Titre : L'Afrique française : bulletin mensuel du Comité de l'Afrique française et du Comité du Maroc
Auteur : Comité de l'Afrique française. Auteur du texte
Auteur : Comité du Maroc (Paris). Auteur du texte
Éditeur : Comité de l'Afrique française (Paris)
Date d'édition : 1918-01-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32683501s
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 janvier 1918 01 janvier 1918
Description : 1918/01/01 (N1,A28)-1918/12/31 (N12,A28). 1918/01/01 (N1,A28)-1918/12/31 (N12,A28).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k9789150r
Source : CIRAD, 2017-132476
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 29/08/2017
liG BULLETIN DO COMITÉ
nifestement criminels pour passer par le canal officiel.
Hornung communiquait les instructions reçues aux autres
agents.
Lorsque les biens allemands furent saisis et examinés à
Casablanca au début d.., la guerre, Ou trouva avec d'autres
correspondances une lettre de Hornung à l'un de ses com-
patriotes, datée d'un peu avant la guerre, donnant des ins-
tructions relatives à un soulèvement des tribus. Elle conte-
nait cet arrêt : « Aucun Français ne doit échapper vivant ».
Deux des complices de Hornung ont payé leurs crimes de
leur vie, mais lui-même a échappé.
Ces agents qui, par suite des capitulations, étaient sous
la juridiction allemande, et. pal' conséquent, affranchis de
toute justice, causè'ent aux Français, spéciale meut pendant
la campagne des Chaouïa, les plus grandes difficultés, et en
excitant les tribus à la résistance causèrent un accrois-
sempiit des pertes tant françaises qu'indigènes. Le plus
actif de ces agents fut jugé et exécuté à Casablanca après
-la déclaration de la guerre.
Il a été beaucoup parlé des Mannesmann et l'on a beau-
coup écrit sur eux. Leur histoire peut, avant la guerre, se
diviser en deux périodes : la première, lor.-qu'ils furent
poussés par Berlin à agir par tous les moyens, même peu
scrupuleux; la seconde, lorsque après l'échec de la poli-
tique marocaine allemande, ils devinrent embarassants
pour le gouvernement aliemand impuissant à se débar-
rasser de ce spectre de sa propre création, parce que les
Mannesmann détenaient et détiennent encore des docu-
ments officiels compromettants et de dangereuses instruc-
tions écrites émanées de Berlin. C'est pour cette raison que
le kaiser, à Ru. k ngham-Palace la jour des obsèques du
roi Edouard VII, entama une conversation d'ordre privé
avec le représentant français par ces mots : « Débarrassez-
moi de ces Mannesmann ». Un essai fut alors tenté pour
concilier les intérêts miniers français et allemands au
Maroc ; il échoua par suite de l'intransigeance des Mannes-
mann. Mais si avant la guerre le gouvernement allemand
regardait les Mannesmann comme des sujets capaHçs de lui
causer des ennuis, leur collaboration fut la très bien venue
après la-déclaration de la guerre ; ils jouent actuellement
eous l'égide officielle un rôle actif dans la criminelle pro-
pagande allemande (1).
Si les musulmans conservaient.au plus profond de leur
esprit l'illu.-ion que la loi allemande serait préfér -able pour
eux à la loi de la Grande-Bretagne ou à celle de la France,
les faits suivants se chargeraient de les dissiper.
En 1909. Moulay Hnfld, alors sultan du Maroc, agissant
prob b émeut sous l'influence d'esclaves, commit une série
d'actes de barbarie et de cruautés sur ses coreligionnaires,
tels que l'amputation des mains et des pieds d'un nombre
relativement élevé de ses sujets. En refusant de les autoriser
à recourir à l'assistance médicae qui leur était offerte. le
sultan les condamnait à une mort Jente et à un& terrible
agonie par la gangrène.
Les gouvernements anglais et français décidèrent de
protester et enjoiguir. nt à leur consul de Fez de faire une
démarche collective. Ils devaient, demander le concours
des autres consuls de la capitale du Maroc, à cette époque,
ceux d'Espagne et d'Allemagne. Comme on pouvait s'y
attendre, le consul d'Espagne, agissant sans doute d'après
les instructions de son gouvernement, accepta sans hésiter,
mais le Dr Vassel, consul d'Allemagne, exprima ouverte-
ment l'opillion que le sultan avait parfaitement. le droit de
commettre ces horreurs, qui étaient, dit-il, le seul mode de
gouvernement qui put, r éussir avec les peuples musulmans.
En résumé, l'Allemagne refusait de s'associera une pro-
testation collective, et le sultan lui-même me raconta que
le consul d'Allemagne lui avait fait savoir que le gouver-
nementallemaud considérait de telles formas de répression
comme parfaitement, naturelles et justiciables et. lui avait
conseillé de continuer à gouverner à la manière forte, les
musulmans étant incapables de comprendre une autre
forme de gouvernement.
