Titre : L'Afrique française : bulletin mensuel du Comité de l'Afrique française et du Comité du Maroc
Auteur : Comité de l'Afrique française. Auteur du texte
Auteur : Comité du Maroc (Paris). Auteur du texte
Éditeur : Comité de l'Afrique française (Paris)
Date d'édition : 1917-01-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32683501s
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 janvier 1917 01 janvier 1917
Description : 1917/01/01 (N1,A27)-1917/12/31 (N12,A27). 1917/01/01 (N1,A27)-1917/12/31 (N12,A27).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k97885087
Source : CIRAD, 2017-132476
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 17/07/2017
166 BULLETIN DU COMITÉ
Ah ! Messieurs ! le magnifique; spectacle que celui de ce
pays dont le clair génie continue à rayonner sur 1 huma-
nité au milieu de la furieuse tourmente, dont le front au-
guste demeure serein malgré les plus cruelles épreuves,
dont le bras puissant porte ausbi haut le glaive de la jus-
tice que le flambeau de la liberté !
Et quelle fierté immense pour nous tous, ses enfants, de
pouvoir crier que ce pays est le nôtre ! Que vers lui monte
la ferveur de notre amour filial et qu'au premier signe de
notre mère nous sommes prêts à lui donner notre sang !
Pendant la crise, l'Afrique Occidentale Française a attesté
non seulement son patriotisme, mais encore sa robuste vi-
gueur, tant il est vrai que l'épreuve trempe et n'abat pas
les organisations véritablement fortes. La Colonie a fourni
un effort et prêté un concours dont nul ne la croyait ca-
pable. C'est un grand honneur et une grande fierté pour
moi de pouvoir l'en remercier au nom du gouvernement de
la République. Au nom de la France aussi, je salue avec
une respectueuse émotion les enfants de l'Afrique Occi-
dentale Française qui sont tombés pour la cause sacrée. Of-
ficiers, sous-officiers et soldats de l'armée coloniale, colons
commerçants et fonctionnaires mobilisés, tirailleurs qui
n'avez vu la France que pour lui donner votre sang, vous
tous, héros connus ou anonymes, qui étiez l'orgueil de
l'armée et la terreur de l'ennemi, vous avez bien mérité de
la Patrie ! Elle conservera pieusement le souvenir de votre
sacrifice.
Ah ! Messieurs ! quand on compare ce que notre empire
colonial a coûté à la France et ce qu'il lui rapporte aujour-
d'hui, quand on tente d évaluer ce que vaudront ces terres
presque vierges au lendemain de la guerre alors que les
matières premières seront rares et les marchés disputés,
quand on se souvient qu'il y a cinquante ans à peine la
presque totalité de nos populations indigènes ignorait jus-
qu'au nom de la France et que cependant, dans un mer-
veilleux élan, elles sont venues offrir leur vie pour défendre
leur mère adoptive, comment douter encore du génie colo-
nisateur de ce pays ! Comment contester sa puissance
d'expansion ! Quelle autre nation a donc faitdans cet ordre
d'idées autant qu'a fait la France et quel autre régime a
donné aupays ce que la troisième République lui a donné!
Que Roume, le grand gouverneur général qui charpenta
cette Afrique Occidentale Française! Que la pléiade de ses
collaborateurs immédiats, les Merlin, les Malan, les Cor-
nille 1 QuePonty, dont le nom demeurera attaché à jamais
à l'histoire du Soudan, et qui jeta la colonie dans la mêlée
avec une si belle et confiante audace ! Que vous enfin, mon
cher Glozel, dont toute la vie fut consacrée à cette terre
d'Afrique, vous trouviez ici l'expression de la gratitude de
l'Afrique Occcidentale Française comme de celle de la
France. Vous avez été les bons ouvriers de la grande œu-
vre. Vous avez jeté à pleines mains la semence sur la terre
décriée ; une splendide moisson est votre récompense !
Messieurs, la guerre n'est pas finie et tant qu'elle ne le
sera pas, notre tâche, demeurera claire et simple ; aider de
toutes nos forces, de tous nos moyens. Les modalités de
notre concours évoluent cependant en même temps qu'é-
volue cette guerre et si hier la France nous demandait
l'appoint de nos hommes, c'est aujourd'hui l'apport de nos
richesses qu'elle réclame surtout.
