Titre : L'Agronomie coloniale : bulletin mensuel du Jardin colonial
Auteur : Jardin d'agronomie tropicale (Paris). Auteur du texte
Auteur : Institut national d'agronomie de la France d'outre-mer (Nogent-sur-Marne, Val-de-Marne). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des colonies. Auteur du texte
Éditeur : É. Larose (Paris)
Éditeur : Impr. nationaleImpr. nationale (Paris)
Date d'édition : 1938-08-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34351154x
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 10290 Nombre total de vues : 10290
Description : 01 août 1938 01 août 1938
Description : 1938/08/01 (A27,N248)-1938/08/31. 1938/08/01 (A27,N248)-1938/08/31.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64631871
Source : CIRAD, 2012-231851
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 12/08/2013
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VARIÉTÉS.
À PROPOS D'UN NOUVEAU TEXTILE AU DAHOMEY.
Le Bulletin mensuel de l'Agence de l'Afrique occidentale française
(n 0 208, avril 1988, p. 124) ainsi que le Monde Colonial illustré
dans son numéro de juin 1938 (p. 46 a) signalent un nouveau
textile au Dahomey : le Djidji, susceptible de concurrencer
le jute des Indes. Un examen fait par un ingénieur-conseil en
textiles, M. LARIVIÈRE, aboutit aux conclusions : «fibre longue
(o m. 90), lisse, fine, souple, soyeuse et résistante, permettant
un filage industriel. Le parallélisme des fibres unitaires offre
un caractère remarquable l'apparentant à la fibre du lin. Le
blanchiment est instantané par l'acide chlorhydrique
La plante pousse à l'état spontané dans les jachères du
Dahomey et les indigènes de Porto-Novo l'exploitent quelque
peu pour fabriquer une corde grossière résistante. Un homme
récolte en huit heures 6 kilogrammes d'écorces sèches. La note
indique que des essais culturaux seront entrepris dès cette
année au Dahomey.
La plante Djidji est identique au Pounga de l'Afrique équato-
riale française que DROGUÉ (M.) a étudié récemment (Les produits
coloniaux et le matériel colonial, n° 145, juin 1986, p. 85-88).
Il s'agit d'une Tiliacée, le Triumfetta rhomboidea Jacq. (== T. bar-
tramia L.), mauvaise herbe des cultures et des agglomérations
humaines des Tropiques du vieux monde (Afrique et Asie).
La fibre est connue depuis longtemps comme susceptible
d'être un bon succédané du jute. Toutes les peuplades africaines
l'utilisent plus ou moins. En 1905-1907 divers échantillons
d'origine africaine examinés à Londres ne donnèrent pas entière
satisfaction.
VARIÉTÉS.
À PROPOS D'UN NOUVEAU TEXTILE AU DAHOMEY.
Le Bulletin mensuel de l'Agence de l'Afrique occidentale française
(n 0 208, avril 1988, p. 124) ainsi que le Monde Colonial illustré
dans son numéro de juin 1938 (p. 46 a) signalent un nouveau
textile au Dahomey : le Djidji, susceptible de concurrencer
le jute des Indes. Un examen fait par un ingénieur-conseil en
textiles, M. LARIVIÈRE, aboutit aux conclusions : «fibre longue
(o m. 90), lisse, fine, souple, soyeuse et résistante, permettant
un filage industriel. Le parallélisme des fibres unitaires offre
un caractère remarquable l'apparentant à la fibre du lin. Le
blanchiment est instantané par l'acide chlorhydrique
La plante pousse à l'état spontané dans les jachères du
Dahomey et les indigènes de Porto-Novo l'exploitent quelque
peu pour fabriquer une corde grossière résistante. Un homme
récolte en huit heures 6 kilogrammes d'écorces sèches. La note
indique que des essais culturaux seront entrepris dès cette
année au Dahomey.
La plante Djidji est identique au Pounga de l'Afrique équato-
riale française que DROGUÉ (M.) a étudié récemment (Les produits
coloniaux et le matériel colonial, n° 145, juin 1986, p. 85-88).
Il s'agit d'une Tiliacée, le Triumfetta rhomboidea Jacq. (== T. bar-
tramia L.), mauvaise herbe des cultures et des agglomérations
humaines des Tropiques du vieux monde (Afrique et Asie).
La fibre est connue depuis longtemps comme susceptible
d'être un bon succédané du jute. Toutes les peuplades africaines
l'utilisent plus ou moins. En 1905-1907 divers échantillons
d'origine africaine examinés à Londres ne donnèrent pas entière
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