Titre : Machinisme agricole tropical
Auteur : Centre d'études et d'expérimentation en mécanisation agricole et technologie alimentaire tropicales (France). Auteur du texte
Éditeur : CIRAD-CEEMAT (Antony)
Date d'édition : 1977-07
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34348839f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : juillet 1977 juillet 1977
Description : 1977/07 (A15,N59). 1977/07 (A15,N59).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k1550057j
Source : CIRAD, BH_PEHIST5710
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 25/08/2024
sont terminées à leur extrémité avant par deux
buttoirs, ce qui leur permet de rentrer automati-
quement dans le châssis au fur et à mesure de la
progression du paquet sur la remorque. Ces rampes
sont rendues solidaires de la remorque par un cha-
riot à 4 roulements qui se déplace dans les longerons
précédemment cités. Pour permettre le déplace-
ment dans la partie arrière recourbée, les rampes
sont fixées sur l’axe arrière du chariot, l’axe avant
pouvant ainsi décoller de la rampe dans le passage
de la courbe.
Le pont moteur.
Il est entraîné par la prise de force du tracteur,
prise de force dont la vitesse de rotation est pro-
portionnelle à l’avancement. Il exige une puissance
d’au moins 60 ch, et l’on rencontre très souvent
des roues jumelées pour parfaire l’adaptation
aux conditions de roulement difficiles.
Le treuil.
Son rapport de réduction est de 1/29, sa force
de 5 t sur toutes les couches d’enroulement du
câble. Il est muni d’un tambour décrabotable
avec frein de tambour et frein de vis. La boîte de
vitesses comporte 2 vitesses AV et 1 AR. Il est
entraîné par la prise de force du tracteur, et pour
une prise de force tournant à 540 tr/mn la vitesse
moyenne de traction est de 500 m/h en lreet895m/h
en seconde.
La capacité du tambour est de 90 m de câble
de 0 12,7 mm ou 60 m de câble de 0 14,5 mm.
Les différentes opérations dans l’utilisation de la
remorque « BASSIGNAC ».
La confection du paquet.
Les remorques autochargeuses sont conçues
pour prendre en une seule opération leur charge-
ment de 4 à 6 t de cannes, le paquet doit donc
répondre à un certain nombre de normes, ce qui
astreint le coupeur à employer une technique bien
précise. La coupe se fait en grande longueur, l’an-
dain rassemble les cannes de 3 ou 4 rangs, les andains
sont parallèles les uns aux autres, les cannes
reposent par leurs extrémités sur les sommets de
deux billons pour rendre le ramassage plus facile.
L’interrang sur lequel doit être posé l’andain est
nettoyé au fur et à mesure de l’avance du coupeur.
Le choix de l’emplacement du tas est très impor-
tant. Sur terrain non accidenté le paquet sera cons-
truit au milieu de la surface coupée, correspondait
à la charge du paquet ; en terrain accidenté, le
tas sera disposé dans le sens de la pente, sens dans
lequel la remorque doit impérativement le charger.
Il faut toujours prévoir le chemin d’accès du trac-
teur et son chemin de retour.
Après avoir coupé ses cannes et choisi l’emplace-
ment du paquet, le coupeur nettoie le sol à cet
endroit. Il creuse un sillon de 5 cm de profondeur et
8 cm de large et de 5 m de long, dans lequel il
dépose la corde qui servira à passer le câble sous
le paquet. Puis il met en place deux piquets de
2 m de long écartés de 1 m pour matérialiser l’ex-
trémité la plus basse de l’emplacement du tas, soit
à 0,50 m de chaque côté d’une des extrémités du
sillon.
Préparation de l’emplacement du futur paquet
buttoirs, ce qui leur permet de rentrer automati-
quement dans le châssis au fur et à mesure de la
progression du paquet sur la remorque. Ces rampes
sont rendues solidaires de la remorque par un cha-
riot à 4 roulements qui se déplace dans les longerons
précédemment cités. Pour permettre le déplace-
ment dans la partie arrière recourbée, les rampes
sont fixées sur l’axe arrière du chariot, l’axe avant
pouvant ainsi décoller de la rampe dans le passage
de la courbe.
Le pont moteur.
Il est entraîné par la prise de force du tracteur,
prise de force dont la vitesse de rotation est pro-
portionnelle à l’avancement. Il exige une puissance
d’au moins 60 ch, et l’on rencontre très souvent
des roues jumelées pour parfaire l’adaptation
aux conditions de roulement difficiles.
Le treuil.
Son rapport de réduction est de 1/29, sa force
de 5 t sur toutes les couches d’enroulement du
câble. Il est muni d’un tambour décrabotable
avec frein de tambour et frein de vis. La boîte de
vitesses comporte 2 vitesses AV et 1 AR. Il est
entraîné par la prise de force du tracteur, et pour
une prise de force tournant à 540 tr/mn la vitesse
moyenne de traction est de 500 m/h en lreet895m/h
en seconde.
La capacité du tambour est de 90 m de câble
de 0 12,7 mm ou 60 m de câble de 0 14,5 mm.
Les différentes opérations dans l’utilisation de la
remorque « BASSIGNAC ».
La confection du paquet.
Les remorques autochargeuses sont conçues
pour prendre en une seule opération leur charge-
ment de 4 à 6 t de cannes, le paquet doit donc
répondre à un certain nombre de normes, ce qui
astreint le coupeur à employer une technique bien
précise. La coupe se fait en grande longueur, l’an-
dain rassemble les cannes de 3 ou 4 rangs, les andains
sont parallèles les uns aux autres, les cannes
reposent par leurs extrémités sur les sommets de
deux billons pour rendre le ramassage plus facile.
L’interrang sur lequel doit être posé l’andain est
nettoyé au fur et à mesure de l’avance du coupeur.
Le choix de l’emplacement du tas est très impor-
tant. Sur terrain non accidenté le paquet sera cons-
truit au milieu de la surface coupée, correspondait
à la charge du paquet ; en terrain accidenté, le
tas sera disposé dans le sens de la pente, sens dans
lequel la remorque doit impérativement le charger.
Il faut toujours prévoir le chemin d’accès du trac-
teur et son chemin de retour.
Après avoir coupé ses cannes et choisi l’emplace-
ment du paquet, le coupeur nettoie le sol à cet
endroit. Il creuse un sillon de 5 cm de profondeur et
8 cm de large et de 5 m de long, dans lequel il
dépose la corde qui servira à passer le câble sous
le paquet. Puis il met en place deux piquets de
2 m de long écartés de 1 m pour matérialiser l’ex-
trémité la plus basse de l’emplacement du tas, soit
à 0,50 m de chaque côté d’une des extrémités du
sillon.
Préparation de l’emplacement du futur paquet
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