Titre : Journal d'agriculture tropicale : agricole, scientifique et commercial / dir. Jean Vilbouchevitch
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1906-11-30
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343782789
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 6892 Nombre total de vues : 6892
Description : 30 novembre 1906 30 novembre 1906
Description : 1906/11/30 (A6,N65). 1906/11/30 (A6,N65).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6378385g
Source : CIRAD, 2012-235759
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/01/2013
- Aller à la page de la table des matières321
- ÉTUDES & DOSSIERS
- PARTIE COMMERCIALE
- .......... Page(s) .......... 343
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- .......... Page(s) .......... 345
- .......... Page(s) .......... 346
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- .......... Page(s) .......... 348
- .......... Page(s) .......... 349
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- .......... Page(s) .......... 350
- .......... Page(s) .......... 351
- ACTUALITÉS
- BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE
- FIGURES
326 JOURNAL D'AGRICULTURE TROPICALE N°65 —Nov. 1906
vières dans l'Afrique orientale allemande
pourrait être rémunératrice aussi, les
résultats obtenus dans l'Uganda par l'Appo-
AMERICAN CO, lui semblant tout à fait encou-
rageants. Il ajoute qu'outre ceux cités plus
haut, de très nombreux peuplements exis-
tent d'une part près du Kilimandjaro,
d'autre part, à Ikoma, entre le Kilimand-
jaro et le lac Victoria-Nyanza. Il en existe
enfin dans des régions qui seront traversées
par le chemin de fer de l'Usambara, à Gom-
bara (déjà cité) et à Mkomasi.
F. M.
La Manipulation des Fruits pour l'Exportation
à la Jamaïque
Cueillette, ressuyage et emballage des oranges. — La machine pour les trier par grosseur. —
Pamplemousses. — Ananas. — Mangues.
Par M. A. FAUCIIÈRE
L'intérêt considérable de ces notes, prises
sur place, est évident et n'a pas besoin d'être
démontré. Un mot seulement, à propos des
machines à oranges :
Nous en avons déjà souvent parlé dans ce
Journal, en passant ; en dernier lieu, diverses
indications intéressantes ont été données
dans la notice (no 63, §1255) consacrée au
petit Manuel de la Culture des Citrus, de
ROLFS. Mais c'est la première fois que nous
publions la figure d'une de ces machines ; le
croquis est de M. FAUCHÈRE. Nous possédons
un certain nombre d'autres figures de
machines à trier, à brosser, et même à enve-
lopper les oranges, ainsi que quelques lettres
de spécialistes concernant leur efficacité : le
tout, venant des Etats-Unis. Peut-être, un jour,
trouverons-nous le temps de tirer un article
de ce dossier. — N. D. L. R.
*
* *
Les exportateurs achètent les oranges aux
cultivateurs indigènes ; ceux-ci les appor-
tent au bureau du commerçant dans des
voitures quelquefois, mais plus générale-
ment dans des bâts portés par des bourri-
quets. -
Le premier soin de l'acheteur est de faire
visiter très minutieusement chaque fruit :
tous ceux qui ne sont pas absolument sains
sont rejetés, ainsi que ceux qui sont trop
mûrs et ceux dont le pédoncule a été arra-
ché. Les fruits doivent avoir été cueillis un
peu avant maturité et ils doivent avoir eu
leur pédoncule coupé soigneusement, au ras,
à l'aide d'un instrument tranchant:
Avant l'emballage ils sont mis à ressuyer
pendant trois ou quatre joursà l'ombre, dans
une pièce,sur un plancher surélevé. On s'abs-
tient bien de les mettre en gros tas ; si on le
faisait, les oranges du dessous, supportant
une trop forte pression, seraient partielle-
ment écrasées et elles pourriraient avant d'ar-
river à destination. On évite l'écrasement
en les déposant dans des caisses d'un pied
cube environ.
L'emballage pour l'expédition se fait de
deux façons : en caissettes ou en barils. Les
caissettes, très légères, sont à claires-voies;
elles ont deux pieds de longueur, un pied
de largeur et un pied de profondeur. Elles
sont divisées en deux compartiments, d'un
pied cube chacun, par une mince cloison.
Chaque caissette contient de 150 à 200 fruits
suivant le volujne de ceux-ci. Les barils
sont, eux aussi, en bois très léger ; ils doi-
vent être perçés d'un grand nombre de trous
pour permettre l'aération de l'intérieur pen-
dant la durée du voyage ; ils sont de dimen-
sions suffisantes pour contenir de 300 à
-100 fruits.
