Titre : Le Monde colonial illustré : revue mensuelle, commerciale, économique, financière et de défense des intérêts coloniaux
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1929-02-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34459430v
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 février 1929 01 février 1929
Description : 1929/02/01 (A7,N66)-1929/02/28. 1929/02/01 (A7,N66)-1929/02/28.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Collection numérique : Protectorats et mandat... Collection numérique : Protectorats et mandat français
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k9745734c
Source : CIRAD, 2016-192274
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 03/10/2016
No 66. — Février 1929 LE MONDE COLONIAL ILLUSTRÉ 37
Port de Casablanca. — L installation d'embarquement des phosphates. Une des plus puissantes installations qui soient. Charge-
ment : 1 000 à 1 200 tonnes à l 'heure. Longueur de quai : 150 mètres. Capacité des silos : 75 000 tonnes. C'est le record mondial de
chargement par mètre de quai.
du Maroc : Région de Si-Saïd-Machou, sur l'Oum-
Er-Rebia ;
A Telouet, au sud de la fameuse Kasba du Glaoui,
dans l'Atlas ;
A Tiguelaouene, près de Debdou ;
Et à Bou-Arfa.
Les gisements les plus importants sont ceux de
Telouet et de Bou-Arfa.
Le premier est encore en zone fermée, et ne com-
porte pas de travaux importants de reconnaissance.
Sur le deuxième, les avis sont assez partagés, étant
données les précautions prises par la direction de Bou-
Arfa pour éviter de laisser visiter les chantiers. Il
semble cependant que le gisement soit important,
puisque le Protectorat a entrepris, en collaboration
avec la société exploitante, la construction d'une voie
ferrée d'un mètre pour relier la mine à la ligne
d'Oudjda.
L'exportation de Bou-Arfa en 1927 a été d'environ
1 500 tonnes. Elle ne prendra vraiment son extension
qu'après la liaison vers la côte par voie ferrée, c'est-
à-dire dans un an ou deux.
L'exportation de Tiguelaouene, en 1927, s'est élevée
à 893 tonnes.
Pi.OMB ET ZINC. — Nous ne séparons pas ces deux
métaux, car ils sont très souvent associés, et on n'a
pas rencontré au Protectorat de gisement de blende
ou de calamine sans accompagnement de galène ou
de cérusite.
Le plomb deviendra sans doute le métal marocain.
Ses gisements sont répartis suivant les régions miné-
ralisées mentionnées plus haut :
L'Atlas, avec les Gundafa, l'Assif-El-Mal et l'Er-
douz ;
Le nord de Marrakech, avec les Djebilets et les
Réhamma ;
La Haute Moulouya, avec Amibladen et Aouli ;
La région d'Oudjda, avec Bou-Beker, Zellidja,
Hassi-Touis-Sit, Djorf, Ouazzen, Djebel Mekam.
Le Sud du Maroc oriental, avec Figuig et Bou-
Dahar.
Les exploitations les plus anciennes, et par consé-
quant les mieux équipées et les plus près de leur plein
rendement, sont celles d'Oudjda.
Le nord de Marrakech présente une série de petites
affaires qui, probablement, ne donneront pas de très
gros tonnages.
La Haute Moulouya attend l'installation d'une
laverie mécanique pour commencer des exportations
intéressantes.
Les gisements qui donneront sans doute le plus fort
tonnage dans un avenir rapproché sont ceux de Bou-
Dahar, exploités par la Société du Haut-Ghuir, et
du Djebel Ouichedden, mis en valeur par la Société
minière des Gundafa. L'un et l'autre produisent à la
fois du plomb et du zinc, mais le premier se trouve en
zone à peine soumise et doit faire appel à la protec-
tion militaire pour expédier son minerai. Quant au
second, situé au cœur du Grand Atlas, et de décou-
verte plus récente, il en est à la période d'installation,
et la future route Marrakech-Taroudant, dont l'infra-
structure arrive maintenant jusqu'au pied de la mine,
permet d'y construire actuellement un câble aérien
et une laverie mécanique qui seront en plein fonction-
nement vers la fin de l'année prochaine.
PÉTROLE. — Des travaux exécutés dans le Gharb
et au Djebel Selfat, près de Petitjean, ont donné
quelques tonnes de pétrole, mais aucun sondage n'a
dépassé 800 mètres, et les recherches sont actuellement
arrêtées.
GRAPHITE. — On vient de découvrir un gisement
important de graphite, sur la route de Casablanca
à Marrakech, à 30 kilomètres de cette dernière ville.
Il est possible que ce soit le point de départ d'une ex-
ploitation et d'une industrie nouvelles.
