Titre : L'Afrique française : bulletin mensuel du Comité de l'Afrique française et du Comité du Maroc
Auteur : Comité de l'Afrique française. Auteur du texte
Auteur : Comité du Maroc (Paris). Auteur du texte
Éditeur : Comité de l'Afrique française (Paris)
Date d'édition : 1917-01-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32683501s
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 janvier 1917 01 janvier 1917
Description : 1917/01/01 (N1,A27)-1917/12/31 (N12,A27). 1917/01/01 (N1,A27)-1917/12/31 (N12,A27).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k97885087
Source : CIRAD, 2017-132476
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 17/07/2017
DE L'AFRIQUE FRANÇAISE G3
la Compagnie a eil à se prononcer sur une proposition de
M. Charles Roux, président du Conseil d'administration de
la Compagnie Générale Transatlantique, proposition sou-
tenue par les représentants de la Chambre de commerce
de Marseille, et tendant à assurer l'exploitation des ser-
vices franco-algéro-tunisiens, sous le régime de la libre
concurrence, avec suppression du privilège du pavillon.
La Commission a estimé que le caractère particulier de
ces services, qui doit les faire considérer comme de véri-
tables lignes de communication intérieures, faisait un de-
voir à l'état d'intervenir daus leur exploitation.
En outre, avec le système de la liberté complète, les
lignes importantes seraient seules convenablement desser-
vies, tandis que les intérêts des ports secondaires risque-
raient d'être sacritiés. Pour sauvegarder ces intérêts, l'Etat
serait obligé d'intervenir à bref délai, et dans des condi-
tions plus onéreuses, puisque le déiicit des lignes de se-
conde catégorie ne serait pas compensé par les bénéfices
des autres. Enfin, avec un tel système, la régularité, qui
est indispensable pour l'acheminement des courriers, ne
serait pas assurée.
La Commission, pour ces motifs, a émis l'avis suivant :
« 11 y a lieu d'écarter la thèse conformément à laquelle
l'organisation des relations entre la France continentale,
la Corse et l'Afrique du Nord serait entièrement aban-
donnée à l'initiative privée. »
Le régime de la linre concurrence étant ainsi écarté, il
s'agissait de déterminer la forme dans laquelle devaient
se produire l'intervention et le contrôle de l'Etat.
A ce point de vue, la Commission avait été saisie d'un
rapport de M. Broussais, député, qui préconisait la consti-
tution d'un consortium de compagnies de chemins de fer,
auquel serait confiée l'exécution des services maritimes
franco-algériens, et qui les exploiterait dans les mêmes
conditions que les reseaux ferrés, c'est-à-dire avec une
garantie d'intérêt, et sous le contrôle de l'Etat. De son
côté, la Compagnie des chemins de fer du Midi avait
adressé au ministre des Travaux publics des propositions
tendant à assurer les services entre Port-Vendres, Alger
et Oran, en prolongement de son réseau. Ce projet était la
mise en œuvre de la conception de M. Broussais, mais
seulement sur un point particulier de l'organisation à en-
visàger.
Quoique le directeur de la Compagnie P.-L.-M. n'ait pas
cru devoir s'engager, lors de son audition, à entrer pour
les services ayant leur tête de ligne à Marseille, dans la
même voie que la Compagnie du Midi, la Commission a été
d'avis que l'exploitation des services maritimes par les
compagnies de chemins de fer était seule de nature à as-
surer aux relations entre la métropole, la Corse et les pos-
sessions .nord-africaines, le développement qu'on est en
droit d'escompter.
Ces entreprises sont, en effet, les mieux placées pour se
procurer les capitaux nécessaires ' à la construction d'une
tlotte appropriée tous à les besoins à satisfaire.Elles seules
peuvent assurer la soudure complète entre le rail et le ba-
teau, et douner aux tarifs de fret et de passage la stabilité
désirée, grâce à l'homologation et au contrôle de l'ELat.
Toutefois, tenant compte des résistances que l'éviction
complète des compagnies de navigation pourrait susciter,
ainsi que des inconvénients qui pourraient en résulter, no-
tamment pour l'exécution des services immédiatement
après la guerre, la Commission a admis que ces entre-
prises ne seraient pas nécessairement exclues de l'exploi-
tation future.
Enfin, tout en considérant qu'un consortium de toutes
les entreprises intéressées présenterait certains avantages,
la Commission n'a pas cru devoir en faire une condition
absolue, elle a émis l'opinion qu'au cas où la constitution
de ce consortium soulèverait des difficultes, on pourrait
recourir à. tout autre système, à la condition que, dans
l'organisme nouveau, l'action des compagnies de chemins
de fer serait prépondérante.
