Titre : Les Annales coloniales : revue mensuelle illustrée / directeur-fondateur Marcel Ruedel
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1929-07-01
Contributeur : Ruedel, Marcel. Directeur de publication
Contributeur : Monmarson, Raoul (1895-1976). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb326934111
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 juillet 1929 01 juillet 1929
Description : 1929/07/01-1929/07/31. 1929/07/01-1929/07/31.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Collection numérique : Protectorats et mandat... Collection numérique : Protectorats et mandat français
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k9743132v
Source : CIRAD, 2016-191112
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 12/09/2016
Les Annales Coloniales
Paye Il
que imposée par le refus du bey de faire, à
notre demande justifiée, la police de sa fron-
tière, par sa complaisance pour l'agent ita-
lien, le consul Maccio, qui poursuivait le
dessein d'amener par ces querelles de fron-
tière la Régence à réclamer contre la France
la protection de l'Italie, à recevoir sa tu-
telle.
. La porte occidentale de la Tunisie nous
serait-elle fermée, pour qu'elle s'ouvrît sur
l'Algérie, quand il plairait à un gouverne-
ment livré aux caprices de ses ministres et
de ses conseillers italiens ? Que parlait-on
d'offensive française préméditée dans les
conseils de la République, quand, depuis plus
de trois ans, ses ministres, de peur de mé-
contenter l'Italie, se refusaient aux offres
formelles de l'Allemagne et de l'Angle-
terre, à l'appel pressant des fonctionnaires,
témoins en Algérie et à Tunis des intrigues
étrangères, et du désordre incurable de la
Régence, le gouverneur Grévy, les généraux
Osmont et Forgemol, les consuls Roustan et
Roy?
Ce fut ainsi par une défensive plus qu'hé-
sitante, circonspecte et presque inquiète,
mais nécessaire qu'allait se décider la pre-
Thuburbo Majus. — Vue d'ensemble prise du nord.
mière initiative coloniale Jl; la. République,
soigneusement limitée à une expédition exé-
cutée avec 24.000 hommes en trois semaines,
du 24 avril au 12 mai 1881, pour aboutir
au traité signé avec le bey à Ksar Saïd. Il
ne se produisit aucun incident européen. Le
26 mai, Barthélémy-Saint-Hilaire remerciait
M. de Bismarck de l'assistance qu'il lui
avait prêtée à Constantinople, pour écarter
l'intervention menaçante de la Turquie, et, à
Rome pour obtenir le rappel du consul
italien et mettre fin à ses intrigues.
Croyant à tort n'avoir plus à faire, comme
il l'écrivait à Saint-Vallier a que la cuisine
intérieure de la Régence l, le ministre rap-
pelait avec trop de hâte la majeure partie
du corps expéditionnaire pour réduire ses
frais, et désarmer l'opposition et ses repro-
ches d'avoir fait la guerre, sans l'auto-
risation des Chambres maîtresses des crédits.
Il n'avait pas compté sur l'effet que produi-
sit la retraite prématurée de nos troupes
dans le monde musulman, déterminé à la
guerre sainte par les marabouts et les chefs
des confréries religieuses sur toute la fron-
tière du désert et dans les montagnes de
l'Aurès depuis la province «' 'Orin jusqu aux
confins de la Tripolitaine.
Il fallait alors que la France mobilisât
une escadre de six cuirassés pour bombarder
S fax centre de l'insurrection déclarée en
juin à Kairouan la Ville Sainte, et qu'elle
appelât à Châlons à la tête d'une véritable
armée de 50.000 hommes, cette fois, le gé-
néral Saussier, gardien en 1871 de l'ordre
algérien, pour conquérir la Régence de Tu-
nis, jusqu'aux confins du désert. « La Mé-
diterranée, disait M. de Bismarck pendant
tout cet été de 1881, est un vaste champ
dans lequel nous entendons toujours laisser
à la France toute liberté pour une politique
d'expansion justifiée. »
Or, cette expansion consacrée par l'en-
trée des Français à Sfax, à Kairouan, le
29 octobre, et la pacification totale de la
Régence, précisément parce qu'elle satisfai-
sait l'Allemagne, et indignait l'Italie, trou-
blait en France la nation, inquiétait l'opi-
nion, le Parlement, beaucoup plus qu'elle
ne les séduisait. Des dépenses d'argent et
d'hommes stériles et même nuisibles, moti-
vées peut-être par les intérêts particuliers de
gens d'affaires ou d'officiers en quête de
profits lucratifs ou d'action glorieuse, capa-
hIes seulement de nous affaiblir et de nous
isoler dans une l'.urupc qui :o.'MIII.lit tous les
jours un peu plus, tel était le bilan de cette
première entreprise coloniale aux yeux des
Français qui, aux élections d'août 1881, re-
tirèrent leur confiance à Jules Ferry et a se,
collègues. Sans une intervention éloquente
(lc Gambetta qui ne permit pas au Parle-
ment un désaveu du traité du 12 mai « cet
aplatissement de la France républicaine de-
vant l'Europe », la double campagne vic-
torieuse de notre armée dans la Régence eût
pris figure à Paris de défaite nationale.
