Titre : Bulletin de l'Agence générale des colonies
Auteur : Agence économique des territoires africains sous mandat. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Melun)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1932-02-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb42445178p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 01 février 1932 01 février 1932
Description : 1932/02/01 (A25,N275)-1932/02/28. 1932/02/01 (A25,N275)-1932/02/28.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1 Appartient à l’ensemble documentaire : RfnHisg1
Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone... Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6474883c
Source : CIRAD, 2012-231802
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
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- SOMMAIRE DÉTAILLÉ
Pages.- Études générales (Voir couverture).
- .......... Page(s) .......... 258
- Statistiques - Rapports:
- .......... Page(s) .......... 331
- Ile de la Réunion: La population en 1931
- .......... Page(s) .......... 334
- .......... Page(s) .......... 337
- .......... Page(s) .......... 339
- Renseignements divers:
- .......... Page(s) .......... 349
- .......... Page(s) .......... 352
- .......... Page(s) .......... 360
ÉTUDES GÉNÉRALES 201
Mesures ne pouvaient faire double emploi; que la ristourne
11 était qu'une disposition d'attente de la prime.
1 Vous apprécierez, Messieurs, si la situation financière, les
intéiêts majeurs de la colonie, la justice, la sagesse se prêtent
à Ce double emploi. Pour ma part, je ne le crois pas. (
Je n'ai rien promis que je ne voulusse tenir.
Au cours des sept années d'efforts sans repos, révolues
ailjourd'hui, je crois avoir tenu plus que j'ai promis.
Musions dangereuses? Sur quoi? Sur le pays, sur la valeur
de S'es éléments constitutifs: ressources minières certaines,
ell heureuse évolution au cours des sept années écoulées?
Sur son peuplement français, sain, vigoureux, croissant
SuPerbement et sur sa population indigène, loyale, dévouée,
ell heureuse évolution au cours des sept années écoulées?
Mais mon accusateur lui-même a proclamé sa foi dans
avenir de « prospérité brillante » réservé à la Nouvelle-
CaJédünie. )
Nous sommes donc d'accord sur le fond.
Dans les circonstances vraiment difficiles de la crise pré-
sente, le chef de la colonie, surchargé de responsabilités si
fiantes, à la recherche constante des moyens propres à conju-
rer le "1
er le péril menaçant pour la Nouvelle-Calédonie et la coloni-
ation française aux Nouvelles-Hébrides, a besoin vraiment,
sieurs, de sentir battre les cœurs à l'unisson du sien.
d Dès lors, n'eût-il pas été plus conforme à notre doctrine
collaboration pra'iquée depuis sept ans, doctiine bienfaisante
11 tous temps, doctrine salvatrice quand le péril est là, que
les fautes. de mon administration, s'il en a été commis, me
-
fussent montrées,que les s-olutiotis plus heureuses -me lussent
) , avec précision en des communications directes qui
soi* t faites des franchise * et de confiance, inspirées du souci
objectif du bien public, étrangères à cette sorte de manœuvre
qui tend* a faire peser l'équivoque sur les actes, la .suspicion
Sur Pens®es mêmes, afin d'exploiter certaines faiblesses
qui Portent parfois les hommes à croire plutôt le mal que le
lelll
A la question que je me suis posée: conseiller et pratiquer
moi^1*16 la politique de renoncement à l'effort, parce que
v ort est plus difficile? Je réponds, aujourd'hui devant
S mûre réflexion, certes non!
Après avoir obtenu l'approbation, par les Pouvoirs publics
Mesures ne pouvaient faire double emploi; que la ristourne
11 était qu'une disposition d'attente de la prime.
1 Vous apprécierez, Messieurs, si la situation financière, les
intéiêts majeurs de la colonie, la justice, la sagesse se prêtent
à Ce double emploi. Pour ma part, je ne le crois pas. (
Je n'ai rien promis que je ne voulusse tenir.
Au cours des sept années d'efforts sans repos, révolues
ailjourd'hui, je crois avoir tenu plus que j'ai promis.
Musions dangereuses? Sur quoi? Sur le pays, sur la valeur
de S'es éléments constitutifs: ressources minières certaines,
ell heureuse évolution au cours des sept années écoulées?
Sur son peuplement français, sain, vigoureux, croissant
SuPerbement et sur sa population indigène, loyale, dévouée,
ell heureuse évolution au cours des sept années écoulées?
Mais mon accusateur lui-même a proclamé sa foi dans
avenir de « prospérité brillante » réservé à la Nouvelle-
CaJédünie. )
Nous sommes donc d'accord sur le fond.
Dans les circonstances vraiment difficiles de la crise pré-
sente, le chef de la colonie, surchargé de responsabilités si
fiantes, à la recherche constante des moyens propres à conju-
rer le "1
er le péril menaçant pour la Nouvelle-Calédonie et la coloni-
ation française aux Nouvelles-Hébrides, a besoin vraiment,
sieurs, de sentir battre les cœurs à l'unisson du sien.
d Dès lors, n'eût-il pas été plus conforme à notre doctrine
collaboration pra'iquée depuis sept ans, doctiine bienfaisante
11 tous temps, doctrine salvatrice quand le péril est là, que
les fautes. de mon administration, s'il en a été commis, me
-
fussent montrées,que les s-olutiotis plus heureuses -me lussent
) , avec précision en des communications directes qui
soi* t faites des franchise * et de confiance, inspirées du souci
objectif du bien public, étrangères à cette sorte de manœuvre
qui tend* a faire peser l'équivoque sur les actes, la .suspicion
Sur Pens®es mêmes, afin d'exploiter certaines faiblesses
qui Portent parfois les hommes à croire plutôt le mal que le
lelll
A la question que je me suis posée: conseiller et pratiquer
moi^1*16 la politique de renoncement à l'effort, parce que
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S mûre réflexion, certes non!
Après avoir obtenu l'approbation, par les Pouvoirs publics
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