Titre : L'Afrique française : bulletin mensuel du Comité de l'Afrique française et du Comité du Maroc
Auteur : Comité de l'Afrique française. Auteur du texte
Auteur : Comité du Maroc (Paris). Auteur du texte
Éditeur : Comité de l'Afrique française (Paris)
Date d'édition : 1918-01-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32683501s
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 janvier 1918 01 janvier 1918
Description : 1918/01/01 (N1,A28)-1918/12/31 (N12,A28). 1918/01/01 (N1,A28)-1918/12/31 (N12,A28).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k9789150r
Source : CIRAD, 2017-132476
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 29/08/2017
DE L'AFRIQUE FRANÇAISE 205
les missions périlleuses, a rendu les plus grands services
pendant les opérations-de Khenifra. A exécute de nom-
breuses reconnaissances. montrant, en différentes occa-
siens, un absolu mépris du danger. A pris part à une série
de bombardements reussis dans toute la région de Tadla „
GUEHRIA (AIohRmed Taliar ben Abdallah), sergent à la
2c compagnie du 1er régiment étranger, « Donne sans cesse
des preuves de sa bravoure au feu. Le 28 janvier 1918, il
la tête de sa section, a chargé quatre fois à la baïonnette
un enuemi nombreux ; au cours d un sanglant corps à
corps, a abattu plusieurs adversaires à l'arme blanche. »
JOLIET, capitaine au 6e bataillon du 2" régiment étranger-
« Officier d'élite, commandant un_gronpe d'arrière-garde,
le 28 janvier 1918, a réussi, par la précision de sa ma-
nœuvre, à dégager des unités encerclées par un ennemi
nombreux, mordant et fanatique. Blessé et dite deux fois
au front de France. »
BERXIR, lieutenant au 5e escadron de spahis marocains.
« Modèle de bravoure, joignant l'esprit de décision à la
crânerie. S'est particulièrement distingué au combat du
28 janvier 1918 au djebel Bou-Arar, chargeant à fond,
sabre au clair, à la tête de deux. pelotons et dégageant
une compagnie de légion encerclée par un ennemi nom-
breux et tenace. »
BLASSELLÈ, sous-lieutenant, pilote à l'escadrille 552. « Pi-
lote remarquable; a exécuté avec succès plusieurs mis-
sions spéciales A fait de nombreuses reconnaissances
pendant les opérations de Khenifra, fournissant au com-
mandement les renseignements les plus utiles et bombar-
dant avec sue-cès des groupes 3 ennemis. A pris part à une
série d'opérations dans la région de Tadla; spécialement
le janvier J 918, où il n'a pa-i hésité à descendre à moins
de 150 mètres pour bombarder avec plus de précision
l'ennemi. »
f RUHLMANN (François), 2e classe, à la 4c compagnie du
1er régiment étranger. « Tombé glorieusement, face à l'en-
nemi, d'une balle en plein cœur, le 18 janvier 1918, au
djebel Bou-Arar. au cours d'un furieux combat où il s'était
comporté en vrai légionnaire. »
DESPRÉS, capitaine, commandant l'escadrille 552. « Fait
rendre à son escadrille ce que peut donner une unité
aérienne de premier ordre. A assuré, de façon fort heu-
reuse, la sûreté éloignée de la colonne, lors des opérations
de janvier 1917 dans la région de Sidi-Lamine-Khenifra. A
exécuté de nombreux bombardements efficaces sur les
deux rives de l'Oum-er-Rebia. A pris sa large et brillante
part personnelle dans toutes les missions données à l'es-
cadrille. » *
Fait au quartier général à Rabat, le 12 avril 1918.
Ordre général n° 85.
Au mois de février 1918, les Beni-Oujjane, fraction
Ghiata demeurée irréductible, continuaient à mettre en
danger les abords mêmes de Taza et la voie ferrée de
l'Innaouen jusqu'à Touahar. Leurs agressions se succé-
daient sans interruption et il devenait indispensable d'oc-
cuper la crête- montagneuse qui leur servait de place
d'armes et-d'où ils faisaient irruption dans la vallée de
l'Innaouen.
Le 21 février, cette opération fut entreprise par le géné-
ral AUBERT qui, divisant ses troupes en deux masses de
manœuvre, les lança, du Toumzit et de Merzouka., au-
devant de l'ènnemi qui s'avançait à sa rencontre. Mené à
travers un terrain boisé et escarpé, le combat fut rude ;
mais d'étage en étage, nos troupes parvinrent à déloger
les Beni-Oujjane et à midi nous étions maîtres de la situa-
tion . l ennemi arborait partout de nombreux drapeaux
blancs et, le 26, toute la fraction faisait sa soumission.
Cette belle opération fait autant honneur au chef (fui l'a
conçue qu'aux troupes qui l'ont exécutée.