L'homme d'Etat que l'opinion en Europe
et en France représentait encore comme le
champion obstiné des droits de la France
violés par l'Allemagne ne s'immobilisait pas
dans la vision et la poursuite de la revan-
che. Il voulait que dans l'attente peut-être
lointaine de « la justice immanente » son
pays reprît a son rang parmi les grandes
puissances ». Comme dans l'affaire d'Egyp-
te, où les fautes et les embarras des gou-
vernements Khédiviaux entraînaient l'An-
gleterre et la France à une intervention
dans les complications tunisiennes, Gam-
betta jugea l'action de It France ::t'cessairc,
pour la défense de ses intérêts permanents.
Quand il forma son ministère après la dé
mission de Jules Ferry le 14 novembre 1881,
son parti était pris de conserver à la nation
la situation morale et matérielle que son
passé et son avenir lui assignaient, le vît-elle
ou non, dans les régions africaines de la
Méditerranée. Si ce fut une des principales
causes, peut-être le motif essentiel, quoique
secret, de la courte durée de son ministère,
1 honneur lui demeure d'avoir, en trois mois
à peine, plus que Ferry encore, orienté la
République sur une route semée d'écueils,
sans doute, mais aux vastes horizons, di-
gnes d'attirer les énergies françaises, et qui
les attirait déjà. Dans un de ses_ premiers
discours ministériels, pour convaincre les
députés de voter les crédits de l'expédition
qui s'achevait à Tunis, il leur disait : « Est-
ce que vous ne sentez pas que les peuples
étouffent sur ce vieux continent? Est-ce que
vous ne cherchez pas à favoriser dans le
monde un expansion nécessaire ? »
De cette expansion l'acte de Ksar Said
fut le premier acte, et la première formule,
mais une formule d'abord malaisée à réa-
liser. On avait bien vu, durant toute l'an-
née, que la force ne suffisait pas, instru-
ment nécessaire, mais onéreux et suspect
d'être mal employé pour d'autres fins que
la défense des frontières du Rhin ou des
Alpes. La diplomatie avait suggéré cette
formule : le protectorat qui n'était a ni l'an-
nexion, ni l'abandon 8.
L'annexion eût aboli le pouvoir des beys;
l'abandon aurait laissé à ce pouvoir les
moyens d'une revanche, au lendemain de sa
défaite. Par l'acte du 12 mai. Mohammed
Sadok, vaincu, demeurait le souverain
tunisien qu'il était pour ses sujets: la
France victorieuse lui demandait de s in-
terdire toute négociation en dehors d'elle
avec les puissances étrangères, inter-
diction qui d'ailleurs ne valait que pour
l'avenir et laissait subsister, en les garantis-
sant même, les conventions antérieurement
conclues entre la Régence et les puissances.
Pour le rétablissement de l'ordre dans la
Régence, la République se réservait, pour
une durée non fixée, l'occupation militaire
de certains points, les frais à sa charge, et
réclamait une organisation financière aussi
nécessaire aux droits des créanciers de la
Tunisie qu'au bien-être de ses populations.
Solution provisoire, ont dit certains cri-
tiques, oublieux du proverbe connu sur la
durée du provisoire, que depuis 1881 l his-
toire de la Régence a bien paru justifier.
En réalité, compromis diplomatique fait de
l'engagement que prit alors la France envers
le bey et l'Europe de maintenir le gouver-
nement beylical et les institutions musul-
manes et de 1 engagement synallagmatique
pris par la dynastie tunisienne de garantir
par ses actes à l'extérieur et à l'intérieur la
sûreté de l'Algérie. Ce compromis, par lui-
même et pour éviter tout recours nouveau à la
force, exigeait une action diplomatique aver-
tie et constante.
Dans son court passage aux Affaires étran-
gères, Gambetta eut le mérite encore de re-
connaître ces nécessités. S'il détachait les
colonies du ministère de la Marine pour les
rattacher avec Rouvier au Commerce, il ré-
serva au Quai d'Orsay la conduite de
l'affaire tunisienne. Il en confia sur place
l'étude à un jeune diplomate que la France
a toujours trouvé au premier rang de ses
meilleurs serviteurs, M. Jusserand.
Et ce fut peut-être la suite naturelle de ces
initiatives fécondes que la mission confiée par
M. de Freycinet le 18 février 1882, dès son
arrivée au ministère, à Paul Cambon
nommé ministre résident de France à Tunis.
