Titre : L'Afrique française : bulletin mensuel du Comité de l'Afrique française et du Comité du Maroc
Auteur : Comité de l'Afrique française. Auteur du texte
Auteur : Comité du Maroc (Paris). Auteur du texte
Éditeur : Comité de l'Afrique française (Paris)
Date d'édition : 1918-01-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32683501s
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 janvier 1918 01 janvier 1918
Description : 1918/01/01 (N1,A28)-1918/12/31 (N12,A28). 1918/01/01 (N1,A28)-1918/12/31 (N12,A28).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k9789150r
Source : CIRAD, 2017-132476
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 29/08/2017
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DE L'AFRIQUE FRANÇAISE 107
importantes du littoral des garnisons blanches perma-
nentes. Nous avons essayé vainement, au début de la
guerre, de localiser la guerre en Afrique (1). Nous n'y avons
pas réussi. La Belgique était pour la neutralisation, la
France voulait la 'suivre, mais l'Angleterre a dit « Non,
nous voulons nuire à l'Allemagne partout et où que ce
soit. » Dans notre effort en vue de la neutralisation, nous
étions guidés par notre sèntiment de la responsabilité et
de la dignité de la race blanche vis-à-vis des Noirs. Chez
nos ennemis, le désir de réaliser une supériorité militaire
l'emporta sur leurs principes de politique coloniale et sur
leur sentiment de responsablité des Blancs vis à-vis des
.Noirs. C'est ainsi qu ils portèrent la guerre en Afrique. Ils
ont, de plus, envoyé des troupes indigènes en grand
nombre sur les théâtres européens de la guerre. La France
a d'abord mobilise la race noire par voie d'engagements
volontaires, ensuite par des levées- forcées faites sur une
grande échelle. Les soulèvements de Tunisie, d'Algérie, et
d'autres colonies françaises ont été la réponse des indi-
gènes à ces mesures de violence de leurs dominateurs
blancs. D ailleurs l'Angleterre a dù, elle aussi, recourir en
Afrique à une certaine violence, plutôt modérée, pour
la levée des indigènes. Les J3elges ont dû aussi, sous la
pression de la France, procéder récemment à des levées
dans le Congo belge. L'ensemble des troupes indigènes de
l'Entente, carte d'échantillons des diverses races de cou-
leur, peut être évalué à plusieurs centaines de mille
hommes. Si nos Africains orientaux ont pu résister jus-
qu'ici dans Une "colonie étrangère et s'ils sont en train de
conquérir une nouvelle colonie, ce n'est pas parce qu'ils y
auraient été préparés pendant des années, ainsi quelle dit
Smuts, mais parce que nous avons réussi, par deux fois,
à leur envoyer de la métropole des armes et des munitions.
(Bravo!) Sans ce secours, ces pauvres gens dépourvus
d'armes et de munitions, auraient été contraints depuis
longtemps de se rendre. On n'avait jamais songé à former
eu Afrique des troupes capables de combattre un ennemi
armé à la moderne.
La « militarisation » de l'Afrique.
Le général Smuts exprime ensuite la crainte que nous
pourrions utiliser nos colonies comme bases navales. A
l'enoontre de cette affirmation, je dois déclarera en ce qui
concerne le passé, qu'avant la guerre aucune de nos sta-
tions africaines du littoral n'avait été pourvue d'artillerie,
parce que nnus n'avons jamais pensé faire de l'Afrique un
théâtre d opérations pour des troupes blanches, tandis que
l'Angleterre et la France avaient fait d'une série de leurs
ports de véritables stations maritimes.
Notre opinion au sujet de la militarisation des colonies
résulte clairement de notre attitude d'avant-guerre. Les
efforts de l'Allemagne n'ont jamais été dirigés vers une
Militarisation des indigènes. Nous avons tenté, au con-
traire, de renforcer, par des accords internationaux, les
traités contre l'esclavage, là limilation de l'importation des
armes, etc., afin de refréner les instincts belliqueux des
indigènes. A cet effet, fut rénnie sur l'initiative de 1 'Alle-
magne, en 1908, la conférence de Bruxelles afin de limiter
l'importation des armes en Afrique Les larges proposi-
. tions de l'Allemagne échouèrent principalement à cause de
la résistance de la France. Aujourd'hui, le gouvernement
impérial ne s'est pas encore départi de son point de vue,
malgré le mauvais exemple des ennemis, que nous consi-
dérons comme révoltant (Très juste). Nous ne voulons pas
de militarisation en Afrique, nous voulons des droits et
des devoirs égaux pour tous. Nous ne pouvons être seuls
à soutenir ce point de vue, si. cependant, les autres mili
tarifent tout (Très juste). D'une.part, nous avons la
demande. de Smuts : « En auoun cas, l'Afrique ne doit être
militarisée., » D'autre part, la déclaration de Churchill :
it Nous n'avons pas encore tiré assez de profit de nos in-
(1) Nous renvoyons le lecteur pour réfuter cette affirmation men-
songère aux documents publiés par Y-Afrique française, 1910,
p. 61 ; et Rens. -Col., 1916, p. 68. On se rappelle que déjà à ce
moment le gouvernement impérial, dans son mémoire sur les res-
ponsabilités de l'extension de la guerre à l'Afrique, reproduisait
les documents coloniaux du Livre gris belge, sauf le document 76
qui constate à la date du 22 août l'attaque de Lukuga par les
- troupes allemandes. — N. D. L. R.
