Titre : L'Afrique française : bulletin mensuel du Comité de l'Afrique française et du Comité du Maroc
Auteur : Comité de l'Afrique française. Auteur du texte
Auteur : Comité du Maroc (Paris). Auteur du texte
Éditeur : Comité de l'Afrique française (Paris)
Date d'édition : 1917-01-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32683501s
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 janvier 1917 01 janvier 1917
Description : 1917/01/01 (N1,A27)-1917/12/31 (N12,A27). 1917/01/01 (N1,A27)-1917/12/31 (N12,A27).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k97885087
Source : CIRAD, 2017-132476
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 17/07/2017
134 BULLETIN nu COMITÉ
combat du 29 octobre 1915, où bien que blessé à .la jambe,
il a conservé le commandement de sa patrouille. »
T ROBIN, capitaine d'infanterie coloniale : « Frappé mortel-
lement devant le front de sa compagnie qu'il avait entraînée
sous un feu violent à 200 mètres de la position ennemie de
Y..., le 29 novembre 1916. »
MESSEGUE, capitaine d'infanterie coloniale : « Par son au-
torité et par la contagion de sa bravoure personnelle, a fait
de son unité un excellent outil de combat qu'il a su éner-
giquement et habilement employer dans tous les combats,
notamment lors du franchissement de la rivière maréca-
geuse X... le 1er novembre 1915 et au combat du 18 no-
vembre où par la vigueur de son action, il a déterminé la
retraite de l'ennemi. Commandant un détachement chargé
d'une mission de flanc-garde dans la marche de la colonne
Haywood sur Y..., a fait preuve de belles qualités militaires
décision et énergie. »
Y VILLEMEUR, lieutenant d'infanterie coloniale : « Comman-
dant un détachement de mitrailleuses (deux sections). est
tombé mortellement frappé en indiquant à ses chefs de
sections les données du tir, à 400 mètres des tranchées
ennemies d'Y... le 8 novembre 1915. »
t RKNOTTE (Paul), 4 1 C 6318 sergent au bataillon no 3 •'
« Tué glorieusement à l'ennemi au combat de X...,le 8 no-
vembre 1915. »
+ P ASCREAU (Eugène), 41 C 11528, sergent au bataillon
n° 3: « D'une bravoure et d'une ténacité légendaires à la co-
lonne, a été mortellement frappé devant le front de sa sec-
tion qu'il avait entraînée sous un feu violent jusqu'à
150 mètres des tranchées ennemies, le 19 décembre 1915. »
MAMADOU SAMBA, adjudant, 14 C 44 de la 2C compagnie du
bataillon 2 : « Sous-officier indigène d'élite, d'un allant et
d'une bravoure exemplaires, ayant sur ses tirailleurs une
autorité et un ascendant exceptionnels. A fait preuve dans
tous les combats des plus belles qualités de courage et de
volonté. Blessé le 19 décembre en faisant effectuer à sa
section un bond en avant, a dit aux tirailleurs qui voulaient
le transporter à l'arrière : « Laissez-moi, il ne faut pas
regarder ceux qui tombent, c'est l'ennemi en avant qu'il
faut regarder. »
7 LAI COUROUMA, mIe IC 567, adjudant indigène du ba-
taillon n° 2 : «Au moment d'enlever l'avant-gardepour for-
cer le passage d'une rivière, a écarté le sergent européen
en lui disant : « Je passe devant toi, c'est à moi de marcher
devant ». Tué à l'instant suivant. »
NANDIANGA SCKONGO, mle 6.38, tirailleur au bataillon ne 21 :
« Le 2 février 1916, en forêt est allé relever un camarade
blessé grièvement à 8 mètres de deux mitrailleuses en-
nemies. Blessé deux fois au cours de la campagne. »
