Titre : Journal d'agriculture tropicale : agricole, scientifique et commercial / dir. Jean Vilbouchevitch
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1903-01-31
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343782789
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 6892 Nombre total de vues : 6892
Description : 31 janvier 1903 31 janvier 1903
Description : 1903/01/31 (A3,N19). 1903/01/31 (A3,N19).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6437458r
Source : CIRAD, 2012-235759
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 14/02/2013
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- Sommaire
- ÉTUDES ET DOSSIERS
- PARTIE COMMERCIALE
- ACTUALITES
- .......... Page(s) .......... 22
- .......... Page(s) .......... 23
- .......... Page(s) .......... 23
- .......... Page(s) .......... 24
- .......... Page(s) .......... 25
- .......... Page(s) .......... 26
- .......... Page(s) .......... 26
- .......... Page(s) .......... 26
- .......... Page(s) .......... 27
- .......... Page(s) .......... 28
- .......... Page(s) .......... 28
- .......... Page(s) .......... 29
- .......... Page(s) .......... 30
- .......... Page(s) .......... 31
- .......... Page(s) .......... 32
- .......... Page(s) .......... 32
- .......... Page(s) .......... 32
- LIVRES NOUVEAUX
- Annonces bibliographiques 283-310. sur papier bleu
- FIGURES
- .......... Page(s) .......... 4
No 19 — JANV. 1903 JOURNAL D'AGRICULTURE TROPICALE S
grosseur, de façon à ne pas endommager
l'amande. La capacité de cette machine est
de 66 noix par pilon et par minute, soit,
pour la machine à deux pilons, 132 noix par
minute.
Nous avons reçu du constructeur un
échantillon de noix d'Acrocomia, travaillées
par cette machine. Le noyau est brisé en
deux parties par une section assez nette,
presque plane, l'un des morceaux étant à
peu près égal aux deux tiers de l'autre.
Un assez grand nombre de ces machines
sont en service, parait-il, au Paraguay, et
on en obtient, nous écrit le constructeur,
d'excellents résultats.
F. MAIN.
Répartition géographique desAgaves textiles à cultiver
Communication faite à la Section coloniale de la S^Ha'Acclimatation de France, en novembre 1 g 02.
Par M. Ch. RIVIÈRE.
Dans le courant de cet automne de nom-
breux coloniaux, de passage en France,
préoccupés de la culture des Agaves textiles
(aloës) et des machines à les défibrer, ont
adressé à la Section diverses demandes de
renseignements qui seraient de nature à dé-
montrer que la question des Amaryllidées
filifères mérite d'être mise au point pour
éviter des insuccès.
Les espèces à employer doivent varier avec
les climats, et sur ce su jet important, concer-
nant leur distribution climatoipgique et leur
identité, on peut déjà établir des grandes
lignes dont il ne conviendrait pas de s'écar-
ter.
1° Dans les régions sub-équatoriales,
chaudes et humides, une espèce gigantesque
paraît la plus particulièrement indiquée :
c'est le Fourcroya gigalltea, originaire du
Guatémala, mais introduit, cultivé etexploité
à l'île Maurice, d'où le nom bien connu de
«chanvre de Maurice ». Cette espèce est
remarquable par la longueur de ses fibres.
2 Dans les pays tempérés-chauds, c'est-à-
dire où les chaleurs estivales sont prolongées
et où le thermomètre ne s'abaisse qu'acci-
dentellement aux environs de zéro, les plan-
tes mexicaines sont à choisir de préférence,
mais elles présentent une grande variété de
formes qu'il faut connaître :
Les variétés les plus recherchées sont
celles désignées sous le nom un peu trop
général de « Chanvre de Sisal » ou « Hene-
quen ».
Elles paraissent issues d'une même espèce,
Agave rigida ou angustifolia dont le type épi-
neux a donné naissance à des variétés inermes,
à feuilles plus ou moins étroites, plus ou
moins dures et coriaces, quelquefois tendres
crassulantes.
Il faut donc ranger dans les agaves dits
a de Sisal » les plantes connues sous les
noms de :
Agave rigida
— angustifolia
— lxtly 'i es variétés
— Houlletiana, ainsi que les variétés
inermes de ces agaves.
En d'autres termes, Agave sisalana ne se
rapporterait botaniquement à aucune espèce
ou forme bien précise.
Les planteurs devront donc attacher la
plus grande importance au choix de ces va-
riétés qui présentent, en dehors d'une végé-
tation différente, des difficultés ou des avan-
tages de traitement industriel.
