Titre : L'Afrique française : bulletin mensuel du Comité de l'Afrique française et du Comité du Maroc
Auteur : Comité de l'Afrique française. Auteur du texte
Auteur : Comité du Maroc (Paris). Auteur du texte
Éditeur : Comité de l'Afrique française (Paris)
Date d'édition : 1919-01-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32683501s
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 janvier 1919 01 janvier 1919
Description : 1919/01/01 (N1)-1919/12/31 (N12). 1919/01/01 (N1)-1919/12/31 (N12).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k98041559
Source : CIRAD, 2017-132476
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 22/10/2017
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- SOMMAIRE
- Nos 1 et 2
- Nos 3 et 4
- Nos 5 et 6
- .......... Page(s) .......... 107
- .......... Page(s) .......... 111
- Nos 7 et 8
- Nos 9 et 10
RENSEIGNEMENTS COLONIAUX
Vers la fin de la campagne aussi, les troupes
souffrirent âprement de la grippe espagnole.
Ces maladies et bien d'autres remplirent nos
hôpitaux, mirent les services médicaux à con-
tribution jusqu'à l'extrême et firent un plus fort
nombre de victimes que les armes ennemies.
La marine royale, comme toujours, a coopéré
de la façon la plus loyale, devançant souvent
mes demandes et donnant même plus que je ne
sollicitais.
Les Gouvernements de l'Inde et l'Union de
l'Afrique du Sud n'ont jamais cessé de me don-
ner une assistance constante ; les gouvernements
de l'Est-Africain Anglais, de l'Ouganda, du
Nyassaland et de la Rhodésie m'ont aidé de
toutes les manières possibles et l'Administrateur
de l'Est-Africain Allemand a travaillé en parfait
accord avec moi pendant toute la campagne.
Mes relations avec le Gouvernement général
de l'Est-Africain Portugais et le Commissaire
royal du Congo Belge ont toujours été des plus
cordiales et je n'ai jamais fait appel à leur con-
cours en vain.
Pour terminer, je désire rappeler mes profondes
obligations envers mon état-major général et
administratif, mes commandants et mes états-
majors particuliers, les chefs de services et de
départements, pour leur assistance loyale, éclai-
rée et infatigable et je désire porter à votre con-
naissance les noms de certains officiers, officiers
brevetés, sous-officiers et soldats qui sont inscrits
sur la liste jointe à ce rapport.
J. L. VAN DEVENTER,
Lieutenant général
commandant en chef les forces
de l'Est-Africain.
BIBLIOGRAPHIE
Nomades et sédentaires au Maroc, par Mlle Su-
ZANNE NOUVEL, licenciée ès lettres ; avec préface de
M. AUGUSTIN BERNARD, professeur à la Sorbonne et deux
cartes dans le texte; I vol. in 8° de 154 pages. — La-
rose, 11, rue Victor-Cousin.
« Ce n'est pas à des facteurs de races qu'il faut s'adresser si
l'on veut pénétrer dans leur fonds les populations indigènes de
l'Afrique du Nord. L'opposition fondamentale qu'on y rencontre
n'est pas celle des Arabes'et des Berbères : c'est celle des no-
mades et des sédentaires. Le Maroc nous aide à mieux comprendre
ce fait essentiel que nous n'avions pu que soupçonner en Algérie. »
M. Augustin Bernard souligne en ces termes l'intérêt de l'étude
de Mlle Nouvel. Et il en résume ainsi l'enseignement : « C'est la
géographie qui détermine essentiellement, au Maroc comme en
Algérie, le genre de vie des habitants. Les grands nomades,
semblables à ceux des steppes oranaises, occupent le Maroc
oriental qui n'en est que la continuation. Se heu, tant aux obs-
tacles des grandes chaînes montagneuses, ils les contournent et se
répandent dans le Sahara, au Sud de ces chaînes jusqu'à L'Atlan-
tique. Des sédentaires se sont établis dans les massifs montagneux
et des demi-sédentaires dans les M bons pays » des plaines de
l'Ouest. Le Maroc, dont les montagnes sont beaucoup plus éle-
vées que celles du reste de l'Afrique du Nord, nous offre en outre
un type de vie nomade qu'on ne rencontre pas ailleurs en Berbérie,
des nomades de type alpin, dont les migrations sont comparables
à celles des montagnards du Jura et de, Alpes. »
Ce sont ces trois types — nomades, demi-nomades et séden-
taires — que Mlle Nouvel étudie dans chaque région.
