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L'AVENIR DU PALMIER A HUILE
par M. FERRAND,
Ingénieur Agricole (A. I. Gx.),
Conseiller Technique à la Société Financière des Caoutchoucs
Nous avons reproduit dans le Bulletin des Matières Grasses n° 3, 1926,
les observations de M. Yves Henry, Inspecteur Général de l'Agriculture
de l'Indochine, sur l'avenir de la culture de l'élaeis à Sumatra.
Nous indiquions qu'il était probable que ces observations seraient
contestées par les planteurs néerlandais el nous venons justement d'e
recevoir la note très intéressante que nous reproduisons ici de M. Ferrand,
qui dirige à Medan les essais techniques poursuivis par la Société Finan-
cière des Caoutchoucs.
La culture du palmier à huile (Elaeis Guineensis) est une de celles qui
ont retenu le plus sérieusement l'attention des planteurs coloniaux en ces
dernières années.
Cette culture a eu, dès le début, ses enthousiastes convaincus; elle a
eu plus tard des détracteurs qui ont voulu voir dans certains chiffres de
production provenant des plantations d'essais' des résultats définitifs. Lors-
que l'on a à faire aux plantations d'essais d'une nouvelle espèce culturale,
les chiffres de production ne signifient rien si l'on ne précise pas, d'une
manière formelle, les conditions dans lesquelles les plantations ont été
établies. A cet égard justement, les « Documents sur le palmier à huile à
Sumatra », publiés par M. Yves, Henry, dans le Bulletin Economique de
l'Indochine, n° 1 de 1926 (reproduit dans le Bulletin des Matières Grasses
de l'Institut Colonial de Marseille, n° 3, 1926), ne prouvent absolument
rien contre l'avenir de cette belle culture, malgré le trouble que peut jeter
dans l'esprit la présence de certains chiffres et de certains diagrammes.
M. Henry l'a d'ailleurs senti parfaitement lui-même, car d'un exposé qui
n'a rien de très enthousiaste et de diagrammes qui semblaient vouloir être
péremptoires, cet auteur n'ose tirer aucune conclusion défavorable, et sur-
tout il n'ose pas engager l'avenir.
Du point de vue agronomique, nous avouons que nous n'apprécions
pas beaucoup la méthode de travail utilisée par M. Henry. Il confond
plantations d'études, de pionniers qui ont planté dans toutes sortes de
conditions pour apprendre les exigences du palmier à huile, avec des plan-
tations d'une espèce culturale connue, cultivée dans les meilleures condi-
tions actuellement possibles.
Enj un mot, cette étude vaudrait pour des cultures de betterave ou de
blé dont les exigences sont établies, elle ne vaut pas pour le palmier à
par M. FERRAND,
Ingénieur Agricole (A. I. Gx.),
Conseiller Technique à la Société Financière des Caoutchoucs
Nous avons reproduit dans le Bulletin des Matières Grasses n° 3, 1926,
les observations de M. Yves Henry, Inspecteur Général de l'Agriculture
de l'Indochine, sur l'avenir de la culture de l'élaeis à Sumatra.
Nous indiquions qu'il était probable que ces observations seraient
contestées par les planteurs néerlandais el nous venons justement d'e
recevoir la note très intéressante que nous reproduisons ici de M. Ferrand,
qui dirige à Medan les essais techniques poursuivis par la Société Finan-
cière des Caoutchoucs.
La culture du palmier à huile (Elaeis Guineensis) est une de celles qui
ont retenu le plus sérieusement l'attention des planteurs coloniaux en ces
dernières années.
Cette culture a eu, dès le début, ses enthousiastes convaincus; elle a
eu plus tard des détracteurs qui ont voulu voir dans certains chiffres de
production provenant des plantations d'essais' des résultats définitifs. Lors-
que l'on a à faire aux plantations d'essais d'une nouvelle espèce culturale,
les chiffres de production ne signifient rien si l'on ne précise pas, d'une
manière formelle, les conditions dans lesquelles les plantations ont été
établies. A cet égard justement, les « Documents sur le palmier à huile à
Sumatra », publiés par M. Yves, Henry, dans le Bulletin Economique de
l'Indochine, n° 1 de 1926 (reproduit dans le Bulletin des Matières Grasses
de l'Institut Colonial de Marseille, n° 3, 1926), ne prouvent absolument
rien contre l'avenir de cette belle culture, malgré le trouble que peut jeter
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pas beaucoup la méthode de travail utilisée par M. Henry. Il confond
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tations d'une espèce culturale connue, cultivée dans les meilleures condi-
tions actuellement possibles.
Enj un mot, cette étude vaudrait pour des cultures de betterave ou de
blé dont les exigences sont établies, elle ne vaut pas pour le palmier à
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