L'emballage est des plus simple, aussi
bien dans les caisses que dans les barils :
les oranges, pliées dans un mince papier de
soie, sont serrées les unes contre les autres
et immobilisées par le couvercle de la caisse
ou le fond du baril fixés à force.
On comprendra sans peine pourquoi,
quelques lignes plus haut, nous avons sou"=
vières dans l'Afrique orientale allemande
pourrait être rémunératrice aussi, les
résultats obtenus dans l'Uganda par l'Appo-
AMERICAN CO, lui semblant tout à fait encou-
rageants. Il ajoute qu'outre ceux cités plus
haut, de très nombreux peuplements exis-
tent d'une part près du Kilimandjaro,
d'autre part, à Ikoma, entre le Kilimand-
jaro et le lac Victoria-Nyanza. Il en existe
enfin dans des régions qui seront traversées
par le chemin de fer de l'Usambara, à Gom-
bara (déjà cité) et à Mkomasi.
F. M.
La Manipulation des Fruits pour l'Exportation
à la Jamaïque
Cueillette, ressuyage et emballage des oranges. — La machine pour les trier par grosseur. —
Pamplemousses. — Ananas. — Mangues.
Par M. A. FAUCIIÈRE
L'intérêt considérable de ces notes, prises
sur place, est évident et n'a pas besoin d'être
démontré. Un mot seulement, à propos des
machines à oranges :
Nous en avons déjà souvent parlé dans ce
Journal, en passant ; en dernier lieu, diverses
indications intéressantes ont été données
dans la notice (no 63, §1255) consacrée au
petit Manuel de la Culture des Citrus, de
ROLFS. Mais c'est la première fois que nous
publions la figure d'une de ces machines ; le
croquis est de M. FAUCHÈRE. Nous possédons
un certain nombre d'autres figures de
machines à trier, à brosser, et même à enve-
lopper les oranges, ainsi que quelques lettres
de spécialistes concernant leur efficacité : le
tout, venant des Etats-Unis. Peut-être, un jour,
trouverons-nous le temps de tirer un article
de ce dossier. — N. D. L. R.
*
* *
Les exportateurs achètent les oranges aux
cultivateurs indigènes ; ceux-ci les appor-
tent au bureau du commerçant dans des
voitures quelquefois, mais plus générale-
ment dans des bâts portés par des bourri-
quets. -
Le premier soin de l'acheteur est de faire
visiter très minutieusement chaque fruit :
tous ceux qui ne sont pas absolument sains
sont rejetés, ainsi que ceux qui sont trop
mûrs et ceux dont le pédoncule a été arra-
ché. Les fruits doivent avoir été cueillis un
peu avant maturité et ils doivent avoir eu
leur pédoncule coupé soigneusement, au ras,
à l'aide d'un instrument tranchant:
Avant l'emballage ils sont mis à ressuyer
pendant trois ou quatre joursà l'ombre, dans
une pièce,sur un plancher surélevé. On s'abs-
tient bien de les mettre en gros tas ; si on le
faisait, les oranges du dessous, supportant
une trop forte pression, seraient partielle-
ment écrasées et elles pourriraient avant d'ar-
river à destination. On évite l'écrasement
en les déposant dans des caisses d'un pied
cube environ.
L'emballage pour l'expédition se fait de
deux façons : en caissettes ou en barils. Les
caissettes, très légères, sont à claires-voies;
elles ont deux pieds de longueur, un pied
de largeur et un pied de profondeur. Elles
sont divisées en deux compartiments, d'un
pied cube chacun, par une mince cloison.
Chaque caissette contient de 150 à 200 fruits
suivant le volujne de ceux-ci. Les barils
sont, eux aussi, en bois très léger ; ils doi-
vent être perçés d'un grand nombre de trous
pour permettre l'aération de l'intérieur pen-
dant la durée du voyage ; ils sont de dimen-
sions suffisantes pour contenir de 300 à
-100 fruits.
L'emballage est des plus simple, aussi
bien dans les caisses que dans les barils :
les oranges, pliées dans un mince papier de
soie, sont serrées les unes contre les autres
et immobilisées par le couvercle de la caisse
ou le fond du baril fixés à force.
On comprendra sans peine pourquoi,
quelques lignes plus haut, nous avons sou"=
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