Les sédentaires sont localisés dans les massifs littoraux (JRif et
Djebala), dans la portion occidentale du haut Atlas et l'Anti-
Atlas en entier jusqu'à l'Oued Noun (groupe Chleuh) et par les
tribus voisines de l'Océan Atlantique, Chiadma. Abda, Doukkala
et partie de la Chaouïa. Tous ceux. là se livrent à l'agriculture,
n'effectuent aucun déplacement, habitent des maisons. C'est quc
la culture, l'arboriculture et un peu l'élevage leur en donnent le
moyen. On trouve aussi des groupes sédentaires dans le Maroc
oriental, Kerarma, Beni-Oukil, Kebdana. Beni-Snassen, Beni -bou-
Zeggou. « Les groupes sédentaire* sont donc importants au Maroc
par le nombre des indigènes plus encore que par la superficie
qu'ils occupent, car le nomadisme entraîne forcément une très
faible densité de la population. »
Ces sédentaires sont voisins de demi-nomades dont, le noma-
disme s'accentue à mesure qu'on s'avance v-ers l'intérieur du pays.
On cite parmi les demi-nomades dans le Maroc atlantique les
Beni Meskin, les Rehamna, les Srarghna, les- Ahmar; dans le
Maroc oriental les Zekkara, les Beni-Yala et Beai-Mathar. Ce
sont les hommes des cabanes : ils habitent la nouala ou la
kboussa. hutte de roseaux ou de planches déjà supérieure au
gourbi algérien. Ils font à la fois de la culture et de l'élevage,
Enfin, dans l'Atlas, on trouve les vrais et les grands nomades
les pasteurs exploitant les pâturages, obligés par les-nécessités
pastorales à la vie nomade et. à la transhumance Ce sont les habi-
tants de la tente, Aït-Youssi, Beni-Mguild, Berabers .du' groupe
central de l'Atlas, etc. Elles ont leurs terrains de culture de cé-
réales, mais leur richesse, ce sout les troupeaux : aussitôt que le
labourage est fini, généra ement vers le début de mars, les Beni-
Mguild émigrent vers la montagne avec leurs troupeaux et le .pays
qu'ils quittent est aussitôt occupé par les tribus environnantes.
« La marche de toutes ces tribus nomades est toujours perpendi-
culaire aux plis montagneux et utilise les coupures naturelles de
la chaîne pour atteindre la haute vallée de la Moulouya Les
oscillations se transmettent entre les diverses fractions par un
mouvement analogue à celui de l'accordéon et les-mouvements
s'étayent de telle sorte que ceux qui atteignent les plus hauts som-
mets sont -à peine arrives qu'il leur faut redescendre. » Ai i1si; nos
montagnards abandonnent leurs chalets à l'arrivée des neiges. La
différence de vie a aussi cette conséquence que le sédentaire est
gras et le nomade est maigre. On sait que les nomades ont dû
aussi inventer des magasins destinés à abriter les provisions, ca-
vernes, grottes, tirremts et agadirs. Le Sud, de l'Atlas offre, lui
aussi, des populations presque toutes nomades, Doui-Mellla,
Ouled-Djerir, Beraber, etc. à l'exception des vallées de la Zousfana,
de la Saoura, du Ziz, du Draa et du Taiilelt où l'indigène vit dans
les ksours et les palmeraies. (f Les conditions naturelles ont au
Sahara une répercussion particulièrement favorable sur le mode
de vie des habitants ; malgré sa fertilité quand elle est arrosée,
cette terre n'ii>vite pas l'homme à la culture: et à la vie séden-
taire; le désert est essentiellement un lieu de passage et la patrie
du nomadisme. »
Ce sont donc la géographie, les conditions naturelles,, le climat,
qui déterminent la répartition entre sédentaires et nomades. Il y
avait aussi des causes historiques et politiques, notamment l'insé-
curité qui obligeait les Zemmour, par exemple, à abriter leurs
troupeaux contre les pillages. C'est donc la géographie qui,
d'après Mlle Nouvel, règlera l'avenir du. nomadisme : dans les
pays où l'élevage et l'agriculture coexistent, il pourra disparaître
par l'emploi des bergers et nous verrons sans doute la sédentarisa-
tion progressive des Beraber du Moyen-Atlas, mais dans les
steppes du Maroc oriental et au Sahara, le nomadisme restera une
nécessité inéluctable pour l'élevage, même quand la pénétration
française aura mis fin à l'insécurité et aux luttes entre tribus et
aux razzias, le nomadisme étant « fonction directe du climat. ».
Les industries de la Céramique à Fès, par A. BEL,
directeur de la Medersa de Tlemcen, 1 vol. de 320 pages
et de 226 figures dans le texte. A. Leroux éditeur.