digènes pour la guerre en-Europe. » Le point de vue de
Churchill est la confirmation absolue de la conception
française sur l'emploi des indigènes dans la guerre euro-
péenne. Si Smuts était sincère dans son opinion, qui
s'oppose à celle de Churchill, il devrait combattre à la fois
Churchill et les Français, et se mettre de notre côté. Au
lieu de cela, il fait semblant d'ignorer- l'existence de notre
programme. Il se forge un danger militariste allemand,
tout imaginaire, et se procure ainsi un prétexte pour nous
attribuer les intentions que je viens de définir.
Pour justifier ce prétexte, il prétend qu'on aurait trouvé
une carte allemande des possessions du Centre africain
telles que l'Allemagne se les souhaiterait ; ensuite que
l'état-major allemand accorderait une grande attention au
recrutement des soldats de couleur dans une guerre future,
ainsi que le prouverait le livre de Freytag-Loringhoven.
Cette argumentation est ridicule (Très juste!). Le général
Smuts a prononcé il y a dix mois, un discours sensible-
ment meilleur que le dernier. Il passe pour être un adhé-
rent de la Ligue de la Paix en Angleterre. Mais s'il parle
avec un tel parti pris'de l'adversaire, il discrédite la pensée
de la Ligue de Paix, car la question première pour le tra-
vail de cette ligne est que les peuples respectent mutuel-
lement leurs droits Mais c'est ne tenir aucun compte de
ces droits, lorsque des hommes d'Etat, dans 1 intérêt de
buts.impérialistes personnels, dénaturent les intentions de
l'adversaire. L'idée de la Ligue de la Paix ne lui sert que
de moyen de combat en faveur de l'impérialisme anglais
au préjudice des iniérêts les plus vitaux d'autres peuples.
Il existe en Angleterre aussi des personnes sincèrement
attachées à l'idée de paix. On voit dans les milieux anglais
grossir le nombre de ceux qui, non seulement, sont dis-
posés à une entente avec nous au sujet de la question colo-
niale mais qui considèrent cette entente comme une pré-
paration nécessaire à la politique mondiale de l'avenir.
Mais il n'y a pas de doute : derrière le général Smuts et
son discours se trouvent le gouvernement anglais, de
grandes masses, de grands intérêts, de grandes passions.
Nous devons compter avec cela ( Vifs applaudissements).
(Norddeutsche Allgemeine leitung)
28 février 1918.
M. ,Solf ne cesse de tenir le même langage et
à la date du 15 mars une dépêche a signalé ses
nouvelles déclarations :
Nous n'avons nullement l'intention d'abandonner nos
colonies de l'océan Pacifique; nous réclamons, au contraire,
énergiqucment la restitution de tout notre domaine d outre-
mer. Par conséquent, les colonies allemandes de l'Afrique
sud-occidentale doivent aussi nous être rendues, il y a à
cela des raisons économiques et des raisons politiques.
Bien que nous ayons préconisé, pendant cette guerre, la
consolidation de notre domaine en Afrique centrale, nous
n'avons pas eu l'intention de poser comme condition de la
réalisation de ce projet l'abandon de nos possessions de
l'Ouest.
