Titre : L'Afrique française : bulletin mensuel du Comité de l'Afrique française et du Comité du Maroc
Auteur : Comité de l'Afrique française. Auteur du texte
Auteur : Comité du Maroc (Paris). Auteur du texte
Éditeur : Comité de l'Afrique française (Paris)
Date d'édition : 1917-01-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32683501s
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 janvier 1917 01 janvier 1917
Description : 1917/01/01 (N1,A27)-1917/12/31 (N12,A27). 1917/01/01 (N1,A27)-1917/12/31 (N12,A27).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k97885087
Source : CIRAD, 2017-132476
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 17/07/2017
1 DE L'AFRIQUE FRANÇAISE 51
BUCKHALTER (Thophile), sous-lieutenant au il, régiment
de march*- du 1er étranger A fait preuve des qualités mili-
taires les plus solides, pendant les opéraLions du groupe
mobile. S'est signalé particulièrement, le 9 juillet 1916, en
portant plusieurs fois ses légionnaires en avant, à la baïon-
nette, sous un feu des plus violents. »
PETIT (EIUÏle-Edmond), sous-lieuteilant au 5- régiment de
spahis. « Blessé au pied, lors du combat du 8 juillet 916,
a donné le plus bel exemple d'endurance et d'énergie en
restant en seile jusqu'à la fin de sa mission, refusant, COIl-
rageusement d'abandonner son commandement pour aller
se.faire panser. »
JAMBERT, capitaine au 8e groupe d'artillerie de cam-
pagne. « S'est particulièremeet distingué par la façon bril-
lante dout il a commandé l'artillerie du groupe mobile. A
réussi à mettre des pièces en batterie sur des hauteurs ju-
gées inaccessibles à l'artillerie. A exécuté des tirs d'une
justesse remarquable, en liant constamment son action à
celle de l'infanterie et déblayant le terrain devant elle. »
Sont inscrits au tableau de la médaille militaire :
Boss (Frédéric), mle 11462, soldat de lre classe (active),
au régiment de marche de la lésion étrangère, compagnie
de mitrailleuses. « Longs services antérieurs et campa-
gnes colonialesJ dont plusieurs de guerre. En campagne
depuis la mobilisation, a toujours donné le meilleur
exemple de courage et d'énergie. A été grièvement blessé,
le 9 mai 1915, en se portant au secours d'un de ses chefs
qui venait d'ê re blessé (a déjà été cité). »
TAHAR BEN MOHAMED SGHIR, mie 11269, tirailleur de
lte cia-se (active) au 4e régiment mixte de zouaves tirail-
leurs (compagnie de mitrailleuses du 8e tirailleurs. « An-
cien de i-ervices. Sur le front depuis le commencement de
la campagne a pàrticipé aux nombreux combats livrés par
son régiment et s'est constamment fait remarquer par son
énergie et son dévouement. »
'YÉRO OURY, MLE 14584, adjudant (active) au 35E régiment
d'infanterie coloniale. « Excellent et vieux sous-officier
qui s'est signalé par des actions d'éclat dans toutes les
opérations auxquelles il a pris part. Nombreuses campa-
gnes. S'est de nouveau distingué par sa bravoure pendant
la guerre actuelle au Cameroun, en France et en Orient.
Déjà deux fois blessé, l'a été une troisième fois le 11 oc-
tobre 1916, en entraînant sa section en avant. »
SIDIBÉ SEMBA (François), mle 14 IC 8, caporal au régiment
d'infanterie coloniale du Maroc. « Très bon soldat. S'est
fart remarquer par son calme et son courage au combat du
24 octobre 1916. Très grièvement blessé, le 28 octobre 1916
à son poste de combat. EnucléaLion de l'oeil gauche. »
LAFONT (François-Raymond), mle 539, maréchal des logis
à la compagnie saharienne. « Au combat du 6 sep-
tembre 1916, a maintenu sa section sous un feu intense à
40 mètres d'un ennemi supérieur en nombre et ayant
perdu le tiers de son effectif n'a pas reculé d'un pas. A
abattu d'une balle à la tête le porte-étendard ennemi.
S'était déjà particulièrement distingué dans des combats
antérieurs ai cours desquels il avait été blessé. »
OLIVIER (Antoine-Marie-Joseph), m10 210, adjudant à la
compagnie saharienne. « Sous-officier ancien et méritant.
A eu une excellente attitude au cours de différents com-
bats.