HUTIN, lieutenant-colonel de l'infanterie coloniale : cc A
donné pendant dix-huit mois à sa colonne un exemple d'é-
nergie, de bravoure, d'abnégation et a été blessé le 18 dé-
cembre 1915, en allant de sa personne reconnaître la posi-
tion ennemie. »
WEYJIBERG, lieutenant de la force publique belge. « A mené
sa compagnie avecun entrain extraordinaire à l'attaque de
X..., le 22 septembre 1915'. A tenu tête à une attaque fu-
rieuse des Allemands, permettant ainsi un mouvement dé-
bordant qui a amené leur retraite. Le J 6 septembre 1915, a
déblayé la route d'un parti ennemi qui voulait couper la
retraite du détachement franco-belge-, A l'arrière-garde du
16 au 22 septembre 1916, a retardé la marche de l'ennemi
en entraînant ses hommes et faisant lui-même le coup de
feu et a ramené son détachement en ordre. »
+ BONJOUR, sous-lieutenant au bataillon n° 2 : « Au combat
du 23 novembre HJl5 à Y..., s'est porté bravement à l'ex-
trémité de la digue pour défendre l'accès du poste. A su
contenir malgré nn feu violent, donnant à son capitaine et
à la plupart de ses hommes le temps de se replier sur les
tranchées. Tombé grièvement blessé et fait prisonnier.
Mort pour la France des suites de ses blessures. »
7 L'HuiLLiER, sergent, 2IC 6276, du bataillonn°2 : « Tombé
glorieusement en face de l'ennemi eu faisant bravement
son devoir. Attaque de la position de la rivière Sui, le 1er dé-
cembre 1915, »
GRANEGUY, sergent 2 IC 8043, de la lre compagnie du ré-
giment du Gabon : CJ. Chargé de la protection du convoi du
groupe opérant à l'ouest de Y... lors du mouvement de repli
de ce groupe, a pansé les blessés sous le feu de l'ennemi et /,
a assuré leur évacuation rapide dans des circonstances
difficiles. Au combat du 18 décembre 1915, commandant
la pointe d'avant-garde, s'est porté bravement en avant
sous un feu violent pour entraîner ses hommes hésitants.
Le ventre traversé par une balle, a encore trouvé le cou-
rage de revenir seul à l'arrière, atin de ne pas émouvoir ses
tirailleurs. Mort pour la France des suites de ses bles-
sures. »
f LAIZET ( Pierre), 3487, M. C., quartier-maître de ma-
nœuvre : « Atteint mortellement d'une balle au front le 27 no-
vembre 1915 en assurant bravement comme pointeur le
service de sa mitrailleuse. »
ABDERAMAN, garde régional : « Belle conduite au combat de
X..., le 29 octobre 1915, où faisant partie du groupe des
éclaireurs, il a été grièvement blessé. A été amputé d'une
jambe. »
LE-MEILLODR, lieutenant-colonel commandant le régiment
indigène du Gabon : « A fait preuve de brillantes qualités
militaires en dirigeant l'ensemble des opérations d'une co-
lonne. Après dix-huit mois de pénible campagne, a clos
d'une façon heureuse les opérations du groupe à la tête du-
quel il était placé, en battant l'ennemi et forçant à la re-
traite les derniers éléments qui lui étaient ppposés. »
MIQÙELARD, lieutenant-colonel au régiment indigène du
Gabon: «Officier supérieur des plus distingués qui n'a cessé
depuis le début de la campagne de donner des preuves des
plus belles qualités militaires. Chef d'un groupe important
des troupes d'opérations, a conduit ce groupe de succès en
succès pendant une période de dix-sept mois malgré les
difficultés résultant de la nature du pays et de la résis-
tance d'un ennemi qui défendait le terrain pied à pied. »
HÂTEZ, capitaine au régiment indigène du Gabon : « A fait
preuve de courage et de sang-froid dans l'occupation du
