Titre : L'Afrique française : bulletin mensuel du Comité de l'Afrique française et du Comité du Maroc
Auteur : Comité de l'Afrique française. Auteur du texte
Auteur : Comité du Maroc (Paris). Auteur du texte
Éditeur : Comité de l'Afrique française (Paris)
Date d'édition : 1918-01-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32683501s
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 janvier 1918 01 janvier 1918
Description : 1918/01/01 (N1,A28)-1918/12/31 (N12,A28). 1918/01/01 (N1,A28)-1918/12/31 (N12,A28).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k9789150r
Source : CIRAD, 2017-132476
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 29/08/2017
DE L'AFRIQUE FRANÇAISE 39
giques ; des bases navales qui lui permettent d'aspirer à
l'empire des mers et de menacer les colonies des autres
nations ; des territoires où lever de nouvelles et innom-
brables armées.
La conception coloniale des Alliés est diamétralement
opposée. La colonisation ne peut être à nos yeux un ins-
trument de domination militaire ou économique, ni un
moyen d'exploiter les naïfs en vue de fins métropolitaines.
Et quelles qu'aient pu être les controverses sur la coloni-
sation, jamais, parmi nous, dans les temps modernes,
l'idée d'une sorte de droit de propriété où d'usufruit des
métropoles sur les colonies n'a été acceptée. Pour nous,
l'occupation des territoires nouveaux est une charge que
les peuples civilisés ont le devoir d'accepter pour le profit
commun de l'humanité.
Le mouvement qui, depuis l'antiquité la plus haute,
porte Uhomrne à la meilleure étude et àla meilleure appro-
priation de la terre est irrésistible. Car le progrès et l'amé-
lior-ation des conditions humaines exigènt la mise en valeur
toujours plus parfaite des richesses du globe, l'élargis-
liment du domaine terrestre soumis à l'action méthodique
^ du travail civilisé.
Les devoirs de la Métropole. — La conception belge.
Mais les droits souverains que la Métropole exerce et
doit exercer librement sont et doivent être, pour elle, con-
ditionnés pjir les devoirs de protection et de tutelle qui
lui incombent vis-à-vis des natifs.
Et bien au-dessus des avantages économiques de la co-
lonisation, nous plaçons le but idéal, la grande pensée de
tonales hommes qui, dédaigneux des intérêts mesquins,
abandonnèrent leurs âmes aux Inspirations sublimes du
dévouement, du sacrifice, de l'héroïsme et surent élargir
les horizons de l'humanité ; de tous ceux — apôtres, sa-
vants, politiques-ou soldats — dont l'action étendit à tra-
vers Immonde le règne-de la justice, du droitetdel'amour.
Si riches, si puissante, si intelligents que soientles peu-
plés civilisés, leur tâche ne finira pas aussi longtemps qu'il
restera sur la terre des peuples barbares assis dans les
ténèbres et à l'ombre de la mort.
L'homme ne vit pas seulement de pain. Il vit aussi et
surtout de vérité, de juetice, de beauté, du pain intellec-
tuel qui nourrit, élèvé, exalte les âmes. Et les richesses,
et le bien-être et la sécurité nous importent bien moins que
ces biens supérieurs pour la sauvegarde desquels tant des
nôtres depuis trois ans ont donné leur vie. A nos âmes
déchirées mais inébranlables, la voix de ces morts glorieux
parle chaque jour pour nous redire que ce qui soutient
leurs frères d'armes, ce qui les a soutenus jusqu'au su-
prême sacrifice, c'est l'invincible espérance que s'ils suc-
combaient, leur mort ne serait pas vaine et qu'elle contri-
buerait à donner à l'humanité plus d'ordre, plus de lumière
plus de bonté.
Dans tous les domaines\et plus que jamais, qu'il s'agisse
des métropoles ou des colonies, notre politique doit s'ins-
pirer de, ces pensées.
Nous sentons profondément l'honneur dp. les appliquer
aux territoires africains qui dépendent de nous et ce senti-
ment rend le domaine d'Afrique particulièrement cher à
tous les Belges. ,
Les visées de l'Allemagne.
Telles sont les conceptions coloniales que nous entendons
réaliser. Assurément elles excluent la guerre. Ai-je be-
sin de le dire, la Belgique ne désirait faire la guerre ni
en Europe ni en Afrique. Elle y fut contrainte par un voi..
soin sans scrupule qui l'a envahie au mépris des traités,
comptant abuser de sa force pour s'emparer de notre ter-
ritoire en Europe et se créer à nos dépens, en Afiique,le
vaste empire qui devait s'étendra de l'océan Indien aux ri-
vages de l'Atlantique et englober le Congo belge. l'Afrique
Equatoriale Française et l'Angola. En Afrique comme en
Europe le coup fut attentivement préparé et, dans les cal-
culs de l'Allemagne, il devait être irrésistible. Forcés de
nous battre, nous avons fait .de notre mieux en Afrique
comme en Europe.
