Titre : Journal d'agriculture tropicale : agricole, scientifique et commercial / dir. Jean Vilbouchevitch
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1903-08-31
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343782789
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 6892 Nombre total de vues : 6892
Description : 31 août 1903 31 août 1903
Description : 1903/08/31 (A3,N26). 1903/08/31 (A3,N26).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6437465w
Source : CIRAD, 2012-235759
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 14/02/2013
- Aller à la page de la table des matières225
- Sommaire
Pages- .......... Page(s) .......... 227
- .......... Page(s) .......... 230
- .......... Page(s) .......... 236
- .......... Page(s) .......... 238
- .......... Page(s) .......... 240
- .......... Page(s) .......... 242
- .......... Page(s) .......... 245
- PARTIE COMMERCIALE
- ACTUALITÉS
- LIVRES NOUVEAUX
- Annonces bibliographiques, §§ 431-445, sur papier bleu: Italie, Etats-Unis, Floride, Jamaïque, Sâo-Paulo, Japon, Java, Formose. - Tabac, Coton, Cowpea, Canne, Thé, Camphre, Ramie, Ananas, Gutta-percha, Caoutchouc Intisy, Maté, Quinquina, Kapok, Indigo, Vigne. - Apiculture
- FIGURES
- .......... Page(s) .......... 253
N- 26 - AOUT igo3 JOURNAL D'AGRICULTURE TROPICALE 253
loin de ce que nous avons à la Réunion.
Je ne finirai pas sans vous dire combien
j'approuve l'article de M. MAIN sur les Mois-
sonneuses à canne ; ne pensant pas sans plai-
sir au jour où on pourra faire la récolte avec
des machines.
Saint-Denis, Réunion.
A. DE VILLÈLE
Directeur de la « Revue Agricole. »
Récolte mécanique du coton.
La machine de ZEMPTER.
Dans le n° 12 du « J. d'A. T. », nous
avons dit un mot de la machine de CAMPBELL,
brevetée à Pittsburg (Etats-Unis).
On signale aujourd'hui d'Amérique la for-
mation d'une nouvelle Société pour la cons-
truction et l'exploitation de machines à ré-
colter le coton. Cette Société est constituée
à Memphis (Tenn.), et se propose d'exploiter
les brevets de M. GEO. H. ZEMPTER.
Sans rien préjuger du fonctionnement de
la machine, nous pouvons dire qu'elle paraît
rationnelle. Les organes de préhension sont
manœuvrés par des ouvriers montés sur un
chariot qui se déplace; on peut donc dire
qu'elle n'est que semi-automatique.
FIG. 18.
E lie se compose en principe : 1) d'un
chariot à quatre roues, traîné par deux ani-
maux; 2) d'un moteur à essence (ou à tout
autre combustible) actionnant 3) un puissant
aspirateur agissant sur quatre conduits (ou
plus), terminés par des tuyaux souples dont
autant d'ouvriers présentent l'extrémité aux
capsules mûres; le coton et la graine se trou-
vent aspirés et envoyés dans un nettoyeur,
dont le rôle est mal défini.
La description donnée dans le « Farm Im-
lement News » ajoute même que la fibre
s'en va d'un côté et la grainede l'autre, ce qui
laisserait supposer que l'égrenage a lieu en
même temps. Il ne semble pas qu'il soit
bien nécessaire de faire les deux opérations
sur place. Ce point est d'ailleurs moins im-
portant, et la récolte seule, si elle est opérée
dans des conditions satisfaisantes, suffirait
à rendre la machine intéressante. La figure,
que nous publions ci-contre, est empruntée
au « Farm Implement News », et a été exé-
cutée d'après un croquis de l'inventeur.
F. M.
Maniçoba et Mangabeira.
Y a-t-il intérêt à les cultiver en grand ?
Un correspondant, qui n'a pas jugé utile
de signer, nous écrit de Benguella (Angola,
Afrique Occidentale Portugaise) :
« Je suis un abonné de votre excellente
revue. Je désire entreprendre une exploita-
tion de Manihot Gla^iovii et de Hancornia
speciosa. J'ai lu déjà bien des livres sur la
culture du caoutchouc, mais il me reste
quelques doutes sur :
« Iole rendement;
« 20 la meilleure méthode de saigner
l'une et l'autre de ces deux espèces;
« 3° le meilleur procédé de coagulation;
« 40 les frais d'entretien, et spécialement
le nombre d'arbres qu'un ouvrier peut sai-
gner dans sa journée.
