imprimerie Levé, 17, rue Cassette.
I
[texte_manquant]
corps d'occupation restant à la charge de l'Etat par appli-
cation de la loi de finances du 13 avril 1900, les dépenses
d'administration — partagées entre le budget local et le
budget général du groupe— s'élèveraient annuellement,
croit-on, à moins de 4 millions, cependant que les recettes
monteraient à 6 millions et demi. L'équilibre budgétaire
serait donc assuré sans subvention de la métropole.
*
* *
Il faut assurer l'avenir de ces colonies qui se
sont montrées si utiles pour la France. M. Lan-
dry y insiste longuement. Il préconise le déve-
loppement de la production, la création d'un ou-
tillage, l'organisation du crédit bancaire, une
bonne politique indigène, des réformes adminis-
tratives, etc. :
4 Pour la mise en valeur complète ,de nos colonies, il ne
suffit pas d'établir des programmes et d'écrire :« agis-
sons ». La métropole est profondément intéressée au déve-
loppement et à l'enrichissement rapides d'e nos colonies.
Aussi convient-il,v dans le plan financier pour l'aprés-
guerre que le facteur colonial ne soit point négligé. A cet
égard, il n'est pas inutile de rappeler que pour produire,
il est nécessaire de dépenser, et dedépenserlargement.
L'Etat devra donc faire encore des sacrifices pour les
colonies. Ils représenteront un placement qui vaudra bien
ceux qu'une épargne mal renseignéeet surtout mal dirigée
effectuait avant la guerre à l'étranger. Certains capitaux
allies, notamment ceux des Etats-Unis, pourront également
nous venir en aide. Enfin, les Français devront compter sur
eux-mêmes. Beaucoup se sont plaints, au cours de cette
guerre, de l'Intervention excessive de l'Etat dans la vie
économique du pays. Ils pourraient donner une preuve dé-
cisive de la valeur supérieure de l'initiative privée en
concourant spontanément, par leurs, personnes et parleurs
capitaux, au développement de nos possessions. Malheu-
reusement, les Français connaissent mal leurs colonies ;
c'est pour cela qu'ils s'y intéressent insuffisamment. De
même que, dans l'ordre matériel, le mot d'ordre devrait
être: c( outillage et bateaux » de même,dans l'ordre moral,
le mot d'ordre devrait être I( propagande '». Il ne saurait,
en effet, se faire de grandes choses dans nos colonies sans
ces puissants mouvements d'opinion qui, dans une démo-
cratie, conditionnent tous les efforts, tous les progrès.
*
# * \
Les dépenses civiles du ministère des Colonies
pour 1-919 sont prévues a24 millions 1/2.
A noter que la Commission du budget a élevé
de 300.000 francs les prévisions du ministre pour
encourager la culture du coton.
mis
RENSE!GNEMENTS DIVERS
Décorations. — Sont promus ou nommés dans la Légion
d'honneur :
MINISTÈRE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES. — Au grade de grand
officier : M. Jacquin de Mapgerie, ministre de France à Bruxelles;
au grade de commandeur M. Defraneo, haut commissaire en
Orient, ancien ministre à Bruxelles et au Caire ; au grade
d'officier : MM. de Peretti de la Rocca, ministre plénipotentiaire,
sous-directeur d'Afrique au ministère, Boisso'nnas, ministre plé-
nipotentiaire à Tanger, Gallini, délégué à la conférence consulta-
tive de'Tunisie ; au grade -de chevalier MM. Campana, ancien
consul, à Tanger, Gnouffre de Lapradelle, jurisconsulte du minis-
tère, J. Herbelte, rédacteur au Temps. Blanc, premier drogman de
la Résidence générale de France au Maroc, Manceron', secrétaire
général du gouvernement tunisien.
MINISTÈRE nEs COLONIES. - Au grade de commandeur: M. Gour-
beil, gouverneur de la Guadeloupe au grade d'officier
MM. Schrameck, gouverneur général de Madagascar, Mevvart,
gouverneur des colonies, Toulet, procureur général en Afrique
occidentale, Thomann, administrateur en chef en Afrique équato-
riale, Marchand, administrateur en chef en Afrique occidentale,
Auber, directeur du service de santé de la Réunion.