Les industries de la Céramique comptent parmi les plus an-
ciennes et les plus importantes des industries indigènes de Fès et
on comprend que ces deux raisons aient poussé M. Bel, qui
s'occupe avec autant d'activité que de bonheur des arts et métiers
musulmans, à faire une enquête approfondie auprès des céramistes
de Fez ces Fékkarin que connaissent maintenant tous les Euro-
péens désireux de .e renseigner sur la faïence émaillée du pays
C'est le résultat de ces études qut M. Bel consigne dans l'impor-
tant ouvrage qui vient de paraître et qui comprend cinq parties et
un appendice.
— li1 —
Vers la fin de la campagne aussi, les troupes
souffrirent âprement de la grippe espagnole.
Ces maladies et bien d'autres remplirent nos
hôpitaux, mirent les services médicaux à con-
tribution jusqu'à l'extrême et firent un plus fort
nombre de victimes que les armes ennemies.
La marine royale, comme toujours, a coopéré
de la façon la plus loyale, devançant souvent
mes demandes et donnant même plus que je ne
sollicitais.
Les Gouvernements de l'Inde et l'Union de
l'Afrique du Sud n'ont jamais cessé de me don-
ner une assistance constante ; les gouvernements
de l'Est-Africain Anglais, de l'Ouganda, du
Nyassaland et de la Rhodésie m'ont aidé de
toutes les manières possibles et l'Administrateur
de l'Est-Africain Allemand a travaillé en parfait
accord avec moi pendant toute la campagne.
Mes relations avec le Gouvernement général
de l'Est-Africain Portugais et le Commissaire
royal du Congo Belge ont toujours été des plus
cordiales et je n'ai jamais fait appel à leur con-
cours en vain.
Pour terminer, je désire rappeler mes profondes
obligations envers mon état-major général et
administratif, mes commandants et mes états-
majors particuliers, les chefs de services et de
départements, pour leur assistance loyale, éclai-
rée et infatigable et je désire porter à votre con-
naissance les noms de certains officiers, officiers
brevetés, sous-officiers et soldats qui sont inscrits
sur la liste jointe à ce rapport.
J. L. VAN DEVENTER,
Lieutenant général
commandant en chef les forces
de l'Est-Africain.
BIBLIOGRAPHIE
Nomades et sédentaires au Maroc, par Mlle Su-
ZANNE NOUVEL, licenciée ès lettres ; avec préface de
M. AUGUSTIN BERNARD, professeur à la Sorbonne et deux
cartes dans le texte; I vol. in 8° de 154 pages. — La-
rose, 11, rue Victor-Cousin.
« Ce n'est pas à des facteurs de races qu'il faut s'adresser si
l'on veut pénétrer dans leur fonds les populations indigènes de
l'Afrique du Nord. L'opposition fondamentale qu'on y rencontre
n'est pas celle des Arabes'et des Berbères : c'est celle des no-
mades et des sédentaires. Le Maroc nous aide à mieux comprendre
ce fait essentiel que nous n'avions pu que soupçonner en Algérie. »
M. Augustin Bernard souligne en ces termes l'intérêt de l'étude
de Mlle Nouvel. Et il en résume ainsi l'enseignement : « C'est la
géographie qui détermine essentiellement, au Maroc comme en
Algérie, le genre de vie des habitants. Les grands nomades,
semblables à ceux des steppes oranaises, occupent le Maroc
oriental qui n'en est que la continuation. Se heu, tant aux obs-
tacles des grandes chaînes montagneuses, ils les contournent et se
répandent dans le Sahara, au Sud de ces chaînes jusqu'à L'Atlan-
tique. Des sédentaires se sont établis dans les massifs montagneux
et des demi-sédentaires dans les M bons pays » des plaines de
l'Ouest. Le Maroc, dont les montagnes sont beaucoup plus éle-
vées que celles du reste de l'Afrique du Nord, nous offre en outre
un type de vie nomade qu'on ne rencontre pas ailleurs en Berbérie,
des nomades de type alpin, dont les migrations sont comparables
à celles des montagnards du Jura et de, Alpes. »
Ce sont ces trois types — nomades, demi-nomades et séden-
taires — que Mlle Nouvel étudie dans chaque région.
Les sédentaires sont localisés dans les massifs littoraux (JRif et
Djebala), dans la portion occidentale du haut Atlas et l'Anti-
Atlas en entier jusqu'à l'Oued Noun (groupe Chleuh) et par les
tribus voisines de l'Océan Atlantique, Chiadma. Abda, Doukkala
et partie de la Chaouïa. Tous ceux. là se livrent à l'agriculture,
n'effectuent aucun déplacement, habitent des maisons. C'est quc
la culture, l'arboriculture et un peu l'élevage leur en donnent le
moyen. On trouve aussi des groupes sédentaires dans le Maroc
oriental, Kerarma, Beni-Oukil, Kebdana. Beni-Snassen, Beni -bou-
Zeggou. « Les groupes sédentaire* sont donc importants au Maroc
par le nombre des indigènes plus encore que par la superficie
qu'ils occupent, car le nomadisme entraîne forcément une très
faible densité de la population. »
Ces sédentaires sont voisins de demi-nomades dont, le noma-
disme s'accentue à mesure qu'on s'avance v-ers l'intérieur du pays.