Le sultan accueillit volontiers les conseils allemands,
étendant encoie les tortures ; des femmes mêmes furent
(1) Une dépêche de VAqence Radio du 21 avil a annoncé que
le gouvernement allemand avait intenté des poursuites contre les
frères 'Manneamann qui ont falsifié leurs livres afin d'éluder les
impôts et qui ont tenté en outre de corrompre des fonctionnaires.
— N. D. L. R.
alors comprises parmi les victimes. Trois ans plus tard,
à la grande joie de ses sujets, il était contraint d'abdiquer.
C'est cet ex-sullan que le gouvernement allemand com-
ploie aujourd'hui de remettre sur le trône du Maroc sous
la protection allemande, c'est lui que le kaiser désire
charger de la vie et du bien-être de la majorité des popu-
lations musulmanes de cette contrée pendant qu'il confie
le reste à la tendredndulgeuce du brigand Rai,-suuli.
Les Allemands font circuler un nouveau manifeste parmi
les tribus de la zone espagnole. Son contenu confirme mon
récit de l'invite faite à Raissouli d'exterminer au Maroc
tous les sujets des Alliés. Ce manifeste se compose d'une
seule feuille, il est écrit en arabe. Il expose que la Russie
est conquise et a été annexée à l'Allemagne, que les Alle-
mands ont remporté une grande victoire en France, faisant
en un seul jour 20.000 prisonniers anglais et s'emparant de
300 canons. II se termine ainsi : « Profitez de la faiblesse
de la Fiance et de l'Angleterre. Tuez tous les Anglais et
tous les Français qui se trouvent dans notre pays fi. (Times
du 25 avril.)
Enfin sous le titre : « Une zone allemande au
Maroc », le Times a encore publié deux gra-nds
articles où les lecteurs de Y Afrique française re-
trouveront beaucoup de faits. déjà connus d'eux et
qui ont été très remarqués dans le grand public
anglais :
I. — Trois chefs achetés.
Utilisation abusive du territoire espagnol.
Tanger, 17 avril.
Le Maroc septentrional est compris dans la sphère d'in-
fluence espagnole, à l'exception de Ta'ngeret de 200 milles
carrés de« territoire soi-disant international » aux alen-
Lours, mais ce dont on ne se rend généralement pas compte,
c'est que, dans la zone espagnole et, bien qu'à un moindre
degré, dans le Protectorat français également, il y a une
autre zone, non reconnue par les traités mais n'en existant
pas moins, qui peut sans exagération être considérée
comme la « zone allemande du Maroc ». Elle commence à
la côte mpdlterra, éepne, au Sud de Tétouan, comprenant
tout le district des Djebala et une partie du Rif, s'étendant
de l'Est à l'Ouest sur une longueur dl" 150 milles environ
et ayant une largeur moyenne de 50 milles.
Cette zone allemande est sous la domination de trois
personnages importants. Dans le Nurd-Ouest l'autorité de
Raissouli est complète et indiscutée sur une partie 4e. la
zone espagnole s'étendant d!i détroit de Gibraltar jusqu'à
la région de K"ar-ei-KAbir, à l'exception des environs im-
médiats de Ceuta ; 2° d une étroite bande située le long
de la côte méditerranéenne de Ceuta à Tétouan; 3° de quel-
ques milles carrés au voisinage immédiat de Tétouan, et
4° du rivage de la mer sur la côte atlantique de la zone de
Tanger à Larache, d'une largeur moyenne de 15 milles. Ces
parties sont occupées et tenues en toute sécurité par les
Espagnols. Mais les montagnes qui constituent la plus
grande partie du Nord-Ouest du Maroc sont sous la domi-
nation de Raissouli et de Raissouli seulement. De même
que les Espagnols défendent les limites du territoire occupé
par eux, grâce à une série de postes militaires, Raissonli
défend aussi le sien el dans bien des cas les camps des
troupes espagnoles et les bandes montagnardes de Rais-
souli sont à portée de la vue les uns des autres. Dans cette
zone allemande, aucun Européen sauf les Allemands ne
peut les pénétrer. Elle est aussi hermétiquement close pour
es Espagnols qu'elle l'est pour les Français et les Anglais;
et les autorités espagnoles elles-mêmes pour passer,
même sur la vieille route de touristes qui v-a de Tanger à
Tétouan, avant de se hasarder à entreprendre le voyage,
demandent un passeport à Raissouli,
Au Sud de Ksar-el-Kebir commence la zone francaisa ; la
situation y est la même. bien qu'a un degré moindre. Sur
presque toute l'étendue de la frontière Nord de la zone
française, là où elle confine à la zone espagnole,il y a une
bande de territoire inoccupée qui fait actuellement partie
de la « zone » allemande. Ce n'est toutefois pas Raissouli
qui domine dans ces régions, car au contact de.la zone
nifestement criminels pour passer par le canal officiel.
