Titre : L'Afrique française : bulletin mensuel du Comité de l'Afrique française et du Comité du Maroc
Auteur : Comité de l'Afrique française. Auteur du texte
Auteur : Comité du Maroc (Paris). Auteur du texte
Éditeur : Comité de l'Afrique française (Paris)
Date d'édition : 1918-01-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32683501s
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 janvier 1918 01 janvier 1918
Description : 1918/01/01 (N1,A28)-1918/12/31 (N12,A28). 1918/01/01 (N1,A28)-1918/12/31 (N12,A28).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k9789150r
Source : CIRAD, 2017-132476
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 29/08/2017
122 BULLETIN DU COMITÉ
de ce prince, qui, à sa renommée de guerrier et de diplo-
mate, sait unir un prestige religieux que peu de musulmans
ont surpassè. Récemment. Manuel L. Ortega, auteur afri-
caniste très coiupetejit, a pûbiié un A'olume où il est traité
de l'intervention du chérir dans la. politique contemporaine
au Maroc. C'est à ce livre que j'emprunte les lignes sui-
vantes qui constituent un portrait de Raissouli trtteé de
main de maître.
Le nom du chérif Moulay Ahmed ben Mohamed ben
Abdallah el Raissouli el Hassani el Alami remplit toute la
région occidentale de notre xone au Maroc, et, passant par
Ouezzan, patrie des Chorfa, et par Chechaouen, la cité
vierge et sainte, s'étend souverain parmi le Rif inconnu.
Qu'est-ce donc que ce Raissouli?
Le Raissouli est un noble Marocain du plus pur lignage;
le sang du prophète coule dans ses veines ; ses ancêtres
se sont assis sur le trône du Moghreb ; sa famille a occupé
dans l'Empire les plus hautes charges; on rencontre par-
tout parmi les villes et les douars des mosquées érigées
en l'honneur de sesascendants. Le Raissouli est puissant;
ses richesses sont incalculables ; le Raissouli estun Fkih ; le
Raissouli a combattu contre tout le monde ; sa force cor-
porelle est à la hauteur de son courage ; le Raissouli a du
talent, et parce qu il a du talent, il est ambitieux, ambi-
tieux des honneurs auxquels il a légitimement droit étant
donné son habileté et ses actes ; en un mot, le Raissouli est
ehérif, non pas seulement chérif, mais nakib-— descendant
en ligne directe de Mohamed. Le plus pur parmi les saints
— parmi les chérifs.
Le Raissouli est un chef de guerrilla, un anachronisme à
cette époque.
Au XIIIe siècle, le chérif aurait été peut-être souverain du
royaume de Séville ou du kha.lifat de Cordoue; il aurait
vécu dans le faste d'une cour orientale, pleiue de merveilles
splendides, accordant la paix ou faisant la guerre avec les
rois chrétiens de la reconquête.
« Tel est le Raissouli d'après Manuel Ortega, et ce que l'on ne
saurait, en tout cas, nier c'est que, maintenant comme hier, toute
notre politique marocaine tourne autour de lui.
« Nous avons cherché à découvrir l'origine de son grand pres-
tige parmi les Arabes, et tous ceux que nous avons interrogés
nous ont répondu qu'il le devait à ses grands exploits militaires, à
la lignée et à ses merveilleuses qualités d'orateur.
Moulay Ahmed ben Mohammed ben Abdallah el Raissouli
a un verbe brûlant qui enflamme ses armées jusqu'à la
folie, lorsqu'il les harangue, monté sur son cheval, avant
la bataille. Il est le chef de la famille royale des Oulad
Brr aisoul, descendants en ligne directe de Moulay Idriss,
fondateur de l'empire du Maroc, et son premier souverain
légitime. Il est, en outre, chérif, ce qui signifie saint au Ma-
roc, et il compte,...parmi ses ancêtres, d'autres chérifs fa-
meux. La première des mosquées de Tétouau. celle que les
habitants de Tétouan vénèrent le plus, porte le nom d un
ancètre de Raissouli.
Le général Jordana nous dit, en parlant du Raissouli,
que c'est la figurela plus complexe et la plus intéressante
quillui ait été donné de rencontrer parmi les musulmans,
et il insiste sur sa culture, sa sagacité, sa grande connais-
sance des affaires européennes. Vous en seriez étonnés,
nous dit-il.
