Titre : L'Afrique française : bulletin mensuel du Comité de l'Afrique française et du Comité du Maroc
Auteur : Comité de l'Afrique française. Auteur du texte
Auteur : Comité du Maroc (Paris). Auteur du texte
Éditeur : Comité de l'Afrique française (Paris)
Date d'édition : 1918-01-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32683501s
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 janvier 1918 01 janvier 1918
Description : 1918/01/01 (N1,A28)-1918/12/31 (N12,A28). 1918/01/01 (N1,A28)-1918/12/31 (N12,A28).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k9789150r
Source : CIRAD, 2017-132476
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 29/08/2017
DE L'AFRIQUE FRANÇAISE 177
vives, dans l'organisation présente et les plans futurs de sa
vie économique et financière. La guerre lui apporte ses
douleurs et ses enseignements; et l.e prodigieux conflit,
déchaîné sur l'univers par les appétits et la soif de domi-
nation d'une race de proie, oblige ceux qui ont charge de
ses destinées, vous entre autres, Messieurs, à adapter leurs
conceptions et leurs efforts aux nécessités nouvelles.
Les travaux des Délégations financières vont éclairer la
route que nous devons parcourir ensemble. Cette assem-
blée a accompli une tâche considérable.
L'équilibre du budget,
Au premier rang de ses préoccupations se plaçait l'équi-
libre du budget. Nous avions à faire face à un déficit de
49 millions. C'est une conséquence de la guerre. À des be-
soins imprévus, d'une ampleur démesurée, correspondent
des ressources que la même cause réduit sans cesse.
Les lois de.solidarité sociale, votées par le Parlement et
applicables à l'Algérie, entraînent de lourdes dépenses,
dont le poids se fait d'autant plus sentir que le-fléchisse-
ment des recettes s'accentue. Un tablpau soumis aux Délé-
gations pour leur permettre de -mesurer l'étendue des sac'ri-
fiées qu'exige l'allocation temporaire pour cherté de vie et
charges de famille aux fonctionnaires, aux petits retraités,
aux gendarmes, aux cheminots fait ressortir que la dépense
totale, qui n'a été que de 8.720.000 francs en 1917, dépas-
sera 32 millions dans chacune des deux années 1918 et 1919.
Pour une large part, le déficit budgétaire sera couvert
par des avances de la Banque de l'Algérie. L'emprunt a le
• mérite de ne pas faire peser uniquement sur les générations
actuelles les charges écrasantes de la guerre. Mais une
politique prévoyante veut que l'emprunt se combine avec
des impôts nouveaux. Les relèvements et les créations
d'impôts fourniront une ressource nouvelle d'environ 23 mil-
lions au budget de 1919.
Les réformes fiscales.
Suivant l'exemple que leur a donné le Parlement, les Dé-
légations financières ont introduit dans notre législation
fiscale les impôts cédulaires et l'impôt complémentaire sur
le revenu global; puis, pour consacrer leurs résolutions
antérieures-, elles ont décidé la suppression des impôts
arabes.
Certes, il serait vain de le dissimuler, celte réforme qui
provoquera de profonds remaniements dans notre régime
impQgitaire, comportera forcément dans l'application une
période d'essais et de' tâtonnements. Mais les délégués
financiers, avec une intelligence politique et une largeur de
yuei, auxquelles je ne saurais trop rendre hommage, n'ont
pas voulu la retarder. Ils entendent donner à l'égalisation
tiscale entre Européens et indigènes, décrétée par eux, la
haute signification que l'opinion publique en France sera
heureuse de souligner. C'est la reconnaissance des services
rendus par les poputations' indigènes à la noble catise de
l'Entente, le témoignage de cordiales sympathies, la meil-
leure réponse à certaines critiques qui se produisent encore
au delà de la Méditerranée et qui laisseraient croire qu'il
existe un antagonisme entre les colons et les indigènes.
Il n'y a pas, il ne saurait y avoir d'opposition entre les
uns et les autres. Ce sont les ouvriers de la même œuvre.
La solidarité de leurs intérêts les convie à une union de
plus èn plus en plus étroite, à une coopération de plus en
plus intime.
La guerre est en train de nouer entre eux de nouveaux
et puissants liens. Leurs^ fils, zouaves et tirailleurs, sont
confondus sur les champs de bataille. Us combattent pour
le même idéal, avec quel héroïsme ! Leurs citations et leurs
fourragères en font foi. Cette camaraderie si touchante des
armées, les périls, les sacrifices, les souffrances supportés
en commun, comment n'auraient-ils pas ici une répercus-
sion féconde?
