Titre : L'Afrique française : bulletin mensuel du Comité de l'Afrique française et du Comité du Maroc
Auteur : Comité de l'Afrique française. Auteur du texte
Auteur : Comité du Maroc (Paris). Auteur du texte
Éditeur : Comité de l'Afrique française (Paris)
Date d'édition : 1918-01-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32683501s
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 janvier 1918 01 janvier 1918
Description : 1918/01/01 (N1,A28)-1918/12/31 (N12,A28). 1918/01/01 (N1,A28)-1918/12/31 (N12,A28).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k9789150r
Source : CIRAD, 2017-132476
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 29/08/2017
54 BULLETIN DU COMITÉ
bre 1917, a superbement entraîné sa demi-sec.tion à l'attaque;
arrivé sur l'objectif a judicieusement manœuvré pour ré-
duire un centre de résistance et est tombé atteint de plu-
sieurs blessures en criant à son commandant de compagnie :
« C'est malheureux, mon lieutenant, je ne peux plus, je ne
peux plus ! »
DARIO, capitaine au 7e régiment d'infanterie coloniale.
« Chargé, le 22 août 191,4, à. Saint-Vincent (Belgique) de
jeter sa compagnie déployée sur la gauche du 7" colonial,
engagé à lond, a magnifiquement enlevé ses hommes, les a
entraînés sur la position indiquée où ils ont, sous sa direc-
tion, fortement retardé l'avance ennemie. Grièvement
blessé sur le champ de bataille, est tombé aux mains de
l'ennemi. »
CROLL, chef de bataillon au régiment d'infanterie colo-
niale du Maroc. « A su faire de son bataillon une unité de
combat de tout premier ordre, l'a conduit brillamment à
l'attaque du 23 octobre 1917 et a progressé à sa tête, sur
deux kilomètres et demi, jusqu'à l'objectif qui lui avait été
assigné, capturant plus de 300 prisonniers, 8-pièces de
gros calibre et de nombreusqs mitrailleuses. »
•J* BOUILLOUX, capitaine, au 1096 régiment d'artilleriç
lourde. « Officier d'une valeur technique, d'une énergie,
d'une bravoure remarquables. S'est distingué au Maroc,
sur le front français. Tué sur le front de 1'.,. au milieu de
sa batterie, le 24 octobre 1917, alors que, sous un violent
bombardement, il donnait les ordres de tir avec un admi-
rable mépris du danger. »
DE GAXAY, chef d'escadrons, commandant le 2E bataillon
du 401E régiment d'infanterie. « Le 27 octobre 1917, malgré
de grandes difficultés, a brillamment conduit son bataillon
à l'attaque, réduisant par d'adroites manœuvres les centres
de résistance adverses; a ainsi atteint son objectif, en a
organisé rap dement la défense. Blessé en fin d'attaque. »
DEPOM!iER, capitaine de la compagnie saharienne du
Touat-Gourara. a A fait preuve d'une énergie, d'une téna-
cité et de qualités militaires remarquabtes en se mainte-
nant, malgré des moyens insuffisants, pendant six mois, en
plein pays insurgé, à plus de 600 kilomètres de sa base
d'opérations. Grâce à ses qualités et à sa grande expérience
du Sahara, ainsi qu'à sa profonde connaissance des indi-
gènes, est parvenu à amener la soumission des Hoggar dis-
sidents et à rétablir l'ordre dans la région. »
GUILLAUME (Maurice-Joseph), chef de bataillon au 2" régi-
ment de marche de zouaves. «Le 25 novembre 1917, a lancé
son bataillon à l'attaque des positions allemandes, malgré
un feu violent de barrage ennemi. A atteint tous ses objeo-
tifs à 800 mètres de son point de départ, emportant les tran-
chées allemandes, réduisant les centres de résistance. A fait
de nombreux prisonniers et enlevé cinq mitrailleuses et
des minenwerfer. »
Du PEUTY, chef d'escadron de cavalerie au 41 régiment de
marche de zouaves. « Officier de cavalerie et aviateur hors
de pair, venu au 41 régiment de zouaves sur sa demande, a
pris à l'improviste, le 23 octobre 1917. sept minutes avant
l'heure de l'attaque, le commandement d'un bataillon dont
le chef et l'adjudant-major venaient d'être blessés. Sous un
feu violent de barrage, est sorti le premier de la tranchée,
suivi par tous ses zouaves, électrisés par sa volonté et sa
bravoure a conquis d'uu seul élan tous les objectifs assignés
à ses unités, fait à la garde impériale plus de 500 prison-
niers, capturé 17 canons et de nombreuses mitrailleuses, »
DERIEUYRE. lieutenant-colonel de l'infanterie coloniale.