Le gouvernement avait reconnu ses mérites
administratifs à la préfecture du Nord.
A Tunis on lui ccnfia une préfecture d'un
genre tout différent de celle que son frère
Jules Cambon avait occupée en 1878, de
Paye Il
que imposée par le refus du bey de faire, à
notre demande justifiée, la police de sa fron-
tière, par sa complaisance pour l'agent ita-
lien, le consul Maccio, qui poursuivait le
dessein d'amener par ces querelles de fron-
tière la Régence à réclamer contre la France
la protection de l'Italie, à recevoir sa tu-
telle.
. La porte occidentale de la Tunisie nous
serait-elle fermée, pour qu'elle s'ouvrît sur
l'Algérie, quand il plairait à un gouverne-
ment livré aux caprices de ses ministres et
de ses conseillers italiens ? Que parlait-on
d'offensive française préméditée dans les
conseils de la République, quand, depuis plus
de trois ans, ses ministres, de peur de mé-
contenter l'Italie, se refusaient aux offres
formelles de l'Allemagne et de l'Angle-
terre, à l'appel pressant des fonctionnaires,
témoins en Algérie et à Tunis des intrigues
étrangères, et du désordre incurable de la
Régence, le gouverneur Grévy, les généraux
Osmont et Forgemol, les consuls Roustan et
Roy?
Ce fut ainsi par une défensive plus qu'hé-
sitante, circonspecte et presque inquiète,
mais nécessaire qu'allait se décider la pre-
Thuburbo Majus. — Vue d'ensemble prise du nord.
mière initiative coloniale Jl; la. République,
soigneusement limitée à une expédition exé-
cutée avec 24.000 hommes en trois semaines,
du 24 avril au 12 mai 1881, pour aboutir
au traité signé avec le bey à Ksar Saïd. Il
ne se produisit aucun incident européen. Le
26 mai, Barthélémy-Saint-Hilaire remerciait
M. de Bismarck de l'assistance qu'il lui
avait prêtée à Constantinople, pour écarter
l'intervention menaçante de la Turquie, et, à
Rome pour obtenir le rappel du consul
italien et mettre fin à ses intrigues.
Croyant à tort n'avoir plus à faire, comme
il l'écrivait à Saint-Vallier a que la cuisine
intérieure de la Régence l, le ministre rap-
pelait avec trop de hâte la majeure partie
du corps expéditionnaire pour réduire ses
frais, et désarmer l'opposition et ses repro-
ches d'avoir fait la guerre, sans l'auto-
risation des Chambres maîtresses des crédits.
Il n'avait pas compté sur l'effet que produi-
sit la retraite prématurée de nos troupes
dans le monde musulman, déterminé à la
guerre sainte par les marabouts et les chefs
des confréries religieuses sur toute la fron-
tière du désert et dans les montagnes de
l'Aurès depuis la province «' 'Orin jusqu aux
confins de la Tripolitaine.
Il fallait alors que la France mobilisât
une escadre de six cuirassés pour bombarder
S fax centre de l'insurrection déclarée en
juin à Kairouan la Ville Sainte, et qu'elle
appelât à Châlons à la tête d'une véritable
armée de 50.000 hommes, cette fois, le gé-
néral Saussier, gardien en 1871 de l'ordre
algérien, pour conquérir la Régence de Tu-
nis, jusqu'aux confins du désert. « La Mé-
diterranée, disait M. de Bismarck pendant
tout cet été de 1881, est un vaste champ
dans lequel nous entendons toujours laisser
à la France toute liberté pour une politique
d'expansion justifiée. »
Or, cette expansion consacrée par l'en-
trée des Français à Sfax, à Kairouan, le
29 octobre, et la pacification totale de la
Régence, précisément parce qu'elle satisfai-
sait l'Allemagne, et indignait l'Italie, trou-
blait en France la nation, inquiétait l'opi-
nion, le Parlement, beaucoup plus qu'elle
ne les séduisait. Des dépenses d'argent et
d'hommes stériles et même nuisibles, moti-
vées peut-être par les intérêts particuliers de
gens d'affaires ou d'officiers en quête de
profits lucratifs ou d'action glorieuse, capa-
hIes seulement de nous affaiblir et de nous
isoler dans une l'.urupc qui :o.'MIII.lit tous les
jours un peu plus, tel était le bilan de cette
première entreprise coloniale aux yeux des
Français qui, aux élections d'août 1881, re-
tirèrent leur confiance à Jules Ferry et a se,
collègues. Sans une intervention éloquente
(lc Gambetta qui ne permit pas au Parle-
ment un désaveu du traité du 12 mai « cet
aplatissement de la France républicaine de-
vant l'Europe », la double campagne vic-
torieuse de notre armée dans la Régence eût
pris figure à Paris de défaite nationale.