MESSAOUD BEN KOUILF,'[), mle 5, maréchal des logis à la
campagnie saharienne. « Par son courage, son ascendant
sur ses hommes et son sang-froid, a sauvé au cours du
combat du 12 millet 1916, les montures de la culonne de
poursuite d'une destruction certaine. »
YAHTA BEN AHMED, mle 40, cavalier de lre classe à la com-
pagnie saharienne. « Soldat d'une énergie et d'un courage
au-dessus de tout éloge. Lors de l'investissement d'un
poste par des forces ennemies, a réussi à franchir les
lignes et a parcouru une longue distance pour prévenir
ses chefs qui ont pu prendre les mesures que comportait
la situation. »
LARBI BEN BOU AFNA, mle, 339, cavalier de 21 classe à la
compagnie saharienne. « Soldat d'un courage ei d'une
énergie à toute épreuve. Lors de l'investissement d'un
poste par les forces ennemies, a réussi à franchir les lignes
et a parcouru une lougue distance pour prévenir es chefs
qui ont pu prendre les mesures que comportait la situa-
tion (Croix de guerre). »
MSAAL BEN BELKEIR, soldat de 2e classe au 2e bataillon de
tirailleurs marocains. « Au cours du combat du 13 no-
vembre 1916, a été grièvement blessé par une balle qui lui
a traversé la poitrine. Malgré sa ble-sure, n a pas voulu
être dépossédé de son arme et, en quittant la ligne de feu,
a recommandé à ses camarades de faire leur devuir jus-
qu'au sacrifice de leur vie. »
ZAMACHE MOHAMMED BEN MOHAMMED, mlc 10361, tirailleur
de lre classe au 3- bataillon de marche du 8e régiment in-
digène. « Vieux soldât, dévoué à son chef jusqu'à la
mort. A servi son commandant successivement sur tous les
fronts et. a été blessé. A fait preuve en maintes circons-
tances du plus grand courage. S'est encore distingué au
cours des opérations du groupe mobile en 1916. »
II. — CITATIONS.
CESAR, sous-lieutenant à la compagnie saharienne de la
Saoura. « Le 23 mai 1916, étant chef de l'escorte d'un
convoi, a, grâce à ses dispositions judicieuses, découvert
un djich de dix-huit Berabers, connus comme étant de
redoutables coupeurs de routes, qui projetait d'enlever
ses chameaux, l'a poursuivi énergiquement et l'a rejoint
dans la montagne où il l'a cerné et exterminé. »
t VOUETS (Charles-Elie), sous-lieutenant au 2e étranger.
« Le 7 janvier 1916, occupant avec sa section une crête
placée sous'ie feu bien ajusté des Marocains, n'a cpssé de
donner l'eyemple du sang froid et du mépris du danger
en circnlant à découvert derrière ses hommes abrités
pour rectifier leur tir. Blessé d'une balle à la jambe droite
en venant prendre les ordres poar le décrochage, est mort
le lendemain des suites de cette blessure. »
f LAML (Stanislas), de la '4e compagnie du 6e bataillon co-
lonial (5e régiment d'infanterie coloniale du Maroc. I( Sol-
dat de carrière, ancien légionnaire rengagé dans l'armée
coloniale, s'était déjà distingué sur le front de France où
il avait reçu quatre blessures ; tombé glorieusement au
combat du 30 avril 1915, en faisant bravement son
devoir. »
GREMAUD (Victor-Joseph), chef d'escadrons au 511 spahis.
