Titre : Les Annales coloniales : revue mensuelle illustrée / directeur-fondateur Marcel Ruedel
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1929-08-01
Contributeur : Ruedel, Marcel. Directeur de publication
Contributeur : Monmarson, Raoul (1895-1976). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb326934111
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 août 1929 01 août 1929
Description : 1929/08/01-1929/08/31. 1929/08/01-1929/08/31.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Collection numérique : Protectorats et mandat... Collection numérique : Protectorats et mandat français
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k9743131f
Source : CIRAD, 2016-191112
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 12/09/2016
Les Annales Coloniales
Page 13
lourds et rapides, le renouvellement de la
voie en rails du type le plus puissant est
poursuivi activement cependant qu'on pro-
cède au remplacement de tous les ponts dont
la résistance insuffisante contrarierait la réa-
lisation des perfectionnements nécessaires.
Enfin, les principales gares du Réseau font
l'objet de projets en vue de leur tiansforma-
tion ; les travaux de cet ordre sont en cours
à Oran et seront entrepris dans un délai rap-
proché à Bône, à Guelma, à Constantine.
En outre, la direction réalise, au fur et à
mesure des possibilités, l'installation de
l'éclairage électrique dans toutes les gares.
Situation financière
des chemins de fer algériens
de l'Etat
Pour poursuivre la comparaison de deux
exercices antérieurs et postérieur à la guerre,
nous considérons les recettes et les dépenses
d'exploitation du Réseau en 1913 et en 1927.
1011 lq27
Recettes (y compris
l'impôt) 24.082.85° 199.998.600
Dépenses 19.010.300 199.355.700
Produit ........ 5.072.550 642.900
Ainsi donc, les chemins de fer algériens de
l'Etat, composés en partie de lignes de péné-
L'Aurès, — Panorama pris du bordj de Rouf.. (Chemins de fer Algériens de l'Etat.)
tration de grande valeur politique, mais de
médiocre qualité économique, augmentés pro-
gressivement de lignes dont l'entretien avait
été réduit à l'extrême à l'approche des ra-
chats, avaient néanmoins établi l'équilibre
financier dans des conditions très satisfai-
santes avant la guerre.
Pendant la tourmente, près du quart du
personnel fut mobilisé ; aussi les premières
années consécutives à la paix furent-elles
lourdement chargées par le rétablissement
d'une situation rendue difficile par les évé-
nements.
L'augmentation du prix de toutes choses,
en particulier du charbon et des matières, et
l'accroissement formidable des charges patro-
nales contrariaient à l'extrême les efforts de
l'Administration du Réseau pour mettre ses
dépenses au niveau des recettes.
Il faut, évidemment, ajouter aux dépenses
les charges du capital de premier établisse-
ment des lignes qui composent le Réseau Al-
gérien de l'Etat. Mais, dans un pays comme
l'Algérie, dont le développement est loin
d'être accompli, il est normal d'imputer au
budget de la colonisation la dépense de créa-
tion des voies ferrées au même titre que la
construction des ports, des routes et des
ponts. C'est la contribution de la commu-
nauté dans les frais de premier établissement
de tout ce qui doit provoquer le progrès éco-
nomique de la Colonie et favoriser la pros-
périté commune.
Œuvres sociales du réseau
Les chemins de fer Algériens de l'Etat
dont le personnel atteint l'effectif de 12.500
agents, ont des charges patronales statutaires
dont l'importance est considérable. Nous ci-
terons la subvention à la Caisse des Retrai-
tes, dont le montant, proportionnel à la con-
tribution des agents, a dépassé di»c millions
en 1928. C'est une somme sensiblement égale
que représentent les allocations pour charges
de famille payées pendant l'exercice.
Mais indépendamment de ces allocations
de caractère obligatoire, le Réseau a provo-
qué ou favorisé la création d'oeuvres sociales
de solidarité professionnelle, parmi lesquel-
les nous citerons les coopératives de con-
sommation gérées sans frais par le personnel
et qui rendent de signalés services à de nom-
breux agents particulièrement dignes d'inté-
rêt, parce qu'ils habitent dars des ré:-idences
éloignées, difficiles à app* >\ isionner et sou-
vent dénuées de ressources locales.
Les œuvres d'habitations à bon marché ont
reçu tout le concours possible du Réseau,
dont la Caisse des Retraites a procuré fré-
quemment les ressources nécessaires à des
moments où la rareté de l'argent rendait dif-
ficiles les emprunts à long terme.
Pour favoriser la préparation du personnel
technique dont le recrutement est difficile, le
réseau subventionne des écoles d'apprentis-
sage existant dans des centres où les enfants
d'agents peuvent en suivre l'enseignement.