M. Solf affecte de nier les préparatifs militaires
de l'Allemagne en Afrique avant la guerre. Nous
lui avons déjà répondu en ce qui concerne le
Cameroun et le Togo.Dans les Financial News,
M. Calvert donne ces indications en ce qui
concerne le Sud-Ouest :
En dépit des déclarations officielles allemandes à ce
sujet, il suffit de jeter les yeux sur les préparatifs secrets,
méthodiques et incessants de l'Allemagne dans le Sud-
Ouest africain pour être convaincu de ses intentions belli-
queuses Les chemins de fer exploités et ceux qui étaient
en construction à la déclaration de la guerre étaient tous
des lignes stratégiques tournées vers la frontière de
l'Union sud-africaine et établis à l'écartement de la voie du
Cap Une troupe de 10.000 soldats, munis d'armes, de mu-
nitions et de ravitaillement suffisants pour une longue
guerre était ostensiblement levée pour la défense contre
DE L'AFRIQUE FRANÇAISE 107
importantes du littoral des garnisons blanches perma-
nentes. Nous avons essayé vainement, au début de la
guerre, de localiser la guerre en Afrique (1). Nous n'y avons
pas réussi. La Belgique était pour la neutralisation, la
France voulait la 'suivre, mais l'Angleterre a dit « Non,
nous voulons nuire à l'Allemagne partout et où que ce
soit. » Dans notre effort en vue de la neutralisation, nous
étions guidés par notre sèntiment de la responsabilité et
de la dignité de la race blanche vis-à-vis des Noirs. Chez
nos ennemis, le désir de réaliser une supériorité militaire
l'emporta sur leurs principes de politique coloniale et sur
leur sentiment de responsablité des Blancs vis à-vis des
.Noirs. C'est ainsi qu ils portèrent la guerre en Afrique. Ils
ont, de plus, envoyé des troupes indigènes en grand
nombre sur les théâtres européens de la guerre. La France
a d'abord mobilise la race noire par voie d'engagements
volontaires, ensuite par des levées- forcées faites sur une
grande échelle. Les soulèvements de Tunisie, d'Algérie, et
d'autres colonies françaises ont été la réponse des indi-
gènes à ces mesures de violence de leurs dominateurs
blancs. D ailleurs l'Angleterre a dù, elle aussi, recourir en
Afrique à une certaine violence, plutôt modérée, pour
la levée des indigènes. Les J3elges ont dû aussi, sous la
pression de la France, procéder récemment à des levées
dans le Congo belge. L'ensemble des troupes indigènes de
l'Entente, carte d'échantillons des diverses races de cou-
leur, peut être évalué à plusieurs centaines de mille
hommes. Si nos Africains orientaux ont pu résister jus-
qu'ici dans Une "colonie étrangère et s'ils sont en train de
conquérir une nouvelle colonie, ce n'est pas parce qu'ils y
auraient été préparés pendant des années, ainsi quelle dit
Smuts, mais parce que nous avons réussi, par deux fois,
à leur envoyer de la métropole des armes et des munitions.
(Bravo!) Sans ce secours, ces pauvres gens dépourvus
d'armes et de munitions, auraient été contraints depuis
longtemps de se rendre. On n'avait jamais songé à former
eu Afrique des troupes capables de combattre un ennemi
armé à la moderne.
La « militarisation » de l'Afrique.
Le général Smuts exprime ensuite la crainte que nous
pourrions utiliser nos colonies comme bases navales. A
l'enoontre de cette affirmation, je dois déclarera en ce qui
concerne le passé, qu'avant la guerre aucune de nos sta-
tions africaines du littoral n'avait été pourvue d'artillerie,
parce que nnus n'avons jamais pensé faire de l'Afrique un
théâtre d opérations pour des troupes blanches, tandis que
l'Angleterre et la France avaient fait d'une série de leurs
ports de véritables stations maritimes.
Notre opinion au sujet de la militarisation des colonies
résulte clairement de notre attitude d'avant-guerre. Les
efforts de l'Allemagne n'ont jamais été dirigés vers une
Militarisation des indigènes. Nous avons tenté, au con-
traire, de renforcer, par des accords internationaux, les
traités contre l'esclavage, là limilation de l'importation des
armes, etc., afin de refréner les instincts belliqueux des
indigènes. A cet effet, fut rénnie sur l'initiative de 1 'Alle-
magne, en 1908, la conférence de Bruxelles afin de limiter
l'importation des armes en Afrique Les larges proposi-
. tions de l'Allemagne échouèrent principalement à cause de
la résistance de la France. Aujourd'hui, le gouvernement
impérial ne s'est pas encore départi de son point de vue,
malgré le mauvais exemple des ennemis, que nous consi-
dérons comme révoltant (Très juste). Nous ne voulons pas
de militarisation en Afrique, nous voulons des droits et
des devoirs égaux pour tous. Nous ne pouvons être seuls
à soutenir ce point de vue, si. cependant, les autres mili
tarifent tout (Très juste). D'une.part, nous avons la
demande. de Smuts : « En auoun cas, l'Afrique ne doit être
militarisée., » D'autre part, la déclaration de Churchill :
it Nous n'avons pas encore tiré assez de profit de nos in-
(1) Nous renvoyons le lecteur pour réfuter cette affirmation men-
songère aux documents publiés par Y-Afrique française, 1910,
p. 61 ; et Rens. -Col., 1916, p. 68. On se rappelle que déjà à ce
moment le gouvernement impérial, dans son mémoire sur les res-
ponsabilités de l'extension de la guerre à l'Afrique, reproduisait
les documents coloniaux du Livre gris belge, sauf le document 76
qui constate à la date du 22 août l'attaque de Lukuga par les
- troupes allemandes. — N. D. L. R.
