Titre : Journal d'agriculture tropicale : agricole, scientifique et commercial / dir. Jean Vilbouchevitch
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1903-04-30
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343782789
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 6892 Nombre total de vues : 6892
Description : 30 avril 1903 30 avril 1903
Description : 1903/04/30 (A3,N22). 1903/04/30 (A3,N22).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64374617
Source : CIRAD, 2012-235759
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 14/02/2013
- Aller à la page de la table des matières97
- Sommaire
- ETUDES ET DOSSIERS.
Pages- .......... Page(s) .......... 99
- .......... Page(s) .......... 102
- .......... Page(s) .......... 103
- .......... Page(s) .......... 105
- .......... Page(s) .......... 106
- .......... Page(s) .......... 108
- .......... Page(s) .......... 110
- .......... Page(s) .......... 111
- Beurre de coco. (Détails sur le fonctionnement des usines de Marseille, de Singapore, de Pondichéry).......... Page(s) .......... 114
- PARTIE COMMERCIALE
- ACTUALITÉS
- .......... Page(s) .......... 124
- .......... Page(s) .......... 124
- .......... Page(s) .......... 125
- .......... Page(s) .......... 126
- .......... Page(s) .......... 126
- .......... Page(s) .......... 127
- .......... Page(s) .......... 127
- .......... Page(s) .......... 127
- .......... Page(s) .......... 128
- .......... Page(s) .......... 128
- LIVRES NOUVEAUX
- .......... Page(s) .......... 355-372
- Annonces bibliographiques, sur papier bleu
io6 JOURNAL D'AGRICULTURE TROPICALE N° 22 - AVRIL 1903
de travail, mais on a quand même les deux
séries de £ i £ , pour pouvoir changer au
besoin la destination
de la machine.
Le débit de cette
machine varie selon
son emploi et selon
la grandeur des noix.
Lorsqu'on l'utilise
pour râper, elle
débite 1.000 noix
environ a l'heure, et
lorsqu'on l'emploie
pour faire des co-
peaux (« shred »), on
obtient une produc-
tion de 800 noix
environ à l'heure.
La machine A, qui
coupe les noix en
longues lanières,
débite environ 800
noix à l'heure.
Le prix de la ma-
chine A est de £ 32.
Celui de la machine
J3 est de £ 34; une
Fig. 7.
B. — Machine à râper (Shredding Machine).
série de scies supplémentaire coûte £ 3-i8s.
Ces prix s'entendent f. o. b. Liverpool,
emballage compris.
L'importance de
l'installation est dé-
terminée par la
quantité à fabriquer.
Le mieux est de com-
mencer avec deux
machines de chaque
sorte; et lorsquel'af-
faireest bien entrain
on se procure des
machines supplé -
mentaires. Les fabri-
ques importantes
ont de 4 à 5 machi-
nes A et de 8 à 10
machines B. Elles
possèdent également
des scies circulaires
mécaniques pour
ouvrir les noix, des
étuves, etc. Souvent
elles exploitent à la
foislafibre de l'enve
loppe externe (coir).
Le Pêcher au Sénégal
Son introduction de la Guadeloupe à Saint-Louis. — Forme bizarre des
noyaux récoltés au Sénégal.
Par M. E. MAINE.
Cher Monsieur, vous désirez quelques
détails sur ce fameux pêcher sénégalais dont
je vous ai parlé. Voici :
Un de mes amis, M. CLAUDE GAILLARD,
grand amateur de jardins, se plaignait sou-
vent devant moi, à Saint-Louis, de l'insuccès
complet de toutes ses tentatives pour accli-
mater dans nos jardins de Sorr les différents
fruits d'Europe dont on est si friand dans les
pays tropicaux.
Tous les pépins, noyaux, grains, retirés
de pommes, poires, abricots, pêches, prunes,
cerises, raisins, allaient s'enfouir dans le
sable de Sorr et rien n'en ressortait, ou si
peu et pour si peu de temps que ce n'éait
pas la peine d'en parler.
Nous variâmes les dates, pour obtenir la
levée en saison fraîche, rien n'y fit.
Et cependant, il devaitexisterdes moyens,
pour les pêches au moins, puisque j'en avais
mangé d'indigènes et d'excellentes en un
autre pays aussi tropical au moins que le
Sénégal.
Ces pêches délicieuses, je les avais cueil-
lies sur l'arbre, lequel affectait bien plus les
allures d'un beau hêtre, de moyenne taille et
bien régulier, que la tournure plutôt rachi-
tique et biscornue de nos pêchers de France!
de travail, mais on a quand même les deux
séries de £ i £ , pour pouvoir changer au
besoin la destination
de la machine.
Le débit de cette
machine varie selon
son emploi et selon
la grandeur des noix.
Lorsqu'on l'utilise
pour râper, elle
débite 1.000 noix
environ a l'heure, et
lorsqu'on l'emploie
pour faire des co-
peaux (« shred »), on
obtient une produc-
tion de 800 noix
environ à l'heure.
La machine A, qui
coupe les noix en
longues lanières,
débite environ 800
noix à l'heure.
Le prix de la ma-
chine A est de £ 32.
Celui de la machine
J3 est de £ 34; une
Fig. 7.
B. — Machine à râper (Shredding Machine).
série de scies supplémentaire coûte £ 3-i8s.
Ces prix s'entendent f. o. b. Liverpool,
emballage compris.
L'importance de
l'installation est dé-
terminée par la
quantité à fabriquer.
Le mieux est de com-
mencer avec deux
machines de chaque
sorte; et lorsquel'af-
faireest bien entrain
on se procure des
machines supplé -
mentaires. Les fabri-
ques importantes
ont de 4 à 5 machi-
nes A et de 8 à 10
machines B. Elles
possèdent également
des scies circulaires
mécaniques pour
ouvrir les noix, des
étuves, etc. Souvent
elles exploitent à la
foislafibre de l'enve
loppe externe (coir).
Le Pêcher au Sénégal
Son introduction de la Guadeloupe à Saint-Louis. — Forme bizarre des
noyaux récoltés au Sénégal.
Par M. E. MAINE.
Cher Monsieur, vous désirez quelques
détails sur ce fameux pêcher sénégalais dont
je vous ai parlé. Voici :
Un de mes amis, M. CLAUDE GAILLARD,
grand amateur de jardins, se plaignait sou-
vent devant moi, à Saint-Louis, de l'insuccès
complet de toutes ses tentatives pour accli-
mater dans nos jardins de Sorr les différents
fruits d'Europe dont on est si friand dans les
pays tropicaux.
Tous les pépins, noyaux, grains, retirés
de pommes, poires, abricots, pêches, prunes,
cerises, raisins, allaient s'enfouir dans le
sable de Sorr et rien n'en ressortait, ou si
peu et pour si peu de temps que ce n'éait
pas la peine d'en parler.
Nous variâmes les dates, pour obtenir la
levée en saison fraîche, rien n'y fit.
Et cependant, il devaitexisterdes moyens,
pour les pêches au moins, puisque j'en avais
mangé d'indigènes et d'excellentes en un
autre pays aussi tropical au moins que le
Sénégal.
Ces pêches délicieuses, je les avais cueil-
lies sur l'arbre, lequel affectait bien plus les
allures d'un beau hêtre, de moyenne taille et
bien régulier, que la tournure plutôt rachi-
tique et biscornue de nos pêchers de France!
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