Titre : L'Afrique française : bulletin mensuel du Comité de l'Afrique française et du Comité du Maroc
Auteur : Comité de l'Afrique française. Auteur du texte
Auteur : Comité du Maroc (Paris). Auteur du texte
Éditeur : Comité de l'Afrique française (Paris)
Date d'édition : 1917-01-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32683501s
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 janvier 1917 01 janvier 1917
Description : 1917/01/01 (N1,A27)-1917/12/31 (N12,A27). 1917/01/01 (N1,A27)-1917/12/31 (N12,A27).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k97885087
Source : CIRAD, 2017-132476
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 17/07/2017
274 BULLETIN DU COMITÉ
déjà cité. S'est porté à l'attaque, en avant de son escouade
de grenadiers en criant : « En avant les Sénégalais ! »,
A cloué un mitrailleur allemand sur sa pièce. Peu après,
voulait à tout prix se porter au secours de son comman-
dant de compagnie, resté seul dans un trou d'obus à quel-
ques mètres de l'ennemi. »
MOURIN, lieutenant-colonel, commandant la colonne de
secours et commandant militaire du territoire du Niger :
« Commandant une très importante colonne, comprenant
les trois armes, et devant délivrer le poste d'Agadès investi
par de très nombreux dissidents turco-senoussistes dispo-
sant de canons et de mitrailleuses, a su, grâce à sa haute
valeur militaire, son énergie et sa connaissance complète
de la région, triompher avec le minimum de pertes d'un
ennemi mordant et fanatisé en lui infligeant au contraire des
pertes énormes. »
SABATIE, capitaine commandant le poste ; « Investi dans
le poste par de très nombreux dissidents turco-senous-
sistes disposant de canons et de mitrailleuses, a pu, grâce
à son courage et à sa grande énergie, résister avec une
petite garnison pendant quatre-vingt-deux jours aux atta-
ques continuelles des rebelles, leur infligeant des pertes
cruelles et attendre l'arrivée de la colonne de secours. »
SADOUX, capitaine d infanterie coloniale : « Officier méha-
riste des plus accomplis et d'une bravoure digne d'éloges.
A, les 18 et 22 février 1917, anéanti deux bandes de dissi-
dents oulliminden qui ont laissé plus de 100 morts sur le
terrain et leur a repris tout le butin qu'elles avaient enlevé
aux habitants placés sous notre domination. »
| DUFFAU, sous-lieutenant ;
f RAINAUD, médecin aide-major de 2e classe;
+ MOREL, sergent fourrier;
-F VASLIN, sergent,
Tués ie 26 décembre 1916, à en faisant bravement
leur devoir dans un combat inégal.
JEANNOT, sous-lieutenant (réserve). « Très bon officier,
blessé grièvement en faisant bravement son devoir au
combat du 3 mars 1917, devant..... » ^
f MORIN, sous-lieutenant, « Brillante conduite au combat
devant..... le 3 mars 1917; atteint d'une grave blessure,
n'a consenti à se laisser emporter que sur l'ordre de son
commandant de compagnie et est mort des suites de ses
blessures. »
"-MESTRAL, sergent. « Brillante conduite au combat du
21 février 1917; blessé une première fois, a continué à
diriger le tir de sa mitrailleuse, donnant ainsi à tous le
plus bel exemple de courage, et a été tué glorieusement. »
•F BEROUX, sergent. « Blessé légèrement une première
fois, a conservé'son commandement et, par un mouvement
audacieux et bien exécuté, a réussi à déborder la gauche
ennemie et à déterminer la retraite des rebelles. A été tué
à la fin de l'action. »
GADEL (Martin-Henri-Jacques), général de brigade com-
mandant la 98 D. I. « Au cours des attaques des 16, 17 et
18 avril, a commandé .de façon remarquable une division
à qui il avait su inspirer et la plus belle ardeur guerrière
et l'absolue confiance dans le succès. Après avoir vigou-
reusement entraîné ses régiments, après avoir préparé et
monté dans les plus petits détails l'opération très délicate
qui lui était confiée, a dirigé le combat avec autant d'éner-
gie que d'esprit de décision. A poussé sur ses objectifs avec
une telle ténacité que, malgré la résistance acharnée de
l'ennemi, il a pu réaliser un gain de terrain très important
et se maintenir de façon définitive sur les positions con-