On doit à un botaniste distingué, M. le
Dr WEBER, la diffusion de la bonne classi-
fication de ces diverses plantes.
3° Dans les régions élevées, à chaleur pro-
longée, pauvres en pluie, où le froid se fait
quelquefois sentir, l' « Agave de Tampico »
est mieux à sa place à cause de sa rusticité
relative : cette espèce, qui est de petite taille,
a diverses synonymies dues à ses formes:
Agave lieteracantha, univittata, ceot-zilesceiis.
40 Enfin, ayant une aire de végétation
assez grande et pouvant vivre dans les régions
chaudes, tempérées etmême dans les climats
steppiens où il ne gèle pas trop, on trouve
grosseur, de façon à ne pas endommager
l'amande. La capacité de cette machine est
de 66 noix par pilon et par minute, soit,
pour la machine à deux pilons, 132 noix par
minute.
Nous avons reçu du constructeur un
échantillon de noix d'Acrocomia, travaillées
par cette machine. Le noyau est brisé en
deux parties par une section assez nette,
presque plane, l'un des morceaux étant à
peu près égal aux deux tiers de l'autre.
Un assez grand nombre de ces machines
sont en service, parait-il, au Paraguay, et
on en obtient, nous écrit le constructeur,
d'excellents résultats.
F. MAIN.
Répartition géographique desAgaves textiles à cultiver
Communication faite à la Section coloniale de la S^Ha'Acclimatation de France, en novembre 1 g 02.
Par M. Ch. RIVIÈRE.
Dans le courant de cet automne de nom-
breux coloniaux, de passage en France,
préoccupés de la culture des Agaves textiles
(aloës) et des machines à les défibrer, ont
adressé à la Section diverses demandes de
renseignements qui seraient de nature à dé-
montrer que la question des Amaryllidées
filifères mérite d'être mise au point pour
éviter des insuccès.
Les espèces à employer doivent varier avec
les climats, et sur ce su jet important, concer-
nant leur distribution climatoipgique et leur
identité, on peut déjà établir des grandes
lignes dont il ne conviendrait pas de s'écar-
ter.
1° Dans les régions sub-équatoriales,
chaudes et humides, une espèce gigantesque
paraît la plus particulièrement indiquée :
c'est le Fourcroya gigalltea, originaire du
Guatémala, mais introduit, cultivé etexploité
à l'île Maurice, d'où le nom bien connu de
«chanvre de Maurice ». Cette espèce est
remarquable par la longueur de ses fibres.
2 Dans les pays tempérés-chauds, c'est-à-
dire où les chaleurs estivales sont prolongées
et où le thermomètre ne s'abaisse qu'acci-
dentellement aux environs de zéro, les plan-
tes mexicaines sont à choisir de préférence,
mais elles présentent une grande variété de
formes qu'il faut connaître :
Les variétés les plus recherchées sont
celles désignées sous le nom un peu trop
général de « Chanvre de Sisal » ou « Hene-
quen ».
Elles paraissent issues d'une même espèce,
Agave rigida ou angustifolia dont le type épi-
neux a donné naissance à des variétés inermes,
à feuilles plus ou moins étroites, plus ou
moins dures et coriaces, quelquefois tendres
crassulantes.
Il faut donc ranger dans les agaves dits
a de Sisal » les plantes connues sous les
noms de :
Agave rigida
— angustifolia
— lxtly 'i es variétés
— Houlletiana, ainsi que les variétés
inermes de ces agaves.
En d'autres termes, Agave sisalana ne se
rapporterait botaniquement à aucune espèce
ou forme bien précise.
Les planteurs devront donc attacher la
plus grande importance au choix de ces va-
riétés qui présentent, en dehors d'une végé-
tation différente, des difficultés ou des avan-
tages de traitement industriel.
On doit à un botaniste distingué, M. le
Dr WEBER, la diffusion de la bonne classi-
fication de ces diverses plantes.
3° Dans les régions élevées, à chaleur pro-
longée, pauvres en pluie, où le froid se fait
quelquefois sentir, l' « Agave de Tampico »
est mieux à sa place à cause de sa rusticité
relative : cette espèce, qui est de petite taille,
a diverses synonymies dues à ses formes:
Agave lieteracantha, univittata, ceot-zilesceiis.
40 Enfin, ayant une aire de végétation
assez grande et pouvant vivre dans les régions
chaudes, tempérées etmême dans les climats
steppiens où il ne gèle pas trop, on trouve
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