Titre : L'Afrique française : bulletin mensuel du Comité de l'Afrique française et du Comité du Maroc
Auteur : Comité de l'Afrique française. Auteur du texte
Auteur : Comité du Maroc (Paris). Auteur du texte
Éditeur : Comité de l'Afrique française (Paris)
Date d'édition : 1918-01-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32683501s
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 janvier 1918 01 janvier 1918
Description : 1918/01/01 (N1,A28)-1918/12/31 (N12,A28). 1918/01/01 (N1,A28)-1918/12/31 (N12,A28).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k9789150r
Source : CIRAD, 2017-132476
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 29/08/2017
20G BULLETIN DU COMITÉ
train, dans toutes les opérations auxquelles il a pris part.
Commandant de compagnie hors ligne. »
Y DELMAS, caporal au 10, bataillon sénégalais. « Belle at-
titude au feu. Le 21 février 1918, au cours des opérations
contre les Beni-Oujjane, faisant partie d'une section de mi-
trailleuses de première ligne, a été atteint mortellement
en portant secours à un de ses camarades qui venait d'être
blessé. J,
f LACOSTE, sous-lieutenant au 14e bataillon sénégalais.
a Tombé glorieusement le 21 février 1918 au combat contre
les Beni-Oujjane, en se portant au secours de son com-
mandant de compagnie qui venait d'être mortellement
blessé. Déjà blesse et cité au front, de France. »
KABRA FOMBA, 2e classe à la 2E compagnie du 14, batail-
lon sénégalais. « Tirailleur courageux et dévoué. S'est par-
ticulièrement distingué au combat du 21 février 1918 contre
les Beni-Oujjane, où il fut grièvement blessé à la tête, au
cours d'une attaque exécutée par sa section contre un
ennemi mordant et bien armé. »
T GRANDJEAN, lieutenant au lie bataillon sénégalais.
« Officier d'une bravoure et d'un dévouement exemplaires.
Le 21 février 1918, an combat contre les Beni-Oujjane,
s'est porté résolument en avant, à la tête de sa compagnie,
à l'attaque d'un point d'appui qui constituait la dernière
position de l'ennemi. Tombé glorieusement au cours de
l'action_Déjà blessé cinq fois en France et en Orient. Quatre
fois cité. »
BOUAMAMA BEN ABDELKADER, 2° classe au 8" escadron du
2" spahis, « Spahi d'une très grande bravoure. Le 21 fé-
vrier 1918, au combat contre les Beni-Oujjane. envoyé en
avant comme éclaireur et grièvement blessé, s'est défendu
courageusement avec un beau sang-froid jusqu'à l'arrivée
de son peloton, qui l'a dégagé à la baïonnette. »
-j- LABROUSSE, adjudant-chef au 7e escadron du 2e spahis.
« Sous-officier d'une bravoure et d'une énergie remar-
quables. Le 21 février 1918. au combat contre les Beni-
Oujjane, a pris la place du tireur de son fusil mitrailleur
pour assurer lui-même la direction du tir sur un groupe
d'adversaires qui s'avançaient. A été tué à bout portant. >ï
En outre, le moghazeni HAMIDA TAHAR, du poste de Beni-
Mgara, recevra le Mérite militaire chérifien avec pension
annuelle de 60 francs.
Au quartier général à Rabat, le 13 avril -1918.
Ordre général n° 86
Dans le but d'économiser les effectifs au cours des opé-
rations militaires en pays inconnu et ennemi, de réduire
les pertes, de prévoir les itinéraires des troupes, les points
d'eau, le trace des pistes, de déterminer les organisations
de l'adversaire, etc., le général commandant en chef avait
été conduit à penser que la photographie aérienne devait
nous permettre d'établir une carte ayant la. valeur des
levés réguliers (nivellement et planimétrie) des régions
du front marocain dont on ne connaissait la topographie
que par renseignements
Il fallait trouver des méthodes cartographiques nouvelles
et le général commandant en chef chargeait le capitaine
d'artillerie ORCEL de réaliser cette conception et créait;
sous sa direction, auprès du service aéronautique du Maroc
un service de restitution photographique.
La première mission qui lui était assignée vient d'abou^
tir avec un succès complet.
Pendant soixante jours, les quelques avions chargés de
ce travail ont opéré en plein pays ennemi, s'avançant jus-
qu'à 70 kilomètres de nos postes avancés, surmontant
toutes les difficultés, malgré les conditions atmosphériques
les plus défavorables, et permettant finalement d'établir
un levé régulier de 2.500 kilomètres carrés de région
inconnue.