11 faut, en effet, que la guerre se prolonge pour que l'u-
sure continue,systématique, à laquelle l'ennemi est soumis,
l'amène à la reddition complète. Dans cette lutte, comme
dans tous les grands efforts, le facteur de durée pèse plus
que le facteur violence. Certes,il faut que nous tuions du
boche, mais il faut surtontque nous durions plus que lui !
Il faut que notre ravitaillement soit plus abondant en quan-
tité et en qualité que le sien, que notre guerre soit mieux
nourrie que sa guerre !
Or, 1 Afrique Occidentale Française produit des arachides
et des palmistes, du riz et rin maïs, du sorgho et du mil.
du bois et du bétail. De tous ces produits la métropole a
besoin; a nous de 1eR lui fournir! Comment? Je ne puis
entrer il i dans le détail Qu'il me suffise de vous dire que
le ministre du Ravaillement s'est porté acquéreur de l'in-
tégralité de notre récolte 1917 en oléagineux et en céréales,
que le commerce entier de l'Afrique Occidentale Française
s'est groupé pour traiter cette récolte et que les Compagnies
de navigation, habituées de nos rades, se sont unies pour
enlever notre fret dans les meilleures conditions!
Ainsi l'indigène sait qu'il vendra sa récolte, toute sa ré- /,
coite, à des prix rémunérateurs; le commerce sait qu'il a
preneur pour tout ce qu'il transportera à la côte et le né-
cessaire est fait pour que ce qui arriye à la côte en soit
enlevé et transporté dans la mère patrie.
Dans ces conditions, avec ces certitudes, nous pouvons
et nous devons produire intensément. Nous devons dé-
passer largement les chiffres, cependant remarquables, de
ces dernières années. C'est notre intérêt autant que c'est
notre devoir envers la patrie^
A cette tâche je vais me consacrer tout entier; à cette
tâche je vous convie. Elle est nationale Vous trouverez en
moi le chef qui saura accueillir les initiatives, grouper les
bonnes volontés, prendre les décisions, assumer les res-
ponsabilités. Quoique jeune, j'ai l'habitude du commande-
ment. Mais il faut que je trouve auprès de vous tous, une
collaboration franche, joyeuse, enthousiaste 1 Quand il
s'agit de missions de cette envergure, assumées dans des
heures aussi tragiques, quand il s'agit de la guerre et de
la patrie en danger, il ne doit plus y avoir ici des officiers,
des fonctionnaires, des colons et des commerçants; il ne
plus y avoir des Noirs et des Blancs; il n'y a plus que des
Français avides de servir la France.
Moij appel s'adresse à tous ceux qui. vivent sous notre
drapeau; à tous ceux-là s'adresseront mes ordres! Tous
me doivent fidélité et obéissance! Tous me doivent leur
concours entier, car je représente ici la France qui se bat
et je sais qu'en parlant en son nom je serai entendu.
Messieurs, ce concours unanime et enthousiaste que je
sais trouver auprès de vous pour .aider la mère patrie en
guerre, je le réclame aussi de vous pour assurer notre
propre avenir. Ce serait une grave erreur, en effet, de
croire que la guerre sera finie parce que la paix sera si-
gnée et qu'après les heures difficiles que nous vivons, nous
n'en vivrons pas de plus pénibles. C'est l'après-guerre qui
décidera de la guerre ! Le vainqueur sera, non pas celui
qui aura le moins souffert, mais celui qui papseraje plu»
vite ses blessures et qui, grâce à sa méthode, grâce à son
énergie, sera immédiatement prêt à reprendre une lutte
économique qui s'annonce acharnée. Dans cette lutte, les
colonies françaises devront compter surtout sur elles-
mêmes. La métropole concentrera ses énergies et ses capi-
taux sur son propre relèvement. C'est son devoir. Nous fui
demanderons moins parce qu'elle peut nous donner moins.
L'autonomie ne sera plus un vain mot et nous auroas les
charges de l'émancipation eh même temps que ses avan-
tages. Nous serons toujours les enfants soumis de la France
mais nous serons ses enfants majeurs.
Or. nous ne pouvons affronter cet avenir qu'en unissant
nos efforts. Cette guerre a montré cruellement que la Mé-
thode, la discipline et la perseverauce étaient les premières
conditions du succès. Pour les collectivités, comme pour
t-es individus, le génie n'est qu'une longue patience, l'en-
tends bien que ceci nous répugne, que nous demeurerons
toujours épris d'indépendance et amoureux des personna-
lités librement et fortement développées. Mais J'heure est
venue de choisir entre ce qui nous est si cher et ce qui
nous est si indispensable. Pour prospérer, pour vivre, nous
devrons être avares d'idées, de projets, de programmes ;
nous devrons être passionnés pour les réalisations, Or,
celles-ci ne se font que par des concentrations discipli-
nées.
