Titre : L'Afrique française : bulletin mensuel du Comité de l'Afrique française et du Comité du Maroc
Auteur : Comité de l'Afrique française. Auteur du texte
Auteur : Comité du Maroc (Paris). Auteur du texte
Éditeur : Comité de l'Afrique française (Paris)
Date d'édition : 1918-01-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32683501s
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 janvier 1918 01 janvier 1918
Description : 1918/01/01 (N1,A28)-1918/12/31 (N12,A28). 1918/01/01 (N1,A28)-1918/12/31 (N12,A28).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k9789150r
Source : CIRAD, 2017-132476
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 29/08/2017
. DE L'AFRIQUE FRANÇAISE 37
et impartiale ; il faut un choix, plus judicieux, et j'ajoute,
un contrôle plus rigoureux des dépositaires de l'autorité
publique et, surtout, des chefs indigènes.
Trop d'influencès néfastes s'exercent autour des nomi-
nations des chefs indigènes; il faut que certains scandales
prennent tin ; il est indispensable que les chefs soient re-
crutés avec le plus grand soin ; il est nécessaire aussi de
les préparer aux fonctions qu'ils auront à remplir en leur
donnant certaines notions d'administration. Il est néces-
saire surtout qu'un contrôle incessant, que des tournées
d'inspection fréquentes accomplies par des hommes d'une
haute intégrité permettent au gouverneur général d'être
très exactement renseigné sur tout ce qui se passe dans les
tribus, de manière à pouvoir frapper sans pitié spoliateurs,
profiteurs et concussionnaires. ( Applaudissements.)
Et puis, il faut, Messieurs, que nous assurions aux indi-
gènes une part plus large dans le développement éCQno-
mique que nous poursuivons en Algérie ; il faut qu'en
territoire indigène, aussi bien qu'en territoire de' colonisa-
tion, nous ayons à coeur de multiplier les voies de comm u
nication, les irrigations, les forages, de perfectionner les
cultures ; il faut que nous nous attachions à ouvrir partout
des écoles, en ayant soin d'orienter déplus en plus l'ensei-
gnement vers l'instruction professionnelle et surtout vers
l'enseignement agricole adapté spécialementaux différentes
régions où il devra être donné (Très bien !) ; il nous faut,
avec non moins d'activité, multiplier les institutions de
prévoyance et d'assistance. C'est ainsi que nous conquer-
rons le cœur de nos sujets musulmans. Il convient notam
ment d'étendre de plus en plus l'assistance médicale, de
répandre, dans les douars et les tribus, les hôpitaux et les
infirmeries1 indigènes. (Très bien !) Enfin, Messieurs, pour
résumer d'un mot les principes que j'énonce à cette tri-
bune, ilfa-at que, de plus en plus, nos administrateurs, en
Algérie,' se pénètrent de la conviction qu'ils doivent être
les guides et les éducateurs des populations placées sous
leur autorité.
C'est ainsi que nous arriverons à préparer graduellement
les indigènes, sans compromettre les intérêts de la su-
prématie française, à prendre leur part dans le contrôle
des intérêts publics. (Trèsbien /)
En faveur des indigènès qui ontcombattu pour la France
une série de mesures sont prises ou vont être prises.
Il est mis fin à la pénible inégalité qui ne permettait pas
aux indigènes d'accéder à un grade supérieur à celui de
lieutenant. Désormais, l'indigène qui s'est vaillamment
battu-pour la France et qui a. les capacités nécessaires
pourra, sans être obligé de renoncer à son statut person-
.nel, parvenir mème aux grades les plus élevés. (Marques
d'approbation..) •
Désormais, aussi, l'indigène blessé ou victime d'infir-
mités èontraçtées au service de la France aura le même
droit que le Français aux pensions et aux gratifications de
réforme. (Très bien ! -très bien !)
D'autrepart, la promesse est faite que l'on décernera
largement les récompenses àtous les indigènes qui'se sont
battus bravement pour la France, qui ont souffert pour
elle ; ils ne devront par retourner dans leurs douars sans
avoir la croix de guerre, la médaille militaire ou la Légion
d'honneur, (Vive approbation.)