Dans l'hôtel de l'Administration, une
vaste salle d'escrime et de culture physique
a été aménagée ; les agents des Services cen-
traux ont pu, grâce à cette aide de l'Admi-
nistration, créer un groupement qui assure le
fonctionnement de cette salle. Une bibliothè-
que y a été annexée et, généreusement sub-
ventionnée par le Réseau qui a offert le local
utile, permet d'assurer un service de prêts
de livres assidûment utilisé par le personnel.
Enfin, le distingué Directeur du Réseau,
M. Rouzaud, sachant par expérience com-
bien débilitant pour les jeunes organis-
mes était un séjour prolongé dans des ré-
gions défavorisées et sous des climats extrê-
mes, a décidé il y a plusieurs années d'as-
surer, pendant la période des fortes cha-
leurs, le séjour d'un certain nombre d'en-
fants d'agents et d'ouvriers dans des rési-
dences d'altitude où le climat est le plus
sain et le plus favorable.
Toutes les dépenses consécutives à cette
mesure généreuse sont imputées au budget
du service médical du Réseau, dont les mé-
decins sont chargés de désigner les enfants
qui ont besoin d'une cure d'air.
Pour conclure, les Chemins de fer Algé-
riens de l'Etat sont administrés, sous l'auto-
rité du Gouverneur Général, par un Direc-
teur assisté d'un Conseil de Réseau, composé
de conseillers généraux délégués au Conseil
Supérieur, de délégués financiers, de mem-
bres des Chambres de Commerce et d'Agri-
culture, de fonctionnaires d'une Administra-
tion financière, d'ingénieurs des corps des
Ponts et Chaussées et des Mines, d'ingé-
nieurs civils et d'agents du Réseau.
Le Réseau est divisé en quatre arrondis-
sements dont les sièges sont fixés respecti-
vement à Alger, Oran, Constantine et Bône.
Le fonctionnement des services d'arrondisse-
ment favorise l'instruction rapide des pro-
jets et en accélère la réalisation.
Les Chemins de fer Algériens de l'Etat
constituent une administration spéciale dotée
de la personnalité civile qui exploite, au
compte de l'Algérie, l'ensemble des voies
ferrées qui les composent.
Le réseau P.-L.-M.
Le réseau P.-L.-M. algérien comprend à
l'heure actuelle :
Voie normale (écartement 1 m. 45) les
lignes :
Alger-Oran 426 km.
La Sénia-Aïn Témouchent 70 —
Sainte-Barbe du Tlélat à Oudjda 208 —
Tavia à Ras-el-Ma 77 —
V oie étroite (écartement 1 m. 050), la
ligne :
Blida-Djelfa 279 —
(Ecartement 1 m. 056) : les lignes :
El-Affroun-Cherchell .......... 49 —
Orléansville-Ténès 57 —.
Tlemcen-Beni Saf .............. 69 —
Au total ................. 1.250 km.
Le trafic
La progression du trafic du P.-L.-M.
est continue depuis la fin de !a guerre,
ainsi qu'il ressort de la comparaison
des résultats obtenus avant la guerre avec
ceux enregistrés ces dernières années. Cette
progression est très sensible en dépit des per-
turbations profondes apportées par la Grande
Guerre. Le nombre des voyageurs transpor-
tés sur le réseau P.-L.-M. a été en progres-
sion constante entre 1900 et 1913. En dé-
croissance au début de la guerre, il s'est
élevé très rapidement entre 1915 et 1919,
grâce aux mouvements de troupes et aux
transports de démobilisation. Il a baissé
ensuite très brusquement jusqu'en 1922,
pour se relever d'une façon tout aussi rapide
entre 1922 et 1926, sans toutefois pouvoir re-
trouver le maximum atteint en 1919, grâce
aux circonstances tout à fait spéciales que
nous avons traversées. L'année 1927 marque
une nouvelle chute due aux inondations qui
ont interrompu les lignes d'Alger à Oran et
d'Orléansville à Ténès. En 1928, le mouve-
ment des voyageurs s'intensifie au point
d'atteindre presque le maximum de igig,
bien que la ligne d'Orléansville à Ténès ne
soit pas rétablie, que la ligne d'Alger à Oran
ait été interrompue pendant trois mois.
Les quelques chiffres suivants confirmeront
ces affirmations :
Il a été transporté sur le réseau P.-L.-M. :
En 1900 1.236.267 voyageurs
— 1913 2.582.775 —
— 1915 2.106.787 -
— 19'9 3.996.498 —
— 1922 2.501.634 —
— 1926 ............. 3.870.690 —
- 1927 3.615.124 —
— '928 ............. 3.943.980 —
Si l'on compare donc les chiffres afférents
aux années !Qoo et 1928 on constate que le
nombre de voyageurs transportés a plus que
triplé depuis le début du 208 siècle.