Hornung communiquait les instructions reçues aux autres
agents.
Lorsque les biens allemands furent saisis et examinés à
Casablanca au début d.., la guerre, Ou trouva avec d'autres
correspondances une lettre de Hornung à l'un de ses com-
patriotes, datée d'un peu avant la guerre, donnant des ins-
tructions relatives à un soulèvement des tribus. Elle conte-
nait cet arrêt : « Aucun Français ne doit échapper vivant ».
Deux des complices de Hornung ont payé leurs crimes de
leur vie, mais lui-même a échappé.
Ces agents qui, par suite des capitulations, étaient sous
la juridiction allemande, et. pal' conséquent, affranchis de
toute justice, causè'ent aux Français, spéciale meut pendant
la campagne des Chaouïa, les plus grandes difficultés, et en
excitant les tribus à la résistance causèrent un accrois-
sempiit des pertes tant françaises qu'indigènes. Le plus
actif de ces agents fut jugé et exécuté à Casablanca après
-la déclaration de la guerre.
Il a été beaucoup parlé des Mannesmann et l'on a beau-
coup écrit sur eux. Leur histoire peut, avant la guerre, se
diviser en deux périodes : la première, lor.-qu'ils furent
poussés par Berlin à agir par tous les moyens, même peu
scrupuleux; la seconde, lorsque après l'échec de la poli-
tique marocaine allemande, ils devinrent embarassants
pour le gouvernement aliemand impuissant à se débar-
rasser de ce spectre de sa propre création, parce que les
Mannesmann détenaient et détiennent encore des docu-
ments officiels compromettants et de dangereuses instruc-
tions écrites émanées de Berlin. C'est pour cette raison que
le kaiser, à Ru. k ngham-Palace la jour des obsèques du
roi Edouard VII, entama une conversation d'ordre privé
avec le représentant français par ces mots : « Débarrassez-
moi de ces Mannesmann ». Un essai fut alors tenté pour
concilier les intérêts miniers français et allemands au
Maroc ; il échoua par suite de l'intransigeance des Mannes-
mann. Mais si avant la guerre le gouvernement allemand
regardait les Mannesmann comme des sujets capaHçs de lui
causer des ennuis, leur collaboration fut la très bien venue
après la-déclaration de la guerre ; ils jouent actuellement
eous l'égide officielle un rôle actif dans la criminelle pro-
pagande allemande (1).
Si les musulmans conservaient.au plus profond de leur
esprit l'illu.-ion que la loi allemande serait préfér -able pour
eux à la loi de la Grande-Bretagne ou à celle de la France,
les faits suivants se chargeraient de les dissiper.
En 1909. Moulay Hnfld, alors sultan du Maroc, agissant
prob b émeut sous l'influence d'esclaves, commit une série
d'actes de barbarie et de cruautés sur ses coreligionnaires,
tels que l'amputation des mains et des pieds d'un nombre
relativement élevé de ses sujets. En refusant de les autoriser
à recourir à l'assistance médicae qui leur était offerte. le
sultan les condamnait à une mort Jente et à un& terrible
agonie par la gangrène.
Les gouvernements anglais et français décidèrent de
protester et enjoiguir. nt à leur consul de Fez de faire une
démarche collective. Ils devaient, demander le concours
des autres consuls de la capitale du Maroc, à cette époque,
ceux d'Espagne et d'Allemagne. Comme on pouvait s'y
attendre, le consul d'Espagne, agissant sans doute d'après
les instructions de son gouvernement, accepta sans hésiter,
mais le Dr Vassel, consul d'Allemagne, exprima ouverte-
ment l'opillion que le sultan avait parfaitement. le droit de
commettre ces horreurs, qui étaient, dit-il, le seul mode de
gouvernement qui put, r éussir avec les peuples musulmans.
En résumé, l'Allemagne refusait de s'associera une pro-
testation collective, et le sultan lui-même me raconta que
le consul d'Allemagne lui avait fait savoir que le gouver-
nementallemaud considérait de telles formas de répression
comme parfaitement, naturelles et justiciables et. lui avait
conseillé de continuer à gouverner à la manière forte, les
musulmans étant incapables de comprendre une autre
forme de gouvernement.
Le sultan accueillit volontiers les conseils allemands,
étendant encoie les tortures ; des femmes mêmes furent
(1) Une dépêche de VAqence Radio du 21 avil a annoncé que
le gouvernement allemand avait intenté des poursuites contre les
frères 'Manneamann qui ont falsifié leurs livres afin d'éluder les
impôts et qui ont tenté en outre de corrompre des fonctionnaires.
— N. D. L. R.
alors comprises parmi les victimes. Trois ans plus tard,
à la grande joie de ses sujets, il était contraint d'abdiquer.
