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- Sommaire
- EMILE BAILLAUD: Jean Vilbouchevitch.
- ÉTUDES & DOSSIERS
- PARTIE COMMERCIALE
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- .......... Page(s) .......... 55
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- ACTUALITÉS
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- .......... Page(s) .......... 59
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- .......... Page(s) .......... 62
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- BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE
- Livres nouveaux §§ 1309-1318. - Principaux sujets traités: Oléagineux de l'Indo-Chine Ficus elastica. Sols alcalins. Ramie. Coir Riz. Féculerie de Manioc. Sansevières. Sisal Coton. Glucose. Dextrine. Amidon. Cultures et produits des Indes Néerlandaises Thé
- FIGURES
- .......... Page(s) .......... 35
N' 68 — FÉV. 1907 JOURNAL D'AGRICULTURE TROPICALE 63
Les Hache-Raquettes
pour Cactus au Texas
Lettre d'un Constructeur
Dans le n° 59, notre collaborateur M. F.
MAIN a décrit, d'après la brochure officielle
de GRIFFITHS, les hache-raquettes méca-
niques employés au Texas, concurremment
avec les flamboirs, pour faciliter la consom-
mation par le bétail du cactus épineux qui
constitue quelquefois un appoint important
de la nourriture des troupeaux dans cet
Etat. En même temps, nous demandions à
l'auteur de la brochure les noms des cons-
tructeurs, qu'il n'a fait aucune difficulté
de nous communiquer, et nous leur écri-
vîmes pour avoir de plus amples détails sur
leurs machines.
Les renseignements qui nous ont été
envoyés sont assez succincts : Les couteaux
ont généralement 0 m. 70 de longueur sur
0 m. 75 de largeur ; le débit des machines,
qui exigent une force de 2 chevaux-vapeur,
va de 18 à 20 tonnes par jour, suivant la
nature des raquettes et la conduite des
appareils. Le prix en est de 4 à 500 francs.
D'autre part, une des maisons auxquelles
nous nous sommes adressé nous a déclaré
qu'elle n'en construisait plus et n'avait
même plus de prospectus. La raison qu'elle
nous donne est intéressante à noter : les
raquettes, dit-elle, ne se consomment guère
que dans les années de sécheresse, aux-
quelles se restreint par conséquent la vente
des machines à couper les raquettes ; depuis
plusieurs années, la sécheresse n'ayant pas
sévi, la construction de ces machines a été
complètement abandonnée.
Nous devons dire d'ailleurs que les pros-
pectus reçus par ailleurs ne sont ni luxueux,
ni importants, ce qui tendrait à prouver
— surtout en Amérique — qu'il n'y a
jamais eu là l'objet de grosses transactions.
F. M.
-!� �
Rats et Mangoustes
Lettre de M. C. HARDOUIN
« Dans le n° 61, je lis l'article de M. P.
QTJESNEL sur la destruction des rats en
Cochinchine. A Porto-Rico, nous sommes
parvenus à nous débarrasser de ces ron-
geurs qui y pullulaient il y a encore quelques
années et y faisaient des ravages considé-
rablés. On a tout simplement introduit dans
l'île une jolie petite bête puante qui ressem-
ble beaucoup au furet et dont le nom fran-
çais est, je crois, mangouste ; laquelle a
débarrassé le pays en un clin d'oeil de tous
les rats.
» Ceux de ces rongeurs qui ont survécu
à l'hécatombe en sont réduits à vivre sur
les arbres, et-encore doivent-ils prendre les
plus grandes précautions ; car étant obligés
de descendre pour manger, si la mangouste
les guette, il leur est bien difficile d'échapper.»
19 septembre 1906. C. HARDOUIN.
N.-B.—L'efficacité de la mangouste contre les
rats est un fait bien connu, mais ce carnassier en
arrive facilement à devenir à son tour une cala-
mité, car après avoir dévoré les rats il s'en prend
aux volailles, l'élevage de la basse-cour devient
quasiment impossible dans les pays où la man-
gouste s'est multipliée. Dans plusieurs colonies
anglaises, les gouvernements locaux en sont à
payer des primes pour la destruction des man-
goustes. Nous avons publié divers documents sur
cette question épineuse. — N. D. L. R.
;v-y
Le Coftea Congensis remplacera-t-il
le Liberia ?