CHARBON. — En dehors du petit gisement de
Kenadsa, situé sur les limites de l'Oranie, et exploité
par les chemins de fer d'Algérie, on a fait grand bruit,
ces mois derniers, autour de la découverte du bassin
houiller du Djebel Djerada, situé à une trentaine de
kilomètres au sud d'Oudjda. On a même reproché au
Service du Protectorat d'avoir laissé prendre pareille
richesse à des étrangers (en l'occurrence, une société
belge).
En réalité, les quatre petites couches d'anthracite
actuellement découvertes dans cette région sont trop
peu puissantes pour que l'exploitation soit payante.
Peut-être le nouveau bassin houiller réservcra-t-il
des surprises agréables. Il est très probable également
que d'autres bassins seront mis à jour, en particulier
dans une zone qui n'est pas encore ouverte à la pros-
pection ; mais, pour le moment, le charbon du Maroc
se réduit à des espérances.
SEL. — Le Maroc a beaucoup d'oueds salés, que les
indigènes exploitent de façon rudimentaire pour les
besoins du pays. L'Atlas renferme aussi du sel gemme.
A signaler le lac Zima, entre Sa fi et Marrakech, qui
se dessèche en été et laisse une forte couche de sel
exploitée par adjudication publique.
Aucune exportation ; tout le sel est consommé sur
place.
PHOSPHATES. — C'est la plus grande richesse du
Maroc.
Cette affaire mérite à elle seule une étude spéciale
qui dépasserait de beaucoup le cadre de cet article.
Nous indiquerons seulement quelques résultats :
On sait que le gisement de Kourigha est pratique-
ment inépuisable et se chiffre par milliards de tonnes ;
qu'il existe au Maroc deux autres gisements de
même importance, l'un situé aux alentours de Chi-
chaoua, entre Marrakech et Mogador, l'autre, à
80 kilomètres de Safi, entre le lac Zima et Ben-Guérir,
et que, par excès de richesse, l'exploitation est
actuellement limitée à une très faible parcelle du
premier gisement.
La teneur en phosphate tricalcique est de 75 à
76 p. 100. Elle est de beaucoup supérieure aux teneurs
d'Algérie et de Tunisie, et atteint celle des meilleurs
minerais de Floride. De plus, le tout-venant est d'une
pureté remarquable et se présente à l'état de sable
fin, ce qui rend son traitement plus facile et plus efli-
cace. Si bien que le phosphate marocain fait prime sur
tous les marchés.
L'exploitation a commencé en 1921, avec 8 000 ton-
nes. Six ans après, en 1927, elle atteignait 1 million
198 000 tonnes, valant 157 millions de francs. Et,
en 1928, bien que l'exploitation ait été gênée par le
manque de main-d'œuvre, elle dépassera 1 million
300 000 tonnes.
Pour la seule année 1927, les bénéfices industriels
ont dépassé 93 millions. Après amortissements, parti-
cipation de l'Oflice à l'emprunt des chemins de fer
du Maroc, constitution d'une réserve extraordinaire
dont le total atteint actuellement 58 millions, l'Olfic.»
chérifien des phosphates a versé sous différentes
formes au Trésor marocain 42 millions, non compris
13 millions de taxes et d'impôts divers.
Si la progression des exploitations suit normalement
son cours, l'Office doit rapporter bientôt plus de 100,
et même 150 millions par an au Protectorat.
Il serait vraiment inadmissible que l'on songe au
contingentement d'une pareille richesse. Au lieu de
freiner la production marocaine pour protéger les
exploitations similaires de l'Algérie et de la Tunisie,
on ferait beaucoup mieux d'avoir en France une poli-
tique de consommation des superphosphates, et d'en-
courager par des primes ou des dégrèvements les agri-
culteurs qui emploient cet engrais. Le pays et le Trésor
lui-même y gagneraient, grâce aux meilleurs rendements
agricoles obtenus, et l'Afrique du Nord, qui serait
ainsi aidée dans son expansion normale, pourrait
assurer son équilibre budgétaire, procéder à son équi-
pement industriel et hâter la mise en valeur de toutes
ses ressources naturelles, pour le plus grand bien de
la métropole elle-même.
CONCLUSION. — Après cet exposé, voici les per-
spectives d'avenir des différents minerais du Maroc :
L'étain, le molybdène et le pétrole sont en régres-
sion.
Le cuivre également, mais il reste la perspective
d'une reprise à assez longue échéance.
On ne peut pas se prononcer actuellement pour le
fer ou le charbon, qui sont encore à l'étude.
Des espoirs sont permis pour le graphite.
L'exploitation du zinc et du manganèse va rester
stationnaire pendant un an ou deux, puis pourra
prendre par la suite un développement important.
