Presse et revues
32 pages
Titre : Revue des cultures coloniales
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1900-11-05
Contributeur : Milhe-Poutingon, Albert. Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32858342r
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 5134 Nombre total de vues : 5134
Description : 05 novembre 1900 05 novembre 1900
Description : 1900/11/05 (A4,N64,T7). 1900/11/05 (A4,N64,T7).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6378368z
Source : CIRAD, 2012-231823
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 12/08/2013
6;;1, REVUE DES CULTURES COLONIALES
La suite de la discussion est renvoyée à l'après-midi.
Les congressistes assisteront au préalable aux expériences de M. Hébrard.
Séance du jeudi 11 octobre 1900, après-midi.
Après de nouvelles expériences et opérations sous le hangar du quai de Bill y,
les membres du Congrès ont repris séance à 3 h. 30 dans la salle des Conférences
de l'Exposition coloniale.
M. Cornu préside, assisté de MM. Martel, vice-président, et Rivière, rapporteur
général.
M. le Président tient à réparer une omission bien involontaire qu'il a commise
dans la matinée. Il lui reste à remercier deux groupes de personnes auxquelles
est dû en grande partie le succès du Congrès international de la Ramie : d'abord
MM. Milhe-Poutingon et Marcou, qui ont organisé le Congrès et l'ont mené à bien
jusqu'au bout avec un zèle et une activité auxquels il convient de rendre hom-
mage. Ces messieurs ont poussé le dévouement jusqu'à rester à Paris pendant
tout le temps des vacances pour préparer la seconde session et le concours; ils
avaient assumé une lourde tâche, ils s'en sont acquittés à leur honneur et pour le
plus grand profit de la cause de la Ramie. De vifs remerciements leur sont dus.
M. le Président demande donc au Congrès de s'associer aux remerciements qu'il
adresse à MM. Milhe-Poutingon et Marcou.
Ces remerciements sont votés à l'unanimité.
M. le Président: Le second groupe qu'il convient de remercier, Messieurs,
c'est XUnion coloniale, cette grande institution qui contribue avec tant d'énergie
et de bonheur à la mise en valeur de nos conquêtes coloniales et qu'on trouve à
la tête de toutes les entreprises qui doivent aider à leur prospérité. L'Union
coloniale nous a prêté le concours le plus précieux; elle a mis à notre disposition
son immense publicité, son organisation, ses bureaux, son personnel, et, per-
mettez-moi de l'ajouter, l'influence des hommes considérables qui s'intéres-
sent à son œuvre patriotique. Le succès de notre Congrès pouvait paraître pro-
blématique; s'il a si bien réussi, c'est à l'Union coloniale que nous le devons.,
(.Applaudissements. )
Messieurs, je vous propose de voter de chaleureux remerciements à l'Union
coloniale.
Voté par acclamation.
M. Milhe-Poutingon est particulièrement touché des remerciements adressés à
X Union coloniale française, dont il est ici le représentant. Quant à lui, personnelle-
ment, il affirme modestement n'avoir été en quelque sorte que le maître de céré-
monie de ce Congrès, ayant surtout été chargé des relations avec l'administration
centrale. - C'estàses collègues, MM. Marcou, qui ont eu la principale charge
de l'organisation du concours, que doivent revenir les remercimenls du Congrès.
M. Marcou remercie les membres du Congrès de l'avoir associé à M. Milhe-
Poutingon dans l'expression de leur reconnaissance; il ajoute que c'est aux
inspirations de MM. Cornu et Rivière, que leurs collaborateurs n'ont fait que
suivre, qu'est dû le succès du Congrès et du Concours de la Ramie.
M. le Président: Messieurs, l'heure est venue de tirer les conclusions de nos
discussions. La parole est à M. le Rapporteur général.
M. le Rapporteur général : De même que j'ai posé les bases de la discussion
La suite de la discussion est renvoyée à l'après-midi.
Les congressistes assisteront au préalable aux expériences de M. Hébrard.
Séance du jeudi 11 octobre 1900, après-midi.
Après de nouvelles expériences et opérations sous le hangar du quai de Bill y,
les membres du Congrès ont repris séance à 3 h. 30 dans la salle des Conférences
de l'Exposition coloniale.
M. Cornu préside, assisté de MM. Martel, vice-président, et Rivière, rapporteur
général.
M. le Président tient à réparer une omission bien involontaire qu'il a commise
dans la matinée. Il lui reste à remercier deux groupes de personnes auxquelles
est dû en grande partie le succès du Congrès international de la Ramie : d'abord
MM. Milhe-Poutingon et Marcou, qui ont organisé le Congrès et l'ont mené à bien
jusqu'au bout avec un zèle et une activité auxquels il convient de rendre hom-
mage. Ces messieurs ont poussé le dévouement jusqu'à rester à Paris pendant
tout le temps des vacances pour préparer la seconde session et le concours; ils
avaient assumé une lourde tâche, ils s'en sont acquittés à leur honneur et pour le
plus grand profit de la cause de la Ramie. De vifs remerciements leur sont dus.
M. le Président demande donc au Congrès de s'associer aux remerciements qu'il
adresse à MM. Milhe-Poutingon et Marcou.
Ces remerciements sont votés à l'unanimité.
M. le Président: Le second groupe qu'il convient de remercier, Messieurs,
c'est XUnion coloniale, cette grande institution qui contribue avec tant d'énergie
et de bonheur à la mise en valeur de nos conquêtes coloniales et qu'on trouve à
la tête de toutes les entreprises qui doivent aider à leur prospérité. L'Union
coloniale nous a prêté le concours le plus précieux; elle a mis à notre disposition
son immense publicité, son organisation, ses bureaux, son personnel, et, per-
mettez-moi de l'ajouter, l'influence des hommes considérables qui s'intéres-
sent à son œuvre patriotique. Le succès de notre Congrès pouvait paraître pro-
blématique; s'il a si bien réussi, c'est à l'Union coloniale que nous le devons.,
(.Applaudissements. )
Messieurs, je vous propose de voter de chaleureux remerciements à l'Union
coloniale.
Voté par acclamation.
M. Milhe-Poutingon est particulièrement touché des remerciements adressés à
X Union coloniale française, dont il est ici le représentant. Quant à lui, personnelle-
ment, il affirme modestement n'avoir été en quelque sorte que le maître de céré-
monie de ce Congrès, ayant surtout été chargé des relations avec l'administration
centrale. - C'estàses collègues, MM. Marcou, qui ont eu la principale charge
de l'organisation du concours, que doivent revenir les remercimenls du Congrès.
M. Marcou remercie les membres du Congrès de l'avoir associé à M. Milhe-
Poutingon dans l'expression de leur reconnaissance; il ajoute que c'est aux
inspirations de MM. Cornu et Rivière, que leurs collaborateurs n'ont fait que
suivre, qu'est dû le succès du Congrès et du Concours de la Ramie.
M. le Président: Messieurs, l'heure est venue de tirer les conclusions de nos
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