Tant de vertus enflamment à leur tour, l'en-
thousiasme de Cirici Ventello qui avoue dans son
excitation, qu'il ne put fermer l'uni pendant la
nuit qui précéda sa visite au chérif. Enfin, il
allait librement s'entretenir avec ce puissant
chef dont l'idéal et les aspirations musulmanes
coïncident avec l'intéret de l'Espagne, parce
qu'il est Vennemi le plus implacable de nos
plus grands ennemis.
Voici, nous dit l'interprète en nous montrant, sur une
hauteur dominant le camp, une grande tente entourée
d'autres plus petites, la demeure de Raissouli et de son
état-major. La tentfe coutiguë à la sienne est le harem où
vivent ses femmes. Plus loin, dans cet énorme hangar, sont
les prisonniers.
Les tentes particulières du chérif sont de belle toite: Les
couleurs dominantes sont le rouge et le jaune.'Sur la plus
grande, flotte le drapeau vert avec la demi-lune et le dra-
peau de guerre de Raissouli.
La vue des prisonniers nous impressionne. C'était, sous
le hangar, dès hommes attachés à une seule chaîne qui
mesurait plus d un demi-kilomètre Parmi les enchaînés à
perpétuité (car il est très rare qu'on en .relâche) figurent
principalement des Maures des tribus qui furent hostiles à
Raissouli, deux ou trois ex-pachas, plusieurs guerriers
autrefois redoutés, etpêle-mêie, des Marocains vigoureux,
des vieillards à longue barbe blanche, des hommes bien
portants et des malades:
A heure fixe, sous le fouet des askaris, ils sortent du
hangar pour satisfaire leurs besoins naturels. Et lorsque
le muezzin chante la prière, delà tente.mosquee, les pri-
sonniers répondent, dans leurs prières, par des mots
soumission et d'éloge à 1 adresse de Rais&ouli, comme s'ils
espéraient éveiller un écho de clémence dans le ccaur du
puissant seigneur ; mais la chaîne n'est rompue que lorsque
l'un des prisonniers meurt, alors on coupe l'anneau de celui
qui a cessé de souffrir, on enlève son corps- et la chaîne
est rescellée de nouveau.
Chaque fois que la mehalla de Raissouli se déplace, les
prisonniers marchent, devant, en guise d'avant-garde, afin
que les villages et que les tribus par où l'armée passera,
avant de voir le maître de près, se rendent compte de la
rigueur de sa justice implacable.
Nous arrivâmes aux premières tentes du camp. StAhmed
ben Messaoud, chef de la mehalla, vint à notre rencontre,
une splendide escorte l'accompagnait.
Il nous fit traverser le camp, les soldats dje la mehalla
se pressaient curieusement à la porte deleur^ tentes. Nous
pûmes, en passant, distinguer un grand nombre de fusils
et beaucoup de chevaux.
Comme nous arrivions à une esplanade, nous fùmes sur-
pris d'entendre quelques coups de trompette. La sensation
d'être dans un camp d'une armée régulière, organisée à
l'européenne, était complète. Pour que rien ne manquât,
on nous montra le parc çù Raissouli gardait ses pièces
d'artillerie légère.
Sous une grande tente., la salle de justice, nous saluâmes
le khalifa de la mehalla, Moulay Mohammed el Hossein,
cousin de Raissouli, homme de haute taille, au regaird
extrêmement intelligent, de type très espagnol ; Il suspen-
dit la séance qu'il tenait avec les caïds, afin de nous re-
cevoir.
Le khalifa nous dit que nous ne tarderions pas à être
introduits sous la tente du chérif et il nous offrit, en atten-
dant, pour nous asseoir, des chaises européennes.
Comme nous nous informions auprès de Tubau de l'ef-
fectif que représentaient les forcesdu camp,il nous répondit
environ cinq millefantassins etmille chevaux.
Mais Moulay Mohammed avait entendu notre question.
Il se hâta d'intervenir :
— Nous avons licencié beaucoup de monde, dit-il, -gar-
dant seulement avec nous l'armée régulière ; par bonheur,
la paix règne et les hommes, profitant de ces jours de tran-
quillité. ont pu revenir aider leurs familles en travaillant
la terre...
A ce moment, arrive Cerdeira (interprète du général
Jordana) accompagné du chef de la garde personnelle du
chérif. Raissouli nous attend.
Nousnous dirigeàmes vers la tente du chérif, dont l'en-
trée est gardée par deux Nègres, deux forteresses- Les
Maures qui nous accompagnaient restèrent dehors et nous
entràmes avec Cerdeira et Tubau.
Raissouli, assis dans une berceuse, se lève, en nous
voyant, et nous tend la main..
