Titre : L'Afrique française : bulletin mensuel du Comité de l'Afrique française et du Comité du Maroc
Auteur : Comité de l'Afrique française. Auteur du texte
Auteur : Comité du Maroc (Paris). Auteur du texte
Éditeur : Comité de l'Afrique française (Paris)
Date d'édition : 1918-01-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32683501s
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 janvier 1918 01 janvier 1918
Description : 1918/01/01 (N1,A28)-1918/12/31 (N12,A28). 1918/01/01 (N1,A28)-1918/12/31 (N12,A28).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k9789150r
Source : CIRAD, 2017-132476
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 29/08/2017
DE L'AFRIQUE FRANÇAISE 105
crûtes pour aecompagner les troupes britanniques et belges. Au
Nyassaland le nombre des indigènes enrôlés pour divers objets
d'ordre militaire dépasse 100.000. Il n'est que juste de rappeler
que le général Smuts a reçu du général Northey une aideinappré-
ciable :ce dernier, opérant avec une armée relativement peu nom-
breuse et à une grande distance de sa base, s est néanmoins ac-
quitté d'un rôle très difficile avec un succès Incontestable. J'ai
déjà fait allusion à l'aide splendide que nous ont prêtée les
troupes belges. Nous y reconnaissons une preuve nouvelle de
l'héroïsme et du dévouement-avec lesquels ce vaillant pays a com-
battu pour la liberté et a maintenu son honn ur intact , aussi ac-
cueillons-nous ici ce soir avec un plaisir sincère le distingué mi-
nistre qui le représente en cette circonstance.
Tout ce qui a été dit ce soir, et l'on pourrait en dire bien da-
vantage, tend à montrer combien grande est l'œuvre qui a été
réalisée, et pour une part qui n'est pas petite, avec l'aide des indi-
gènes ; si nous sommes fondés à nous féliciter nous-mêmes de
nos succès, et à exprimer les obligations que nous devons à ces
auxiliaires, nous ne devons pas oublier que nous avons assumé
en retour une grande responsabilité. Ces indigènes nous ont donné
librement et loyalement le meilleur d'eux-mêmes. En agissant ainsi
ils ont encouru des risques énormes car, si on laissait les terri-
toires que nous avons conquis revenir à l'Allt-magne, la vengeance
des Allemands serait à coup sûr terrible. M'ais ce n'est pas assëz
d'exprimer notre reconnaissance avec nos lèvrès ; nous devons
veiller à régler à l'avenir tous ces problèmes de manière à assuier
aux indigène. larécompense de leurs magnifiques services. C'est
une question qui intéresse non seulement les peuples de l Empire
britannique, non seulement les -Alliés, mais' l'univers civilisé tout
entier ou, à tout le moins, cette grande portion de l'univers qui a
décidé que les terribles sacrifices qui ont été faits dans cette
guerre ne doivent pas l'avoir été en vain. Et c'est ma réponse aux
touchantes paroles du ministre de Belgique quand il a fait allusion
aux deuils personnels qui ont été la conséquence inévitable de
cette terrible guerre. Nous avons souffert en commun et nous
sommes résolus à empêcher que les sacrifices qui ont été faits par
v des centaines de milliers d'individus l'aient été vain. Si nous sup-
partonS" notre fardeau, c'est parce que nous sommes convaincus
qu'il est le prix de la liberté et que nous estimons la liberté plus
que la vie même. ,
Le président de la Société, M. T. H. Holdich, a
conclu :
Il me reste à vous demander de vous joindre à moi pour adresser
nos cordiaux remerciements au général Smuts pour sa conférence
si rèconfortante et si suggestive. Son discours nous a fait com-
prendre la nécessité pendant la durée même de la guerre de porter
nos regards au loin, de considérer ce qui se passe dans le monde
entier au lieu de borner notre attention aux faits de détail, d'em-
brasser tous les théâtres de l'action. Si au moment présent, notre
attention peut se concentrer plus spécialement sur l'Occident — et
c'est avec quelque anxiété que nous guettons les événements qui
- peuvent s'y produite — c'est tout simplement parce que grâce au
général Smuts et aux a"tres généraux qui ont collaboré si vail-