« Chef de détachement; par les dispositions prises, a pu
ramener tous les hommes (977) qu'il commandait, lors du
torpillage d'un transport. »
CALISTI, lieutenant-colonel commandant le 43e régiment
d'infanterie coloniale. « Chef de corps de valeur, dont les
qualités militaires se sont affirmées à nouveau dans l'orga-
nisation et h défense se d'une position très importante, cons-
tamment bombardée. bouleversée et contre laquelle de
nombreux coups de main ont été tentés par l'ennemi
acharné il la reprendre. Blessé au cours d'une reconnais-
sance en première ligne, a refusé de se laisser évacuer et
a conserve son commandement. «
BOURGES, du bataillon de tirailleurs sénégalais Dl 3.
« Commandant une forte reconnaissance de 240 tirailleurs
méharistes et 700 auxiliaires indigènes, a, par de très judi- .
cieuses dispositions de combat, remporté un -magninque
succès sur les troupes du chef rebelle Kaossen, les mettant
en déroute complète et leur enlevant un canon, une mitrail-
leuse, un stock important de munitions 'd'artillerie et d'in- ~
fpiterie, et enfin un butin considérable en animaux et en
matériel. )J ,
MOHAMMED BEN SLIMAN, interprète civil à la mission mili-
taire française à... « Evadé de..., où il était établi avant la
guerre, est venu spontanément offrir ses services à la mis-
sion ; a participé à ce titre, sur sa demande, il plusieurs
opérations à l'intérieur et a toujours fait preuve d'un cou-
rage et d'une énergie remarquables. Le 8 octobre 1917, à...,
un détachement d'un officier et de 5 hommes dont il faisait
partie ayant été assailli de nuit par un parti, g'est offert à
l'officier pour aller parlementer et l'a fait avec le plus grand
sang-froid. Est reparti deux jours après avec un seul guide,
sur sa demande, pour aller à la recherche d'un autre déta-
chement dont on était sans nouvelles et alors qu'aucun
courrier du pays n'avait accepté cette mission. Blessé le
31 octobre 1917, au cours d'une reconnaissance sur la voie
ferrée de... »
RGLLET (Paul-Frédéric), lieutenant-colonel, commandant
le régiment de marche de la" légion étrangère. « Le...,
chargé d'exécuter avec le régiment de la légion, un coup
de m-ain à grande envergure sur un saillant important de
la ligne ennemie, a préparé et réussi l'opération prescrite,
avec une remarquable maîtrise, poussant 'les fractions
d'incursion à plus de 600 mètres dans les organisations
ennemies, couvrant la destruction méthodique d'observa.
toires et d'importants travaux ennemis, et ramenant dans
nos lignes, dans un ordre'parfait, à l'heure prévue, en su-
bissant des pertes minimes, 110 prisonniers, dont i3 sous-
officiers, et un important matériel. »
SCHULTZ (Théodore-Louis), lieutenant-colonel, comman-
dant le 78 régiment de marche de tirailleurs indigènes.