11 est coiffé à la manière des, sultans. L'ensemble est d'un
très grand air ; mesurant dans les deux mètres, il est re-
vêtu d'une tunique de soie blanche qui fait ressortir la
couleur bronzée de son énorme face. Son regard a uneforce
de suggestion très grande; sa barbe complètement rousse;
ses traits très accentués sont durs. Il est majestueux dans
ses manières et quand il veut sourire, il le lofait comme
de ce prince, qui, à sa renommée de guerrier et de diplo-
mate, sait unir un prestige religieux que peu de musulmans
ont surpassè. Récemment. Manuel L. Ortega, auteur afri-
caniste très coiupetejit, a pûbiié un A'olume où il est traité
de l'intervention du chérir dans la. politique contemporaine
au Maroc. C'est à ce livre que j'emprunte les lignes sui-
vantes qui constituent un portrait de Raissouli trtteé de
main de maître.
Le nom du chérif Moulay Ahmed ben Mohamed ben
Abdallah el Raissouli el Hassani el Alami remplit toute la
région occidentale de notre xone au Maroc, et, passant par
Ouezzan, patrie des Chorfa, et par Chechaouen, la cité
vierge et sainte, s'étend souverain parmi le Rif inconnu.
Qu'est-ce donc que ce Raissouli?
Le Raissouli est un noble Marocain du plus pur lignage;
le sang du prophète coule dans ses veines ; ses ancêtres
se sont assis sur le trône du Moghreb ; sa famille a occupé
dans l'Empire les plus hautes charges; on rencontre par-
tout parmi les villes et les douars des mosquées érigées
en l'honneur de sesascendants. Le Raissouli est puissant;
ses richesses sont incalculables ; le Raissouli estun Fkih ; le
Raissouli a combattu contre tout le monde ; sa force cor-
porelle est à la hauteur de son courage ; le Raissouli a du
talent, et parce qu il a du talent, il est ambitieux, ambi-
tieux des honneurs auxquels il a légitimement droit étant
donné son habileté et ses actes ; en un mot, le Raissouli est
ehérif, non pas seulement chérif, mais nakib-— descendant
en ligne directe de Mohamed. Le plus pur parmi les saints
— parmi les chérifs.
Le Raissouli est un chef de guerrilla, un anachronisme à
cette époque.
Au XIIIe siècle, le chérif aurait été peut-être souverain du
royaume de Séville ou du kha.lifat de Cordoue; il aurait
vécu dans le faste d'une cour orientale, pleiue de merveilles
splendides, accordant la paix ou faisant la guerre avec les
rois chrétiens de la reconquête.
« Tel est le Raissouli d'après Manuel Ortega, et ce que l'on ne
saurait, en tout cas, nier c'est que, maintenant comme hier, toute
notre politique marocaine tourne autour de lui.
« Nous avons cherché à découvrir l'origine de son grand pres-
tige parmi les Arabes, et tous ceux que nous avons interrogés
nous ont répondu qu'il le devait à ses grands exploits militaires, à
la lignée et à ses merveilleuses qualités d'orateur.
Moulay Ahmed ben Mohammed ben Abdallah el Raissouli
a un verbe brûlant qui enflamme ses armées jusqu'à la
folie, lorsqu'il les harangue, monté sur son cheval, avant
la bataille. Il est le chef de la famille royale des Oulad
Brr aisoul, descendants en ligne directe de Moulay Idriss,
fondateur de l'empire du Maroc, et son premier souverain
légitime. Il est, en outre, chérif, ce qui signifie saint au Ma-
roc, et il compte,...parmi ses ancêtres, d'autres chérifs fa-
meux. La première des mosquées de Tétouau. celle que les
habitants de Tétouan vénèrent le plus, porte le nom d un
ancètre de Raissouli.
Le général Jordana nous dit, en parlant du Raissouli,
que c'est la figurela plus complexe et la plus intéressante
quillui ait été donné de rencontrer parmi les musulmans,
et il insiste sur sa culture, sa sagacité, sa grande connais-
sance des affaires européennes. Vous en seriez étonnés,
nous dit-il.
Tant de vertus enflamment à leur tour, l'en-
thousiasme de Cirici Ventello qui avoue dans son
excitation, qu'il ne put fermer l'uni pendant la
nuit qui précéda sa visite au chérif. Enfin, il
allait librement s'entretenir avec ce puissant
chef dont l'idéal et les aspirations musulmanes
coïncident avec l'intéret de l'Espagne, parce
qu'il est Vennemi le plus implacable de nos
plus grands ennemis.