poste de X... Investi dans ce poste par un détachement en-
nemi important, a résisté victorieusement à toutes les at-
taques, repoussant avec énergie la sommation de reddition
qui lui avait été adressée et a pli, grâce à sa force morale,
maintenir chez ses tirailleurs un état d'esprit excellent,
malgré les privations qu'entraînait l'insuffisance de l'ap-
provisionnement en vivres. A rendu d'excellents services
depuis le début des opérations. Les 18 et 19 janvier, a en-
levé à l'ennemi le fortin de X... et des positions solidement
organisées au prix d'efforts multiples au cours desquels il
a perdu le cinquième de l'effectif de sa compagnie. »
NICOLIN (Edmond-Delphin), mle A C 3277, adjudant d'artil-
lerie coloniale (détachement du Gabon) « A fait preuve de
courage, d'énergie et de décision dans les journées des
21 août, 15 et 22 septembre. Le 22. a porté sa pièce en un
point particulièrement battu par le feu, d'où il réussit à
démolir les mitrailleuses ennemies, provoquant la fuite des
tirailleurs allemands de première ligne. »
DUTTO (Prosper-Edouard), mle 1 I C 3226, sergent au ré-
giment indigène du fiahon : IX Vieux serviteur très énergique
entraînant ses hommes par son exemple. Au combat de
X... le 24 janvier 1916, blessé au bras et à la jambe en
renforçant avec sa section la ligne de feu, qt bien que per-
dant son sang en abondance, a continué à commander sa
section et a dirigé le feu, encourageant ses hommes par
son exemple. »
VERGNE (Jean), mle 71C 4988, adjudant au régiment indi-
gène du Gabon : (ç Sous-officier très brave, recherchant les
situations périlleuses. Le 31 décembre 1915, plaçant un pe-
tit poste avec son lieutenant, est tombé dans une embus-
cade, mais par son attitude énergique a réussi à se dé-
gager. A été légèrement blessé, le 24 janvier 1916, proté-
geant un mouvement de repli, a réussi avec sa section à
arrêter un ennemi bien supérieur en nombre. A maintenu
ses tirailleurs en position sons un feu violent, perdant en
quelques minutes la moitié de son effectif. A pu par sa té-
nacité assurer le repli, sans pertes des éléments engagés. »
F RUBAN , sergent au régiment indigène du Gabon : « Tombé
glorieusement au champ d'honneur, atteint par six projec-
combat du 29 octobre 1915, où bien que blessé à .la jambe,
il a conservé le commandement de sa patrouille. »
T ROBIN, capitaine d'infanterie coloniale : « Frappé mortel-
lement devant le front de sa compagnie qu'il avait entraînée
sous un feu violent à 200 mètres de la position ennemie de
Y..., le 29 novembre 1916. »
MESSEGUE, capitaine d'infanterie coloniale : « Par son au-
torité et par la contagion de sa bravoure personnelle, a fait
de son unité un excellent outil de combat qu'il a su éner-
giquement et habilement employer dans tous les combats,
notamment lors du franchissement de la rivière maréca-
geuse X... le 1er novembre 1915 et au combat du 18 no-
vembre où par la vigueur de son action, il a déterminé la
retraite de l'ennemi. Commandant un détachement chargé
d'une mission de flanc-garde dans la marche de la colonne
Haywood sur Y..., a fait preuve de belles qualités militaires
décision et énergie. »
Y VILLEMEUR, lieutenant d'infanterie coloniale : « Comman-
dant un détachement de mitrailleuses (deux sections). est
tombé mortellement frappé en indiquant à ses chefs de
sections les données du tir, à 400 mètres des tranchées
