Titre : Journal d'agriculture tropicale : agricole, scientifique et commercial / dir. Jean Vilbouchevitch
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1905-02-28
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343782789
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 6892 Nombre total de vues : 6892
Description : 28 février 1905 28 février 1905
Description : 1905/02/28 (A5,N44). 1905/02/28 (A5,N44).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6426443q
Source : CIRAD, 2012-235759
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 14/02/2013
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- PARTIE COMMERCIALE
- ACTUALITÉS
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- BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE
- Livres nouveaux: § 756=784
- FIGURES
60 JOURNAL D'AGRICULTURE TROPICALE N° 44 — FÉVR. 1905
seulement. Vous pourrez ainsi comparer en
toute sécurité les fibres des deux plantes
puisqu'elles sont encore attenantes à la
feuille.
» Vous reconnaîtrez que les fibres de
l'Agave en discussion, dont la feuille ressem-
ble à s'y méprendre à celle de l'americana,
produit des fibres semblables à celles de
l'A. Tigda (henequen) tandis que celles de
Yamericana sont floches, légères, d'appa-
rence bien différente ».
» Veuillez agréer, etc.
F. FASIO.
Alger, 5 février 1905.
*
* *
S ote de la Rédaction : Nous avons en effet
reçu de M. FASIO une petite caisse contenant
des feuilles défibrées en partie et laissant voir
ainsi à la fois la feuille et la fibre. A titre
de comparaison, M. FASIO y a joint une
feuille de sisal (ou henequen) également
défibrée en partie.
Nous trouvons, nous aussi, que la fibre
est bien différente ; celle de l'A. americana
est, en outre, beaucoup moins abondante
dans la feuille, par comparaison avec l'Agave
nouveau.
Ceux de nos lecteurs que le débat inté-
resse, pourront aller examiner l'envoi de
M. FASIO au Musée de l'Office Colonial (gale-
rie d'Orléans, Palais - Royal), qui possède
également, déjà depuis l'année dernière,
d'autres collections de fibres provenant du
même expérimentateur.
Batteuses à Riz
A propos des machines à bras.
Lettre de M. F. MAIN
Mon cher Directeur,
En me communiquant il y a quelque
temps la lettre que vous avez publiée en-
suite dans le no 42, lettre dans laquelle MM.
MAYFARTH & Cie prenaient la défense des bat-
teuses à bras de construction allemande,
vous m'avez demandé d'ouvrir un supplé-
ment d'enquête.
Etant donné l'intérêt considérable qu'of-
frait l'assertion de MM. MAYFARTH, je me
suis rendu chez eux et j'ai examiné et fait
fonctionner — à vide, il est vrai, — l'une de
leurs batteuses « Lilliput D. Je dois avouer
que j'ai été surpris de la douceur du démar-
rage de ces batteuses, douceur certaine-
ment dûe à leurs coussinets, car les autres
organes de la machine ne diffèrent pas de
ceux des batteuses françaises analogues.
J'ajouterai que je viens de commander
deux paires de ces coussinets pour une ma-
chine d'une tout autre destination dont j'étu-
die actuellement la transformation ; j'espère
pouvoir vous en reparler.
Je regrette que ces coussinets ne soient
pas applicables à toutes les machines. Je
suis en effet persuadé que le point qui divi-
sait M. E. BAILLAUD et moi au sujet de la
décortication du riz (v. « J. d'A. T. » nos 30 et
31), ne vient que du mauvais rendement mé-
canique de la plupart des appareils à bras.
— Lorsque M. BAILLAUD sera 'de retour, je
suis certain qu'il nous suffira de quelques
instants pour constater quenous avons tou-
jours été du même avis.
Veuillez agréer, etc.
F. MAIN.
10 février 1904.
La vigne à la Jamaïque
Lettre de M. A. VON GONTARD.
Notre collaborateur M. LABROY avait raison,
dans son article du n° 42, de se montrer scepti-
que à l'égard de la prétendue exportation de
raisins de la Jamaïque. Voici, eh effet, une
lettre, que nous communique très aimablement
M. A. FAUCHÈRE, de M. ALEXANDRE VON GoN-
TARD, négociant en fruits à Kingston (Jamaïque),
en rapports d'affaires continus avec les marchés
américains; elle est datée de New York, 12 dé-
cembre 1904 :
« Je puis vous assurer qu'il n'a jamais
été exporté de raisins de la Jamaïque. Au
contraire, il en est exporté quelquefois par
le port de New-York, à destination de la
Jamaïque. ;".;: .i,
» Il n'existe, à ma connaissance, qu'un
très petit nombre de ceps dans l'île ; les uns,
aux Hope Gardens, les autres dans des pro-
seulement. Vous pourrez ainsi comparer en
toute sécurité les fibres des deux plantes
puisqu'elles sont encore attenantes à la
feuille.