Le plomb continue sa progression, qui sera surtout
marquée à partir de 1930.
Enfin, les phosphates poursuivent leur extension
eontinuelle et restent à la base des progrès rapides
du Maroc minier. Vincent BERGER,
Ingénieur civil des Mines.
Casablanca. — Le quai d'embarquement des phosphates. (Clichés de l'office Chérifien des phosphates.)
9
Port de Casablanca. — L installation d'embarquement des phosphates. Une des plus puissantes installations qui soient. Charge-
ment : 1 000 à 1 200 tonnes à l 'heure. Longueur de quai : 150 mètres. Capacité des silos : 75 000 tonnes. C'est le record mondial de
chargement par mètre de quai.
du Maroc : Région de Si-Saïd-Machou, sur l'Oum-
Er-Rebia ;
A Telouet, au sud de la fameuse Kasba du Glaoui,
dans l'Atlas ;
A Tiguelaouene, près de Debdou ;
Et à Bou-Arfa.
Les gisements les plus importants sont ceux de
Telouet et de Bou-Arfa.
Le premier est encore en zone fermée, et ne com-
porte pas de travaux importants de reconnaissance.
Sur le deuxième, les avis sont assez partagés, étant
données les précautions prises par la direction de Bou-
Arfa pour éviter de laisser visiter les chantiers. Il
semble cependant que le gisement soit important,
puisque le Protectorat a entrepris, en collaboration
avec la société exploitante, la construction d'une voie
ferrée d'un mètre pour relier la mine à la ligne
d'Oudjda.
L'exportation de Bou-Arfa en 1927 a été d'environ
1 500 tonnes. Elle ne prendra vraiment son extension
qu'après la liaison vers la côte par voie ferrée, c'est-
à-dire dans un an ou deux.
L'exportation de Tiguelaouene, en 1927, s'est élevée
à 893 tonnes.
Pi.OMB ET ZINC. — Nous ne séparons pas ces deux
métaux, car ils sont très souvent associés, et on n'a
pas rencontré au Protectorat de gisement de blende
ou de calamine sans accompagnement de galène ou
de cérusite.
Le plomb deviendra sans doute le métal marocain.
Ses gisements sont répartis suivant les régions miné-
ralisées mentionnées plus haut :
L'Atlas, avec les Gundafa, l'Assif-El-Mal et l'Er-
douz ;
Le nord de Marrakech, avec les Djebilets et les
Réhamma ;
La Haute Moulouya, avec Amibladen et Aouli ;
La région d'Oudjda, avec Bou-Beker, Zellidja,
Hassi-Touis-Sit, Djorf, Ouazzen, Djebel Mekam.
Le Sud du Maroc oriental, avec Figuig et Bou-
Dahar.
Les exploitations les plus anciennes, et par consé-
quant les mieux équipées et les plus près de leur plein
rendement, sont celles d'Oudjda.
Le nord de Marrakech présente une série de petites
affaires qui, probablement, ne donneront pas de très
gros tonnages.
La Haute Moulouya attend l'installation d'une
laverie mécanique pour commencer des exportations
intéressantes.
Les gisements qui donneront sans doute le plus fort
tonnage dans un avenir rapproché sont ceux de Bou-
Dahar, exploités par la Société du Haut-Ghuir, et
du Djebel Ouichedden, mis en valeur par la Société
minière des Gundafa. L'un et l'autre produisent à la
fois du plomb et du zinc, mais le premier se trouve en
zone à peine soumise et doit faire appel à la protec-
tion militaire pour expédier son minerai. Quant au
second, situé au cœur du Grand Atlas, et de décou-
verte plus récente, il en est à la période d'installation,
et la future route Marrakech-Taroudant, dont l'infra-
structure arrive maintenant jusqu'au pied de la mine,
permet d'y construire actuellement un câble aérien
et une laverie mécanique qui seront en plein fonction-
nement vers la fin de l'année prochaine.
PÉTROLE. — Des travaux exécutés dans le Gharb
et au Djebel Selfat, près de Petitjean, ont donné
quelques tonnes de pétrole, mais aucun sondage n'a
dépassé 800 mètres, et les recherches sont actuellement
arrêtées.
GRAPHITE. — On vient de découvrir un gisement
important de graphite, sur la route de Casablanca
à Marrakech, à 30 kilomètres de cette dernière ville.
Il est possible que ce soit le point de départ d'une ex-
ploitation et d'une industrie nouvelles.
CHARBON. — En dehors du petit gisement de
Kenadsa, situé sur les limites de l'Oranie, et exploité
par les chemins de fer d'Algérie, on a fait grand bruit,
ces mois derniers, autour de la découverte du bassin
houiller du Djebel Djerada, situé à une trentaine de
kilomètres au sud d'Oudjda. On a même reproché au
Service du Protectorat d'avoir laissé prendre pareille
richesse à des étrangers (en l'occurrence, une société
belge).