On cite parmi les demi-nomades dans le Maroc atlantique les
Beni Meskin, les Rehamna, les Srarghna, les- Ahmar; dans le
Maroc oriental les Zekkara, les Beni-Yala et Beai-Mathar. Ce
sont les hommes des cabanes : ils habitent la nouala ou la
kboussa. hutte de roseaux ou de planches déjà supérieure au
gourbi algérien. Ils font à la fois de la culture et de l'élevage,
Enfin, dans l'Atlas, on trouve les vrais et les grands nomades
les pasteurs exploitant les pâturages, obligés par les-nécessités
pastorales à la vie nomade et. à la transhumance Ce sont les habi-
tants de la tente, Aït-Youssi, Beni-Mguild, Berabers .du' groupe
central de l'Atlas, etc. Elles ont leurs terrains de culture de cé-
réales, mais leur richesse, ce sout les troupeaux : aussitôt que le
labourage est fini, généra ement vers le début de mars, les Beni-
Mguild émigrent vers la montagne avec leurs troupeaux et le .pays
qu'ils quittent est aussitôt occupé par les tribus environnantes.
« La marche de toutes ces tribus nomades est toujours perpendi-
culaire aux plis montagneux et utilise les coupures naturelles de
la chaîne pour atteindre la haute vallée de la Moulouya Les
oscillations se transmettent entre les diverses fractions par un
mouvement analogue à celui de l'accordéon et les-mouvements
s'étayent de telle sorte que ceux qui atteignent les plus hauts som-
mets sont -à peine arrives qu'il leur faut redescendre. » Ai i1si; nos
montagnards abandonnent leurs chalets à l'arrivée des neiges. La
différence de vie a aussi cette conséquence que le sédentaire est
gras et le nomade est maigre. On sait que les nomades ont dû
aussi inventer des magasins destinés à abriter les provisions, ca-
vernes, grottes, tirremts et agadirs. Le Sud, de l'Atlas offre, lui
aussi, des populations presque toutes nomades, Doui-Mellla,
Ouled-Djerir, Beraber, etc. à l'exception des vallées de la Zousfana,
de la Saoura, du Ziz, du Draa et du Taiilelt où l'indigène vit dans
les ksours et les palmeraies. (f Les conditions naturelles ont au
Sahara une répercussion particulièrement favorable sur le mode
de vie des habitants ; malgré sa fertilité quand elle est arrosée,
cette terre n'ii>vite pas l'homme à la culture: et à la vie séden-
taire; le désert est essentiellement un lieu de passage et la patrie
du nomadisme. »
Ce sont donc la géographie, les conditions naturelles,, le climat,
qui déterminent la répartition entre sédentaires et nomades. Il y
avait aussi des causes historiques et politiques, notamment l'insé-
curité qui obligeait les Zemmour, par exemple, à abriter leurs
troupeaux contre les pillages. C'est donc la géographie qui,
d'après Mlle Nouvel, règlera l'avenir du. nomadisme : dans les
pays où l'élevage et l'agriculture coexistent, il pourra disparaître
par l'emploi des bergers et nous verrons sans doute la sédentarisa-
tion progressive des Beraber du Moyen-Atlas, mais dans les
steppes du Maroc oriental et au Sahara, le nomadisme restera une
nécessité inéluctable pour l'élevage, même quand la pénétration
française aura mis fin à l'insécurité et aux luttes entre tribus et
aux razzias, le nomadisme étant « fonction directe du climat. ».
Les industries de la Céramique à Fès, par A. BEL,
directeur de la Medersa de Tlemcen, 1 vol. de 320 pages
et de 226 figures dans le texte. A. Leroux éditeur.
Les industries de la Céramique comptent parmi les plus an-
ciennes et les plus importantes des industries indigènes de Fès et
on comprend que ces deux raisons aient poussé M. Bel, qui
s'occupe avec autant d'activité que de bonheur des arts et métiers
musulmans, à faire une enquête approfondie auprès des céramistes
de Fez ces Fékkarin que connaissent maintenant tous les Euro-
péens désireux de .e renseigner sur la faïence émaillée du pays
C'est le résultat de ces études qut M. Bel consigne dans l'impor-
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