La courbe représentative du nombre de
voyageurs kilométriques entre les années
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lourds et rapides, le renouvellement de la
voie en rails du type le plus puissant est
poursuivi activement cependant qu'on pro-
cède au remplacement de tous les ponts dont
la résistance insuffisante contrarierait la réa-
lisation des perfectionnements nécessaires.
Enfin, les principales gares du Réseau font
l'objet de projets en vue de leur tiansforma-
tion ; les travaux de cet ordre sont en cours
à Oran et seront entrepris dans un délai rap-
proché à Bône, à Guelma, à Constantine.
En outre, la direction réalise, au fur et à
mesure des possibilités, l'installation de
l'éclairage électrique dans toutes les gares.
Situation financière
des chemins de fer algériens
de l'Etat
Pour poursuivre la comparaison de deux
exercices antérieurs et postérieur à la guerre,
nous considérons les recettes et les dépenses
d'exploitation du Réseau en 1913 et en 1927.
1011 lq27
Recettes (y compris
l'impôt) 24.082.85° 199.998.600
Dépenses 19.010.300 199.355.700
Produit ........ 5.072.550 642.900
Ainsi donc, les chemins de fer algériens de
l'Etat, composés en partie de lignes de péné-
L'Aurès, — Panorama pris du bordj de Rouf.. (Chemins de fer Algériens de l'Etat.)
tration de grande valeur politique, mais de
médiocre qualité économique, augmentés pro-
gressivement de lignes dont l'entretien avait
été réduit à l'extrême à l'approche des ra-
chats, avaient néanmoins établi l'équilibre
financier dans des conditions très satisfai-
santes avant la guerre.
Pendant la tourmente, près du quart du
personnel fut mobilisé ; aussi les premières
années consécutives à la paix furent-elles
lourdement chargées par le rétablissement
d'une situation rendue difficile par les évé-
nements.
L'augmentation du prix de toutes choses,
en particulier du charbon et des matières, et
l'accroissement formidable des charges patro-
nales contrariaient à l'extrême les efforts de
l'Administration du Réseau pour mettre ses
dépenses au niveau des recettes.
Il faut, évidemment, ajouter aux dépenses
les charges du capital de premier établisse-
ment des lignes qui composent le Réseau Al-
gérien de l'Etat. Mais, dans un pays comme
l'Algérie, dont le développement est loin
d'être accompli, il est normal d'imputer au
budget de la colonisation la dépense de créa-
tion des voies ferrées au même titre que la
construction des ports, des routes et des
ponts. C'est la contribution de la commu-
nauté dans les frais de premier établissement
de tout ce qui doit provoquer le progrès éco-
nomique de la Colonie et favoriser la pros-
périté commune.
Œuvres sociales du réseau
Les chemins de fer Algériens de l'Etat
dont le personnel atteint l'effectif de 12.500
agents, ont des charges patronales statutaires
dont l'importance est considérable. Nous ci-
terons la subvention à la Caisse des Retrai-
tes, dont le montant, proportionnel à la con-
tribution des agents, a dépassé di»c millions
en 1928. C'est une somme sensiblement égale
que représentent les allocations pour charges
de famille payées pendant l'exercice.
Mais indépendamment de ces allocations
de caractère obligatoire, le Réseau a provo-
qué ou favorisé la création d'oeuvres sociales
de solidarité professionnelle, parmi lesquel-
les nous citerons les coopératives de con-
sommation gérées sans frais par le personnel
et qui rendent de signalés services à de nom-
breux agents particulièrement dignes d'inté-
rêt, parce qu'ils habitent dars des ré:-idences
éloignées, difficiles à app* >\ isionner et sou-
vent dénuées de ressources locales.
Les œuvres d'habitations à bon marché ont
reçu tout le concours possible du Réseau,
dont la Caisse des Retraites a procuré fré-
quemment les ressources nécessaires à des
moments où la rareté de l'argent rendait dif-
ficiles les emprunts à long terme.
Pour favoriser la préparation du personnel
technique dont le recrutement est difficile, le
réseau subventionne des écoles d'apprentis-
sage existant dans des centres où les enfants
d'agents peuvent en suivre l'enseignement.