L'action militaire belge.
Noua avons combattu avee l'Angleterre et la France au
/
Cameroun ; arrêté les attaques des forces allemandes au
Nord de la Rhodésie ; défendu victorieusement notre fron-
tière de l'Est, et nous venons d'achever avec les Anglais
l'expulsion des îorces ennemies de l'Est Africain Alle-
mand. Nous l'avons fait pour défendre la cause du droit et
de l'avenir de la colonisation. Et nous disons qu'un des
buts et des résultats de cette guerre coloniale doit être de
démontrer qu'il n'est pas permis aux Etats puissants de
convoiter les territoires des petits Etats, et qu'il naît un *
régime international public où, dans l'avenir, le droit sera
respecté et la. force subordonnée. Le deuxième but que
nous avons poursuivi est d'extirper du sol africain le fléau
du militarisme à la prussienne.
Le passé colonial des Belges.
La guerre a fortifié chez les Belges l'esprit colonial.
Ceux-là seuls ont pu s'étonner de voir les Belges entre-
prendre si allégrement la'colonisation du Congo qui igno-
rent leur passe maritime et colonial. De tous temps, l'eg-
prit entreprenant de notre race s'est manifesté dans les
lointaines expéditions d'outie-mer ; je ne citerai que deux
exemples fameux : la part considérable que les Belges ont
-eue dans la conquête et l'organisation des Indes Néerlan-
daises et au xviiie siècle la splendide initiative de la « Com-
pagnie d'Ostende » que la faiblesse de l'empereur Charles VI
sacrifia si malheureusement. Chez nous, comme partout
ailleurs, la politique coloniale fut une source de contro-
verses. Mais aujourd'hui, sur la question coloniale, l'unité
est faite dans les esprits ; il n'est pas un Belge qui ne
considère le Congo comme une partie intégrante de la patrie
et qui ne soit résolu à poursuivre la tàche assumée par la
nation en 1908 jusqu'à son plein épanouissement.
Un rayon consolateur.
La rude école de la guerre a éclairé tous les esprits.
Dans la nuit noire où l'invasion l'avait jetée pour si. long-
temps, la Belgique, mère martyrisée, vit briller un rayon
consolateur. Il venait de la Colonie. Au premier moment,
tous avaient cru la Colonie, tout au moins la prospérité de
la Colonie, compromise Mais ceux des enfants de la Bel-
gique, au dévouement desquels étaient confiées l'adminis-
tration de notre possession d'Afrique et sa sauvegarde,
tinrent bon sous la rafale. Et au bout de peu de temps,
l'épreuve démontrait à la fois la valeur de'notre adminis-
tration du Congo, la fidélité de ses populations, la richesse
de ses ressources, le courage de ses soldats. Dans tous
les districts, même les plus turbulents, la tranquillité ré-
gnait, l'impôt rentrait facilement, la santé publique s'amé-
liorait, les natifs déployaient upe fidélité, un dévouement
qui, malgré les lourdes charges de la guerre, ne se sont
point démentis ; les exportations triplaient et nous ache-
vions deux lignes de chemin de fer, portant ainsi à 2.130
le nombre de kilomètres construits.
Ces indices permettent de croire que la politique colo-
niale de la Belgique répond aux besoins des populations. -
Et du point de vue international, nous pouvons cons-
tater que les Belges, demeurés libres de leur action eI).
Afrique, ont pu contribuer utilement au ravitaillement
des Alliés, leur porter une assistance 'victorieuse contre
l'ennemi commun et donner ainsi une preuve nouvelle de
l'indomptable résolution du peuple belge.
L'avenir de l'Afrique centrale.
On a beaucoup parlé en ces derniers temps du sort de
l'Afrique centrale. Le sort de ces'territoires est réglé de-
puis longtemps pour tout ce qui n'était pas possessions
allemandes. Et quant au sort des possessions allemandes;
il ne m'appartient ni de pronostiquer, ni de suggérer.
Il fut récemment question d'internationalisation du bas-
sin conventionnel ou, à défaut d'internationalisation com-
plète, d'un contrôle international pour la protection des
indigènes. Ce sont là des idées très généreuses peut-être.
mais impraticables, contraires à la notion de souveraineté
et incompatibles avec la justice.