Les indigènes qui voudront accéder à la nationalité fran-
çaise en se montrant disposés à consentir le sacrifice de
leur statut personnel et en acceptant toutes nos lois fran-
çaises, devront se voir faciliter le bénéfice de la naturali-
sation ^ mais nous devons faire quelque chose de plus :
nous devons prévoir une naturalisation spéciale, une
sorte de droit de cité indigène. L'accession au titre de ci-
toyen indigène permettrait aux indigènes, sans être obli-
gés de renoncer à leur statut personnel auquel ils sont
profondément attachés, parce qu'il se confond pour eux
avec leur ici religieuse, d'être affranchis du régime de
l'indigénat, du régime des juridictions spéciales et de par-
ticiper, dans des conditions qui seraient à déterminer, aux
affaires publiques algériennes. Cette admission aux droits
. de citoyen indigène serait accordée à ceux qui ont com-
battu pour la France et à ceuxqni, par des services rendus
ou par leur degré de culture les faisant évoluer vers notre
civilisation, se sont révélés capables d'en comprendre les
bienfaits..Avec les précautions nécessaires pour ne point
compromettre la suprématie française, ils seraient appelés
à contrôler les affaires publiques algériennes, à la sage
gestion desquelles ils sont intéressés.
Leur participation au contrôle des intérêts publics algé-
riens s'exercerait d'une façon à la fois plus large et plus
sincère dans les assemblées municipales, conseils muni-
cipaux des communes de plein exercice ou commissions
municipales des communes mixtes, dans les conseils géné-
raux, dans les délégations financières, dans le conseil su-
périeur de l'Algérie réorganisé.
Enfin, les indigènes auraient leurs délégués élus au sein
du comité consultatif qui serait institué à Paris, auprès du
ministre de l'autorité duquel relèverait l'Algérie. Ce serait
le conseil de notre politique musulmane, dont la répercus-
sion peut être si importante pour les intérêts de la France
dans le monde. (Approbation.)
Voilà, mes chers collègues, rapidement résumé, le pro-
gramme de notre politique indigène. La loi modeste, ac-
tuellement soumise à vos délibérations, n'est en quelque
sorte que la préface, que la mesure préparatoire de ce
programme.
Ai je besoin d'ajouter qu'un pareil programme ne peut
être poursuivi qu'à la condition d'être élaboré et réalisé en
complet accord entre les indigènes et les colons ? Ceux qui,
à l'heure actuelle, prétendraient faire une politique exclu-
sivement indigène, ceux qui ne verraient que le burnous
de l'indigène, ceux-là, en risquant de créer un antago-
nisme inquiétant entre-colons et indigènes, pratiqueraient
la plus dangereuse et la plus injuste des politiques. Indi-
gènes et colons, ne l'oublions pas, sont et doivent être, en
Algérie, les artisans d'une même oeuvre, comme ils sont,
au front, les combattants d'une même cause. La prospé-
rité et la richesse des uns et des autres sont solidaires ; la
richesse des colons fait la richesse des indigènes, le colon
ne peut rien sans la main-d'œuvre de l'indigène et cette
main-d'œuvre n'acquiert sa valeur et son prix qu'à la con-
dition de ,se sentir dirigée et guidée par l'expérience du
colon.
C'est de la fusion des intérêts des indigènes et des co-
lons que naît, chaque jour, un peu de la grandeur algé-
rienne. (Très bien /) 11 faudrait, Messieurs,que nous eussions
dans le cœur bien peu de justice pour oublier ce que nous
devons à ces excellents serviteurs de la France qui, au
prix de tant de dévouement, de tant d'efforts et de sacri-
fices,.ont construit, sur l'autre rive de la Méditerranée,
la nouvelle France.
Nous serions d'autant plus injustes vis-à-vis d'eux que
notre dette de reconnaissance, à l'heure actuelle, s'est en-
core accrue, en raison de l'héroïsme avec lequel ils com-
battent sur nos champs de bataille et versent tous leur
sang pour la mère patrie, tous sans distinction, Français
de vieille souche ou naturalisés d'hier, tandis qu'admirable
de simplicité et de courage, la femme restée seule dans
la ferme isolée, perdue au milieu des comices indigènes,
poursuit l'oeuvre ininterrompue de la colonisation. C'est à
l'ensemble de la population algérienne, française et indi-
gène, que doit aller toute notre sollicitude, active, ardente
etrésolue.
C'est de ces sentiments que votre commission de l'Algérie
s'est inspirée lorsqu'elle a décidé que, pour chacun
grands problèmes touchant aux régimes, politique, écono-
mique, administratif, de l'Algérie, elle désignerait un rap-
porteur spécial.
En agissant ainsi, Messieurs, nous n'avons fait que nous
conformer au programme que vous nous aviez fixé lors-
que vous avez décidé, sur la motion de l'honorable M. Mo-
nis, de éonfier à une commission de dix-huit membres le
soin de reprendre l'œuvre de la grande commission qu'a-
vait présidée- avec tant d'éclat Jules Ferry. (Très bien! très
bien !)
Le judicieux emploi que l'Algérie a su faire de ses fran-
chises, la sagesse de sa gestion financière, tout nous per-
met ou, plutôt, nous commande de lui faire largement
crédit et confiance.