Le général de division, commissaire Résident de France
au Maroc, commandant en chef, cite à l'ordre de l'armée
les militaires dont les noms suivent :
(JUILLAUMOT Henri-Gabriel Elie). sergent pilote aviateur
à l'escadrille 5ol. <> Pilote de tout premier ordre, ne perd
aucune occasion de se distinguer par son sang-froid et son
énergie. A survolé pendant deux mois, décembre 1917-
janvier 1918, malgré les dtfficultés atmosphériques, une
région montagneuse des plus difficiles, s'avançant en
pays ennemi et inconnu jusqu'à 70 kilomètres de,nos lignes,
permettant par sa hardiesse et 80n habileté le levé topo-
graphique de 2.500 kilomètres carrés. A été pour le com-
mandement un auxiliaire des plus précieux. »
SERRET (Edouard), sous-lieutenant observateur à l'esca-
drille 551. « Observateur du plus grand mérite; joint à
l'habileté professionnelle les plus hautes qualités de cou-
rage et de bravoure. S'est particulièrement distingué en
décembre 1917 et janvier 1918 dans le levé topographique
de 2.500 kilomètres carrés d'une région difficile et monta-
gneuse, se dépensant sans compter, effectuant de dange-
reux vols en pays ennemi et inconnu à plus dg 70 kilo-
mètres de nos lignes. Par ses documents de premier ordre,
a préparé minutieusement l'action des troupes. Déjà deux
fois cité. »
EVE (Paul-Henry), sergent pilote à l'escadrille 551. « S'est
distingué en décembre 1917 et janvier 1918 par ses qualités
de pilote émérite dans le levé topographique d'un pays
inconnu où il a survolé 2.500 kilomètres carrés de région
montagneuse et difficile, malgré les difficultés climaté-
riques considérables, s'avançant jusqu'à 70 kilomètres de
nos avant-postes en pays ennemi. S'est dépensé sans
compter et a donné à chaque occasion des marques de
sang-froid et de hardiesse. »
GUILLEMINOT (Jean-Camille), sous-lieutenant observateur,
photographe à l'escadrille 551. « Observateur déjà deux
fois cité à l'ordre pour sa bravoure devant l'ennemi. Vient
encore de se signaler au cours du levé topographique de
2.500 kilomètres carrés d'un pays ennemi, 'pendant les
mois de décembre 1917 et janvier 1918, rapportant de ses
vols en pays inconnu et hostile, accomplis avec une belle
hardiesse malgré toutes 1-s difficultés de climat et de ter-
rain, des documents précieux, facilitant considérablement
l'action militaire. x
Au quartier général à Casablanca, le 5 jmai 1918.
LYAUTEY.
Ordre général n° 87.
A la suite de l'affaire du 31 mars 1918, à Mahiridja, le
général de division, commissaire Résident général de
France au Maroc, commandant en chef, cite à l'ordre de
l'armée :
-
BEN YAHIA BEN BOUHAFS, moghazeni au makbzen d'Aïn-
Ouettara. « Moghazeni d'un courage remarquable. Voyant
son chef de makhzen blessé, tomber avec son cheval tué
sous lui, sur le point d'être pris par un groupe d'adver-
saires, s'estportéà son secours sous une grêle de balles avec
trois autres cavaliers, l'aidant à se dégager, le hissant
sur un autre cheval; grièvement blessé quelques instants
après, est resté à son poste, continuant le combat jusqu'au
bout. »
Fait au quartier général à Rabat, le 14 mai 1918.
Ordre général n° 89.
Le 29 avril 1918, 200 Beni-Ouaraïn, en glissant le long
des berges de la Moulouya, réussissaient à s'approcher à
faible distance du poste de Guercif.
Immédiatement alertés, moghazenis et spahis se met-
taient à la poursuite des contingents ennemis et, après
trois heures d un combat furieux, infligeaient un sanglant
échec à l'adversaire.