digènes pour la guerre en-Europe. » Le point de vue de
Churchill est la confirmation absolue de la conception
française sur l'emploi des indigènes dans la guerre euro-
péenne. Si Smuts était sincère dans son opinion, qui
s'oppose à celle de Churchill, il devrait combattre à la fois
Churchill et les Français, et se mettre de notre côté. Au
lieu de cela, il fait semblant d'ignorer- l'existence de notre
programme. Il se forge un danger militariste allemand,
tout imaginaire, et se procure ainsi un prétexte pour nous
attribuer les intentions que je viens de définir.
Pour justifier ce prétexte, il prétend qu'on aurait trouvé
une carte allemande des possessions du Centre africain
telles que l'Allemagne se les souhaiterait ; ensuite que
l'état-major allemand accorderait une grande attention au
recrutement des soldats de couleur dans une guerre future,
ainsi que le prouverait le livre de Freytag-Loringhoven.
Cette argumentation est ridicule (Très juste!). Le général
Smuts a prononcé il y a dix mois, un discours sensible-
ment meilleur que le dernier. Il passe pour être un adhé-
rent de la Ligue de la Paix en Angleterre. Mais s'il parle
avec un tel parti pris'de l'adversaire, il discrédite la pensée
de la Ligue de Paix, car la question première pour le tra-
vail de cette ligne est que les peuples respectent mutuel-
lement leurs droits Mais c'est ne tenir aucun compte de
ces droits, lorsque des hommes d'Etat, dans 1 intérêt de
buts.impérialistes personnels, dénaturent les intentions de
l'adversaire. L'idée de la Ligue de la Paix ne lui sert que
de moyen de combat en faveur de l'impérialisme anglais
au préjudice des iniérêts les plus vitaux d'autres peuples.
Il existe en Angleterre aussi des personnes sincèrement
attachées à l'idée de paix. On voit dans les milieux anglais
grossir le nombre de ceux qui, non seulement, sont dis-
posés à une entente avec nous au sujet de la question colo-
niale mais qui considèrent cette entente comme une pré-
paration nécessaire à la politique mondiale de l'avenir.
Mais il n'y a pas de doute : derrière le général Smuts et
son discours se trouvent le gouvernement anglais, de
grandes masses, de grands intérêts, de grandes passions.
Nous devons compter avec cela ( Vifs applaudissements).
(Norddeutsche Allgemeine leitung)
28 février 1918.
M. ,Solf ne cesse de tenir le même langage et
à la date du 15 mars une dépêche a signalé ses
nouvelles déclarations :
Nous n'avons nullement l'intention d'abandonner nos
colonies de l'océan Pacifique; nous réclamons, au contraire,
énergiqucment la restitution de tout notre domaine d outre-
mer. Par conséquent, les colonies allemandes de l'Afrique
sud-occidentale doivent aussi nous être rendues, il y a à
cela des raisons économiques et des raisons politiques.
Bien que nous ayons préconisé, pendant cette guerre, la
consolidation de notre domaine en Afrique centrale, nous
n'avons pas eu l'intention de poser comme condition de la
réalisation de ce projet l'abandon de nos possessions de
l'Ouest.
M. Solf affecte de nier les préparatifs militaires
de l'Allemagne en Afrique avant la guerre. Nous
lui avons déjà répondu en ce qui concerne le
Cameroun et le Togo.Dans les Financial News,
M. Calvert donne ces indications en ce qui
concerne le Sud-Ouest :
En dépit des déclarations officielles allemandes à ce
sujet, il suffit de jeter les yeux sur les préparatifs secrets,
méthodiques et incessants de l'Allemagne dans le Sud-
Ouest africain pour être convaincu de ses intentions belli-
queuses Les chemins de fer exploités et ceux qui étaient
en construction à la déclaration de la guerre étaient tous
des lignes stratégiques tournées vers la frontière de
l'Union sud-africaine et établis à l'écartement de la voie du
Cap Une troupe de 10.000 soldats, munis d'armes, de mu-
nitions et de ravitaillement suffisants pour une longue
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