La Commission, appelée à se prononcer entre deux or-
dres du jour, l'un de M. Lefebvre, l'autre de M. Cuttoli, a
finalement formulé son opinion en adoptant la proposition
de M. Cuttoli amendée dans les termes suivants :
« La Commission,
« Considérant que les lignes de navigation'qui relient la
métropole, tant à la Corse qu'à l'Afrique du Nord, sont un
instrument essentiel de la souveraineté et de l'unité de la
France ,
« Considérant que ces lignes constituent un service pu-
blic, et qu'elles doivent être desservies dans des condi-
tions spéciales de sécurité, de régularité et de fréquence ;
«. Estime hautement désirable que les compagnies de
chemins de fer interessées dans le tratic entre la France
continentale, la Corse et l'Afrique du Nord, participent, par
exemple moyennant l'établissement d'un consortium ou
d'un organisme nouveau qui serait créé par elles, à l'ad-
ministration des services maritimes en question. »
La Commission s'est montrée fa-vorable aux propositions
de la Compagnie du Midi, et elle a compris dans le pro-
gramme des lignes à créer, les services dont cette com-
pagnie envisage l'exécution. Il ressort cependant des dis-
cussions qui ont eu lieu que la proposition de la Compa-
gnie du Midi, sans faire l'objet d'un projet distinct, devrait
être comprise dans le projet d'ensemble relatif à l'organi-
sation des lignes sur l'Afrique du Nord.
Dans l'établissement du programme des lignes, la Com-
mission s'est efforcée de n'exprimer que des desiderata
qui soient de nature à se concilier avec les possibilités des
budgets intéressés. En plus des lignes existantes, elle n'a
préconisé la création que de deux lignes nouvelles de
Port-Vendres sur Alger, et d'une ligne nouvelle de Mar-
seille à Tunis. Les vitesses demandées sont 16 nœuds
pour les lignes de Port-Vendres à Alger et à Oran, de Mar-
seille à Alger, et pour deux lignes de Marseille à Tunis.
Les autres services seraient effectués à 15,14 ou 12 nœuds.
Pour la Corse; le programme comporte le relèvement
de la vitesse sur plusieurs lignes de 14 à 15 nœuds, et la
création d une ligne nouvelle de Marseille à Propriano. Par
contre, les suppressions de lignes ou prolongements com-
penseraient, et au delà, cette création.
En définitive, dans les quelques séances qu'elle vient de
tenir, la Commission a conscience d avoir réussi à poser
des principes et à mettre sur pied un programme dont
l'application paraît susceptible d'assurer aux relations ma-
ritimes entre la France, la Corse et l'Afrique du Nord un
caractère national et des conditions de régularité et de sé-
curité qu'elles n'ont jamais connues jusqu'ici.
La Commission a chargé son président, M. Pams, de
porter son avis à la connaissance du gouvernement et de
suivre les pourparlers. Elle a confié a M. Broussais la ré
daction du rapport général de ses travaux qui seront re-
pris en temps et lieu.
BIBLIOGRAPHIE
L Ethiopie et les convoitises allemandes, par
PIERRE ALYPE, 1 vol. in-Sa de 286 pages avec cartes et
illustrations ; prix : 7 fr. 50. Berger-Levrault, 5, rue des
Beaux-Arts, Paris.
L'actualité d'une révolution en Ethiopie ajoute encore à la
valeur de ce livre écrit peu avant les événements qui ont dé-
trôné Lidj Yassou. M. Pierre Alype, à qui nous devons déjà un
livre fort utile sur La Provocation allemande aux colonies
expose ici en détail les visées de l'Allemagne sur cette partie de
l'Afrique orientale.
Après avoir rappelé l'histoire de Ménélik et les débuts du règne
de Yassou, M. Pierre Alype fait un tableau documenté des intri-
gues austro-allemandes en Ethiopie :
« Il est inutile de faire observer — car, c'est une nouvelle
preuve éclatante que les empires du Centre avaient prémédité par-
tout leur agression — que dans les mois qui précédèrent la décla-
ration de guerre, l'Allemagne et l'Autriche-Hongrie avaient fait
appel à tous les expédients pour se concilier les bonnes grâces du
nouvel empereur Lidj Yassou.
