Titre : L'Afrique française : bulletin mensuel du Comité de l'Afrique française et du Comité du Maroc
Auteur : Comité de l'Afrique française. Auteur du texte
Auteur : Comité du Maroc (Paris). Auteur du texte
Éditeur : Comité de l'Afrique française (Paris)
Date d'édition : 1918-01-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32683501s
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 janvier 1918 01 janvier 1918
Description : 1918/01/01 (N1,A28)-1918/12/31 (N12,A28). 1918/01/01 (N1,A28)-1918/12/31 (N12,A28).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k9789150r
Source : CIRAD, 2017-132476
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 29/08/2017
17N BULLETIN DU COMITÉ
l'après-guerre qui, sans plus Larder, doivent retenir notre
attention, si nous ne voulons pas arriver désarmés dans la-
grande compétition mondiale qui suivra la fin des hostilités.
Une des questions les plus vitales pour l'Algérie est celle
qui vise l'amélioration de ses relations maritimes avec la-
métropole. L'expérience du passé, les brillantes discussions
auxquelles l'étude de ce grave problème a donné lieu dans
l'assemblée des Délégations, les remarquables travaux de
la commission spéciale des services maritimes postaux que
présidait à Paris l'honorable M. Pams, nous acheminent
vers une solution qui se propose de concilier les principes
de la liberté commerciale avec les droits de contrôle de
l'Etat et les intérêts supérieurs de la collectivité algérienne.
Le problème ne laisse pas d'être très complexe. La période
d'examen a beaucoup duré. Espérons que nous allons entrer
dans la période des décisions.
Agriculture. — Mines. — Tourisme.
Qu'il s'agisse de l'Agriculture, des Mines, du Tourisme,
c'est vers une exploitation de plus en plus rationnelle et
méthodique des richesses de ce pays que nous devons di-
riger nos efforts. Une organisation mieux étudiée de ses
ressources agricoles permettra à l'Algérie de perfectionner
et surtout de varier ses cultures, de développer son éle-
vage, d'utiliser davantage ses forêts.
Pour stimuler les initiatives industrielles et favoriser
leur essor, nous devons souhaiter d.es institutions de crédit
m'eux appropriées aux milieux et aux besoins de la colonie.-
Si nous ne considérons que la mise en- valeur des pro-
duits du sous-sol algérien, nous n'avons pas trop A re-
douter qu'elle manque des capitaux nécessaires Ils s'offri-
ront en abondance. Mais à une condition expresse. c'est
que l'on rt nonce à des procédures qui, trop souvent, dé-
couragent les initiatives et paralysent les énergies. L'Al-
gérie ne souffre pas seulement des lenteurs provenant de
l'application d'une législation formaliste à l'excès, mais
surtout des hésitations dues à l'incertitude que crée la pro-
longation de la période d'attente où nous vivons depuis de
trop longues années.
. L'application de la loi de 1810 sur les mines suscite des
méfiances et des résistances invincibles et elle est toujours
debout. L'Algérie est prête à harmoniser sa politique mi-
nière avec les vues générales de la politique française ; elle
demande que cette politique soit clairement définie, pré-
cisée dans des textes législatifs. Elle supplie qu'on la mette
en mesure d'assurer, sans plus de retard, l'exploitation des
richesses de son sous-sol et qu'on ne laisse pas la concur-
rence étrangère la devancer, la paix concilie, sur les .mar-
chés d'Europe et y prendre la place qu'elle peut et doit lé-
gitimement y occuper. Il est une autre source de richesse
qui autorise, elle aussi, des espérances presque illimitées :
le Tourisme.
Un i fflux de touristes signifiera pour l'Algérie des béné-
lices importants, la rentrée d'une très grande quantité d'or.
Tout ce qu'un pays'doit offrir pour attirer et retenir les
étrangers, beauté et variété des sites, douceur incompa-
rable du climat, charme pittoresque des habitants, l'Al-
gérie le possède. Mais, il lui manque l'organisation touris-
tique sans laquelle ces beautés naturelles resteront en
parlie méconnues. Il lui manque un agencement judicieux
des moyens de transport et des voies de communication
pour faciliter à tous l'accès de ces sites; l'exploitation de
ses richesses thermales qui sont considérables; un service
de propagande pour la faire mieux connaître en France et
à l'étranger. La question hôtelière, qui est capitale, mérite
d'être sérieusement étudiée et rapidement.