(e Le.... chargé d'exécuter avec son- régiment un coup de
main de grande envergure, l'a préparé avec un soin minu-
tieux et-une compétence remarquable. Grâce à. son ascen-
dant sur sa troupe, a obtenu un rendement merveilleux,
malgré des circonstances atmosphériques les plus défavo-
rables, exécutant son programme de point en point, détrui-
sant sur un front étendu les organisations et abris de
l'ennemi, ramenant 70 prisonniers, 10 mitrailleuses et un
nombreux matériel. »
DE PASCAL (Henri), chef de bataillon -au 7B régiment de
marche de tirailleurs indigènes. « Au cours de l'opération
du..., et pendant l'opération elle-même a, uru» fois de plus,
manifesté ses splendides qualités militaires, ijui en font un
chef complet. A lancé à l'assaut un bataillon manœuvrier
superbe d'entrain qui a rempli complètement sa mission,
ramené matériel et prisonniers, après avoir anéanti pour
de longs jours la position ennemie. »
GRANACHER (Emile), sous-lieutenant au régiment de
marche de la légion étrangère. « Beau type d'officier de
légion, dont l'intrépidité, la rigoureuse conscience et l'es-
prit de sacrifice faisaient l'admiration. de tous. Blessé griè-
vement le... en organisant le travail de ses pionniers sous
un très violent bombardement. »
DJEZRI BEN AïssA, mie 12058, soldat de 2e classe au 7e régi-
ment de marche de tirailleurs indigènes. « Le... dans un
mouvement de repli, à la fin d'un coup de main, son lieu-
tenant étant tombé entre les lignes allemandes et fran-
çaises, s'est précipité à son secours et a réussi à le ram'ener - J
dans la tranchée française, malgré un tir violent de mitrail-
leuses, en l'absence de brancardiers; l'a ensuite transporté
au poste de secours situé à une assez grande distance. »
LE 201e RÉGIMENT D'INFANTERIE. « Sous le commandement
du lieutenant-colonel MOUGIN, s'est acquis une gloire nou-
velle en enlevant brillamment, à l'attaque du 31 juillet 1917,
plusieurs tranchées fortement organisées et en pénétrant
dans les lignes allemandes jusqu'à 3 kilomètres de pro-
fondeur. S'est maintenu ensuite pendant plusieurs jours
dans des trous remplis d'eau, malgré la tempête et un bom-
bardement violent; a réussi à étendre sa conquête, faisant
ainsi preuve d'un mordant et d'une vigueur admirables. »
bre 1917, a superbement entraîné sa demi-sec.tion à l'attaque;
arrivé sur l'objectif a judicieusement manœuvré pour ré-
duire un centre de résistance et est tombé atteint de plu-
sieurs blessures en criant à son commandant de compagnie :
« C'est malheureux, mon lieutenant, je ne peux plus, je ne
peux plus ! »
DARIO, capitaine au 7e régiment d'infanterie coloniale.
« Chargé, le 22 août 191,4, à. Saint-Vincent (Belgique) de
jeter sa compagnie déployée sur la gauche du 7" colonial,
engagé à lond, a magnifiquement enlevé ses hommes, les a
entraînés sur la position indiquée où ils ont, sous sa direc-
tion, fortement retardé l'avance ennemie. Grièvement
blessé sur le champ de bataille, est tombé aux mains de
l'ennemi. »
CROLL, chef de bataillon au régiment d'infanterie colo-
niale du Maroc. « A su faire de son bataillon une unité de
combat de tout premier ordre, l'a conduit brillamment à
l'attaque du 23 octobre 1917 et a progressé à sa tête, sur
deux kilomètres et demi, jusqu'à l'objectif qui lui avait été
assigné, capturant plus de 300 prisonniers, 8-pièces de
gros calibre et de nombreusqs mitrailleuses. »
•J* BOUILLOUX, capitaine, au 1096 régiment d'artilleriç
lourde. « Officier d'une valeur technique, d'une énergie,
d'une bravoure remarquables. S'est distingué au Maroc,
sur le front français. Tué sur le front de 1'.,. au milieu de
sa batterie, le 24 octobre 1917, alors que, sous un violent
bombardement, il donnait les ordres de tir avec un admi-
rable mépris du danger. »
DE GAXAY, chef d'escadrons, commandant le 2E bataillon
du 401E régiment d'infanterie. « Le 27 octobre 1917, malgré
de grandes difficultés, a brillamment conduit son bataillon
à l'attaque, réduisant par d'adroites manœuvres les centres
de résistance adverses; a ainsi atteint son objectif, en a
organisé rap dement la défense. Blessé en fin d'attaque. »