» Vous reconnaîtrez que les fibres de
l'Agave en discussion, dont la feuille ressem-
ble à s'y méprendre à celle de l'americana,
produit des fibres semblables à celles de
l'A. Tigda (henequen) tandis que celles de
Yamericana sont floches, légères, d'appa-
rence bien différente ».
» Veuillez agréer, etc.
F. FASIO.
Alger, 5 février 1905.
*
* *
S ote de la Rédaction : Nous avons en effet
reçu de M. FASIO une petite caisse contenant
des feuilles défibrées en partie et laissant voir
ainsi à la fois la feuille et la fibre. A titre
de comparaison, M. FASIO y a joint une
feuille de sisal (ou henequen) également
défibrée en partie.
Nous trouvons, nous aussi, que la fibre
est bien différente ; celle de l'A. americana
est, en outre, beaucoup moins abondante
dans la feuille, par comparaison avec l'Agave
nouveau.
Ceux de nos lecteurs que le débat inté-
resse, pourront aller examiner l'envoi de
M. FASIO au Musée de l'Office Colonial (gale-
rie d'Orléans, Palais - Royal), qui possède
également, déjà depuis l'année dernière,
d'autres collections de fibres provenant du
même expérimentateur.
Batteuses à Riz
A propos des machines à bras.
Lettre de M. F. MAIN
Mon cher Directeur,
En me communiquant il y a quelque
temps la lettre que vous avez publiée en-
suite dans le no 42, lettre dans laquelle MM.
MAYFARTH & Cie prenaient la défense des bat-
teuses à bras de construction allemande,
vous m'avez demandé d'ouvrir un supplé-
ment d'enquête.
Etant donné l'intérêt considérable qu'of-
frait l'assertion de MM. MAYFARTH, je me
suis rendu chez eux et j'ai examiné et fait
fonctionner — à vide, il est vrai, — l'une de
leurs batteuses « Lilliput D. Je dois avouer
que j'ai été surpris de la douceur du démar-
rage de ces batteuses, douceur certaine-
ment dûe à leurs coussinets, car les autres
organes de la machine ne diffèrent pas de
ceux des batteuses françaises analogues.
J'ajouterai que je viens de commander
deux paires de ces coussinets pour une ma-
chine d'une tout autre destination dont j'étu-
die actuellement la transformation ; j'espère
pouvoir vous en reparler.
Je regrette que ces coussinets ne soient
pas applicables à toutes les machines. Je
suis en effet persuadé que le point qui divi-
sait M. E. BAILLAUD et moi au sujet de la
décortication du riz (v. « J. d'A. T. » nos 30 et
31), ne vient que du mauvais rendement mé-
canique de la plupart des appareils à bras.
— Lorsque M. BAILLAUD sera 'de retour, je
suis certain qu'il nous suffira de quelques
instants pour constater quenous avons tou-
jours été du même avis.
Veuillez agréer, etc.
F. MAIN.
10 février 1904.
La vigne à la Jamaïque
Lettre de M. A. VON GONTARD.
Notre collaborateur M. LABROY avait raison,
dans son article du n° 42, de se montrer scepti-
que à l'égard de la prétendue exportation de
raisins de la Jamaïque. Voici, eh effet, une
lettre, que nous communique très aimablement
M. A. FAUCHÈRE, de M. ALEXANDRE VON GoN-
TARD, négociant en fruits à Kingston (Jamaïque),
en rapports d'affaires continus avec les marchés
américains; elle est datée de New York, 12 dé-
cembre 1904 :
« Je puis vous assurer qu'il n'a jamais
été exporté de raisins de la Jamaïque. Au
contraire, il en est exporté quelquefois par
le port de New-York, à destination de la
Jamaïque. ;".;: .i,
» Il n'existe, à ma connaissance, qu'un
très petit nombre de ceps dans l'île ; les uns,
aux Hope Gardens, les autres dans des pro-
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