Le développement du tourisme dans la métropole est en
train de provoquer une ardente campagne qui se traduit
par la création de nombreuses écoles d'hôtellerie, par la
multiplication des Syndicats d'initiative régionaux, par une
préparation intensive pour l'après-guerre.Il estindispensable
que 1 'Algérie s'associe très étroitement à ce mouvement.
Le capital humain.
Mais en vériLé. Messieurs, le plus précieux des capitaux
à l'heure présente, c'est le capital humain. Après cette
guerre et ses effroyables, ses douloureuses hécatombes, la
multiplication du chiffre des naissances, la préservation
des vies humaines seront au premier rang des problèmes
qui réclameront impérieusement le suffrage des Pouvoirs
publics. Nos préoccupations les plusvives se portent de ce
côté. La question de la repopulation, l'aide auxiemmes en -
couches et le rayonnement des consultations de nourrissons
qui sont d'admirables écoles de mères, la lutte contre les
maladies les plus meurtrières, l'hygiène publique, toutes
les œuvres de puériculture et d'assistance sociale vont être
l'objet d'une enquête approfondie et qui sera tout entière
orientée vers de prochaines réalisations.
Pour chaque branche de cette vaste enquête, nous cher-
cherons les hommes les plus compétents par leurs con-
naissances techniques, les plus capables aussi d'aboutir
rapidement à des résultats. positifs.
Les élus des grands corps algériens compteront au nom-
bre de nos meilleurs collaborateurs. Par là, les assemblées
survivront en quelque sorte à leurs sessions ; elles travail-
leront d'une manière ininterrompue à augmenter sans cesse
la prospérité et le bien-être de la colonie.
Les élans du cœur seconderont et vivifieront l'accord des
intelligences et des volontés. Quand on veut secourir effi-
cacement ses semblables, la condition première est de les
aimer. L'admirable foisonnement des œuvres de guerre
algériennes, les millions donnés par l'Algérie pour venir en
aide aux victimes de la guerje, attestent d'une manière-
éclatante son infatigable générosité.
Chaque jour grandit la tâche de reconstitution nationale,
mais chaque jour s'affirme aussi notre ferme vouloir de
l'entreprendre courageusement, persévéramment. C'est un
prodigieux labeur qui s'impose à l'énergie créatrice de notre
peuple. Nous Wen concevons nul effroi. Le ressort de notre
race est tel que rien ne lui est impossible. L'union des
cœurs, le souvenir des périls conjurés, l'oubli des que-
relles intestines en face de l'ennemi détesté, vont tremper
plus fortement encore cette âme française, plus que jamais
indomptable, dont le rayonnement projette sur le monde
des clartés nouvelles et fait germer d'irréductibles sympa-
thies.
Les temps nouveaux.
La communauté des épreuves cimentera les alliances
dont nous sentons déjà tout le prix. Demain, les grandes
démocraties qui se sont dressées d'un même élan contre
l'odieuse violation des traités et les crimes inouïs de la .
barbarie moderne, se retrouveront indissolublement asso-
ciées dans les œuvres de paix. Nous verrons s'accomplir
les temps nouveaux: à l'ombre des drapeaux alliés, s'épa-
nouira l'idéal sublime des nations civilisées, fait de solida.
rité; de justice et d'humanité.
Reposons nos yeux, Messieurs, sur cette vision conso-
Jante qui fait battre à l'unisson les cœurs et fortifie les
résolutions et les espérances dans la nouvelle comme dans
la vieille France.
D'autre part, en clôturant, le 29 juin, la session
du Conseil supérieur, M. Jonnart a prononcé le
discours suivant :
/
f .
Dans un délai limité, trop limité à mon gré, le Conseil
supérieur a accompli la besogne qui lui est impartie. Je
souhaite vivement que, l'année prochaine, les circonstances
permettent de vous réunir à une époque moins tardive..
Vous avez confirmé les décisions prises par les Déléga-
tions financières. Ces décisions, qu'il s'agisse de la suppres-
sion des impôts arabes, de l'établissement des impôts cédu-
laires ou de l'impôt complémentaire sur le revenu global,
ou qu'il s'agisse des transports maritimes, ces décisions
n'ont pas été improvisées dans les six dernières semaines,
comme une partie du public peut se l'imaginer. Depuis
1912, elles figurent à l'ordre du jour de vos sessions.