« Encore que ni le Gouvernement de Berlin ni le Gouverne-
ment de Vienne n'eussent participé aux tractations de 1906, où ne
parurent que les seules puissances ayant des intérêts politiques en
Abyssinie — c'est-à-dire la France, l'Angleterre et l'Italie — les
diplomates allemands et autrichiens menèrent une campagne d'in-
fluence d'une surprenante décision.
la Compagnie a eil à se prononcer sur une proposition de
M. Charles Roux, président du Conseil d'administration de
la Compagnie Générale Transatlantique, proposition sou-
tenue par les représentants de la Chambre de commerce
de Marseille, et tendant à assurer l'exploitation des ser-
vices franco-algéro-tunisiens, sous le régime de la libre
concurrence, avec suppression du privilège du pavillon.
La Commission a estimé que le caractère particulier de
ces services, qui doit les faire considérer comme de véri-
tables lignes de communication intérieures, faisait un de-
voir à l'état d'intervenir daus leur exploitation.
En outre, avec le système de la liberté complète, les
lignes importantes seraient seules convenablement desser-
vies, tandis que les intérêts des ports secondaires risque-
raient d'être sacritiés. Pour sauvegarder ces intérêts, l'Etat
serait obligé d'intervenir à bref délai, et dans des condi-
tions plus onéreuses, puisque le déiicit des lignes de se-
conde catégorie ne serait pas compensé par les bénéfices
des autres. Enfin, avec un tel système, la régularité, qui
est indispensable pour l'acheminement des courriers, ne
serait pas assurée.
La Commission, pour ces motifs, a émis l'avis suivant :
« 11 y a lieu d'écarter la thèse conformément à laquelle
l'organisation des relations entre la France continentale,
la Corse et l'Afrique du Nord serait entièrement aban-
donnée à l'initiative privée. »
Le régime de la linre concurrence étant ainsi écarté, il
s'agissait de déterminer la forme dans laquelle devaient
se produire l'intervention et le contrôle de l'Etat.
A ce point de vue, la Commission avait été saisie d'un
rapport de M. Broussais, député, qui préconisait la consti-
tution d'un consortium de compagnies de chemins de fer,
auquel serait confiée l'exécution des services maritimes
franco-algériens, et qui les exploiterait dans les mêmes
conditions que les reseaux ferrés, c'est-à-dire avec une
garantie d'intérêt, et sous le contrôle de l'Etat. De son
côté, la Compagnie des chemins de fer du Midi avait
adressé au ministre des Travaux publics des propositions
tendant à assurer les services entre Port-Vendres, Alger
et Oran, en prolongement de son réseau. Ce projet était la
mise en œuvre de la conception de M. Broussais, mais
seulement sur un point particulier de l'organisation à en-
visàger.
Quoique le directeur de la Compagnie P.-L.-M. n'ait pas
cru devoir s'engager, lors de son audition, à entrer pour
les services ayant leur tête de ligne à Marseille, dans la
même voie que la Compagnie du Midi, la Commission a été
d'avis que l'exploitation des services maritimes par les
compagnies de chemins de fer était seule de nature à as-
surer aux relations entre la métropole, la Corse et les pos-
sessions .nord-africaines, le développement qu'on est en
droit d'escompter.
Ces entreprises sont, en effet, les mieux placées pour se
procurer les capitaux nécessaires ' à la construction d'une
tlotte appropriée tous à les besoins à satisfaire.Elles seules
peuvent assurer la soudure complète entre le rail et le ba-
teau, et douner aux tarifs de fret et de passage la stabilité
désirée, grâce à l'homologation et au contrôle de l'ELat.
Toutefois, tenant compte des résistances que l'éviction
complète des compagnies de navigation pourrait susciter,
ainsi que des inconvénients qui pourraient en résulter, no-
tamment pour l'exécution des services immédiatement
après la guerre, la Commission a admis que ces entre-
prises ne seraient pas nécessairement exclues de l'exploi-
tation future.
Enfin, tout en considérant qu'un consortium de toutes
les entreprises intéressées présenterait certains avantages,
la Commission n'a pas cru devoir en faire une condition
absolue, elle a émis l'opinion qu'au cas où la constitution
de ce consortium soulèverait des difficultes, on pourrait
recourir à. tout autre système, à la condition que, dans
l'organisme nouveau, l'action des compagnies de chemins
de fer serait prépondérante.