Aucune souveraineté ne pourrait se soumettre au con-
trôle de tiers, sans consentir à un amoindrissement, et si
l'on voit bien qu'un tel régime est sans conséquence pour
les forts'et dangereux pour les faibles dont nous sommes,
on nA v.)it pas quelle garantie peuveat offrir de?» commis
giques ; des bases navales qui lui permettent d'aspirer à
l'empire des mers et de menacer les colonies des autres
nations ; des territoires où lever de nouvelles et innom-
brables armées.
La conception coloniale des Alliés est diamétralement
opposée. La colonisation ne peut être à nos yeux un ins-
trument de domination militaire ou économique, ni un
moyen d'exploiter les naïfs en vue de fins métropolitaines.
Et quelles qu'aient pu être les controverses sur la coloni-
sation, jamais, parmi nous, dans les temps modernes,
l'idée d'une sorte de droit de propriété où d'usufruit des
métropoles sur les colonies n'a été acceptée. Pour nous,
l'occupation des territoires nouveaux est une charge que
les peuples civilisés ont le devoir d'accepter pour le profit
commun de l'humanité.
Le mouvement qui, depuis l'antiquité la plus haute,
porte Uhomrne à la meilleure étude et àla meilleure appro-
priation de la terre est irrésistible. Car le progrès et l'amé-
lior-ation des conditions humaines exigènt la mise en valeur
toujours plus parfaite des richesses du globe, l'élargis-
liment du domaine terrestre soumis à l'action méthodique
^ du travail civilisé.
Les devoirs de la Métropole. — La conception belge.
Mais les droits souverains que la Métropole exerce et
doit exercer librement sont et doivent être, pour elle, con-
ditionnés pjir les devoirs de protection et de tutelle qui
lui incombent vis-à-vis des natifs.
Et bien au-dessus des avantages économiques de la co-
lonisation, nous plaçons le but idéal, la grande pensée de
tonales hommes qui, dédaigneux des intérêts mesquins,
abandonnèrent leurs âmes aux Inspirations sublimes du
dévouement, du sacrifice, de l'héroïsme et surent élargir
les horizons de l'humanité ; de tous ceux — apôtres, sa-
vants, politiques-ou soldats — dont l'action étendit à tra-
vers Immonde le règne-de la justice, du droitetdel'amour.
Si riches, si puissante, si intelligents que soientles peu-
plés civilisés, leur tâche ne finira pas aussi longtemps qu'il
restera sur la terre des peuples barbares assis dans les
ténèbres et à l'ombre de la mort.
L'homme ne vit pas seulement de pain. Il vit aussi et
surtout de vérité, de juetice, de beauté, du pain intellec-
tuel qui nourrit, élèvé, exalte les âmes. Et les richesses,
et le bien-être et la sécurité nous importent bien moins que
ces biens supérieurs pour la sauvegarde desquels tant des
nôtres depuis trois ans ont donné leur vie. A nos âmes
déchirées mais inébranlables, la voix de ces morts glorieux
parle chaque jour pour nous redire que ce qui soutient
leurs frères d'armes, ce qui les a soutenus jusqu'au su-
prême sacrifice, c'est l'invincible espérance que s'ils suc-
combaient, leur mort ne serait pas vaine et qu'elle contri-
buerait à donner à l'humanité plus d'ordre, plus de lumière
plus de bonté.
Dans tous les domaines\et plus que jamais, qu'il s'agisse
des métropoles ou des colonies, notre politique doit s'ins-
pirer de, ces pensées.
Nous sentons profondément l'honneur dp. les appliquer
aux territoires africains qui dépendent de nous et ce senti-
ment rend le domaine d'Afrique particulièrement cher à
tous les Belges. ,
Les visées de l'Allemagne.
Telles sont les conceptions coloniales que nous entendons
réaliser. Assurément elles excluent la guerre. Ai-je be-
sin de le dire, la Belgique ne désirait faire la guerre ni
en Europe ni en Afrique. Elle y fut contrainte par un voi..
soin sans scrupule qui l'a envahie au mépris des traités,
comptant abuser de sa force pour s'emparer de notre ter-
ritoire en Europe et se créer à nos dépens, en Afiique,le
vaste empire qui devait s'étendra de l'océan Indien aux ri-
vages de l'Atlantique et englober le Congo belge. l'Afrique
Equatoriale Française et l'Angola. En Afrique comme en
Europe le coup fut attentivement préparé et, dans les cal-
culs de l'Allemagne, il devait être irrésistible. Forcés de
nous battre, nous avons fait .de notre mieux en Afrique
comme en Europe.
