- Aller à la page de la table des matièresNP
- SOMMAIRE
- TABLE DES MATIÈRES
- .......... Page(s) .......... 1
- II
- BIOLOGIE DES COTONNIERS.
- GÉNÉTIQUE. - SÉLECTION.
- ETUDE DES FIBRES.
- MALADIES CRYPTOGAMIQUES.
- INSECTES NUISIBLES.
- .......... Page(s) .......... 28
- .......... Page(s) .......... 29
- .......... Page(s) .......... 66
- .......... Page(s) .......... 30
- .......... Page(s) .......... 31
- .......... Page(s) .......... 32
- .......... Page(s) .......... 34
- .......... Page(s) .......... 34
- .......... Page(s) .......... 67
- .......... Page(s) .......... 68
- .......... Page(s) .......... 35
- .......... Page(s) .......... 68
- .......... Page(s) .......... 68
- .......... Page(s) .......... 69
- .......... Page(s) .......... 71
- .......... Page(s) .......... 72
- .......... Page(s) .......... 36
- SOLS. - ENGRAIS.
- RÉCOLTE, PRÉPARATION DU PRODUIT POUR EXPÉDITION ET VENTE.
- UTILISATION DU COTONNIER.
- .......... Page(s) .......... 85
- .......... Page(s) .......... 85
- .......... Page(s) .......... 82
- .......... Page(s) .......... 85
- .......... Page(s) .......... 87
- .......... Page(s) .......... 46
- .......... Page(s) .......... 47
- .......... Page(s) .......... 93
- .......... Page(s) .......... 86
- .......... Page(s) .......... 45
- .......... Page(s) .......... 80
70 COTON ET CULTURE COTONNIÈRE
Dombeya et d'autres arbustes, les femelles qui ont vécu sur la graine
du cotonnier meurent rapidement après la ponte des œufs.
On a fait des recherches sur les aliments de réserve pour les
adultes, aliments constitués par de l'eau et du nectar. Le Dr RAINEY
s'est spécialisé dans ces recherches et il a pu déterminer, par les mé-
thodes de saponification, la part de chacun de ces deux éléments, il a
également fait des déterminations d'azote sur ces insectes.
Des expériences en vue de déterminer la durée de la vie des diffé-
rentes espèces sur diverses plantes sauvages ont été faites pendant la
saison humide, dans l'insectarium, dans des conditions sensiblement
analogues à celles qu'on rencontre dans les champs. Les résultats
furent quelque peu surprenants. D. nigrofasciatus, par exemple, se dé-
veloppe très rapidement et heureusement (en 24 heures) sur les graines
de baobab et de Thespesia Rogersii (espèces sur lesquelles on ne le
trouve pratiquement pas), sur Slerculia Rogersii et sur les cotonniers
cultivés.
On a étudié, au cours des expériences d'incubation, les effets de
la température et de l'humidité sur les œufs et les premiers stades de
la vie de Dysdercus, on a obtenu les résultats suivants : a) Effet de
l'humidité à une température constante, les œufs de D. fasciatus étaient
maintenus à une température constante de 27" et soumis à un taux
d'humidité relatif variant de 1 0 à 1 00 et contrôlé par des solutions
d'acide sulfurique. Au-dessus de 70 %, l'humidité n'a pas d'effet sur
l'éclosion des œufs, mais au-dessous de 70 l'éclosion diminue et ne
se produit plus du tout si le taux d'humidité est de 50 A une
humidité inférieure à 90 %, en l'absence d'eau courante, les nymphes
ne peuvent survivre.
b) Effet de la température à une humidité constante de 100
On avait pris pour ces expériences des œufs de D. fasciatus et D. ni-
grofasciatus maintenus à une température de 9 à 43" dans l'incubateur.
Pour ces deux espèces la température constante la plus basse à la-
quelle l'éclosion se produit est de 16" 3. Elle ne se produit plus à
14°8. L'éclosion commence entre ces deux limites. On a essayé de
soumettre les œufs de D. nigrofasciatus à 11° pendant cinq jours,
puis d'atteindre une meilleure température ensuite, on n'obtient aucune
éclosion. A une température constante de 30"3 on n'a aucune éclosion
dans aucune des deux espèces.
Dombeya et d'autres arbustes, les femelles qui ont vécu sur la graine
du cotonnier meurent rapidement après la ponte des œufs.
On a fait des recherches sur les aliments de réserve pour les
adultes, aliments constitués par de l'eau et du nectar. Le Dr RAINEY
s'est spécialisé dans ces recherches et il a pu déterminer, par les mé-
thodes de saponification, la part de chacun de ces deux éléments, il a
également fait des déterminations d'azote sur ces insectes.
Des expériences en vue de déterminer la durée de la vie des diffé-
rentes espèces sur diverses plantes sauvages ont été faites pendant la
saison humide, dans l'insectarium, dans des conditions sensiblement
analogues à celles qu'on rencontre dans les champs. Les résultats
furent quelque peu surprenants. D. nigrofasciatus, par exemple, se dé-
veloppe très rapidement et heureusement (en 24 heures) sur les graines
de baobab et de Thespesia Rogersii (espèces sur lesquelles on ne le
trouve pratiquement pas), sur Slerculia Rogersii et sur les cotonniers
cultivés.
On a étudié, au cours des expériences d'incubation, les effets de
la température et de l'humidité sur les œufs et les premiers stades de
la vie de Dysdercus, on a obtenu les résultats suivants : a) Effet de
l'humidité à une température constante, les œufs de D. fasciatus étaient
maintenus à une température constante de 27" et soumis à un taux
d'humidité relatif variant de 1 0 à 1 00 et contrôlé par des solutions
d'acide sulfurique. Au-dessus de 70 %, l'humidité n'a pas d'effet sur
l'éclosion des œufs, mais au-dessous de 70 l'éclosion diminue et ne
se produit plus du tout si le taux d'humidité est de 50 A une
humidité inférieure à 90 %, en l'absence d'eau courante, les nymphes
ne peuvent survivre.
b) Effet de la température à une humidité constante de 100
On avait pris pour ces expériences des œufs de D. fasciatus et D. ni-
grofasciatus maintenus à une température de 9 à 43" dans l'incubateur.
Pour ces deux espèces la température constante la plus basse à la-
quelle l'éclosion se produit est de 16" 3. Elle ne se produit plus à
14°8. L'éclosion commence entre ces deux limites. On a essayé de
soumettre les œufs de D. nigrofasciatus à 11° pendant cinq jours,
puis d'atteindre une meilleure température ensuite, on n'obtient aucune
éclosion. A une température constante de 30"3 on n'a aucune éclosion
dans aucune des deux espèces.
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.96%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.96%.
- Auteurs similaires Indochine française Indochine française /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Indochine française" or dc.contributor adj "Indochine française")
-
-
Page
chiffre de pagination vue 32/64
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k63834273/f32.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k63834273/f32.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k63834273/f32.image
- Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k63834273
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k63834273