« Le 14 mars 1916, s'est porté au secours d'un convoi vio-
lemm-nt .attaqué ; a coordonné tous les mouvements des
détachements de secours et n'a pas hésité à engager le
combat contre un ennemi trois fois supérieur, résolu et
mordant. A su se replier à temps et habilempnt, après
avoir infligé à l'adversaire des pertes sérieuses. »
CoLOMBA'r, commandant le cercle des Reni-M'Guild. (, Com
mandant dl] groupe mobile des Beni-M Guild , grâce à la
gran te mobilité qu'il a su donner à ses troupes, as ure la
tranquillité la plus complète sur le front berbère compris
entre X... et Y..., s'est particulièrement distingué le
23 janvier i916, au combat de X... où, commandant le
flanc -g;- rde de droite, il eut à soutenir pendant cinq heu-
res, dans un terrain très difficile, une Int'e acharnée con-
tre un ennemi si mordant qu'il dut, à différentes reprises,
faire de vigoureux retours offensifs à la baïonnette. »
MAURIAL, colonel d'infanterie hors cadra, commandant
la subdivision de X... et la colonne de Z... r( A déployé
les plus grand s qualités politiques et militaires dans le
commandement de la colonne de X... et au cours de sa
participation aux opérations de la colonne d'Y... en juin
1915. »
3e BATAILLON DU 5" TIRAILLEURS ALGÉRIENS. « A pris une
part glorieuse au combat de X... le 13 nov' mbre 1914 où il
a perdu 14 de ses officiers sur 15 et 24-0 hommes; a donné
le plus bel exemple d'abnégation en luttant jusqu'à l'épui-
sement complet de ses munitions pour couvrir la retraite
de la colonie et en se sacrifiant ensuite dans des combats
à la baïonnette pour protéger le convoi de blessés. »
BUCKHALTER (Thophile), sous-lieutenant au il, régiment
de march*- du 1er étranger A fait preuve des qualités mili-
taires les plus solides, pendant les opéraLions du groupe
mobile. S'est signalé particulièrement, le 9 juillet 1916, en
portant plusieurs fois ses légionnaires en avant, à la baïon-
nette, sous un feu des plus violents. »
PETIT (EIUÏle-Edmond), sous-lieuteilant au 5- régiment de
spahis. « Blessé au pied, lors du combat du 8 juillet 916,
a donné le plus bel exemple d'endurance et d'énergie en
restant en seile jusqu'à la fin de sa mission, refusant, COIl-
rageusement d'abandonner son commandement pour aller
se.faire panser. »
JAMBERT, capitaine au 8e groupe d'artillerie de cam-
pagne. « S'est particulièremeet distingué par la façon bril-
lante dout il a commandé l'artillerie du groupe mobile. A
réussi à mettre des pièces en batterie sur des hauteurs ju-
gées inaccessibles à l'artillerie. A exécuté des tirs d'une
justesse remarquable, en liant constamment son action à
celle de l'infanterie et déblayant le terrain devant elle. »
Sont inscrits au tableau de la médaille militaire :
Boss (Frédéric), mle 11462, soldat de lre classe (active),
au régiment de marche de la lésion étrangère, compagnie
de mitrailleuses. « Longs services antérieurs et campa-
gnes colonialesJ dont plusieurs de guerre. En campagne
depuis la mobilisation, a toujours donné le meilleur
exemple de courage et d'énergie. A été grièvement blessé,
le 9 mai 1915, en se portant au secours d'un de ses chefs
qui venait d'ê re blessé (a déjà été cité). »
TAHAR BEN MOHAMED SGHIR, mie 11269, tirailleur de
lte cia-se (active) au 4e régiment mixte de zouaves tirail-
leurs (compagnie de mitrailleuses du 8e tirailleurs. « An-
cien de i-ervices. Sur le front depuis le commencement de
la campagne a pàrticipé aux nombreux combats livrés par
son régiment et s'est constamment fait remarquer par son
énergie et son dévouement. »
'YÉRO OURY, MLE 14584, adjudant (active) au 35E régiment
d'infanterie coloniale. « Excellent et vieux sous-officier
qui s'est signalé par des actions d'éclat dans toutes les
opérations auxquelles il a pris part. Nombreuses campa-
gnes. S'est de nouveau distingué par sa bravoure pendant
la guerre actuelle au Cameroun, en France et en Orient.
Déjà deux fois blessé, l'a été une troisième fois le 11 oc-
tobre 1916, en entraînant sa section en avant. »
SIDIBÉ SEMBA (François), mle 14 IC 8, caporal au régiment
d'infanterie coloniale du Maroc. « Très bon soldat. S'est
fart remarquer par son calme et son courage au combat du
24 octobre 1916. Très grièvement blessé, le 28 octobre 1916
à son poste de combat. EnucléaLion de l'oeil gauche. »
LAFONT (François-Raymond), mle 539, maréchal des logis
à la compagnie saharienne. « Au combat du 6 sep-
tembre 1916, a maintenu sa section sous un feu intense à
40 mètres d'un ennemi supérieur en nombre et ayant
perdu le tiers de son effectif n'a pas reculé d'un pas. A
abattu d'une balle à la tête le porte-étendard ennemi.
S'était déjà particulièrement distingué dans des combats
antérieurs ai cours desquels il avait été blessé. »
OLIVIER (Antoine-Marie-Joseph), m10 210, adjudant à la
compagnie saharienne. « Sous-officier ancien et méritant.
A eu une excellente attitude au cours de différents com-
bats.