L'action militaire belge.
Noua avons combattu avee l'Angleterre et la France au
/
Cameroun ; arrêté les attaques des forces allemandes au
Nord de la Rhodésie ; défendu victorieusement notre fron-
tière de l'Est, et nous venons d'achever avec les Anglais
l'expulsion des îorces ennemies de l'Est Africain Alle-
mand. Nous l'avons fait pour défendre la cause du droit et
de l'avenir de la colonisation. Et nous disons qu'un des
buts et des résultats de cette guerre coloniale doit être de
démontrer qu'il n'est pas permis aux Etats puissants de
convoiter les territoires des petits Etats, et qu'il naît un *
régime international public où, dans l'avenir, le droit sera
respecté et la. force subordonnée. Le deuxième but que
nous avons poursuivi est d'extirper du sol africain le fléau
du militarisme à la prussienne.
Le passé colonial des Belges.
La guerre a fortifié chez les Belges l'esprit colonial.
Ceux-là seuls ont pu s'étonner de voir les Belges entre-
prendre si allégrement la'colonisation du Congo qui igno-
rent leur passe maritime et colonial. De tous temps, l'eg-
prit entreprenant de notre race s'est manifesté dans les
lointaines expéditions d'outie-mer ; je ne citerai que deux
exemples fameux : la part considérable que les Belges ont
-eue dans la conquête et l'organisation des Indes Néerlan-
daises et au xviiie siècle la splendide initiative de la « Com-
pagnie d'Ostende » que la faiblesse de l'empereur Charles VI
sacrifia si malheureusement. Chez nous, comme partout
ailleurs, la politique coloniale fut une source de contro-
verses. Mais aujourd'hui, sur la question coloniale, l'unité
est faite dans les esprits ; il n'est pas un Belge qui ne
considère le Congo comme une partie intégrante de la patrie
et qui ne soit résolu à poursuivre la tàche assumée par la
nation en 1908 jusqu'à son plein épanouissement.
Un rayon consolateur.
La rude école de la guerre a éclairé tous les esprits.
Dans la nuit noire où l'invasion l'avait jetée pour si. long-
temps, la Belgique, mère martyrisée, vit briller un rayon
consolateur. Il venait de la Colonie. Au premier moment,
tous avaient cru la Colonie, tout au moins la prospérité de
la Colonie, compromise Mais ceux des enfants de la Bel-
gique, au dévouement desquels étaient confiées l'adminis-
tration de notre possession d'Afrique et sa sauvegarde,
tinrent bon sous la rafale. Et au bout de peu de temps,
l'épreuve démontrait à la fois la valeur de'notre adminis-
tration du Congo, la fidélité de ses populations, la richesse
de ses ressources, le courage de ses soldats. Dans tous
les districts, même les plus turbulents, la tranquillité ré-
gnait, l'impôt rentrait facilement, la santé publique s'amé-
liorait, les natifs déployaient upe fidélité, un dévouement
qui, malgré les lourdes charges de la guerre, ne se sont
point démentis ; les exportations triplaient et nous ache-
vions deux lignes de chemin de fer, portant ainsi à 2.130
le nombre de kilomètres construits.
Ces indices permettent de croire que la politique colo-
niale de la Belgique répond aux besoins des populations. -
Et du point de vue international, nous pouvons cons-
tater que les Belges, demeurés libres de leur action eI).
Afrique, ont pu contribuer utilement au ravitaillement
des Alliés, leur porter une assistance 'victorieuse contre
l'ennemi commun et donner ainsi une preuve nouvelle de
l'indomptable résolution du peuple belge.
L'avenir de l'Afrique centrale.
On a beaucoup parlé en ces derniers temps du sort de
l'Afrique centrale. Le sort de ces'territoires est réglé de-
puis longtemps pour tout ce qui n'était pas possessions
allemandes. Et quant au sort des possessions allemandes;
il ne m'appartient ni de pronostiquer, ni de suggérer.
Il fut récemment question d'internationalisation du bas-
sin conventionnel ou, à défaut d'internationalisation com-
plète, d'un contrôle international pour la protection des
indigènes. Ce sont là des idées très généreuses peut-être.
mais impraticables, contraires à la notion de souveraineté
et incompatibles avec la justice.
Aucune souveraineté ne pourrait se soumettre au con-
trôle de tiers, sans consentir à un amoindrissement, et si
l'on voit bien qu'un tel régime est sans conséquence pour
les forts'et dangereux pour les faibles dont nous sommes,
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