« Je vous serais très obligé de bien vouloir
me donner conseil. »
*
* *
Nous avons pour principe, dans ce Jour-
nal, de ne pas faire double emploi avec les
livres, du moins avec ceux d'accès facile; et
le meilleur conseil que nous puissions don-
ner à cet abonné, est de relire les cha-
pitres correspondants de l'édition annotée
des Plantes à caoutchouc, de WARBURG, que
nous ne cessons de rappeler à l'attention du
public, dans chaque numéro (v. p. 226).
Notre abonné y verra, qu'engager des ca-
pitaux dans la culture du Hancornia (Manga-
beira, des Brésiliens) serait se lancer dans
une aventure dont l'issue ne manquerait
probablement pas d'être fâcheuse.
Quant au Manihot (Maniçoba, des Brési-
loin de ce que nous avons à la Réunion.
Je ne finirai pas sans vous dire combien
j'approuve l'article de M. MAIN sur les Mois-
sonneuses à canne ; ne pensant pas sans plai-
sir au jour où on pourra faire la récolte avec
des machines.
Saint-Denis, Réunion.
A. DE VILLÈLE
Directeur de la « Revue Agricole. »
Récolte mécanique du coton.
La machine de ZEMPTER.
Dans le n° 12 du « J. d'A. T. », nous
avons dit un mot de la machine de CAMPBELL,
brevetée à Pittsburg (Etats-Unis).
On signale aujourd'hui d'Amérique la for-
mation d'une nouvelle Société pour la cons-
truction et l'exploitation de machines à ré-
colter le coton. Cette Société est constituée
à Memphis (Tenn.), et se propose d'exploiter
les brevets de M. GEO. H. ZEMPTER.
Sans rien préjuger du fonctionnement de
la machine, nous pouvons dire qu'elle paraît
rationnelle. Les organes de préhension sont
manœuvrés par des ouvriers montés sur un
chariot qui se déplace; on peut donc dire
qu'elle n'est que semi-automatique.
FIG. 18.
E lie se compose en principe : 1) d'un
chariot à quatre roues, traîné par deux ani-
maux; 2) d'un moteur à essence (ou à tout
autre combustible) actionnant 3) un puissant
aspirateur agissant sur quatre conduits (ou
plus), terminés par des tuyaux souples dont
autant d'ouvriers présentent l'extrémité aux
capsules mûres; le coton et la graine se trou-
vent aspirés et envoyés dans un nettoyeur,
dont le rôle est mal défini.
La description donnée dans le « Farm Im-
lement News » ajoute même que la fibre
s'en va d'un côté et la grainede l'autre, ce qui
laisserait supposer que l'égrenage a lieu en
même temps. Il ne semble pas qu'il soit
bien nécessaire de faire les deux opérations
sur place. Ce point est d'ailleurs moins im-
portant, et la récolte seule, si elle est opérée
dans des conditions satisfaisantes, suffirait
à rendre la machine intéressante. La figure,
que nous publions ci-contre, est empruntée
au « Farm Implement News », et a été exé-
cutée d'après un croquis de l'inventeur.
F. M.
Maniçoba et Mangabeira.
Y a-t-il intérêt à les cultiver en grand ?
Un correspondant, qui n'a pas jugé utile
de signer, nous écrit de Benguella (Angola,
Afrique Occidentale Portugaise) :
« Je suis un abonné de votre excellente
revue. Je désire entreprendre une exploita-
tion de Manihot Gla^iovii et de Hancornia
speciosa. J'ai lu déjà bien des livres sur la
culture du caoutchouc, mais il me reste
quelques doutes sur :
« Iole rendement;
« 20 la meilleure méthode de saigner
l'une et l'autre de ces deux espèces;
« 3° le meilleur procédé de coagulation;
« 40 les frais d'entretien, et spécialement
le nombre d'arbres qu'un ouvrier peut sai-
gner dans sa journée.
« Je vous serais très obligé de bien vouloir
me donner conseil. »
*
* *
Nous avons pour principe, dans ce Jour-
nal, de ne pas faire double emploi avec les
livres, du moins avec ceux d'accès facile; et
le meilleur conseil que nous puissions don-
ner à cet abonné, est de relire les cha-
pitres correspondants de l'édition annotée
des Plantes à caoutchouc, de WARBURG, que
nous ne cessons de rappeler à l'attention du
public, dans chaque numéro (v. p. 226).
Notre abonné y verra, qu'engager des ca-
pitaux dans la culture du Hancornia (Manga-
beira, des Brésiliens) serait se lancer dans
une aventure dont l'issue ne manquerait
probablement pas d'être fâcheuse.
Quant au Manihot (Maniçoba, des Brési-
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