Le général de division, commissaire Résident général de
France au Maroc, commandant en chef, cite à l'ordre de
l'armée les militaires dont les noms suivent, qui se sont
particulièrement distingués :
KADDOUR BEL HADJ LARBI, cavalier au 8e escadron du
2e spahis. " A fait preuve en toutes circonstances d'un
beau courage et d'esprit de sacrifice. Le 29 avril 1918, au
cours d'un combat à pied avec son peloton attaqué par ufi-
ennemi supérieur en nombre, aux environs de Guercif, a
essuyé un coup de feu à bout portant; blessé grièvement,
a néanmoins réussi à abattre son adversaire. »
train, dans toutes les opérations auxquelles il a pris part.
Commandant de compagnie hors ligne. »
Y DELMAS, caporal au 10, bataillon sénégalais. « Belle at-
titude au feu. Le 21 février 1918, au cours des opérations
contre les Beni-Oujjane, faisant partie d'une section de mi-
trailleuses de première ligne, a été atteint mortellement
en portant secours à un de ses camarades qui venait d'être
blessé. J,
f LACOSTE, sous-lieutenant au 14e bataillon sénégalais.
a Tombé glorieusement le 21 février 1918 au combat contre
les Beni-Oujjane, en se portant au secours de son com-
mandant de compagnie qui venait d'être mortellement
blessé. Déjà blesse et cité au front, de France. »
KABRA FOMBA, 2e classe à la 2E compagnie du 14, batail-
lon sénégalais. « Tirailleur courageux et dévoué. S'est par-
ticulièrement distingué au combat du 21 février 1918 contre
les Beni-Oujjane, où il fut grièvement blessé à la tête, au
cours d'une attaque exécutée par sa section contre un
ennemi mordant et bien armé. »
T GRANDJEAN, lieutenant au lie bataillon sénégalais.
« Officier d'une bravoure et d'un dévouement exemplaires.
Le 21 février 1918, an combat contre les Beni-Oujjane,
s'est porté résolument en avant, à la tête de sa compagnie,
à l'attaque d'un point d'appui qui constituait la dernière
position de l'ennemi. Tombé glorieusement au cours de
l'action_Déjà blessé cinq fois en France et en Orient. Quatre
fois cité. »
BOUAMAMA BEN ABDELKADER, 2° classe au 8" escadron du
2" spahis, « Spahi d'une très grande bravoure. Le 21 fé-
vrier 1918, au combat contre les Beni-Oujjane. envoyé en
avant comme éclaireur et grièvement blessé, s'est défendu
courageusement avec un beau sang-froid jusqu'à l'arrivée
de son peloton, qui l'a dégagé à la baïonnette. »
-j- LABROUSSE, adjudant-chef au 7e escadron du 2e spahis.
« Sous-officier d'une bravoure et d'une énergie remar-
quables. Le 21 février 1918. au combat contre les Beni-
Oujjane, a pris la place du tireur de son fusil mitrailleur
pour assurer lui-même la direction du tir sur un groupe
d'adversaires qui s'avançaient. A été tué à bout portant. >ï
En outre, le moghazeni HAMIDA TAHAR, du poste de Beni-
Mgara, recevra le Mérite militaire chérifien avec pension
annuelle de 60 francs.
Au quartier général à Rabat, le 13 avril -1918.
Ordre général n° 86
Dans le but d'économiser les effectifs au cours des opé-
rations militaires en pays inconnu et ennemi, de réduire
les pertes, de prévoir les itinéraires des troupes, les points
d'eau, le trace des pistes, de déterminer les organisations
de l'adversaire, etc., le général commandant en chef avait
été conduit à penser que la photographie aérienne devait
nous permettre d'établir une carte ayant la. valeur des
levés réguliers (nivellement et planimétrie) des régions
du front marocain dont on ne connaissait la topographie
que par renseignements
Il fallait trouver des méthodes cartographiques nouvelles
et le général commandant en chef chargeait le capitaine
d'artillerie ORCEL de réaliser cette conception et créait;
sous sa direction, auprès du service aéronautique du Maroc
un service de restitution photographique.
La première mission qui lui était assignée vient d'abou^
tir avec un succès complet.
Pendant soixante jours, les quelques avions chargés de
ce travail ont opéré en plein pays ennemi, s'avançant jus-
qu'à 70 kilomètres de nos postes avancés, surmontant
toutes les difficultés, malgré les conditions atmosphériques
les plus défavorables, et permettant finalement d'établir
un levé régulier de 2.500 kilomètres carrés de région
inconnue.