L'homme d'Etat que l'opinion en Europe
et en France représentait encore comme le
champion obstiné des droits de la France
violés par l'Allemagne ne s'immobilisait pas
dans la vision et la poursuite de la revan-
che. Il voulait que dans l'attente peut-être
lointaine de « la justice immanente » son
pays reprît a son rang parmi les grandes
puissances ». Comme dans l'affaire d'Egyp-
te, où les fautes et les embarras des gou-
vernements Khédiviaux entraînaient l'An-
gleterre et la France à une intervention
dans les complications tunisiennes, Gam-
betta jugea l'action de It France ::t'cessairc,
pour la défense de ses intérêts permanents.
Quand il forma son ministère après la dé
mission de Jules Ferry le 14 novembre 1881,
son parti était pris de conserver à la nation
la situation morale et matérielle que son
passé et son avenir lui assignaient, le vît-elle
ou non, dans les régions africaines de la
Méditerranée. Si ce fut une des principales
causes, peut-être le motif essentiel, quoique
secret, de la courte durée de son ministère,
1 honneur lui demeure d'avoir, en trois mois
à peine, plus que Ferry encore, orienté la
République sur une route semée d'écueils,
sans doute, mais aux vastes horizons, di-
gnes d'attirer les énergies françaises, et qui
les attirait déjà. Dans un de ses_ premiers
discours ministériels, pour convaincre les
députés de voter les crédits de l'expédition
qui s'achevait à Tunis, il leur disait : « Est-
ce que vous ne sentez pas que les peuples
étouffent sur ce vieux continent? Est-ce que
vous ne cherchez pas à favoriser dans le
monde un expansion nécessaire ? »
De cette expansion l'acte de Ksar Said
fut le premier acte, et la première formule,
mais une formule d'abord malaisée à réa-
liser. On avait bien vu, durant toute l'an-
née, que la force ne suffisait pas, instru-
ment nécessaire, mais onéreux et suspect
d'être mal employé pour d'autres fins que
la défense des frontières du Rhin ou des
Alpes. La diplomatie avait suggéré cette
formule : le protectorat qui n'était a ni l'an-
nexion, ni l'abandon 8.
L'annexion eût aboli le pouvoir des beys;
l'abandon aurait laissé à ce pouvoir les
moyens d'une revanche, au lendemain de sa
défaite. Par l'acte du 12 mai. Mohammed
Sadok, vaincu, demeurait le souverain
tunisien qu'il était pour ses sujets: la
France victorieuse lui demandait de s in-
terdire toute négociation en dehors d'elle
avec les puissances étrangères, inter-
diction qui d'ailleurs ne valait que pour
l'avenir et laissait subsister, en les garantis-
sant même, les conventions antérieurement
conclues entre la Régence et les puissances.
Pour le rétablissement de l'ordre dans la
Régence, la République se réservait, pour
une durée non fixée, l'occupation militaire
de certains points, les frais à sa charge, et
réclamait une organisation financière aussi
nécessaire aux droits des créanciers de la
Tunisie qu'au bien-être de ses populations.
Solution provisoire, ont dit certains cri-
tiques, oublieux du proverbe connu sur la
durée du provisoire, que depuis 1881 l his-
toire de la Régence a bien paru justifier.
En réalité, compromis diplomatique fait de
l'engagement que prit alors la France envers
le bey et l'Europe de maintenir le gouver-
nement beylical et les institutions musul-
manes et de 1 engagement synallagmatique
pris par la dynastie tunisienne de garantir
par ses actes à l'extérieur et à l'intérieur la
sûreté de l'Algérie. Ce compromis, par lui-
même et pour éviter tout recours nouveau à la
force, exigeait une action diplomatique aver-
tie et constante.
Dans son court passage aux Affaires étran-
gères, Gambetta eut le mérite encore de re-
connaître ces nécessités. S'il détachait les
colonies du ministère de la Marine pour les
rattacher avec Rouvier au Commerce, il ré-
serva au Quai d'Orsay la conduite de
l'affaire tunisienne. Il en confia sur place
l'étude à un jeune diplomate que la France
a toujours trouvé au premier rang de ses
meilleurs serviteurs, M. Jusserand.
Et ce fut peut-être la suite naturelle de ces
initiatives fécondes que la mission confiée par
M. de Freycinet le 18 février 1882, dès son
arrivée au ministère, à Paul Cambon
nommé ministre résident de France à Tunis.
Le gouvernement avait reconnu ses mérites
administratifs à la préfecture du Nord.
A Tunis on lui ccnfia une préfecture d'un
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