Au grade de chevalier : MM. Bouchage, conseiller à la Cour
d'appel de la Réunion, Didelot, secrétaire général du Sénégal ; les
administrateurs Dupont, Baret, Muller" Lignières,Wième (Afrique
occidentale), Compagnon, Orsini (Madagascar), Jessel (Afrique
-équaioriale), Fournier (Cameroun), Donati, chef de bureau des
secrétariats généraux à la Côte des Somalis, Dupuy, ingénieur
des travaux publics en Afrique occidentale, Fauchère, inspecteur
général des services agricoles, à Madagascar, Salvat, directeur à *
l'Institut Pasteur de Tananarive, Némorin, médecin principal de
l'assistance médicale en Afrique occidentale, Prémont, maire de
Saint-Paul (Réunion).
MINISTÈRE DE LA GUERRE. — A la dignité de grand-officier :
M. LUI,aud, ancien gouverneur général de l'Algérie, commandeur
du 9 janvier 1914. Comme gouverneur général de l'Algérie, a
donné une énergique impulsion à tous les services placés sous ses
ordres; n'a cessé de se dévouer aux intérêts généraux du pays et
particulièrement à la défense nationale en organisant le recru-
tement indigène.
aiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiniiMiiiiiinniiiiniMiiiiiiniiiiniiiinniinnnniriiinniinnniiiiiiniiiiniiiiiiiiiinniii
BIBLIOGRAPHIE
Fremdenlegionar Kirsch, par HANSPAASCIIE; voyage
d'aventures du légionnaire Kirsch du Cameroun aux
tranchées allemandes, en 1914-1915, 1 vol. illustré de
'180 pages.
Encore une production de Berlin pour déblatérer contre la
Légion, dont le Livre d'Or au cours de la guerre est de nature à
répondre victorieusement et sans paroles à ces calomnies inlas-
sables d'outre-Rhin. Ce qui peut surprendre, c'est que cette
pomme de.discorde, que l'Allemagne. cultivait soigneusement pour
y trouver un jour à 1 occasion un prétexte de guerre; ait continue
à servir au cours même de la lutte. La bibliothèque reptilienne
s'augmente là d'un volume illustré agréablement, contenant même
des photographies de pièces militaires, cartes, plaques d'identité,
groupes de soldats, de manière à convaincre le lecteur de la soi-
disant véracité du récit.
C'est l'histoire d'un colon allemand du Cameroun, fait prison-
nier par les Anglais à bord d'un navire pris en Côte d'Or, au dé-
but de la guerre, fuyant au Dahomey; s'engageant volontairement
dans la Légion avec l'espoir de rejoindre, ainsi plus vite l'Alle-
magne, fuyant en France du dépôt de Bayonne, mais arrêté près
de la frontière espagnole, fuyant du camp de la Valbonne, puis
arrêté près de la frontière suisse, s'échappant enfin un jour des
tranchées françaises en Champagne, près de Prunay, et rejoignant
sa chère patrie. Nous' ne le regretterons pas, mais il nous paraît
exagéré de suivre l'auteùr de la préface qui trouve que le légion-
naire Kirsch est un exemple faisant honneur à « la manière et à la
culture allemandes »!
Tout' du long de son séjour à la Légion, ce sujet du Kaiser
ment effrontément à ses chefs, et s'en vante. C'est la confirmation
de celte thèse abominable que tout est juste et bon pour le bien de
la Patrie, que la fin justifie les moyens, que les traités sont des
chiffons de papier... C'est ainsi qu'il paye les indigènes du
Dahomey en boutons de culotte de la compagnie Warmann.
Nous retrouvons naturellement dans cette production les habi-
tuels mensonges allemands sur la Légion, le peloton de punition,
les inspections grotesques, la brutalité des médecins et des gradés,
le gâtisme de nos généraux. Rien ne trouve grâce devant ce
héros!
C'est en se donnant pour Suisse qu'il arrive au front de France,
où il nous décrit complaisamment les effets de l'artillerie alle-
mande sur nos troupes, qui ne sont que « chair à canon ». Il se
hâte de franchir les lignes, et s'enrôle dans la marine — ce qui
lui permet peut-être aujourd'hui de se prélasser dans les meubles
d'un palais impérial!
Ce qui nous apparaît de plus intéressant dans ce volume, c j est
la suscription qu'il porte: du 1ti'l° au 2(><>a mille: Ainsi donc ces
paroles venimeuses ont été répandues par les autorités officielles
à foison daus le pays, pour entretenir la haine par le mensonge,
et tâcher peut-être un jour d'exiger la suppression de ce «bagne» de
la Légion! Et l'Allemagne ne cessait pendant ce temps de se ré-
clamer de la: Société des Nations!
, é Lieutenant-colonel R. NORMAND,
du Génie.
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