DEPOM!iER, capitaine de la compagnie saharienne du
Touat-Gourara. a A fait preuve d'une énergie, d'une téna-
cité et de qualités militaires remarquabtes en se mainte-
nant, malgré des moyens insuffisants, pendant six mois, en
plein pays insurgé, à plus de 600 kilomètres de sa base
d'opérations. Grâce à ses qualités et à sa grande expérience
du Sahara, ainsi qu'à sa profonde connaissance des indi-
gènes, est parvenu à amener la soumission des Hoggar dis-
sidents et à rétablir l'ordre dans la région. »
GUILLAUME (Maurice-Joseph), chef de bataillon au 2" régi-
ment de marche de zouaves. «Le 25 novembre 1917, a lancé
son bataillon à l'attaque des positions allemandes, malgré
un feu violent de barrage ennemi. A atteint tous ses objeo-
tifs à 800 mètres de son point de départ, emportant les tran-
chées allemandes, réduisant les centres de résistance. A fait
de nombreux prisonniers et enlevé cinq mitrailleuses et
des minenwerfer. »
Du PEUTY, chef d'escadron de cavalerie au 41 régiment de
marche de zouaves. « Officier de cavalerie et aviateur hors
de pair, venu au 41 régiment de zouaves sur sa demande, a
pris à l'improviste, le 23 octobre 1917. sept minutes avant
l'heure de l'attaque, le commandement d'un bataillon dont
le chef et l'adjudant-major venaient d'être blessés. Sous un
feu violent de barrage, est sorti le premier de la tranchée,
suivi par tous ses zouaves, électrisés par sa volonté et sa
bravoure a conquis d'uu seul élan tous les objectifs assignés
à ses unités, fait à la garde impériale plus de 500 prison-
niers, capturé 17 canons et de nombreuses mitrailleuses, »
DERIEUYRE. lieutenant-colonel de l'infanterie coloniale.
« Chef de détachement; par les dispositions prises, a pu
ramener tous les hommes (977) qu'il commandait, lors du
torpillage d'un transport. »
CALISTI, lieutenant-colonel commandant le 43e régiment
d'infanterie coloniale. « Chef de corps de valeur, dont les
qualités militaires se sont affirmées à nouveau dans l'orga-
nisation et h défense se d'une position très importante, cons-
tamment bombardée. bouleversée et contre laquelle de
nombreux coups de main ont été tentés par l'ennemi
acharné il la reprendre. Blessé au cours d'une reconnais-
sance en première ligne, a refusé de se laisser évacuer et
a conserve son commandement. «
BOURGES, du bataillon de tirailleurs sénégalais Dl 3.
« Commandant une forte reconnaissance de 240 tirailleurs
méharistes et 700 auxiliaires indigènes, a, par de très judi- .
cieuses dispositions de combat, remporté un -magninque
succès sur les troupes du chef rebelle Kaossen, les mettant
en déroute complète et leur enlevant un canon, une mitrail-
leuse, un stock important de munitions 'd'artillerie et d'in- ~
fpiterie, et enfin un butin considérable en animaux et en
matériel. )J ,
MOHAMMED BEN SLIMAN, interprète civil à la mission mili-
taire française à... « Evadé de..., où il était établi avant la
guerre, est venu spontanément offrir ses services à la mis-
sion ; a participé à ce titre, sur sa demande, il plusieurs
opérations à l'intérieur et a toujours fait preuve d'un cou-
rage et d'une énergie remarquables. Le 8 octobre 1917, à...,
un détachement d'un officier et de 5 hommes dont il faisait
partie ayant été assailli de nuit par un parti, g'est offert à
l'officier pour aller parlementer et l'a fait avec le plus grand
sang-froid. Est reparti deux jours après avec un seul guide,
sur sa demande, pour aller à la recherche d'un autre déta-
chement dont on était sans nouvelles et alors qu'aucun
courrier du pays n'avait accepté cette mission. Blessé le
31 octobre 1917, au cours d'une reconnaissance sur la voie
ferrée de... »
RGLLET (Paul-Frédéric), lieutenant-colonel, commandant
le régiment de marche de la" légion étrangère. « Le...,
chargé d'exécuter avec le régiment de la légion, un coup
de m-ain à grande envergure sur un saillant important de
la ligne ennemie, a préparé et réussi l'opération prescrite,
avec une remarquable maîtrise, poussant 'les fractions
d'incursion à plus de 600 mètres dans les organisations
ennemies, couvrant la destruction méthodique d'observa.