D'une lettre de M. A. FATJCHÈRE
:M. FAUCHÈRE, en qui quelques-uns de nos
lecteurs ont déjà reconnu l'auteur des récentes
communications sur le C. congensis parues dans
le « J. d'A. T. », nous écrit sur cette espèce, de
Tamatave, en date du 17 décembre, en réponse
à l'article de notre n° 65 dont nous lui avions
communiqué une épreuve. Rappelons que ce
même café, soumis à M. VERMOND, à Paris,
après plusieurs mois de magasinage et de voyage,
a été trouvé par ce spécialiste très acceptable et
supérieur, en tout cas, au café de Libéria. Rappe-
lons aussi que l'introduction du C. éongensis est
l'œuvre méritoire du Jardin Colonial dirigé par
M. Dybowski. — N. D. L. R
*
* *
« Dans votre article : Goffea congensis ? j'ai
relevé un lapsus. Vous semblez faire dire à
Les Hache-Raquettes
pour Cactus au Texas
Lettre d'un Constructeur
Dans le n° 59, notre collaborateur M. F.
MAIN a décrit, d'après la brochure officielle
de GRIFFITHS, les hache-raquettes méca-
niques employés au Texas, concurremment
avec les flamboirs, pour faciliter la consom-
mation par le bétail du cactus épineux qui
constitue quelquefois un appoint important
de la nourriture des troupeaux dans cet
Etat. En même temps, nous demandions à
l'auteur de la brochure les noms des cons-
tructeurs, qu'il n'a fait aucune difficulté
de nous communiquer, et nous leur écri-
vîmes pour avoir de plus amples détails sur
leurs machines.
Les renseignements qui nous ont été
envoyés sont assez succincts : Les couteaux
ont généralement 0 m. 70 de longueur sur
0 m. 75 de largeur ; le débit des machines,
qui exigent une force de 2 chevaux-vapeur,
va de 18 à 20 tonnes par jour, suivant la
nature des raquettes et la conduite des
appareils. Le prix en est de 4 à 500 francs.
D'autre part, une des maisons auxquelles
nous nous sommes adressé nous a déclaré
qu'elle n'en construisait plus et n'avait
même plus de prospectus. La raison qu'elle
nous donne est intéressante à noter : les
raquettes, dit-elle, ne se consomment guère
que dans les années de sécheresse, aux-
quelles se restreint par conséquent la vente
des machines à couper les raquettes ; depuis
plusieurs années, la sécheresse n'ayant pas
sévi, la construction de ces machines a été
complètement abandonnée.
Nous devons dire d'ailleurs que les pros-
pectus reçus par ailleurs ne sont ni luxueux,
ni importants, ce qui tendrait à prouver
— surtout en Amérique — qu'il n'y a
jamais eu là l'objet de grosses transactions.
F. M.
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Rats et Mangoustes
Lettre de M. C. HARDOUIN
« Dans le n° 61, je lis l'article de M. P.
QTJESNEL sur la destruction des rats en
Cochinchine. A Porto-Rico, nous sommes
parvenus à nous débarrasser de ces ron-
geurs qui y pullulaient il y a encore quelques
années et y faisaient des ravages considé-
rablés. On a tout simplement introduit dans
l'île une jolie petite bête puante qui ressem-
ble beaucoup au furet et dont le nom fran-
çais est, je crois, mangouste ; laquelle a
débarrassé le pays en un clin d'oeil de tous
les rats.
» Ceux de ces rongeurs qui ont survécu
à l'hécatombe en sont réduits à vivre sur
les arbres, et-encore doivent-ils prendre les
plus grandes précautions ; car étant obligés
de descendre pour manger, si la mangouste
les guette, il leur est bien difficile d'échapper.»
19 septembre 1906. C. HARDOUIN.
N.-B.—L'efficacité de la mangouste contre les
rats est un fait bien connu, mais ce carnassier en
arrive facilement à devenir à son tour une cala-
mité, car après avoir dévoré les rats il s'en prend
aux volailles, l'élevage de la basse-cour devient
quasiment impossible dans les pays où la man-
gouste s'est multipliée. Dans plusieurs colonies
anglaises, les gouvernements locaux en sont à
payer des primes pour la destruction des man-
goustes. Nous avons publié divers documents sur
cette question épineuse. — N. D. L. R.
;v-y
Le Coftea Congensis remplacera-t-il
le Liberia ?
D'une lettre de M. A. FATJCHÈRE
:M. FAUCHÈRE, en qui quelques-uns de nos
lecteurs ont déjà reconnu l'auteur des récentes
communications sur le C. congensis parues dans
le « J. d'A. T. », nous écrit sur cette espèce, de
Tamatave, en date du 17 décembre, en réponse
à l'article de notre n° 65 dont nous lui avions
communiqué une épreuve. Rappelons que ce
même café, soumis à M. VERMOND, à Paris,
après plusieurs mois de magasinage et de voyage,
a été trouvé par ce spécialiste très acceptable et
supérieur, en tout cas, au café de Libéria. Rappe-
lons aussi que l'introduction du C. éongensis est
l'œuvre méritoire du Jardin Colonial dirigé par
M. Dybowski. — N. D. L. R
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relevé un lapsus. Vous semblez faire dire à
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