Titre : L'Agronomie coloniale : bulletin mensuel du Jardin colonial
Auteur : Jardin d'agronomie tropicale (Paris). Auteur du texte
Auteur : Institut national d'agronomie de la France d'outre-mer (Nogent-sur-Marne, Val-de-Marne). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des colonies. Auteur du texte
Éditeur : É. Larose (Paris)
Éditeur : Impr. nationaleImpr. nationale (Paris)
Date d'édition : 1921-09-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34351154x
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 10290 Nombre total de vues : 10290
Description : 01 septembre 1921 01 septembre 1921
Description : 1921/09/01 (A6,N45)-1921/09/30. 1921/09/01 (A6,N45)-1921/09/30.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6383729z
Source : CIRAD, 2012-231851
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 12/08/2013
98 VARIÉTÉS
Ces observations sont précieuses pour expliquer les
variations que l'on peut constater daus la composition des
essences authentiques, bien qu'au point de vue théorique.
elles n'apportent qu'une minime contribution à leur con-
naissance.
L. R.
LA SYRIE. SA RICHESSE AGRICOLE
En rendant compte des lumineux exposés faits par le
général Gouraud à « L'Union des grandes Associations fran-
çaises», M. A. de Tarde a cité, dans l'Opinion (19 mars 1921),
quelques nombres dignes d'être rapportées, quoique, à notre
avis, il faille se garder de considérer une statistique ou un.
inventaire de ce pays comme digne d'une attention sérieuse,
à l'heure actuelle.
Les plaines d'Alep et de Damas, régions les plus fertiles
de la Syrie, produisent une abondante quantité de blé.
Sur 85,000 km.2 de terres cultivables, 12.000 seulement
sont mis en cultures par les indigènes. On signale que les
rendements en blé ne sont encore qu'au voisinage de 700
kilos par hectare.
La région de Damas forme une vaste oasis humide et
scintillante d'irrigation, célèbre par ses vergers et ses fruits.
Au Sud, la région montagneuses du Hauran lui fournit ses
céréales.
La Haute Mésopotamie, à l'est du bassin d'Alep, convient
à l'élevage ; les voyageurs vantent sa grande fertilité.
La vallée de la Bekaa, couloir verdoyant, s'étend au sud
d'Alep et d'Hom, eutre les pentes couvertes de mûriers et
de vignes du Liban et de l'Antiliban.
La culture du tabac (principalement acheté par les Anglais)
aux environs de Lqttaquieh, la culture du coton aux envi-
rons d'Alep, le mûrier dans la région libanaise, méritent
d'être cités.
Une foire devait s'ouvrir en mai dernier à Beyrouth.
L. R.
Ces observations sont précieuses pour expliquer les
variations que l'on peut constater daus la composition des
essences authentiques, bien qu'au point de vue théorique.
elles n'apportent qu'une minime contribution à leur con-
naissance.
L. R.
LA SYRIE. SA RICHESSE AGRICOLE
En rendant compte des lumineux exposés faits par le
général Gouraud à « L'Union des grandes Associations fran-
çaises», M. A. de Tarde a cité, dans l'Opinion (19 mars 1921),
quelques nombres dignes d'être rapportées, quoique, à notre
avis, il faille se garder de considérer une statistique ou un.
inventaire de ce pays comme digne d'une attention sérieuse,
à l'heure actuelle.
Les plaines d'Alep et de Damas, régions les plus fertiles
de la Syrie, produisent une abondante quantité de blé.
Sur 85,000 km.2 de terres cultivables, 12.000 seulement
sont mis en cultures par les indigènes. On signale que les
rendements en blé ne sont encore qu'au voisinage de 700
kilos par hectare.
La région de Damas forme une vaste oasis humide et
scintillante d'irrigation, célèbre par ses vergers et ses fruits.
Au Sud, la région montagneuses du Hauran lui fournit ses
céréales.
La Haute Mésopotamie, à l'est du bassin d'Alep, convient
à l'élevage ; les voyageurs vantent sa grande fertilité.
La vallée de la Bekaa, couloir verdoyant, s'étend au sud
d'Alep et d'Hom, eutre les pentes couvertes de mûriers et
de vignes du Liban et de l'Antiliban.
La culture du tabac (principalement acheté par les Anglais)
aux environs de Lqttaquieh, la culture du coton aux envi-
rons d'Alep, le mûrier dans la région libanaise, méritent
d'être cités.
Une foire devait s'ouvrir en mai dernier à Beyrouth.
L. R.
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