Le général de division, commissaire Résident général de
France au Maroc, commandant en chef, cite à l'ordre de
1 'ai-méé les militaires (lont les noms suivent et qui se sont
particulièrement d: Lillgués :
HAMIDA TAHAR, moghazeni au poste des Beni-Mgara.
« Moghazeni brave et dévoué, toujours prêt pour les mis-
sions périlleuses: Est tombé grièvement blessé le 21 fé-
vrier 1918, dans la région de Beni-Oujjane, alors qu'il
venait d'enlever d'assaut les positions énergiquemcnt dé-
fendues par un ennemi nombreux et résolu. »
PANZANI, adjudant à la 3c compagnie du 14R bataillon de
tirailleurs sénégalais. « Sous, officier énergique et brave.
Bien que pouvant être maintenu à l'arrière, a demandé à
servir à l'avant. Le 21 février 1918, au combat contre les
Beni-Oujjane, les deux officiers de sa compagnie ayant été
mis hors de combat, en a pris le commandement. A conti-
nué le mouvement en avant et exécuté toute la mission
qu'on attendait de son unité, o
VALERY, caporal à la 19e compagnie du 2e régiment de
tirailleurs indigènes. « Au combat contre les Beni Oujjane,
le 21 février 1918, a fait preuve d'une grande énergie et
d'un absolu mépris du danger. N'a pas hésité à se portée
à découvert pour mieux ajuster son tir contre un ennemi
embusqué à courte distance. A été grièvement blessé. »
LA 20e COMPAGNIE DU 2e RÉGIMENT IJE TIRAILLEURS INDIGÈNES.
« Le 21 février 1918, au combat des lleni-Oujjane, sous
l'énergique impulsion du lieutenant Laurent, a délogé un
adversaire tenace d'une série de crêtes montagneuses for-
tement défendues, enlevant d'un seul élan, à la baïonnette,
malgré les difficultés du terrain et sous un l'eu violent,
une dernière position; s'y est maintenue malgré un retour
offensif de l'ennemi, lui inlligeant des pertes et le mettant
en fuite, assurant ainsi le succès de la journée. »
BARJONET, chef de bataillon, comm: tant le 5e bataillon
du 2e tirailleurs algériens. « S'est dui ,Lié dans maintes
opérations de guerre. En particulier, le ;. 1 février 1918. au
combat contre les Bcni-Oujjane, commandant une avant-
garde. a enlevé dans un entrain superbe, une première po-
sition fortement défendue ; formant ensuite flanc-garde, a
dirigé avec la plus belle maîtrise plusieurs combats vio-
lents qui ont chassé l'ennemi de ses positions et a arrêté
tous ses retours offensifs, accomplissant dans la perfec-
tion la mission qui lui était confiée et infligeant des pertes
à l'adversaire. JI
ENNARAABEN AMOR BEN SLIMAN, adjudant à la 8" compa-
gnie du 4e régiment de tirailleurs indigènes. (1 Vieux sous-
officier indigène d'un courage et d'un dévouement à toute
épreuve. Le 21 février 1918, au combat contre les Beni-
Oujjalie, a brillamment conduit son peloton, infligeant des
pertes sensibles à l'ennemi, contribuant par sa. décision et
sa manœuvre au succès de la journée. S'est déjà distingué
sur le front de France, où il a été blessé et cité. »
SALARI BEN BRAHIM liEN GIIEZIL EL BOUZAHLY, 2e classe à la
7" compagnie du 4e régiment de tirailleurs indigènes.
« Tira,il!ear d'une bravoure et d'un courage exemplaires.
Le 21 février 1 918, au combat des Beni Oujjane, a été
blessé grièvement en se portant'en avant. S'est déjà dis-
tingué au front de France. »
GREVY, lieutenant au 26 régiment de spahis. (1 Comman-
dant d'escadron d'une énergie et d'un coup d'œil admirables.
Le 21 février 19 18, au cours des opérations contre les Bcn!-
Oujjane, au moment où un de ses chefs de peloton venait
d'être mortellement atteint, a su prendre de judicieuses
dispositions et a dispersé des ennemis nombreux et bien
armés, leur infligeant des pertes. S'était déjà fait remar-
quer dans les combats des territoires de Tadla Zaïan et de
Taza-, obtenant de sa Ironpe le meilleur rendement et fai-
sant preuve, en toute circonstance, d'un courage et d'un
sang-froid superbes. »
t FOURNIER, caporal clairon au 10c bataillon sénégalais.
« Le 21 février 1918. au cours des opérations contre les
Bcni-Oujjane, a été atteint mortellement en remplissant,
sur la ligne de feu, avec beaucoup d0 cran, ses fonctions
d'agent de liaison. »
CALVET, capitaine, commandant la 91 compagnie du 10e ba-
taillon sénégalais. « Ofticier d'une énergie et d'un courage
remarquables. A fait preuve de belles qualités militaires en
enlevant avec sa compagnie, dans la journée du 2) fé-
vrier 1918, une série de positions successives, défendues
avec acharnement par un ennemi nombreux et bien armé.