A ces Arabes, à ces Kabyles qui ont combattu dans nos
rangs, nous devons autre chose que des citations et des
palmes. Nous devons redoubler de sollicitude pour l'amé-
lioration de leur sort matériel et moral, et aussi les rap-
yrocher de nous, non par une assimilation hâtive qui répu-
gnerait à leurs traditions et à leurs croyances, mais par
une large - conciliation de leurs intérêts et des nôtres.
Un de vos plus émincnts gouverneurs, M. Jules Cambon,
rappelait récemment les paroles de Burke : « La générosité
en politique est souvent la véritable sagesse; un grand
empire et des idées étroites vont mal ensemble. »
Les réformes indigènes.
Au contact des réalités de la colonisation, la sensibilité
généreuse qui a fait aimer parteut le genre français, au
lieu de s'émousser, s'avive et s'épanouit. Votre Assemblée
a toujours applaudi âux tentatives réfléchies faites en vue
de rattacher plus intimement nos sujets musulmans à la
grande famille française, de toucher leur cœur par les œu-
vres d'hygiène- et d'assistance, de pénétrer leur cerveau
par les bienfaits d'une instruction appropriée à leur men-
talité comme à leur genre de vie. Vous ferez confiance au
gouvernement pour élargir par l'adoption des mesures les
plus libérales, compatibles avec la suprématie française,
l'électorat des indigènes, pour aucmcnter progressivement
la participation de leurs mandataires à la gestion des inté-
rêts collectifs,et les mélanger davantage à l'existence na-
tionale, grâce à une administration intelligente de leurs
idées et soucieuse de leurs besoins.
Le progrès politique sera d'autant mieux assuré dans les
milieux indigènes, d'autant plus fécond, qu'il aura pour
fopdement le progrès économique et social. Vous nous ai-
dere,z à développer l'outillage agricole des indigènes, à in-
tensifier le rendement de leurs terr°6, Apprenons-leur la
prévoyance, l'épargne, lesbieofaits de la mutualité. Perfec-
tionnons dans un sens pratique l'instruction que leur
fournissent nos écoles élémentaires. Donnons à leurs
enfants un gagne-pain par la renaissance de leurs
industries familiales ; gardons-nous de multiplier le nombre
des déclassés à la poursuite de sinécures; faisons des ou-
vriers de métier adroits, actifs, des forgerons, des char-
rons, des menuisiers, des tisserands et aussi des tailleurs
de vignes, des éleveurs de bétail, collaborateurs intelligents
de notre agriculture. Là est l'avenir, parce que là est la
sagesse.
Les Français d'Algérie sur ie front.
Messieurs, si la France réserve à ses enfants adoptifs
une large part de sa tendresse, quel trésor de sollicitude
ne conserve-t-elle pas pour les fils de son sang et de sa
chair ! L'effort de nos colons d'Algérie ne fut jamais mieux
apprécié qu'au cours de cette guerre.
Grâce à leur labeur, à leur persévérance, à leur ingénio-
sité jamais en défaut, qui a su adapter toutes les qualités
de la race aux exigences du sol et du climat, une terre jadis
décriée, jugée bonne à peine pour la vie des camps, est
devenue le prolongement de nos départaments les plus fer-
tiles. La « France nouvelle » dont Prévost-Paradol entre-
voyait jadis, visionnaire incompris, l'avenir plein de pro-
messes, a concouru, efficacement, au salut national. A la
Patrie menacée, envahie, piétinée, vous avez donne des
troupes splendides, dont l'ennemi redoute le choc, vous
avez apporté avec votre sang, votre or, vos produits agri-
coles, tout l'appoint de votre infatigable dévouement. Vous
auriez fourni plus encore, au point de vue minier, par
exemple, sans des hésitations, des lenteurs administratives
qui n'ont pas permis le complet aménagement de votre
sous-sol. Il n'empêche que dans la balance du destin, vous
aidez à faire pencher le plateau en faveur de la bonne
cause.
La mère patrie ne l'oubliera pas à l'heure du règlement
des comptes. Nous demanderons qu'elle vous fasse plus
largement crédit, qu'elle étende vos franchises, qu'elle dé-
veloppe les dispositions libérales de la charte algérienne.