lamment avec lui en Orient et en Afr que, le calme y est revenu
et quela situation y est pour ainsi dire éclaircie. Mais cette situa-
tion. quelle est-elle ? La voici en quelques mots : les Alliés ont
conquis et occupé quelque chose comme un million de millescarrés
de pays \environ 2.600.000 kilomètres carrés) des gens autorisés
disent même davantage, mais je préfère être modeste; disons si
vous voulez qu'il s'agit d'au moins un million de milles carrés —
et d'autre part les Puissances centrales n ont occupé qu 'un peu
moins du quart de ce total. La condition de la Turquie à la fin de
ce qu'eUe se plaît à considérer comme une guerre victorieuse, me
semble devoir être déplorable ; non seulement elle a perdu en Ara-
bie 100.000 milles carrés (2ào.000 kilomètres carrés), mais encore
elle s'est vu enlever ses grandes villes saintes et ses principaux
centres commerciaux : La Mecque, Médine, Jérusalem, Bagdad,
Erzeroum et Trébizonde. Et il est agréable de rappeler que la
vaillante armée belge, à laquelle nous avons eu tellement d obli-
gations au début de la guerre, occupe aujourd hui dans l'Afrique
Orientale Allemande un territoire près de sept fois aussi étendu
que celui que les Allemands occupent en Belgique. Ce sont là des
résultats considérables, et comme le ministre des Colonies,
M. Walter Long, l'a dit si éloquemment, nous devons nous garder
de les traiter à l'a légère. Mous ne devons pas les ignorer, car
ce sera là inévitablement,.quelque jour, au moment du règlement
final, des cartes d'échange dans les mains de l'Angleterre. Ceux
de nous qui ont parcouru ces pays, particulièrement l'Afrique
orientale, savent bien ce qu'il en est et les ressources que la colo-
nisation peut y trouver et que le général Smuts a signalées. Ils
n'offrent peut-être pas beaucoup de place pour la colonisation eu-
ropéenne et il appartient à cette Société de recueillir toutes les
informations possibles quant à l'étendue des régions susceptibles
d'être colonisées et quant aux colons qu'il faut y diriger. Mais il
y a dans les parties les moins connues et les plus sauvages de
l'Afrique des populations très nombreuses qui ne peuvent avoir
l'idée ni même le soupçon d'un régime autonome. Il faut faire
évidemment l'éducation de ces populations, il faut leur inculquer
d'abord et par degrés les rudiments de la civilisation pour les
amener finalement à un certain sens national de la responsabilité;
si nous nous demandons qui doit entreprendrecette œuvre d'édu-
cation, nous comprendrons alors quelle responsabilité va sans
'doute peser sur nous. Nous pouvons tout au moins espérer quo
l'éducation de ces populations incombera à ceux qui par tradition
et par une longue expérience sont le mieux à même d'appliquer
un régime basé sur la réciprocité, sur la justice, sur la sympathie
et sur l'humanité.
Je vous demande de remercier par acclamations le général
Smuts d'avoir bien voulu venir ici ce soir et de nous avoir fait
entendre une si admirable conférence.
C'est dans les termes ci-après que le Geogra-
phical Journal a rendu compte, dans les pages
qu'il consacre en fin de numéro à l'action de la
Société royàle de Géographie, de la réunion au
cours de laquelle le général Smuts a prononcé la
conférence que nous venons de reproduire :
Première réunion de la Société tenue sous le feu. L arrêt des
transports provoqué par l'annonce d'un raid aérien faite à 8 heures du
soir avait empêché beaucoup de personnes d assister à la réunion,
mais celle-ci comptait néanmoins environ 1.300 assistants. Pen-
dant la seconde moitié de la séance, le bruit d'une forte canonnade
et d'un combat aérien livré presque au-dessus de la salle était
très nettement perçu, mais les travaux de la Société n 'en furent
pas sérieusement interrompus.
C'est au Reichstag, nous l'avons dit (Afrique
française, 1918, p. 37), que le Dr Soif a porté sa .
réponse. Voici, d après la Gazette de l Allemagne
du Nord du 28 février, le discours qu'il a pro-
noncé dans la séance du 27 février au cours de ,
la discussion générale du budget :
Réponse au* général Smuts.