S'est toujours fait remarquer par son sang-froid, sn;i en-
les missions périlleuses, a rendu les plus grands services
pendant les opérations-de Khenifra. A exécute de nom-
breuses reconnaissances. montrant, en différentes occa-
siens, un absolu mépris du danger. A pris part à une série
de bombardements reussis dans toute la région de Tadla „
GUEHRIA (AIohRmed Taliar ben Abdallah), sergent à la
2c compagnie du 1er régiment étranger, « Donne sans cesse
des preuves de sa bravoure au feu. Le 28 janvier 1918, il
la tête de sa section, a chargé quatre fois à la baïonnette
un enuemi nombreux ; au cours d un sanglant corps à
corps, a abattu plusieurs adversaires à l'arme blanche. »
JOLIET, capitaine au 6e bataillon du 2" régiment étranger-
« Officier d'élite, commandant un_gronpe d'arrière-garde,
le 28 janvier 1918, a réussi, par la précision de sa ma-
nœuvre, à dégager des unités encerclées par un ennemi
nombreux, mordant et fanatique. Blessé et dite deux fois
au front de France. »
BERXIR, lieutenant au 5e escadron de spahis marocains.
« Modèle de bravoure, joignant l'esprit de décision à la
crânerie. S'est particulièrement distingué au combat du
28 janvier 1918 au djebel Bou-Arar, chargeant à fond,
sabre au clair, à la tête de deux. pelotons et dégageant
une compagnie de légion encerclée par un ennemi nom-
breux et tenace. »
BLASSELLÈ, sous-lieutenant, pilote à l'escadrille 552. « Pi-
lote remarquable; a exécuté avec succès plusieurs mis-
sions spéciales A fait de nombreuses reconnaissances
pendant les opérations de Khenifra, fournissant au com-
mandement les renseignements les plus utiles et bombar-
dant avec sue-cès des groupes 3 ennemis. A pris part à une
série d'opérations dans la région de Tadla; spécialement
le janvier J 918, où il n'a pa-i hésité à descendre à moins
de 150 mètres pour bombarder avec plus de précision
l'ennemi. »
f RUHLMANN (François), 2e classe, à la 4c compagnie du
1er régiment étranger. « Tombé glorieusement, face à l'en-
nemi, d'une balle en plein cœur, le 18 janvier 1918, au
djebel Bou-Arar. au cours d'un furieux combat où il s'était
comporté en vrai légionnaire. »
DESPRÉS, capitaine, commandant l'escadrille 552. « Fait
rendre à son escadrille ce que peut donner une unité
aérienne de premier ordre. A assuré, de façon fort heu-
reuse, la sûreté éloignée de la colonne, lors des opérations
de janvier 1917 dans la région de Sidi-Lamine-Khenifra. A
exécuté de nombreux bombardements efficaces sur les
deux rives de l'Oum-er-Rebia. A pris sa large et brillante
part personnelle dans toutes les missions données à l'es-
cadrille. » *
Fait au quartier général à Rabat, le 12 avril 1918.
Ordre général n° 85.
Au mois de février 1918, les Beni-Oujjane, fraction
Ghiata demeurée irréductible, continuaient à mettre en
danger les abords mêmes de Taza et la voie ferrée de
l'Innaouen jusqu'à Touahar. Leurs agressions se succé-
daient sans interruption et il devenait indispensable d'oc-
cuper la crête- montagneuse qui leur servait de place
d'armes et-d'où ils faisaient irruption dans la vallée de
l'Innaouen.
Le 21 février, cette opération fut entreprise par le géné-
ral AUBERT qui, divisant ses troupes en deux masses de
manœuvre, les lança, du Toumzit et de Merzouka., au-
devant de l'ènnemi qui s'avançait à sa rencontre. Mené à
travers un terrain boisé et escarpé, le combat fut rude ;
mais d'étage en étage, nos troupes parvinrent à déloger
les Beni-Oujjane et à midi nous étions maîtres de la situa-
tion . l ennemi arborait partout de nombreux drapeaux
blancs et, le 26, toute la fraction faisait sa soumission.
Cette belle opération fait autant honneur au chef (fui l'a
conçue qu'aux troupes qui l'ont exécutée.
Le général de division, commissaire Résident général de
France au Maroc, commandant en chef, cite à l'ordre de
1 'ai-méé les militaires (lont les noms suivent et qui se sont
particulièrement d: Lillgués :
HAMIDA TAHAR, moghazeni au poste des Beni-Mgara.
