152 BULLETIN DE L'AGENCE GÉNÉRALE DES COLONIES
Aussi songe-ton à organiser la pêche au chalutier. Il faudrait
songer aussi à la p >lice maritime et aux gardes-côtes, car les ins-
tallations des pêcheries sont fréquemment pillées. De plus, il fau-
drait que des européens se mettent à exploiter les richesses du
golfe, afin de concurrencer avantageusement les Chinois,qui
sont bons marins, bons commerçants et riches.
(Lt Exportateur français, n° 226.)
Indochine
LE DÉVELOPPEMENT DE LA CULTURE DU COTON
La récolte de 1918 s'est trouvée très défavorablement influ-
encée par le début de l'année où des vents secs et froids n'ont
cessé de souffler et elle n'a été que de 3.000 tonnes.
Les essais de coton en terres élevées ont donné d'excellente
résultats.Un concours-foire entre les indigènes quise livrent àces
cultures a réuni un grand nombre de cultivateurs. Les plus méri-
tants ont été primés et tous ont vendu leur coton grâce à l'adminis-
tration qui a pu servir d'intermédiaire en la circonstance et ache-
ter pour le compte d'usiniers toute la production à 11 dol.60 le
picul de 60 kilos, prix très rémunérateur.
(IlExportateur français, n° 226.)
Papeteries de l'Indochine.
L'assemblée ordinaire de cette société, dont le siège est à
Paris, 3 rue des Italiens, a approuvé les comptes de l'exercice
1919; la hausse de la piastre indochinoise a apporté aux affaires
de la société une entrave sérieuse.
Elle a réusi, néanmoins,à développer ses affaires, et le montant
des ventes ( Dap-Cau et Vietri) a atteint 1.281.239 francs, contre
649.752 francs en 1918 et 373.515 francs en 1917.
Au cours de l'exeicice, le capital de la société a été porté à
2.500.000 francs.
Le Conseil a décidé cette opération parce qu'elle a été réalisée
avec le concours de la société industrielle de Chimie d'Extrême-
Orient, qui installe, en ce moment, à Haîphong, une usine pour la
fabrication de la soude et du chlorure de chaux.
Grâce à cette société,les papeteries de l'Indochine trouveront
sur place les deux produits chimiques pour lesquels elle était
triburaire de l'extérieur.
(L'Essor colonial, novembre 1920.)
Aussi songe-ton à organiser la pêche au chalutier. Il faudrait
songer aussi à la p >lice maritime et aux gardes-côtes, car les ins-
tallations des pêcheries sont fréquemment pillées. De plus, il fau-
drait que des européens se mettent à exploiter les richesses du
golfe, afin de concurrencer avantageusement les Chinois,qui
sont bons marins, bons commerçants et riches.
(Lt Exportateur français, n° 226.)
Indochine
LE DÉVELOPPEMENT DE LA CULTURE DU COTON
La récolte de 1918 s'est trouvée très défavorablement influ-
encée par le début de l'année où des vents secs et froids n'ont
cessé de souffler et elle n'a été que de 3.000 tonnes.
Les essais de coton en terres élevées ont donné d'excellente
résultats.Un concours-foire entre les indigènes quise livrent àces
cultures a réuni un grand nombre de cultivateurs. Les plus méri-
tants ont été primés et tous ont vendu leur coton grâce à l'adminis-
tration qui a pu servir d'intermédiaire en la circonstance et ache-
ter pour le compte d'usiniers toute la production à 11 dol.60 le
picul de 60 kilos, prix très rémunérateur.
(IlExportateur français, n° 226.)
Papeteries de l'Indochine.
L'assemblée ordinaire de cette société, dont le siège est à
Paris, 3 rue des Italiens, a approuvé les comptes de l'exercice
1919; la hausse de la piastre indochinoise a apporté aux affaires
de la société une entrave sérieuse.
Elle a réusi, néanmoins,à développer ses affaires, et le montant
des ventes ( Dap-Cau et Vietri) a atteint 1.281.239 francs, contre
649.752 francs en 1918 et 373.515 francs en 1917.
Au cours de l'exeicice, le capital de la société a été porté à
2.500.000 francs.
Le Conseil a décidé cette opération parce qu'elle a été réalisée
avec le concours de la société industrielle de Chimie d'Extrême-
Orient, qui installe, en ce moment, à Haîphong, une usine pour la
fabrication de la soude et du chlorure de chaux.
Grâce à cette société,les papeteries de l'Indochine trouveront
sur place les deux produits chimiques pour lesquels elle était
triburaire de l'extérieur.
(L'Essor colonial, novembre 1920.)
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.96%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.96%.
- Auteurs similaires Association cotonnière coloniale Association cotonnière coloniale /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Association cotonnière coloniale" or dc.contributor adj "Association cotonnière coloniale")
-
-
Page
chiffre de pagination vue 40/114
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k6474903p/f40.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k6474903p/f40.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k6474903p/f40.image
- Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k6474903p
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k6474903p