C'estdans l'extension de ses libertés nécessaires, c'est
dans l'élargissement des attributions de ses délégations
financières et de son conseil supérieur, que réside le secret
du développement de l'Algérie.
La charte des libertés algériennes ne sera pas le moyen
le moins efficace d'assurer à l'Algérie sa large et glorieuse
part dans le relèvement -et l'expansion économique de la
et impartiale ; il faut un choix, plus judicieux, et j'ajoute,
un contrôle plus rigoureux des dépositaires de l'autorité
publique et, surtout, des chefs indigènes.
Trop d'influencès néfastes s'exercent autour des nomi-
nations des chefs indigènes; il faut que certains scandales
prennent tin ; il est indispensable que les chefs soient re-
crutés avec le plus grand soin ; il est nécessaire aussi de
les préparer aux fonctions qu'ils auront à remplir en leur
donnant certaines notions d'administration. Il est néces-
saire surtout qu'un contrôle incessant, que des tournées
d'inspection fréquentes accomplies par des hommes d'une
haute intégrité permettent au gouverneur général d'être
très exactement renseigné sur tout ce qui se passe dans les
tribus, de manière à pouvoir frapper sans pitié spoliateurs,
profiteurs et concussionnaires. ( Applaudissements.)
Et puis, il faut, Messieurs, que nous assurions aux indi-
gènes une part plus large dans le développement éCQno-
mique que nous poursuivons en Algérie ; il faut qu'en
territoire indigène, aussi bien qu'en territoire de' colonisa-
tion, nous ayons à coeur de multiplier les voies de comm u
nication, les irrigations, les forages, de perfectionner les
cultures ; il faut que nous nous attachions à ouvrir partout
des écoles, en ayant soin d'orienter déplus en plus l'ensei-
gnement vers l'instruction professionnelle et surtout vers
l'enseignement agricole adapté spécialementaux différentes
régions où il devra être donné (Très bien !) ; il nous faut,
avec non moins d'activité, multiplier les institutions de
prévoyance et d'assistance. C'est ainsi que nous conquer-
rons le cœur de nos sujets musulmans. Il convient notam
ment d'étendre de plus en plus l'assistance médicale, de
répandre, dans les douars et les tribus, les hôpitaux et les
infirmeries1 indigènes. (Très bien !) Enfin, Messieurs, pour
résumer d'un mot les principes que j'énonce à cette tri-
bune, ilfa-at que, de plus en plus, nos administrateurs, en
Algérie,' se pénètrent de la conviction qu'ils doivent être
les guides et les éducateurs des populations placées sous
leur autorité.
C'est ainsi que nous arriverons à préparer graduellement
les indigènes, sans compromettre les intérêts de la su-
prématie française, à prendre leur part dans le contrôle
des intérêts publics. (Trèsbien /)
En faveur des indigènès qui ontcombattu pour la France
une série de mesures sont prises ou vont être prises.
Il est mis fin à la pénible inégalité qui ne permettait pas
aux indigènes d'accéder à un grade supérieur à celui de
lieutenant. Désormais, l'indigène qui s'est vaillamment
battu-pour la France et qui a. les capacités nécessaires
pourra, sans être obligé de renoncer à son statut person-
.nel, parvenir mème aux grades les plus élevés. (Marques
d'approbation..) •
Désormais, aussi, l'indigène blessé ou victime d'infir-
mités èontraçtées au service de la France aura le même
droit que le Français aux pensions et aux gratifications de
réforme. (Très bien ! -très bien !)
D'autrepart, la promesse est faite que l'on décernera
largement les récompenses àtous les indigènes qui'se sont
battus bravement pour la France, qui ont souffert pour
elle ; ils ne devront par retourner dans leurs douars sans
avoir la croix de guerre, la médaille militaire ou la Légion
d'honneur, (Vive approbation.)
Les indigènes qui voudront accéder à la nationalité fran-
çaise en se montrant disposés à consentir le sacrifice de
leur statut personnel et en acceptant toutes nos lois fran-
çaises, devront se voir faciliter le bénéfice de la naturali-
sation ^ mais nous devons faire quelque chose de plus :
nous devons prévoir une naturalisation spéciale, une
sorte de droit de cité indigène. L'accession au titre de ci-
toyen indigène permettrait aux indigènes, sans être obli-
gés de renoncer à leur statut personnel auquel ils sont
profondément attachés, parce qu'il se confond pour eux
avec leur ici religieuse, d'être affranchis du régime de
l'indigénat, du régime des juridictions spéciales et de par-
ticiper, dans des conditions qui seraient à déterminer, aux
affaires publiques algériennes. Cette admission aux droits
. de citoyen indigène serait accordée à ceux qui ont com-
battu pour la France et à ceuxqni, par des services rendus
ou par leur degré de culture les faisant évoluer vers notre
civilisation, se sont révélés capables d'en comprendre les
bienfaits..Avec les précautions nécessaires pour ne point
compromettre la suprématie française, ils seraient appelés
à contrôler les affaires publiques algériennes, à la sage
gestion desquelles ils sont intéressés.