quises en dépit des contre-attaques sans cesse répétées de
l'ennemi, qui ont fait subir à sa division de lourdes
pertes. »
DE METZ (Pierre-Marie-Antoine), lieutenant-colonel com-
mandant le 2e zouaves de marche. « Ayant pris le com-
mandement du 2e zouaves de marche quelques jours à
peine avant l'attaque du 16 avril, a su inspirer à tous ses
subordonnés l'ardeur et la confiance qui ont permis à ce
régiment de traverser plusieurs lignes de tranchées formi-
dablement organisées et de se maintenir snr le terrain
conquis, entre la première et la deuxième position alle-
mande. »
DE MANIORT (Jean-Baptiste), chef de bataillon, comman-
dant le 1er bataillon du 2e régiment de marche de tirail-
leurs. « Officier supérieur d'une haute valeur morale et
d'une élévation de sentiments qui en imposent à tous. Fait ;
antérieurement officier de la Légion d'honneur et déjà cité
pour fait de guerre, a magnifiquement entraîné son batail-
lon à l'assaut, le 16 avril 1917, malgré un feu violent de
mitrailleuses. Abattu par une balle qui lui fracassa la jambe,
n'a cessé pendant plusieurs heures d'encourager tout le
monde par la parole et par son exemple de stoïcisme. »
PELLÉ (Maurice-César-Joseph), général de brigade, com-
mandant une division d'infanterie. « Officier général de
grande valeur. Au cours d'une offensive du 16 au 22 avril
1917, a brillamment conduit les opérations de sa division
qui a enlevé la première position ennemie, a entamé la
deuxième, ne s'est arrêtée que par suite de l'échelonne-
ment des troupes voisines, capturant à l'ennemi de nom-
breux prisonniers et un matériel important. »
LÉOPOLD KAMARA, adjudant indigène au 27E bataillon de
tirailleurs sénégalais. « A fait preuve de la plus grande
énergie pendant quatre jours de combat, en suivant sa
compagnie jusqu'au bout, quoique ayant des gelures aux
pieds, afin de donner l'exemple aux tirailleurs et en di-
sant : « Mon lieutenant est blessé et marche, je peux faire
comme lui. »
DUPAS (Alexandre-Louis), chef de bataillon commandant
le je bataillon de tirailleurs marocains. « Fortement con-
tusionné par un obus le 15 avril 1917, a néanmoins conduit
son bataillon à l'attaque du 16 avril; a su communiquer à
sa troupe, éprouvée par un violent bombardement et des
feux de mitrailleuses, le calme et le sang-froid qui l'ani-
maient; a pris de judicieuses dispositions pour maintenir
le terrain conquis. Blessé au cours de l'action, a refusé de
se laisser évacuer. »
AUROUX (François), colonel commandant la 3E brigade du
Maroc. « Commandant de brigade de la plus grande bra-
voure personnelle et plein d'ardeur. N'a cessé, au cours de
l'offensive des 16-21 avril 1917, de prendre les plus
heureuses initiatives pour réaliser les vues du comman-
dement et agrandir les résultats obtenus. »
III. — LA FOURRAGÈRE
La fourragère aux couleurs de la médaille militaire
(jaune et vert) a été conférée aux unités suivantes :
RÉGIMENT DE MARCHE DE LA LÉGION ÉTRANGÈRE
Chargé le 9 mai, sous les ordres du lieutenant-colonel
COT, d'enlever à la baïonnette une position allemande très
fortement retranchée, s'est élancé à l'attaque, officiers en
tête, avec un entrain superbe, gagnaut d'un seul bond
plusieurs kilomètres de terrain, malgré une très vive résis-
tance de l'ennemi et le feu violent de ses mitrailleuses
(Ordre n° 102 du 8 septembre 1915, e armée.)
Pendant les opérations du 20 septembre au 17 octobre
1915, sous le commandement du lieutenant-colonel COT, a
fait preuve des plus belles qualités de courage, d'entrain
et d'endurance. Le 28 septembre, avec un admirable esprit
de sacrifice, s'est lancé à l'assaut d'une position qu'il
fallait enlever à tout prix et malgré un feu extrêmement
dense des mitrailleuses ennemies est parvenu jusque dans
les tranchées allemandes. (Ordre n° 478 du 30 janvier
1916, e armée.)
Le 25 septembre 191;J, s'est élancé à l'assaut des posi-
tions ennemies avec un entrain et un élan superbes, faisant
de nombreux prisonniers et s'emparant de plusieurs mi-
trailleuses. (Ordre no 478 du 30 janvier 1916, e armée.)