C'est cet ex-sullan que le gouvernement allemand com-
ploie aujourd'hui de remettre sur le trône du Maroc sous
la protection allemande, c'est lui que le kaiser désire
charger de la vie et du bien-être de la majorité des popu-
lations musulmanes de cette contrée pendant qu'il confie
le reste à la tendredndulgeuce du brigand Rai,-suuli.
Les Allemands font circuler un nouveau manifeste parmi
les tribus de la zone espagnole. Son contenu confirme mon
récit de l'invite faite à Raissouli d'exterminer au Maroc
tous les sujets des Alliés. Ce manifeste se compose d'une
seule feuille, il est écrit en arabe. Il expose que la Russie
est conquise et a été annexée à l'Allemagne, que les Alle-
mands ont remporté une grande victoire en France, faisant
en un seul jour 20.000 prisonniers anglais et s'emparant de
300 canons. II se termine ainsi : « Profitez de la faiblesse
de la Fiance et de l'Angleterre. Tuez tous les Anglais et
tous les Français qui se trouvent dans notre pays fi. (Times
du 25 avril.)
Enfin sous le titre : « Une zone allemande au
Maroc », le Times a encore publié deux gra-nds
articles où les lecteurs de Y Afrique française re-
trouveront beaucoup de faits. déjà connus d'eux et
qui ont été très remarqués dans le grand public
anglais :
I. — Trois chefs achetés.
Utilisation abusive du territoire espagnol.
Tanger, 17 avril.
Le Maroc septentrional est compris dans la sphère d'in-
fluence espagnole, à l'exception de Ta'ngeret de 200 milles
carrés de« territoire soi-disant international » aux alen-
Lours, mais ce dont on ne se rend généralement pas compte,
c'est que, dans la zone espagnole et, bien qu'à un moindre
degré, dans le Protectorat français également, il y a une
autre zone, non reconnue par les traités mais n'en existant
pas moins, qui peut sans exagération être considérée
comme la « zone allemande du Maroc ». Elle commence à
la côte mpdlterra, éepne, au Sud de Tétouan, comprenant
tout le district des Djebala et une partie du Rif, s'étendant
de l'Est à l'Ouest sur une longueur dl" 150 milles environ
et ayant une largeur moyenne de 50 milles.
Cette zone allemande est sous la domination de trois
personnages importants. Dans le Nurd-Ouest l'autorité de
Raissouli est complète et indiscutée sur une partie 4e. la
zone espagnole s'étendant d!i détroit de Gibraltar jusqu'à
la région de K"ar-ei-KAbir, à l'exception des environs im-
médiats de Ceuta ; 2° d une étroite bande située le long
de la côte méditerranéenne de Ceuta à Tétouan; 3° de quel-
ques milles carrés au voisinage immédiat de Tétouan, et
4° du rivage de la mer sur la côte atlantique de la zone de
Tanger à Larache, d'une largeur moyenne de 15 milles. Ces
parties sont occupées et tenues en toute sécurité par les
Espagnols. Mais les montagnes qui constituent la plus
grande partie du Nord-Ouest du Maroc sont sous la domi-
nation de Raissouli et de Raissouli seulement. De même
que les Espagnols défendent les limites du territoire occupé
par eux, grâce à une série de postes militaires, Raissonli
défend aussi le sien el dans bien des cas les camps des
troupes espagnoles et les bandes montagnardes de Rais-
souli sont à portée de la vue les uns des autres. Dans cette
zone allemande, aucun Européen sauf les Allemands ne
peut les pénétrer. Elle est aussi hermétiquement close pour
es Espagnols qu'elle l'est pour les Français et les Anglais;
et les autorités espagnoles elles-mêmes pour passer,
même sur la vieille route de touristes qui v-a de Tanger à
Tétouan, avant de se hasarder à entreprendre le voyage,
demandent un passeport à Raissouli,
Au Sud de Ksar-el-Kebir commence la zone francaisa ; la
situation y est la même. bien qu'a un degré moindre. Sur
presque toute l'étendue de la frontière Nord de la zone
française, là où elle confine à la zone espagnole,il y a une
bande de territoire inoccupée qui fait actuellement partie
de la « zone » allemande. Ce n'est toutefois pas Raissouli
qui domine dans ces régions, car au contact de.la zone
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 98.5%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 98.5%.
- Auteurs similaires Comité de l'Afrique française Comité de l'Afrique française /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Comité de l'Afrique française" or dc.contributor adj "Comité de l'Afrique française")Comité du Maroc Comité du Maroc /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Comité du Maroc" or dc.contributor adj "Comité du Maroc")
-
-
Page
chiffre de pagination vue 152/720
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k9789150r/f152.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k9789150r/f152.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k9789150r/f152.image
- Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k9789150r
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k9789150r
Facebook
Twitter