Vous avez justifié la confiance des Pouvoirs publics. Nous
souhaitons qu'ils vous laissent les coudées plus franches,
parce que votre gestion ne cesse de témoigner d'un senti-
ment élevé de vos responsabilités.
L'après-guerre. — Services maritimes postaux.
C'est dans cet espoir, qu'après avoir étudié les doulou-
reux problèmes de l'heure présente, au sein des Déléga-
tions financières, nous avons abordé les questions de
vives, dans l'organisation présente et les plans futurs de sa
vie économique et financière. La guerre lui apporte ses
douleurs et ses enseignements; et l.e prodigieux conflit,
déchaîné sur l'univers par les appétits et la soif de domi-
nation d'une race de proie, oblige ceux qui ont charge de
ses destinées, vous entre autres, Messieurs, à adapter leurs
conceptions et leurs efforts aux nécessités nouvelles.
Les travaux des Délégations financières vont éclairer la
route que nous devons parcourir ensemble. Cette assem-
blée a accompli une tâche considérable.
L'équilibre du budget,
Au premier rang de ses préoccupations se plaçait l'équi-
libre du budget. Nous avions à faire face à un déficit de
49 millions. C'est une conséquence de la guerre. À des be-
soins imprévus, d'une ampleur démesurée, correspondent
des ressources que la même cause réduit sans cesse.
Les lois de.solidarité sociale, votées par le Parlement et
applicables à l'Algérie, entraînent de lourdes dépenses,
dont le poids se fait d'autant plus sentir que le-fléchisse-
ment des recettes s'accentue. Un tablpau soumis aux Délé-
gations pour leur permettre de -mesurer l'étendue des sac'ri-
fiées qu'exige l'allocation temporaire pour cherté de vie et
charges de famille aux fonctionnaires, aux petits retraités,
aux gendarmes, aux cheminots fait ressortir que la dépense
totale, qui n'a été que de 8.720.000 francs en 1917, dépas-
sera 32 millions dans chacune des deux années 1918 et 1919.
Pour une large part, le déficit budgétaire sera couvert
par des avances de la Banque de l'Algérie. L'emprunt a le
• mérite de ne pas faire peser uniquement sur les générations
actuelles les charges écrasantes de la guerre. Mais une
politique prévoyante veut que l'emprunt se combine avec
des impôts nouveaux. Les relèvements et les créations
d'impôts fourniront une ressource nouvelle d'environ 23 mil-
lions au budget de 1919.
Les réformes fiscales.
Suivant l'exemple que leur a donné le Parlement, les Dé-
légations financières ont introduit dans notre législation
fiscale les impôts cédulaires et l'impôt complémentaire sur
le revenu global; puis, pour consacrer leurs résolutions
antérieures-, elles ont décidé la suppression des impôts
arabes.
Certes, il serait vain de le dissimuler, celte réforme qui
provoquera de profonds remaniements dans notre régime
impQgitaire, comportera forcément dans l'application une
période d'essais et de' tâtonnements. Mais les délégués
financiers, avec une intelligence politique et une largeur de
yuei, auxquelles je ne saurais trop rendre hommage, n'ont
pas voulu la retarder. Ils entendent donner à l'égalisation
tiscale entre Européens et indigènes, décrétée par eux, la
haute signification que l'opinion publique en France sera
heureuse de souligner. C'est la reconnaissance des services
rendus par les poputations' indigènes à la noble catise de
l'Entente, le témoignage de cordiales sympathies, la meil-
leure réponse à certaines critiques qui se produisent encore
au delà de la Méditerranée et qui laisseraient croire qu'il
existe un antagonisme entre les colons et les indigènes.
Il n'y a pas, il ne saurait y avoir d'opposition entre les
uns et les autres. Ce sont les ouvriers de la même œuvre.
La solidarité de leurs intérêts les convie à une union de
plus èn plus en plus étroite, à une coopération de plus en
plus intime.
La guerre est en train de nouer entre eux de nouveaux
et puissants liens. Leurs^ fils, zouaves et tirailleurs, sont
confondus sur les champs de bataille. Us combattent pour
le même idéal, avec quel héroïsme ! Leurs citations et leurs
fourragères en font foi. Cette camaraderie si touchante des
armées, les périls, les sacrifices, les souffrances supportés
en commun, comment n'auraient-ils pas ici une répercus-
sion féconde?