Le général de division, commissaire Résident de France
au Maroc, commandant en chef, cite à l'ordre de l'armée
les militaires dont les noms suivent :
(JUILLAUMOT Henri-Gabriel Elie). sergent pilote aviateur
à l'escadrille 5ol. <> Pilote de tout premier ordre, ne perd
aucune occasion de se distinguer par son sang-froid et son
énergie. A survolé pendant deux mois, décembre 1917-
janvier 1918, malgré les dtfficultés atmosphériques, une
région montagneuse des plus difficiles, s'avançant en
pays ennemi et inconnu jusqu'à 70 kilomètres de,nos lignes,
permettant par sa hardiesse et 80n habileté le levé topo-
graphique de 2.500 kilomètres carrés. A été pour le com-
mandement un auxiliaire des plus précieux. »
SERRET (Edouard), sous-lieutenant observateur à l'esca-
drille 551. « Observateur du plus grand mérite; joint à
l'habileté professionnelle les plus hautes qualités de cou-
rage et de bravoure. S'est particulièrement distingué en
décembre 1917 et janvier 1918 dans le levé topographique
de 2.500 kilomètres carrés d'une région difficile et monta-
gneuse, se dépensant sans compter, effectuant de dange-
reux vols en pays ennemi et inconnu à plus dg 70 kilo-
mètres de nos lignes. Par ses documents de premier ordre,
a préparé minutieusement l'action des troupes. Déjà deux
fois cité. »
EVE (Paul-Henry), sergent pilote à l'escadrille 551. « S'est
distingué en décembre 1917 et janvier 1918 par ses qualités
de pilote émérite dans le levé topographique d'un pays
inconnu où il a survolé 2.500 kilomètres carrés de région
montagneuse et difficile, malgré les difficultés climaté-
riques considérables, s'avançant jusqu'à 70 kilomètres de
nos avant-postes en pays ennemi. S'est dépensé sans
compter et a donné à chaque occasion des marques de
sang-froid et de hardiesse. »
GUILLEMINOT (Jean-Camille), sous-lieutenant observateur,
photographe à l'escadrille 551. « Observateur déjà deux
fois cité à l'ordre pour sa bravoure devant l'ennemi. Vient
encore de se signaler au cours du levé topographique de
2.500 kilomètres carrés d'un pays ennemi, 'pendant les
mois de décembre 1917 et janvier 1918, rapportant de ses
vols en pays inconnu et hostile, accomplis avec une belle
hardiesse malgré toutes 1-s difficultés de climat et de ter-
rain, des documents précieux, facilitant considérablement
l'action militaire. x
Au quartier général à Casablanca, le 5 jmai 1918.
LYAUTEY.
Ordre général n° 87.
A la suite de l'affaire du 31 mars 1918, à Mahiridja, le
général de division, commissaire Résident général de
France au Maroc, commandant en chef, cite à l'ordre de
l'armée :
-
BEN YAHIA BEN BOUHAFS, moghazeni au makbzen d'Aïn-
Ouettara. « Moghazeni d'un courage remarquable. Voyant
son chef de makhzen blessé, tomber avec son cheval tué
sous lui, sur le point d'être pris par un groupe d'adver-
saires, s'estportéà son secours sous une grêle de balles avec
trois autres cavaliers, l'aidant à se dégager, le hissant
sur un autre cheval; grièvement blessé quelques instants
après, est resté à son poste, continuant le combat jusqu'au
bout. »
Fait au quartier général à Rabat, le 14 mai 1918.
Ordre général n° 89.
Le 29 avril 1918, 200 Beni-Ouaraïn, en glissant le long
des berges de la Moulouya, réussissaient à s'approcher à
faible distance du poste de Guercif.
Immédiatement alertés, moghazenis et spahis se met-
taient à la poursuite des contingents ennemis et, après
trois heures d un combat furieux, infligeaient un sanglant
échec à l'adversaire.
Le général de division, commissaire Résident général de
France au Maroc, commandant en chef, cite à l'ordre de
l'armée les militaires dont les noms suivent, qui se sont
particulièrement distingués :
KADDOUR BEL HADJ LARBI, cavalier au 8e escadron du
2e spahis. " A fait preuve en toutes circonstances d'un
beau courage et d'esprit de sacrifice. Le 29 avril 1918, au
cours d'un combat à pied avec son peloton attaqué par ufi-
ennemi supérieur en nombre, aux environs de Guercif, a
essuyé un coup de feu à bout portant; blessé grièvement,
a néanmoins réussi à abattre son adversaire. »
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