Voici, nous dit l'interprète en nous montrant, sur une
hauteur dominant le camp, une grande tente entourée
d'autres plus petites, la demeure de Raissouli et de son
état-major. La tentfe coutiguë à la sienne est le harem où
vivent ses femmes. Plus loin, dans cet énorme hangar, sont
les prisonniers.
Les tentes particulières du chérif sont de belle toite: Les
couleurs dominantes sont le rouge et le jaune.'Sur la plus
grande, flotte le drapeau vert avec la demi-lune et le dra-
peau de guerre de Raissouli.
La vue des prisonniers nous impressionne. C'était, sous
le hangar, dès hommes attachés à une seule chaîne qui
mesurait plus d un demi-kilomètre Parmi les enchaînés à
perpétuité (car il est très rare qu'on en .relâche) figurent
principalement des Maures des tribus qui furent hostiles à
Raissouli, deux ou trois ex-pachas, plusieurs guerriers
autrefois redoutés, etpêle-mêie, des Marocains vigoureux,
des vieillards à longue barbe blanche, des hommes bien
portants et des malades:
A heure fixe, sous le fouet des askaris, ils sortent du
hangar pour satisfaire leurs besoins naturels. Et lorsque
le muezzin chante la prière, delà tente.mosquee, les pri-
sonniers répondent, dans leurs prières, par des mots
soumission et d'éloge à 1 adresse de Rais&ouli, comme s'ils
espéraient éveiller un écho de clémence dans le ccaur du
puissant seigneur ; mais la chaîne n'est rompue que lorsque
l'un des prisonniers meurt, alors on coupe l'anneau de celui
qui a cessé de souffrir, on enlève son corps- et la chaîne
est rescellée de nouveau.
Chaque fois que la mehalla de Raissouli se déplace, les
prisonniers marchent, devant, en guise d'avant-garde, afin
que les villages et que les tribus par où l'armée passera,
avant de voir le maître de près, se rendent compte de la
rigueur de sa justice implacable.
Nous arrivâmes aux premières tentes du camp. StAhmed
ben Messaoud, chef de la mehalla, vint à notre rencontre,
une splendide escorte l'accompagnait.
Il nous fit traverser le camp, les soldats dje la mehalla
se pressaient curieusement à la porte deleur^ tentes. Nous
pûmes, en passant, distinguer un grand nombre de fusils
et beaucoup de chevaux.
Comme nous arrivions à une esplanade, nous fùmes sur-
pris d'entendre quelques coups de trompette. La sensation
d'être dans un camp d'une armée régulière, organisée à
l'européenne, était complète. Pour que rien ne manquât,
on nous montra le parc çù Raissouli gardait ses pièces
d'artillerie légère.
Sous une grande tente., la salle de justice, nous saluâmes
le khalifa de la mehalla, Moulay Mohammed el Hossein,
cousin de Raissouli, homme de haute taille, au regaird
extrêmement intelligent, de type très espagnol ; Il suspen-
dit la séance qu'il tenait avec les caïds, afin de nous re-
cevoir.
Le khalifa nous dit que nous ne tarderions pas à être
introduits sous la tente du chérif et il nous offrit, en atten-
dant, pour nous asseoir, des chaises européennes.
Comme nous nous informions auprès de Tubau de l'ef-
fectif que représentaient les forcesdu camp,il nous répondit
environ cinq millefantassins etmille chevaux.
Mais Moulay Mohammed avait entendu notre question.
Il se hâta d'intervenir :
— Nous avons licencié beaucoup de monde, dit-il, -gar-
dant seulement avec nous l'armée régulière ; par bonheur,
la paix règne et les hommes, profitant de ces jours de tran-
quillité. ont pu revenir aider leurs familles en travaillant
la terre...
A ce moment, arrive Cerdeira (interprète du général
Jordana) accompagné du chef de la garde personnelle du
chérif. Raissouli nous attend.
Nousnous dirigeàmes vers la tente du chérif, dont l'en-
trée est gardée par deux Nègres, deux forteresses- Les
Maures qui nous accompagnaient restèrent dehors et nous
entràmes avec Cerdeira et Tubau.
Raissouli, assis dans une berceuse, se lève, en nous
voyant, et nous tend la main..
11 est coiffé à la manière des, sultans. L'ensemble est d'un
très grand air ; mesurant dans les deux mètres, il est re-
vêtu d'une tunique de soie blanche qui fait ressortir la
couleur bronzée de son énorme face. Son regard a uneforce
de suggestion très grande; sa barbe complètement rousse;
ses traits très accentués sont durs. Il est majestueux dans
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