ennemies d'Y... le 8 novembre 1915. »
t RKNOTTE (Paul), 4 1 C 6318 sergent au bataillon no 3 •'
« Tué glorieusement à l'ennemi au combat de X...,le 8 no-
vembre 1915. »
+ P ASCREAU (Eugène), 41 C 11528, sergent au bataillon
n° 3: « D'une bravoure et d'une ténacité légendaires à la co-
lonne, a été mortellement frappé devant le front de sa sec-
tion qu'il avait entraînée sous un feu violent jusqu'à
150 mètres des tranchées ennemies, le 19 décembre 1915. »
MAMADOU SAMBA, adjudant, 14 C 44 de la 2C compagnie du
bataillon 2 : « Sous-officier indigène d'élite, d'un allant et
d'une bravoure exemplaires, ayant sur ses tirailleurs une
autorité et un ascendant exceptionnels. A fait preuve dans
tous les combats des plus belles qualités de courage et de
volonté. Blessé le 19 décembre en faisant effectuer à sa
section un bond en avant, a dit aux tirailleurs qui voulaient
le transporter à l'arrière : « Laissez-moi, il ne faut pas
regarder ceux qui tombent, c'est l'ennemi en avant qu'il
faut regarder. »
7 LAI COUROUMA, mIe IC 567, adjudant indigène du ba-
taillon n° 2 : «Au moment d'enlever l'avant-gardepour for-
cer le passage d'une rivière, a écarté le sergent européen
en lui disant : « Je passe devant toi, c'est à moi de marcher
devant ». Tué à l'instant suivant. »
NANDIANGA SCKONGO, mle 6.38, tirailleur au bataillon ne 21 :
« Le 2 février 1916, en forêt est allé relever un camarade
blessé grièvement à 8 mètres de deux mitrailleuses en-
nemies. Blessé deux fois au cours de la campagne. »
HUTIN, lieutenant-colonel de l'infanterie coloniale : cc A
donné pendant dix-huit mois à sa colonne un exemple d'é-
nergie, de bravoure, d'abnégation et a été blessé le 18 dé-
cembre 1915, en allant de sa personne reconnaître la posi-
tion ennemie. »
WEYJIBERG, lieutenant de la force publique belge. « A mené
sa compagnie avecun entrain extraordinaire à l'attaque de
X..., le 22 septembre 1915'. A tenu tête à une attaque fu-
rieuse des Allemands, permettant ainsi un mouvement dé-
bordant qui a amené leur retraite. Le J 6 septembre 1915, a
déblayé la route d'un parti ennemi qui voulait couper la
retraite du détachement franco-belge-, A l'arrière-garde du
16 au 22 septembre 1916, a retardé la marche de l'ennemi
en entraînant ses hommes et faisant lui-même le coup de
feu et a ramené son détachement en ordre. »
+ BONJOUR, sous-lieutenant au bataillon n° 2 : « Au combat
du 23 novembre HJl5 à Y..., s'est porté bravement à l'ex-
trémité de la digue pour défendre l'accès du poste. A su
contenir malgré nn feu violent, donnant à son capitaine et
à la plupart de ses hommes le temps de se replier sur les
tranchées. Tombé grièvement blessé et fait prisonnier.
Mort pour la France des suites de ses blessures. »
7 L'HuiLLiER, sergent, 2IC 6276, du bataillonn°2 : « Tombé
glorieusement en face de l'ennemi eu faisant bravement
son devoir. Attaque de la position de la rivière Sui, le 1er dé-
cembre 1915, »
GRANEGUY, sergent 2 IC 8043, de la lre compagnie du ré-
giment du Gabon : CJ. Chargé de la protection du convoi du
groupe opérant à l'ouest de Y... lors du mouvement de repli
de ce groupe, a pansé les blessés sous le feu de l'ennemi et /,
a assuré leur évacuation rapide dans des circonstances
difficiles. Au combat du 18 décembre 1915, commandant
la pointe d'avant-garde, s'est porté bravement en avant
sous un feu violent pour entraîner ses hommes hésitants.