MESSAOUD BEN KOUILF,'[), mle 5, maréchal des logis à la
campagnie saharienne. « Par son courage, son ascendant
sur ses hommes et son sang-froid, a sauvé au cours du
combat du 12 millet 1916, les montures de la culonne de
poursuite d'une destruction certaine. »
YAHTA BEN AHMED, mle 40, cavalier de lre classe à la com-
pagnie saharienne. « Soldat d'une énergie et d'un courage
au-dessus de tout éloge. Lors de l'investissement d'un
poste par des forces ennemies, a réussi à franchir les
lignes et a parcouru une longue distance pour prévenir
ses chefs qui ont pu prendre les mesures que comportait
la situation. »
LARBI BEN BOU AFNA, mle, 339, cavalier de 21 classe à la
compagnie saharienne. « Soldat d'un courage ei d'une
énergie à toute épreuve. Lors de l'investissement d'un
poste par les forces ennemies, a réussi à franchir les lignes
et a parcouru une lougue distance pour prévenir es chefs
qui ont pu prendre les mesures que comportait la situa-
tion (Croix de guerre). »
MSAAL BEN BELKEIR, soldat de 2e classe au 2e bataillon de
tirailleurs marocains. « Au cours du combat du 13 no-
vembre 1916, a été grièvement blessé par une balle qui lui
a traversé la poitrine. Malgré sa ble-sure, n a pas voulu
être dépossédé de son arme et, en quittant la ligne de feu,
a recommandé à ses camarades de faire leur devuir jus-
qu'au sacrifice de leur vie. »
ZAMACHE MOHAMMED BEN MOHAMMED, mlc 10361, tirailleur
de lre classe au 3- bataillon de marche du 8e régiment in-
digène. « Vieux soldât, dévoué à son chef jusqu'à la
mort. A servi son commandant successivement sur tous les
fronts et. a été blessé. A fait preuve en maintes circons-
tances du plus grand courage. S'est encore distingué au
cours des opérations du groupe mobile en 1916. »
II. — CITATIONS.
CESAR, sous-lieutenant à la compagnie saharienne de la
Saoura. « Le 23 mai 1916, étant chef de l'escorte d'un
convoi, a, grâce à ses dispositions judicieuses, découvert
un djich de dix-huit Berabers, connus comme étant de
redoutables coupeurs de routes, qui projetait d'enlever
ses chameaux, l'a poursuivi énergiquement et l'a rejoint
dans la montagne où il l'a cerné et exterminé. »
t VOUETS (Charles-Elie), sous-lieutenant au 2e étranger.
« Le 7 janvier 1916, occupant avec sa section une crête
placée sous'ie feu bien ajusté des Marocains, n'a cpssé de
donner l'eyemple du sang froid et du mépris du danger
en circnlant à découvert derrière ses hommes abrités
pour rectifier leur tir. Blessé d'une balle à la jambe droite
en venant prendre les ordres poar le décrochage, est mort
le lendemain des suites de cette blessure. »
f LAML (Stanislas), de la '4e compagnie du 6e bataillon co-
lonial (5e régiment d'infanterie coloniale du Maroc. I( Sol-
dat de carrière, ancien légionnaire rengagé dans l'armée
coloniale, s'était déjà distingué sur le front de France où
il avait reçu quatre blessures ; tombé glorieusement au
combat du 30 avril 1915, en faisant bravement son
devoir. »
GREMAUD (Victor-Joseph), chef d'escadrons au 511 spahis.
« Le 14 mars 1916, s'est porté au secours d'un convoi vio-
lemm-nt .attaqué ; a coordonné tous les mouvements des
détachements de secours et n'a pas hésité à engager le
combat contre un ennemi trois fois supérieur, résolu et
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avoir infligé à l'adversaire des pertes sérieuses. »
CoLOMBA'r, commandant le cercle des Reni-M'Guild. (, Com
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gran te mobilité qu'il a su donner à ses troupes, as ure la
tranquillité la plus complète sur le front berbère compris
entre X... et Y..., s'est particulièrement distingué le
23 janvier i916, au combat de X... où, commandant le
flanc -g;- rde de droite, il eut à soutenir pendant cinq heu-
res, dans un terrain très difficile, une Int'e acharnée con-
tre un ennemi si mordant qu'il dut, à différentes reprises,
faire de vigoureux retours offensifs à la baïonnette. »
MAURIAL, colonel d'infanterie hors cadra, commandant
la subdivision de X... et la colonne de Z... r( A déployé
les plus grand s qualités politiques et militaires dans le
commandement de la colonne de X... et au cours de sa
participation aux opérations de la colonne d'Y... en juin
1915. »
3e BATAILLON DU 5" TIRAILLEURS ALGÉRIENS. « A pris une
part glorieuse au combat de X... le 13 nov' mbre 1914 où il
a perdu 14 de ses officiers sur 15 et 24-0 hommes; a donné
le plus bel exemple d'abnégation en luttant jusqu'à l'épui-
sement complet de ses munitions pour couvrir la retraite
de la colonie et en se sacrifiant ensuite dans des combats
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