A ces Arabes, à ces Kabyles qui ont combattu dans nos
rangs, nous devons autre chose que des citations et des
palmes. Nous devons redoubler de sollicitude pour l'amé-
lioration de leur sort matériel et moral, et aussi les rap-
yrocher de nous, non par une assimilation hâtive qui répu-
gnerait à leurs traditions et à leurs croyances, mais par
une large - conciliation de leurs intérêts et des nôtres.
Un de vos plus émincnts gouverneurs, M. Jules Cambon,
rappelait récemment les paroles de Burke : « La générosité
en politique est souvent la véritable sagesse; un grand
empire et des idées étroites vont mal ensemble. »
Les réformes indigènes.
Au contact des réalités de la colonisation, la sensibilité
généreuse qui a fait aimer parteut le genre français, au
lieu de s'émousser, s'avive et s'épanouit. Votre Assemblée
a toujours applaudi âux tentatives réfléchies faites en vue
de rattacher plus intimement nos sujets musulmans à la
grande famille française, de toucher leur cœur par les œu-
vres d'hygiène- et d'assistance, de pénétrer leur cerveau
par les bienfaits d'une instruction appropriée à leur men-
talité comme à leur genre de vie. Vous ferez confiance au
gouvernement pour élargir par l'adoption des mesures les
plus libérales, compatibles avec la suprématie française,
l'électorat des indigènes, pour aucmcnter progressivement
la participation de leurs mandataires à la gestion des inté-
rêts collectifs,et les mélanger davantage à l'existence na-
tionale, grâce à une administration intelligente de leurs
idées et soucieuse de leurs besoins.
Le progrès politique sera d'autant mieux assuré dans les
milieux indigènes, d'autant plus fécond, qu'il aura pour
fopdement le progrès économique et social. Vous nous ai-
dere,z à développer l'outillage agricole des indigènes, à in-
tensifier le rendement de leurs terr°6, Apprenons-leur la
prévoyance, l'épargne, lesbieofaits de la mutualité. Perfec-
tionnons dans un sens pratique l'instruction que leur
fournissent nos écoles élémentaires. Donnons à leurs
enfants un gagne-pain par la renaissance de leurs
industries familiales ; gardons-nous de multiplier le nombre
des déclassés à la poursuite de sinécures; faisons des ou-
vriers de métier adroits, actifs, des forgerons, des char-
rons, des menuisiers, des tisserands et aussi des tailleurs
de vignes, des éleveurs de bétail, collaborateurs intelligents
de notre agriculture. Là est l'avenir, parce que là est la
sagesse.
Les Français d'Algérie sur ie front.
Messieurs, si la France réserve à ses enfants adoptifs
une large part de sa tendresse, quel trésor de sollicitude
ne conserve-t-elle pas pour les fils de son sang et de sa
chair ! L'effort de nos colons d'Algérie ne fut jamais mieux
apprécié qu'au cours de cette guerre.
Grâce à leur labeur, à leur persévérance, à leur ingénio-
sité jamais en défaut, qui a su adapter toutes les qualités
de la race aux exigences du sol et du climat, une terre jadis
décriée, jugée bonne à peine pour la vie des camps, est
devenue le prolongement de nos départaments les plus fer-
tiles. La « France nouvelle » dont Prévost-Paradol entre-
voyait jadis, visionnaire incompris, l'avenir plein de pro-
messes, a concouru, efficacement, au salut national. A la
Patrie menacée, envahie, piétinée, vous avez donne des
troupes splendides, dont l'ennemi redoute le choc, vous
avez apporté avec votre sang, votre or, vos produits agri-
coles, tout l'appoint de votre infatigable dévouement. Vous
auriez fourni plus encore, au point de vue minier, par
exemple, sans des hésitations, des lenteurs administratives
qui n'ont pas permis le complet aménagement de votre
sous-sol. Il n'empêche que dans la balance du destin, vous
aidez à faire pencher le plateau en faveur de la bonne
cause.
La mère patrie ne l'oubliera pas à l'heure du règlement
des comptes. Nous demanderons qu'elle vous fasse plus
largement crédit, qu'elle étende vos franchises, qu'elle dé-
veloppe les dispositions libérales de la charte algérienne.
Vous avez justifié la confiance des Pouvoirs publics. Nous
souhaitons qu'ils vous laissent les coudées plus franches,
parce que votre gestion ne cesse de témoigner d'un senti-
ment élevé de vos responsabilités.
L'après-guerre. — Services maritimes postaux.
C'est dans cet espoir, qu'après avoir étudié les doulou-
reux problèmes de l'heure présente, au sein des Déléga-
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