L'étude s'en est poursuivie depuis cette époque. Vous êtes
arrivés cette année à la conclusion. On ne peut donc pas
dire qu'il a suffi de quelques jours ou de quelques semaines
pour décréter le nouveau régime impositaire. C'est l'abou-
tissement de projets envisagés plusieurs années avant la
guerre, et à chacune de vos sessions, depuis le commence-
ment des hostilités
Messieurs, la suppression des impôts arabes ne fera pas
une grande brèche dans votre budget. La lourde charge,
l'après-guerre qui, sans plus Larder, doivent retenir notre
attention, si nous ne voulons pas arriver désarmés dans la-
grande compétition mondiale qui suivra la fin des hostilités.
Une des questions les plus vitales pour l'Algérie est celle
qui vise l'amélioration de ses relations maritimes avec la-
métropole. L'expérience du passé, les brillantes discussions
auxquelles l'étude de ce grave problème a donné lieu dans
l'assemblée des Délégations, les remarquables travaux de
la commission spéciale des services maritimes postaux que
présidait à Paris l'honorable M. Pams, nous acheminent
vers une solution qui se propose de concilier les principes
de la liberté commerciale avec les droits de contrôle de
l'Etat et les intérêts supérieurs de la collectivité algérienne.
Le problème ne laisse pas d'être très complexe. La période
d'examen a beaucoup duré. Espérons que nous allons entrer
dans la période des décisions.
Agriculture. — Mines. — Tourisme.
Qu'il s'agisse de l'Agriculture, des Mines, du Tourisme,
c'est vers une exploitation de plus en plus rationnelle et
méthodique des richesses de ce pays que nous devons di-
riger nos efforts. Une organisation mieux étudiée de ses
ressources agricoles permettra à l'Algérie de perfectionner
et surtout de varier ses cultures, de développer son éle-
vage, d'utiliser davantage ses forêts.
Pour stimuler les initiatives industrielles et favoriser
leur essor, nous devons souhaiter d.es institutions de crédit
m'eux appropriées aux milieux et aux besoins de la colonie.-
Si nous ne considérons que la mise en- valeur des pro-
duits du sous-sol algérien, nous n'avons pas trop A re-
douter qu'elle manque des capitaux nécessaires Ils s'offri-
ront en abondance. Mais à une condition expresse. c'est
que l'on rt nonce à des procédures qui, trop souvent, dé-
couragent les initiatives et paralysent les énergies. L'Al-
gérie ne souffre pas seulement des lenteurs provenant de
l'application d'une législation formaliste à l'excès, mais
surtout des hésitations dues à l'incertitude que crée la pro-
longation de la période d'attente où nous vivons depuis de
trop longues années.
. L'application de la loi de 1810 sur les mines suscite des
méfiances et des résistances invincibles et elle est toujours
debout. L'Algérie est prête à harmoniser sa politique mi-
nière avec les vues générales de la politique française ; elle
demande que cette politique soit clairement définie, pré-
cisée dans des textes législatifs. Elle supplie qu'on la mette
en mesure d'assurer, sans plus de retard, l'exploitation des
richesses de son sous-sol et qu'on ne laisse pas la concur-
rence étrangère la devancer, la paix concilie, sur les .mar-
chés d'Europe et y prendre la place qu'elle peut et doit lé-
gitimement y occuper. Il est une autre source de richesse
qui autorise, elle aussi, des espérances presque illimitées :
le Tourisme.
Un i fflux de touristes signifiera pour l'Algérie des béné-
lices importants, la rentrée d'une très grande quantité d'or.
Tout ce qu'un pays'doit offrir pour attirer et retenir les
étrangers, beauté et variété des sites, douceur incompa-
rable du climat, charme pittoresque des habitants, l'Al-
gérie le possède. Mais, il lui manque l'organisation touris-
tique sans laquelle ces beautés naturelles resteront en
parlie méconnues. Il lui manque un agencement judicieux
des moyens de transport et des voies de communication
pour faciliter à tous l'accès de ces sites; l'exploitation de
ses richesses thermales qui sont considérables; un service
de propagande pour la faire mieux connaître en France et
à l'étranger. La question hôtelière, qui est capitale, mérite
d'être sérieusement étudiée et rapidement.
Le développement du tourisme dans la métropole est en
train de provoquer une ardente campagne qui se traduit
par la création de nombreuses écoles d'hôtellerie, par la
multiplication des Syndicats d'initiative régionaux, par une
préparation intensive pour l'après-guerre.Il estindispensable
que 1 'Algérie s'associe très étroitement à ce mouvement.