La Commission, appelée à se prononcer entre deux or-
dres du jour, l'un de M. Lefebvre, l'autre de M. Cuttoli, a
finalement formulé son opinion en adoptant la proposition
de M. Cuttoli amendée dans les termes suivants :
« La Commission,
« Considérant que les lignes de navigation'qui relient la
métropole, tant à la Corse qu'à l'Afrique du Nord, sont un
instrument essentiel de la souveraineté et de l'unité de la
France ,
« Considérant que ces lignes constituent un service pu-
blic, et qu'elles doivent être desservies dans des condi-
tions spéciales de sécurité, de régularité et de fréquence ;
«. Estime hautement désirable que les compagnies de
chemins de fer interessées dans le tratic entre la France
continentale, la Corse et l'Afrique du Nord, participent, par
exemple moyennant l'établissement d'un consortium ou
d'un organisme nouveau qui serait créé par elles, à l'ad-
ministration des services maritimes en question. »
La Commission s'est montrée fa-vorable aux propositions
de la Compagnie du Midi, et elle a compris dans le pro-
gramme des lignes à créer, les services dont cette com-
pagnie envisage l'exécution. Il ressort cependant des dis-
cussions qui ont eu lieu que la proposition de la Compa-
gnie du Midi, sans faire l'objet d'un projet distinct, devrait
être comprise dans le projet d'ensemble relatif à l'organi-
sation des lignes sur l'Afrique du Nord.
Dans l'établissement du programme des lignes, la Com-
mission s'est efforcée de n'exprimer que des desiderata
qui soient de nature à se concilier avec les possibilités des
budgets intéressés. En plus des lignes existantes, elle n'a
préconisé la création que de deux lignes nouvelles de
Port-Vendres sur Alger, et d'une ligne nouvelle de Mar-
seille à Tunis. Les vitesses demandées sont 16 nœuds
pour les lignes de Port-Vendres à Alger et à Oran, de Mar-
seille à Alger, et pour deux lignes de Marseille à Tunis.
Les autres services seraient effectués à 15,14 ou 12 nœuds.
Pour la Corse; le programme comporte le relèvement
de la vitesse sur plusieurs lignes de 14 à 15 nœuds, et la
création d une ligne nouvelle de Marseille à Propriano. Par
contre, les suppressions de lignes ou prolongements com-
penseraient, et au delà, cette création.
En définitive, dans les quelques séances qu'elle vient de
tenir, la Commission a conscience d avoir réussi à poser
des principes et à mettre sur pied un programme dont
l'application paraît susceptible d'assurer aux relations ma-
ritimes entre la France, la Corse et l'Afrique du Nord un
caractère national et des conditions de régularité et de sé-
curité qu'elles n'ont jamais connues jusqu'ici.
La Commission a chargé son président, M. Pams, de
porter son avis à la connaissance du gouvernement et de
suivre les pourparlers. Elle a confié a M. Broussais la ré
daction du rapport général de ses travaux qui seront re-
pris en temps et lieu.
BIBLIOGRAPHIE
L Ethiopie et les convoitises allemandes, par
PIERRE ALYPE, 1 vol. in-Sa de 286 pages avec cartes et
illustrations ; prix : 7 fr. 50. Berger-Levrault, 5, rue des
Beaux-Arts, Paris.
L'actualité d'une révolution en Ethiopie ajoute encore à la
valeur de ce livre écrit peu avant les événements qui ont dé-
trôné Lidj Yassou. M. Pierre Alype, à qui nous devons déjà un
livre fort utile sur La Provocation allemande aux colonies
expose ici en détail les visées de l'Allemagne sur cette partie de
l'Afrique orientale.
Après avoir rappelé l'histoire de Ménélik et les débuts du règne
de Yassou, M. Pierre Alype fait un tableau documenté des intri-
gues austro-allemandes en Ethiopie :
« Il est inutile de faire observer — car, c'est une nouvelle
preuve éclatante que les empires du Centre avaient prémédité par-
tout leur agression — que dans les mois qui précédèrent la décla-
ration de guerre, l'Allemagne et l'Autriche-Hongrie avaient fait
appel à tous les expédients pour se concilier les bonnes grâces du
nouvel empereur Lidj Yassou.
« Encore que ni le Gouvernement de Berlin ni le Gouverne-
ment de Vienne n'eussent participé aux tractations de 1906, où ne
parurent que les seules puissances ayant des intérêts politiques en
Abyssinie — c'est-à-dire la France, l'Angleterre et l'Italie — les
diplomates allemands et autrichiens menèrent une campagne d'in-
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