Leur participation au contrôle des intérêts publics algé-
riens s'exercerait d'une façon à la fois plus large et plus
sincère dans les assemblées municipales, conseils muni-
cipaux des communes de plein exercice ou commissions
municipales des communes mixtes, dans les conseils géné-
raux, dans les délégations financières, dans le conseil su-
périeur de l'Algérie réorganisé.
Enfin, les indigènes auraient leurs délégués élus au sein
du comité consultatif qui serait institué à Paris, auprès du
ministre de l'autorité duquel relèverait l'Algérie. Ce serait
le conseil de notre politique musulmane, dont la répercus-
sion peut être si importante pour les intérêts de la France
dans le monde. (Approbation.)
Voilà, mes chers collègues, rapidement résumé, le pro-
gramme de notre politique indigène. La loi modeste, ac-
tuellement soumise à vos délibérations, n'est en quelque
sorte que la préface, que la mesure préparatoire de ce
programme.
Ai je besoin d'ajouter qu'un pareil programme ne peut
être poursuivi qu'à la condition d'être élaboré et réalisé en
complet accord entre les indigènes et les colons ? Ceux qui,
à l'heure actuelle, prétendraient faire une politique exclu-
sivement indigène, ceux qui ne verraient que le burnous
de l'indigène, ceux-là, en risquant de créer un antago-
nisme inquiétant entre-colons et indigènes, pratiqueraient
la plus dangereuse et la plus injuste des politiques. Indi-
gènes et colons, ne l'oublions pas, sont et doivent être, en
Algérie, les artisans d'une même oeuvre, comme ils sont,
au front, les combattants d'une même cause. La prospé-
rité et la richesse des uns et des autres sont solidaires ; la
richesse des colons fait la richesse des indigènes, le colon
ne peut rien sans la main-d'œuvre de l'indigène et cette
main-d'œuvre n'acquiert sa valeur et son prix qu'à la con-
dition de ,se sentir dirigée et guidée par l'expérience du
colon.
C'est de la fusion des intérêts des indigènes et des co-
lons que naît, chaque jour, un peu de la grandeur algé-
rienne. (Très bien /) 11 faudrait, Messieurs,que nous eussions
dans le cœur bien peu de justice pour oublier ce que nous
devons à ces excellents serviteurs de la France qui, au
prix de tant de dévouement, de tant d'efforts et de sacri-
fices,.ont construit, sur l'autre rive de la Méditerranée,
la nouvelle France.
Nous serions d'autant plus injustes vis-à-vis d'eux que
notre dette de reconnaissance, à l'heure actuelle, s'est en-
core accrue, en raison de l'héroïsme avec lequel ils com-
battent sur nos champs de bataille et versent tous leur
sang pour la mère patrie, tous sans distinction, Français
de vieille souche ou naturalisés d'hier, tandis qu'admirable
de simplicité et de courage, la femme restée seule dans
la ferme isolée, perdue au milieu des comices indigènes,
poursuit l'oeuvre ininterrompue de la colonisation. C'est à
l'ensemble de la population algérienne, française et indi-
gène, que doit aller toute notre sollicitude, active, ardente
etrésolue.
C'est de ces sentiments que votre commission de l'Algérie
s'est inspirée lorsqu'elle a décidé que, pour chacun
grands problèmes touchant aux régimes, politique, écono-
mique, administratif, de l'Algérie, elle désignerait un rap-
porteur spécial.
En agissant ainsi, Messieurs, nous n'avons fait que nous
conformer au programme que vous nous aviez fixé lors-
que vous avez décidé, sur la motion de l'honorable M. Mo-
nis, de éonfier à une commission de dix-huit membres le
soin de reprendre l'œuvre de la grande commission qu'a-
vait présidée- avec tant d'éclat Jules Ferry. (Très bien! très
bien !)
Le judicieux emploi que l'Algérie a su faire de ses fran-
chises, la sagesse de sa gestion financière, tout nous per-
met ou, plutôt, nous commande de lui faire largement
crédit et confiance.
C'estdans l'extension de ses libertés nécessaires, c'est
dans l'élargissement des attributions de ses délégations
financières et de son conseil supérieur, que réside le secret
du développement de l'Algérie.
La charte des libertés algériennes ne sera pas le moyen
le moins efficace d'assurer à l'Algérie sa large et glorieuse
part dans le relèvement -et l'expansion économique de la
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