Le ventre traversé par une balle, a encore trouvé le cou-
rage de revenir seul à l'arrière, atin de ne pas émouvoir ses
tirailleurs. Mort pour la France des suites de ses bles-
sures. »
f LAIZET ( Pierre), 3487, M. C., quartier-maître de ma-
nœuvre : « Atteint mortellement d'une balle au front le 27 no-
vembre 1915 en assurant bravement comme pointeur le
service de sa mitrailleuse. »
ABDERAMAN, garde régional : « Belle conduite au combat de
X..., le 29 octobre 1915, où faisant partie du groupe des
éclaireurs, il a été grièvement blessé. A été amputé d'une
jambe. »
LE-MEILLODR, lieutenant-colonel commandant le régiment
indigène du Gabon : « A fait preuve de brillantes qualités
militaires en dirigeant l'ensemble des opérations d'une co-
lonne. Après dix-huit mois de pénible campagne, a clos
d'une façon heureuse les opérations du groupe à la tête du-
quel il était placé, en battant l'ennemi et forçant à la re-
traite les derniers éléments qui lui étaient ppposés. »
MIQÙELARD, lieutenant-colonel au régiment indigène du
Gabon: «Officier supérieur des plus distingués qui n'a cessé
depuis le début de la campagne de donner des preuves des
plus belles qualités militaires. Chef d'un groupe important
des troupes d'opérations, a conduit ce groupe de succès en
succès pendant une période de dix-sept mois malgré les
difficultés résultant de la nature du pays et de la résis-
tance d'un ennemi qui défendait le terrain pied à pied. »
HÂTEZ, capitaine au régiment indigène du Gabon : « A fait
preuve de courage et de sang-froid dans l'occupation du
poste de X... Investi dans ce poste par un détachement en-
nemi important, a résisté victorieusement à toutes les at-
taques, repoussant avec énergie la sommation de reddition
qui lui avait été adressée et a pli, grâce à sa force morale,
maintenir chez ses tirailleurs un état d'esprit excellent,
malgré les privations qu'entraînait l'insuffisance de l'ap-
provisionnement en vivres. A rendu d'excellents services
depuis le début des opérations. Les 18 et 19 janvier, a en-
levé à l'ennemi le fortin de X... et des positions solidement
organisées au prix d'efforts multiples au cours desquels il
a perdu le cinquième de l'effectif de sa compagnie. »
NICOLIN (Edmond-Delphin), mle A C 3277, adjudant d'artil-
lerie coloniale (détachement du Gabon) « A fait preuve de
courage, d'énergie et de décision dans les journées des
21 août, 15 et 22 septembre. Le 22. a porté sa pièce en un
point particulièrement battu par le feu, d'où il réussit à
démolir les mitrailleuses ennemies, provoquant la fuite des
tirailleurs allemands de première ligne. »
DUTTO (Prosper-Edouard), mle 1 I C 3226, sergent au ré-
giment indigène du fiahon : IX Vieux serviteur très énergique
entraînant ses hommes par son exemple. Au combat de
X... le 24 janvier 1916, blessé au bras et à la jambe en
renforçant avec sa section la ligne de feu, qt bien que per-
dant son sang en abondance, a continué à commander sa
section et a dirigé le feu, encourageant ses hommes par
son exemple. »
VERGNE (Jean), mle 71C 4988, adjudant au régiment indi-
gène du Gabon : (ç Sous-officier très brave, recherchant les
situations périlleuses. Le 31 décembre 1915, plaçant un pe-
tit poste avec son lieutenant, est tombé dans une embus-
cade, mais par son attitude énergique a réussi à se dé-
gager. A été légèrement blessé, le 24 janvier 1916, proté-
geant un mouvement de repli, a réussi avec sa section à
arrêter un ennemi bien supérieur en nombre. A maintenu
ses tirailleurs en position sons un feu violent, perdant en
quelques minutes la moitié de son effectif. A pu par sa té-
nacité assurer le repli, sans pertes des éléments engagés. »
F RUBAN , sergent au régiment indigène du Gabon : « Tombé
glorieusement au champ d'honneur, atteint par six projec-
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