Sous l'énergique commandement de son chef le lieute-
nant-colonel COT, le régiment de marche de la légion étran-
gère chargé, le 4 juillet 1916, d'enlever un village forte-
ment occupé par l'ennemi, s'est élancé à l'attaque avec
une vigueur et un entrain remarquables, a conquis le vil-
lage à la baïonnette, brisant la résistance acharnée des
Allemands et s'opposant ensuite énergiquement à toutes '
les contre-attaques de renforts amenés dans la nuit du
4 au 5 juiilet 1916. A fait 750 prisonniers dont 15 officiers
déjà cité. S'est porté à l'attaque, en avant de son escouade
de grenadiers en criant : « En avant les Sénégalais ! »,
A cloué un mitrailleur allemand sur sa pièce. Peu après,
voulait à tout prix se porter au secours de son comman-
dant de compagnie, resté seul dans un trou d'obus à quel-
ques mètres de l'ennemi. »
MOURIN, lieutenant-colonel, commandant la colonne de
secours et commandant militaire du territoire du Niger :
« Commandant une très importante colonne, comprenant
les trois armes, et devant délivrer le poste d'Agadès investi
par de très nombreux dissidents turco-senoussistes dispo-
sant de canons et de mitrailleuses, a su, grâce à sa haute
valeur militaire, son énergie et sa connaissance complète
de la région, triompher avec le minimum de pertes d'un
ennemi mordant et fanatisé en lui infligeant au contraire des
pertes énormes. »
SABATIE, capitaine commandant le poste ; « Investi dans
le poste par de très nombreux dissidents turco-senous-
sistes disposant de canons et de mitrailleuses, a pu, grâce
à son courage et à sa grande énergie, résister avec une
petite garnison pendant quatre-vingt-deux jours aux atta-
ques continuelles des rebelles, leur infligeant des pertes
cruelles et attendre l'arrivée de la colonne de secours. »
SADOUX, capitaine d infanterie coloniale : « Officier méha-
riste des plus accomplis et d'une bravoure digne d'éloges.
A, les 18 et 22 février 1917, anéanti deux bandes de dissi-
dents oulliminden qui ont laissé plus de 100 morts sur le
terrain et leur a repris tout le butin qu'elles avaient enlevé
aux habitants placés sous notre domination. »
| DUFFAU, sous-lieutenant ;
f RAINAUD, médecin aide-major de 2e classe;
+ MOREL, sergent fourrier;
-F VASLIN, sergent,
Tués ie 26 décembre 1916, à en faisant bravement
leur devoir dans un combat inégal.
JEANNOT, sous-lieutenant (réserve). « Très bon officier,
blessé grièvement en faisant bravement son devoir au
combat du 3 mars 1917, devant..... » ^
f MORIN, sous-lieutenant, « Brillante conduite au combat
devant..... le 3 mars 1917; atteint d'une grave blessure,
n'a consenti à se laisser emporter que sur l'ordre de son
commandant de compagnie et est mort des suites de ses
blessures. »
"-MESTRAL, sergent. « Brillante conduite au combat du
21 février 1917; blessé une première fois, a continué à
diriger le tir de sa mitrailleuse, donnant ainsi à tous le
plus bel exemple de courage, et a été tué glorieusement. »
•F BEROUX, sergent. « Blessé légèrement une première
fois, a conservé'son commandement et, par un mouvement
audacieux et bien exécuté, a réussi à déborder la gauche
ennemie et à déterminer la retraite des rebelles. A été tué
à la fin de l'action. »
GADEL (Martin-Henri-Jacques), général de brigade com-
mandant la 98 D. I. « Au cours des attaques des 16, 17 et
18 avril, a commandé .de façon remarquable une division
à qui il avait su inspirer et la plus belle ardeur guerrière
et l'absolue confiance dans le succès. Après avoir vigou-
reusement entraîné ses régiments, après avoir préparé et
monté dans les plus petits détails l'opération très délicate
qui lui était confiée, a dirigé le combat avec autant d'éner-
gie que d'esprit de décision. A poussé sur ses objectifs avec
une telle ténacité que, malgré la résistance acharnée de
l'ennemi, il a pu réaliser un gain de terrain très important
et se maintenir de façon définitive sur les positions con-
quises en dépit des contre-attaques sans cesse répétées de
l'ennemi, qui ont fait subir à sa division de lourdes
pertes. »
DE METZ (Pierre-Marie-Antoine), lieutenant-colonel com-
mandant le 2e zouaves de marche. « Ayant pris le com-
mandement du 2e zouaves de marche quelques jours à