En réalité, les quatre petites couches d'anthracite
actuellement découvertes dans cette région sont trop
peu puissantes pour que l'exploitation soit payante.
Peut-être le nouveau bassin houiller réservcra-t-il
des surprises agréables. Il est très probable également
que d'autres bassins seront mis à jour, en particulier
dans une zone qui n'est pas encore ouverte à la pros-
pection ; mais, pour le moment, le charbon du Maroc
se réduit à des espérances.
SEL. — Le Maroc a beaucoup d'oueds salés, que les
indigènes exploitent de façon rudimentaire pour les
besoins du pays. L'Atlas renferme aussi du sel gemme.
A signaler le lac Zima, entre Sa fi et Marrakech, qui
se dessèche en été et laisse une forte couche de sel
exploitée par adjudication publique.
Aucune exportation ; tout le sel est consommé sur
place.
PHOSPHATES. — C'est la plus grande richesse du
Maroc.
Cette affaire mérite à elle seule une étude spéciale
qui dépasserait de beaucoup le cadre de cet article.
Nous indiquerons seulement quelques résultats :
On sait que le gisement de Kourigha est pratique-
ment inépuisable et se chiffre par milliards de tonnes ;
qu'il existe au Maroc deux autres gisements de
même importance, l'un situé aux alentours de Chi-
chaoua, entre Marrakech et Mogador, l'autre, à
80 kilomètres de Safi, entre le lac Zima et Ben-Guérir,
et que, par excès de richesse, l'exploitation est
actuellement limitée à une très faible parcelle du
premier gisement.
La teneur en phosphate tricalcique est de 75 à
76 p. 100. Elle est de beaucoup supérieure aux teneurs
d'Algérie et de Tunisie, et atteint celle des meilleurs
minerais de Floride. De plus, le tout-venant est d'une
pureté remarquable et se présente à l'état de sable
fin, ce qui rend son traitement plus facile et plus efli-
cace. Si bien que le phosphate marocain fait prime sur
tous les marchés.
L'exploitation a commencé en 1921, avec 8 000 ton-
nes. Six ans après, en 1927, elle atteignait 1 million
198 000 tonnes, valant 157 millions de francs. Et,
en 1928, bien que l'exploitation ait été gênée par le
manque de main-d'œuvre, elle dépassera 1 million
300 000 tonnes.
Pour la seule année 1927, les bénéfices industriels
ont dépassé 93 millions. Après amortissements, parti-
cipation de l'Oflice à l'emprunt des chemins de fer
du Maroc, constitution d'une réserve extraordinaire
dont le total atteint actuellement 58 millions, l'Olfic.»
chérifien des phosphates a versé sous différentes
formes au Trésor marocain 42 millions, non compris
13 millions de taxes et d'impôts divers.
Si la progression des exploitations suit normalement
son cours, l'Office doit rapporter bientôt plus de 100,
et même 150 millions par an au Protectorat.
Il serait vraiment inadmissible que l'on songe au
contingentement d'une pareille richesse. Au lieu de
freiner la production marocaine pour protéger les
exploitations similaires de l'Algérie et de la Tunisie,
on ferait beaucoup mieux d'avoir en France une poli-
tique de consommation des superphosphates, et d'en-
courager par des primes ou des dégrèvements les agri-
culteurs qui emploient cet engrais. Le pays et le Trésor
lui-même y gagneraient, grâce aux meilleurs rendements
agricoles obtenus, et l'Afrique du Nord, qui serait
ainsi aidée dans son expansion normale, pourrait
assurer son équilibre budgétaire, procéder à son équi-
pement industriel et hâter la mise en valeur de toutes
ses ressources naturelles, pour le plus grand bien de
la métropole elle-même.
CONCLUSION. — Après cet exposé, voici les per-
spectives d'avenir des différents minerais du Maroc :
L'étain, le molybdène et le pétrole sont en régres-
sion.
Le cuivre également, mais il reste la perspective
d'une reprise à assez longue échéance.
On ne peut pas se prononcer actuellement pour le
fer ou le charbon, qui sont encore à l'étude.
Des espoirs sont permis pour le graphite.
L'exploitation du zinc et du manganèse va rester
stationnaire pendant un an ou deux, puis pourra
prendre par la suite un développement important.
Le plomb continue sa progression, qui sera surtout
marquée à partir de 1930.
Enfin, les phosphates poursuivent leur extension
eontinuelle et restent à la base des progrès rapides
du Maroc minier. Vincent BERGER,
Ingénieur civil des Mines.
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