Le capital humain.
Mais en vériLé. Messieurs, le plus précieux des capitaux
à l'heure présente, c'est le capital humain. Après cette
guerre et ses effroyables, ses douloureuses hécatombes, la
multiplication du chiffre des naissances, la préservation
des vies humaines seront au premier rang des problèmes
qui réclameront impérieusement le suffrage des Pouvoirs
publics. Nos préoccupations les plusvives se portent de ce
côté. La question de la repopulation, l'aide auxiemmes en -
couches et le rayonnement des consultations de nourrissons
qui sont d'admirables écoles de mères, la lutte contre les
maladies les plus meurtrières, l'hygiène publique, toutes
les œuvres de puériculture et d'assistance sociale vont être
l'objet d'une enquête approfondie et qui sera tout entière
orientée vers de prochaines réalisations.
Pour chaque branche de cette vaste enquête, nous cher-
cherons les hommes les plus compétents par leurs con-
naissances techniques, les plus capables aussi d'aboutir
rapidement à des résultats. positifs.
Les élus des grands corps algériens compteront au nom-
bre de nos meilleurs collaborateurs. Par là, les assemblées
survivront en quelque sorte à leurs sessions ; elles travail-
leront d'une manière ininterrompue à augmenter sans cesse
la prospérité et le bien-être de la colonie.
Les élans du cœur seconderont et vivifieront l'accord des
intelligences et des volontés. Quand on veut secourir effi-
cacement ses semblables, la condition première est de les
aimer. L'admirable foisonnement des œuvres de guerre
algériennes, les millions donnés par l'Algérie pour venir en
aide aux victimes de la guerje, attestent d'une manière-
éclatante son infatigable générosité.
Chaque jour grandit la tâche de reconstitution nationale,
mais chaque jour s'affirme aussi notre ferme vouloir de
l'entreprendre courageusement, persévéramment. C'est un
prodigieux labeur qui s'impose à l'énergie créatrice de notre
peuple. Nous Wen concevons nul effroi. Le ressort de notre
race est tel que rien ne lui est impossible. L'union des
cœurs, le souvenir des périls conjurés, l'oubli des que-
relles intestines en face de l'ennemi détesté, vont tremper
plus fortement encore cette âme française, plus que jamais
indomptable, dont le rayonnement projette sur le monde
des clartés nouvelles et fait germer d'irréductibles sympa-
thies.
Les temps nouveaux.
La communauté des épreuves cimentera les alliances
dont nous sentons déjà tout le prix. Demain, les grandes
démocraties qui se sont dressées d'un même élan contre
l'odieuse violation des traités et les crimes inouïs de la .
barbarie moderne, se retrouveront indissolublement asso-
ciées dans les œuvres de paix. Nous verrons s'accomplir
les temps nouveaux: à l'ombre des drapeaux alliés, s'épa-
nouira l'idéal sublime des nations civilisées, fait de solida.
rité; de justice et d'humanité.
Reposons nos yeux, Messieurs, sur cette vision conso-
Jante qui fait battre à l'unisson les cœurs et fortifie les
résolutions et les espérances dans la nouvelle comme dans
la vieille France.
D'autre part, en clôturant, le 29 juin, la session
du Conseil supérieur, M. Jonnart a prononcé le
discours suivant :
/
f .
Dans un délai limité, trop limité à mon gré, le Conseil
supérieur a accompli la besogne qui lui est impartie. Je
souhaite vivement que, l'année prochaine, les circonstances
permettent de vous réunir à une époque moins tardive..
Vous avez confirmé les décisions prises par les Déléga-
tions financières. Ces décisions, qu'il s'agisse de la suppres-
sion des impôts arabes, de l'établissement des impôts cédu-
laires ou de l'impôt complémentaire sur le revenu global,
ou qu'il s'agisse des transports maritimes, ces décisions
n'ont pas été improvisées dans les six dernières semaines,
comme une partie du public peut se l'imaginer. Depuis
1912, elles figurent à l'ordre du jour de vos sessions.
L'étude s'en est poursuivie depuis cette époque. Vous êtes
arrivés cette année à la conclusion. On ne peut donc pas
dire qu'il a suffi de quelques jours ou de quelques semaines
pour décréter le nouveau régime impositaire. C'est l'abou-
tissement de projets envisagés plusieurs années avant la
guerre, et à chacune de vos sessions, depuis le commence-
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