J'ai demandé la parole au moment où M. le député Stre-
semann prononçait le nom du général Smuts et où il faisait
allusion au discours de ce dernier sur les buts de guerre
anglais. Il ne faut pas considérer le discours du général
Smuts comme une manifestation ni comme une déclaration
privées. Le général, comme chacun le sait maintenant,
est membre du Comité de guerre. D autre part, il a été à
Versailles avec Lloyd George. Ses discours ont. dans ces
conditions, le caractère d'une déclaration officielle. M. le
député a raison, à mon sens, de faire cette constatation et
de supposer que le gouvernement doit l'admettre. Depuis
le commencement de la guerre, des déclarations générales,
sur les problèmes coloniaux ont eu lieu entre nous et nos
ennemis Du côté allemand, il a été nettement spécifié que
le gouvernement, aussi bien que le peuple allemand, je
puis le dire, se sont prononcés publiquement et d un
commun accord pour la récupération de nos colonies ( Vifs
applaudissements). D'autre part, on ne peut qu approuver
M le député, lorsqu'il a souligné que la politique coloniale
est pour l'Allemagne une question vitale, et non pas une
question de luxe (Vifs applaudissements). Les ennemis n ont
pas eu cette clarté que l'on doit désirer. Ils sont restés
dans une certaine ambiguïté vis-à-vis du monde, et notam-
ment vis-à-vis des Etats-Unis. On a dit que 1 Allemagne
était cruelle et que, pour cette raison, il ne fallait pas
rendre aux Allemands leurs colonies. On a parlé ensuite
crûtes pour aecompagner les troupes britanniques et belges. Au
Nyassaland le nombre des indigènes enrôlés pour divers objets
d'ordre militaire dépasse 100.000. Il n'est que juste de rappeler
que le général Smuts a reçu du général Northey une aideinappré-
ciable :ce dernier, opérant avec une armée relativement peu nom-
breuse et à une grande distance de sa base, s est néanmoins ac-
quitté d'un rôle très difficile avec un succès Incontestable. J'ai
déjà fait allusion à l'aide splendide que nous ont prêtée les
troupes belges. Nous y reconnaissons une preuve nouvelle de
l'héroïsme et du dévouement-avec lesquels ce vaillant pays a com-
battu pour la liberté et a maintenu son honn ur intact , aussi ac-
cueillons-nous ici ce soir avec un plaisir sincère le distingué mi-
nistre qui le représente en cette circonstance.
Tout ce qui a été dit ce soir, et l'on pourrait en dire bien da-
vantage, tend à montrer combien grande est l'œuvre qui a été
réalisée, et pour une part qui n'est pas petite, avec l'aide des indi-
gènes ; si nous sommes fondés à nous féliciter nous-mêmes de
nos succès, et à exprimer les obligations que nous devons à ces
auxiliaires, nous ne devons pas oublier que nous avons assumé
en retour une grande responsabilité. Ces indigènes nous ont donné
librement et loyalement le meilleur d'eux-mêmes. En agissant ainsi
ils ont encouru des risques énormes car, si on laissait les terri-
toires que nous avons conquis revenir à l'Allt-magne, la vengeance
des Allemands serait à coup sûr terrible. M'ais ce n'est pas assëz
d'exprimer notre reconnaissance avec nos lèvrès ; nous devons
veiller à régler à l'avenir tous ces problèmes de manière à assuier
aux indigène. larécompense de leurs magnifiques services. C'est
une question qui intéresse non seulement les peuples de l Empire
britannique, non seulement les -Alliés, mais' l'univers civilisé tout
entier ou, à tout le moins, cette grande portion de l'univers qui a
décidé que les terribles sacrifices qui ont été faits dans cette
guerre ne doivent pas l'avoir été en vain. Et c'est ma réponse aux
touchantes paroles du ministre de Belgique quand il a fait allusion
aux deuils personnels qui ont été la conséquence inévitable de
cette terrible guerre. Nous avons souffert en commun et nous
sommes résolus à empêcher que les sacrifices qui ont été faits par
v des centaines de milliers d'individus l'aient été vain. Si nous sup-
partonS" notre fardeau, c'est parce que nous sommes convaincus
qu'il est le prix de la liberté et que nous estimons la liberté plus
que la vie même. ,
Le président de la Société, M. T. H. Holdich, a
conclu :
Il me reste à vous demander de vous joindre à moi pour adresser
nos cordiaux remerciements au général Smuts pour sa conférence
si rèconfortante et si suggestive. Son discours nous a fait com-
prendre la nécessité pendant la durée même de la guerre de porter
nos regards au loin, de considérer ce qui se passe dans le monde
entier au lieu de borner notre attention aux faits de détail, d'em-
brasser tous les théâtres de l'action. Si au moment présent, notre
attention peut se concentrer plus spécialement sur l'Occident — et
c'est avec quelque anxiété que nous guettons les événements qui
- peuvent s'y produite — c'est tout simplement parce que grâce au
général Smuts et aux a"tres généraux qui ont collaboré si vail-
lamment avec lui en Orient et en Afr que, le calme y est revenu
et quela situation y est pour ainsi dire éclaircie. Mais cette situa-
tion. quelle est-elle ? La voici en quelques mots : les Alliés ont
conquis et occupé quelque chose comme un million de millescarrés
de pays \environ 2.600.000 kilomètres carrés) des gens autorisés