Dans l'hôtel de l'Administration, une
vaste salle d'escrime et de culture physique
a été aménagée ; les agents des Services cen-
traux ont pu, grâce à cette aide de l'Admi-
nistration, créer un groupement qui assure le
fonctionnement de cette salle. Une bibliothè-
que y a été annexée et, généreusement sub-
ventionnée par le Réseau qui a offert le local
utile, permet d'assurer un service de prêts
de livres assidûment utilisé par le personnel.
Enfin, le distingué Directeur du Réseau,
M. Rouzaud, sachant par expérience com-
bien débilitant pour les jeunes organis-
mes était un séjour prolongé dans des ré-
gions défavorisées et sous des climats extrê-
mes, a décidé il y a plusieurs années d'as-
surer, pendant la période des fortes cha-
leurs, le séjour d'un certain nombre d'en-
fants d'agents et d'ouvriers dans des rési-
dences d'altitude où le climat est le plus
sain et le plus favorable.
Toutes les dépenses consécutives à cette
mesure généreuse sont imputées au budget
du service médical du Réseau, dont les mé-
decins sont chargés de désigner les enfants
qui ont besoin d'une cure d'air.
Pour conclure, les Chemins de fer Algé-
riens de l'Etat sont administrés, sous l'auto-
rité du Gouverneur Général, par un Direc-
teur assisté d'un Conseil de Réseau, composé
de conseillers généraux délégués au Conseil
Supérieur, de délégués financiers, de mem-
bres des Chambres de Commerce et d'Agri-
culture, de fonctionnaires d'une Administra-
tion financière, d'ingénieurs des corps des
Ponts et Chaussées et des Mines, d'ingé-
nieurs civils et d'agents du Réseau.
Le Réseau est divisé en quatre arrondis-
sements dont les sièges sont fixés respecti-
vement à Alger, Oran, Constantine et Bône.
Le fonctionnement des services d'arrondisse-
ment favorise l'instruction rapide des pro-
jets et en accélère la réalisation.
Les Chemins de fer Algériens de l'Etat
constituent une administration spéciale dotée
de la personnalité civile qui exploite, au
compte de l'Algérie, l'ensemble des voies
ferrées qui les composent.
Le réseau P.-L.-M.
Le réseau P.-L.-M. algérien comprend à
l'heure actuelle :
Voie normale (écartement 1 m. 45) les
lignes :
Alger-Oran 426 km.
La Sénia-Aïn Témouchent 70 —
Sainte-Barbe du Tlélat à Oudjda 208 —
Tavia à Ras-el-Ma 77 —
V oie étroite (écartement 1 m. 050), la
ligne :
Blida-Djelfa 279 —
(Ecartement 1 m. 056) : les lignes :
El-Affroun-Cherchell .......... 49 —
Orléansville-Ténès 57 —.
Tlemcen-Beni Saf .............. 69 —
Au total ................. 1.250 km.
Le trafic
La progression du trafic du P.-L.-M.
est continue depuis la fin de !a guerre,
ainsi qu'il ressort de la comparaison
des résultats obtenus avant la guerre avec
ceux enregistrés ces dernières années. Cette
progression est très sensible en dépit des per-
turbations profondes apportées par la Grande
Guerre. Le nombre des voyageurs transpor-
tés sur le réseau P.-L.-M. a été en progres-
sion constante entre 1900 et 1913. En dé-
croissance au début de la guerre, il s'est
élevé très rapidement entre 1915 et 1919,
grâce aux mouvements de troupes et aux
transports de démobilisation. Il a baissé
ensuite très brusquement jusqu'en 1922,
pour se relever d'une façon tout aussi rapide
entre 1922 et 1926, sans toutefois pouvoir re-
trouver le maximum atteint en 1919, grâce
aux circonstances tout à fait spéciales que
nous avons traversées. L'année 1927 marque
une nouvelle chute due aux inondations qui
ont interrompu les lignes d'Alger à Oran et
d'Orléansville à Ténès. En 1928, le mouve-
ment des voyageurs s'intensifie au point
d'atteindre presque le maximum de igig,
bien que la ligne d'Orléansville à Ténès ne
soit pas rétablie, que la ligne d'Alger à Oran
ait été interrompue pendant trois mois.
Les quelques chiffres suivants confirmeront
ces affirmations :
Il a été transporté sur le réseau P.-L.-M. :
En 1900 1.236.267 voyageurs
— 1913 2.582.775 —
— 1915 2.106.787 -
— 19'9 3.996.498 —
— 1922 2.501.634 —
— 1926 ............. 3.870.690 —
- 1927 3.615.124 —
— '928 ............. 3.943.980 —
Si l'on compare donc les chiffres afférents
aux années !Qoo et 1928 on constate que le
nombre de voyageurs transportés a plus que
triplé depuis le début du 208 siècle.
La courbe représentative du nombre de
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