peine avant l'attaque du 16 avril, a su inspirer à tous ses
subordonnés l'ardeur et la confiance qui ont permis à ce
régiment de traverser plusieurs lignes de tranchées formi-
dablement organisées et de se maintenir snr le terrain
conquis, entre la première et la deuxième position alle-
mande. »
DE MANIORT (Jean-Baptiste), chef de bataillon, comman-
dant le 1er bataillon du 2e régiment de marche de tirail-
leurs. « Officier supérieur d'une haute valeur morale et
d'une élévation de sentiments qui en imposent à tous. Fait ;
antérieurement officier de la Légion d'honneur et déjà cité
pour fait de guerre, a magnifiquement entraîné son batail-
lon à l'assaut, le 16 avril 1917, malgré un feu violent de
mitrailleuses. Abattu par une balle qui lui fracassa la jambe,
n'a cessé pendant plusieurs heures d'encourager tout le
monde par la parole et par son exemple de stoïcisme. »
PELLÉ (Maurice-César-Joseph), général de brigade, com-
mandant une division d'infanterie. « Officier général de
grande valeur. Au cours d'une offensive du 16 au 22 avril
1917, a brillamment conduit les opérations de sa division
qui a enlevé la première position ennemie, a entamé la
deuxième, ne s'est arrêtée que par suite de l'échelonne-
ment des troupes voisines, capturant à l'ennemi de nom-
breux prisonniers et un matériel important. »
LÉOPOLD KAMARA, adjudant indigène au 27E bataillon de
tirailleurs sénégalais. « A fait preuve de la plus grande
énergie pendant quatre jours de combat, en suivant sa
compagnie jusqu'au bout, quoique ayant des gelures aux
pieds, afin de donner l'exemple aux tirailleurs et en di-
sant : « Mon lieutenant est blessé et marche, je peux faire
comme lui. »
DUPAS (Alexandre-Louis), chef de bataillon commandant
le je bataillon de tirailleurs marocains. « Fortement con-
tusionné par un obus le 15 avril 1917, a néanmoins conduit
son bataillon à l'attaque du 16 avril; a su communiquer à
sa troupe, éprouvée par un violent bombardement et des
feux de mitrailleuses, le calme et le sang-froid qui l'ani-
maient; a pris de judicieuses dispositions pour maintenir
le terrain conquis. Blessé au cours de l'action, a refusé de
se laisser évacuer. »
AUROUX (François), colonel commandant la 3E brigade du
Maroc. « Commandant de brigade de la plus grande bra-
voure personnelle et plein d'ardeur. N'a cessé, au cours de
l'offensive des 16-21 avril 1917, de prendre les plus
heureuses initiatives pour réaliser les vues du comman-
dement et agrandir les résultats obtenus. »
III. — LA FOURRAGÈRE
La fourragère aux couleurs de la médaille militaire
(jaune et vert) a été conférée aux unités suivantes :
RÉGIMENT DE MARCHE DE LA LÉGION ÉTRANGÈRE
Chargé le 9 mai, sous les ordres du lieutenant-colonel
COT, d'enlever à la baïonnette une position allemande très
fortement retranchée, s'est élancé à l'attaque, officiers en
tête, avec un entrain superbe, gagnaut d'un seul bond
plusieurs kilomètres de terrain, malgré une très vive résis-
tance de l'ennemi et le feu violent de ses mitrailleuses
(Ordre n° 102 du 8 septembre 1915, e armée.)
Pendant les opérations du 20 septembre au 17 octobre
1915, sous le commandement du lieutenant-colonel COT, a
fait preuve des plus belles qualités de courage, d'entrain
et d'endurance. Le 28 septembre, avec un admirable esprit
de sacrifice, s'est lancé à l'assaut d'une position qu'il
fallait enlever à tout prix et malgré un feu extrêmement
dense des mitrailleuses ennemies est parvenu jusque dans
les tranchées allemandes. (Ordre n° 478 du 30 janvier
1916, e armée.)
Le 25 septembre 191;J, s'est élancé à l'assaut des posi-
tions ennemies avec un entrain et un élan superbes, faisant
de nombreux prisonniers et s'emparant de plusieurs mi-
trailleuses. (Ordre no 478 du 30 janvier 1916, e armée.)
Sous l'énergique commandement de son chef le lieute-
nant-colonel COT, le régiment de marche de la légion étran-
gère chargé, le 4 juillet 1916, d'enlever un village forte-
ment occupé par l'ennemi, s'est élancé à l'attaque avec
une vigueur et un entrain remarquables, a conquis le vil-
lage à la baïonnette, brisant la résistance acharnée des
Allemands et s'opposant ensuite énergiquement à toutes '
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