disent même davantage, mais je préfère être modeste; disons si
vous voulez qu'il s'agit d'au moins un million de milles carrés —
et d'autre part les Puissances centrales n ont occupé qu 'un peu
moins du quart de ce total. La condition de la Turquie à la fin de
ce qu'eUe se plaît à considérer comme une guerre victorieuse, me
semble devoir être déplorable ; non seulement elle a perdu en Ara-
bie 100.000 milles carrés (2ào.000 kilomètres carrés), mais encore
elle s'est vu enlever ses grandes villes saintes et ses principaux
centres commerciaux : La Mecque, Médine, Jérusalem, Bagdad,
Erzeroum et Trébizonde. Et il est agréable de rappeler que la
vaillante armée belge, à laquelle nous avons eu tellement d obli-
gations au début de la guerre, occupe aujourd hui dans l'Afrique
Orientale Allemande un territoire près de sept fois aussi étendu
que celui que les Allemands occupent en Belgique. Ce sont là des
résultats considérables, et comme le ministre des Colonies,
M. Walter Long, l'a dit si éloquemment, nous devons nous garder
de les traiter à l'a légère. Mous ne devons pas les ignorer, car
ce sera là inévitablement,.quelque jour, au moment du règlement
final, des cartes d'échange dans les mains de l'Angleterre. Ceux
de nous qui ont parcouru ces pays, particulièrement l'Afrique
orientale, savent bien ce qu'il en est et les ressources que la colo-
nisation peut y trouver et que le général Smuts a signalées. Ils
n'offrent peut-être pas beaucoup de place pour la colonisation eu-
ropéenne et il appartient à cette Société de recueillir toutes les
informations possibles quant à l'étendue des régions susceptibles
d'être colonisées et quant aux colons qu'il faut y diriger. Mais il
y a dans les parties les moins connues et les plus sauvages de
l'Afrique des populations très nombreuses qui ne peuvent avoir
l'idée ni même le soupçon d'un régime autonome. Il faut faire
évidemment l'éducation de ces populations, il faut leur inculquer
d'abord et par degrés les rudiments de la civilisation pour les
amener finalement à un certain sens national de la responsabilité;
si nous nous demandons qui doit entreprendrecette œuvre d'édu-
cation, nous comprendrons alors quelle responsabilité va sans
'doute peser sur nous. Nous pouvons tout au moins espérer quo
l'éducation de ces populations incombera à ceux qui par tradition
et par une longue expérience sont le mieux à même d'appliquer
un régime basé sur la réciprocité, sur la justice, sur la sympathie
et sur l'humanité.
Je vous demande de remercier par acclamations le général
Smuts d'avoir bien voulu venir ici ce soir et de nous avoir fait
entendre une si admirable conférence.
C'est dans les termes ci-après que le Geogra-
phical Journal a rendu compte, dans les pages
qu'il consacre en fin de numéro à l'action de la
Société royàle de Géographie, de la réunion au
cours de laquelle le général Smuts a prononcé la
conférence que nous venons de reproduire :
Première réunion de la Société tenue sous le feu. L arrêt des
transports provoqué par l'annonce d'un raid aérien faite à 8 heures du
soir avait empêché beaucoup de personnes d assister à la réunion,
mais celle-ci comptait néanmoins environ 1.300 assistants. Pen-
dant la seconde moitié de la séance, le bruit d'une forte canonnade
et d'un combat aérien livré presque au-dessus de la salle était
très nettement perçu, mais les travaux de la Société n 'en furent
pas sérieusement interrompus.
C'est au Reichstag, nous l'avons dit (Afrique
française, 1918, p. 37), que le Dr Soif a porté sa .
réponse. Voici, d après la Gazette de l Allemagne
du Nord du 28 février, le discours qu'il a pro-
noncé dans la séance du 27 février au cours de ,
la discussion générale du budget :
Réponse au* général Smuts.
J'ai demandé la parole au moment où M. le député Stre-
semann prononçait le nom du général Smuts et où il faisait
allusion au discours de ce dernier sur les buts de guerre
anglais. Il ne faut pas considérer le discours du général
Smuts comme une manifestation ni comme une déclaration
privées. Le général, comme chacun le sait maintenant,
est membre du Comité de guerre. D autre part, il a été à
Versailles avec Lloyd George. Ses discours ont. dans ces
conditions, le caractère d'une déclaration officielle. M. le
député a raison, à mon sens, de faire cette constatation et
de supposer que le gouvernement doit l'admettre. Depuis
le commencement de la guerre, des déclarations générales,
sur les problèmes coloniaux ont eu lieu entre nous et nos
ennemis Du côté allemand, il a été nettement spécifié que
le gouvernement, aussi bien que le peuple allemand, je
puis le dire, se sont prononcés publiquement et d un
commun accord pour la récupération de nos colonies ( Vifs
applaudissements). D'autre part, on ne peut qu approuver
M le député, lorsqu'il a souligné que la politique coloniale
est pour l'Allemagne une question vitale, et non pas une
question de luxe (Vifs applaudissements). Les ennemis n ont
pas eu cette clarté que l'on doit désirer. Ils sont restés
dans une certaine ambiguïté vis-à-vis du monde, et notam-
ment vis-à-vis des Etats-Unis. On a dit que 1 Allemagne
était cruelle et que, pour cette raison, il ne fallait pas
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