« Moghazeni brave et dévoué, toujours prêt pour les mis-
sions périlleuses: Est tombé grièvement blessé le 21 fé-
vrier 1918, dans la région de Beni-Oujjane, alors qu'il
venait d'enlever d'assaut les positions énergiquemcnt dé-
fendues par un ennemi nombreux et résolu. »
PANZANI, adjudant à la 3c compagnie du 14R bataillon de
tirailleurs sénégalais. « Sous, officier énergique et brave.
Bien que pouvant être maintenu à l'arrière, a demandé à
servir à l'avant. Le 21 février 1918, au combat contre les
Beni-Oujjane, les deux officiers de sa compagnie ayant été
mis hors de combat, en a pris le commandement. A conti-
nué le mouvement en avant et exécuté toute la mission
qu'on attendait de son unité, o
VALERY, caporal à la 19e compagnie du 2e régiment de
tirailleurs indigènes. « Au combat contre les Beni Oujjane,
le 21 février 1918, a fait preuve d'une grande énergie et
d'un absolu mépris du danger. N'a pas hésité à se portée
à découvert pour mieux ajuster son tir contre un ennemi
embusqué à courte distance. A été grièvement blessé. »
LA 20e COMPAGNIE DU 2e RÉGIMENT IJE TIRAILLEURS INDIGÈNES.
« Le 21 février 1918, au combat des lleni-Oujjane, sous
l'énergique impulsion du lieutenant Laurent, a délogé un
adversaire tenace d'une série de crêtes montagneuses for-
tement défendues, enlevant d'un seul élan, à la baïonnette,
malgré les difficultés du terrain et sous un l'eu violent,
une dernière position; s'y est maintenue malgré un retour
offensif de l'ennemi, lui inlligeant des pertes et le mettant
en fuite, assurant ainsi le succès de la journée. »
BARJONET, chef de bataillon, comm: tant le 5e bataillon
du 2e tirailleurs algériens. « S'est dui ,Lié dans maintes
opérations de guerre. En particulier, le ;. 1 février 1918. au
combat contre les Bcni-Oujjane, commandant une avant-
garde. a enlevé dans un entrain superbe, une première po-
sition fortement défendue ; formant ensuite flanc-garde, a
dirigé avec la plus belle maîtrise plusieurs combats vio-
lents qui ont chassé l'ennemi de ses positions et a arrêté
tous ses retours offensifs, accomplissant dans la perfec-
tion la mission qui lui était confiée et infligeant des pertes
à l'adversaire. JI
ENNARAABEN AMOR BEN SLIMAN, adjudant à la 8" compa-
gnie du 4e régiment de tirailleurs indigènes. (1 Vieux sous-
officier indigène d'un courage et d'un dévouement à toute
épreuve. Le 21 février 1918, au combat contre les Beni-
Oujjalie, a brillamment conduit son peloton, infligeant des
pertes sensibles à l'ennemi, contribuant par sa. décision et
sa manœuvre au succès de la journée. S'est déjà distingué
sur le front de France, où il a été blessé et cité. »
SALARI BEN BRAHIM liEN GIIEZIL EL BOUZAHLY, 2e classe à la
7" compagnie du 4e régiment de tirailleurs indigènes.
« Tira,il!ear d'une bravoure et d'un courage exemplaires.
Le 21 février 1 918, au combat des Beni Oujjane, a été
blessé grièvement en se portant'en avant. S'est déjà dis-
tingué au front de France. »
GREVY, lieutenant au 26 régiment de spahis. (1 Comman-
dant d'escadron d'une énergie et d'un coup d'œil admirables.
Le 21 février 19 18, au cours des opérations contre les Bcn!-
Oujjane, au moment où un de ses chefs de peloton venait
d'être mortellement atteint, a su prendre de judicieuses
dispositions et a dispersé des ennemis nombreux et bien
armés, leur infligeant des pertes. S'était déjà fait remar-
quer dans les combats des territoires de Tadla Zaïan et de
Taza-, obtenant de sa Ironpe le meilleur rendement et fai-
sant preuve, en toute circonstance, d'un courage et d'un
sang-froid superbes. »
t FOURNIER, caporal clairon au 10c bataillon sénégalais.
« Le 21 février 1918. au cours des opérations contre les
Bcni-Oujjane, a été atteint mortellement en remplissant,
sur la ligne de feu, avec beaucoup d0 cran, ses fonctions
d'agent de liaison. »
CALVET, capitaine, commandant la 91 compagnie du 10e ba-
taillon sénégalais. « Ofticier d'une énergie et d'un courage
remarquables. A fait preuve de belles qualités militaires en
enlevant avec sa compagnie, dans la journée du 2) fé-
vrier 1918, une série de positions successives, défendues
avec acharnement par un ennemi nombreux et bien armé.
S'est toujours fait remarquer par son sang-froid, sn;i en-
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