toires et d'importants travaux ennemis, et ramenant dans
nos lignes, dans un ordre'parfait, à l'heure prévue, en su-
bissant des pertes minimes, 110 prisonniers, dont i3 sous-
officiers, et un important matériel. »
SCHULTZ (Théodore-Louis), lieutenant-colonel, comman-
dant le 78 régiment de marche de tirailleurs indigènes.
(e Le.... chargé d'exécuter avec son- régiment un coup de
main de grande envergure, l'a préparé avec un soin minu-
tieux et-une compétence remarquable. Grâce à. son ascen-
dant sur sa troupe, a obtenu un rendement merveilleux,
malgré des circonstances atmosphériques les plus défavo-
rables, exécutant son programme de point en point, détrui-
sant sur un front étendu les organisations et abris de
l'ennemi, ramenant 70 prisonniers, 10 mitrailleuses et un
nombreux matériel. »
DE PASCAL (Henri), chef de bataillon -au 7B régiment de
marche de tirailleurs indigènes. « Au cours de l'opération
du..., et pendant l'opération elle-même a, uru» fois de plus,
manifesté ses splendides qualités militaires, ijui en font un
chef complet. A lancé à l'assaut un bataillon manœuvrier
superbe d'entrain qui a rempli complètement sa mission,
ramené matériel et prisonniers, après avoir anéanti pour
de longs jours la position ennemie. »
GRANACHER (Emile), sous-lieutenant au régiment de
marche de la légion étrangère. « Beau type d'officier de
légion, dont l'intrépidité, la rigoureuse conscience et l'es-
prit de sacrifice faisaient l'admiration. de tous. Blessé griè-
vement le... en organisant le travail de ses pionniers sous
un très violent bombardement. »
DJEZRI BEN AïssA, mie 12058, soldat de 2e classe au 7e régi-
ment de marche de tirailleurs indigènes. « Le... dans un
mouvement de repli, à la fin d'un coup de main, son lieu-
tenant étant tombé entre les lignes allemandes et fran-
çaises, s'est précipité à son secours et a réussi à le ram'ener - J
dans la tranchée française, malgré un tir violent de mitrail-
leuses, en l'absence de brancardiers; l'a ensuite transporté
au poste de secours situé à une assez grande distance. »
LE 201e RÉGIMENT D'INFANTERIE. « Sous le commandement
du lieutenant-colonel MOUGIN, s'est acquis une gloire nou-
velle en enlevant brillamment, à l'attaque du 31 juillet 1917,
plusieurs tranchées fortement organisées et en pénétrant
dans les lignes allemandes jusqu'à 3 kilomètres de pro-
fondeur. S'est maintenu ensuite pendant plusieurs jours
dans des trous remplis d'eau, malgré la tempête et un bom-
bardement violent; a réussi à étendre sa conquête, faisant
ainsi preuve d'un mordant et d'une vigueur admirables. »
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 98.5%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 98.5%.
- Auteurs similaires Comité de l'Afrique française Comité de l'Afrique française /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Comité de l'Afrique française" or dc.contributor adj "Comité de l'Afrique française")Comité du Maroc Comité du Maroc /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Comité du Maroc" or dc.contributor adj "Comité du Maroc")
-
-
Page
chiffre de pagination vue 60/720
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k9789150r/f60.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k9789150r/f60.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k9789150r/f60.image
- Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k9789150r
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k9789150r
Facebook
Twitter