Soyons disciplinés, Messieurs, non pas de cette disci-
pline étroite et résignée qui diminue celui qui obéit autant
que celui qui ordonne, mais disciplinés par libre consen-
tement, parce que nous savons que neus sommes solidaires
les uns les autres, parce que le destin fait un commun
avoir de nos succès et de nos revers, parce que nous ne
pouvons plus ignorer que rien ne se fait de gtand. de so-
lide, de durable, si ce n'est par I'ç,ft rt conjugué d'un peul
qui commande et des autres qui obéissent d'un même élan.
Qu nd ceux du front reviendront parmi nous. eux qui
ont trop souvent appris à leurs dépens ce que coûtent les
improvisations hâtives, les débrouillages de la dernjèrç
Ah ! Messieurs ! le magnifique; spectacle que celui de ce
pays dont le clair génie continue à rayonner sur 1 huma-
nité au milieu de la furieuse tourmente, dont le front au-
guste demeure serein malgré les plus cruelles épreuves,
dont le bras puissant porte ausbi haut le glaive de la jus-
tice que le flambeau de la liberté !
Et quelle fierté immense pour nous tous, ses enfants, de
pouvoir crier que ce pays est le nôtre ! Que vers lui monte
la ferveur de notre amour filial et qu'au premier signe de
notre mère nous sommes prêts à lui donner notre sang !
Pendant la crise, l'Afrique Occidentale Française a attesté
non seulement son patriotisme, mais encore sa robuste vi-
gueur, tant il est vrai que l'épreuve trempe et n'abat pas
les organisations véritablement fortes. La Colonie a fourni
un effort et prêté un concours dont nul ne la croyait ca-
pable. C'est un grand honneur et une grande fierté pour
moi de pouvoir l'en remercier au nom du gouvernement de
la République. Au nom de la France aussi, je salue avec
une respectueuse émotion les enfants de l'Afrique Occi-
dentale Française qui sont tombés pour la cause sacrée. Of-
ficiers, sous-officiers et soldats de l'armée coloniale, colons
commerçants et fonctionnaires mobilisés, tirailleurs qui
n'avez vu la France que pour lui donner votre sang, vous
tous, héros connus ou anonymes, qui étiez l'orgueil de
l'armée et la terreur de l'ennemi, vous avez bien mérité de
la Patrie ! Elle conservera pieusement le souvenir de votre
sacrifice.
Ah ! Messieurs ! quand on compare ce que notre empire
colonial a coûté à la France et ce qu'il lui rapporte aujour-
d'hui, quand on tente d évaluer ce que vaudront ces terres
presque vierges au lendemain de la guerre alors que les
matières premières seront rares et les marchés disputés,
quand on se souvient qu'il y a cinquante ans à peine la
presque totalité de nos populations indigènes ignorait jus-
qu'au nom de la France et que cependant, dans un mer-
veilleux élan, elles sont venues offrir leur vie pour défendre
leur mère adoptive, comment douter encore du génie colo-
nisateur de ce pays ! Comment contester sa puissance
d'expansion ! Quelle autre nation a donc faitdans cet ordre
d'idées autant qu'a fait la France et quel autre régime a
donné aupays ce que la troisième République lui a donné!
Que Roume, le grand gouverneur général qui charpenta
cette Afrique Occidentale Française! Que la pléiade de ses
collaborateurs immédiats, les Merlin, les Malan, les Cor-
nille 1 QuePonty, dont le nom demeurera attaché à jamais
à l'histoire du Soudan, et qui jeta la colonie dans la mêlée
avec une si belle et confiante audace ! Que vous enfin, mon
cher Glozel, dont toute la vie fut consacrée à cette terre
d'Afrique, vous trouviez ici l'expression de la gratitude de
l'Afrique Occcidentale Française comme de celle de la
France. Vous avez été les bons ouvriers de la grande œu-
vre. Vous avez jeté à pleines mains la semence sur la terre
décriée ; une splendide moisson est votre récompense !
Messieurs, la guerre n'est pas finie et tant qu'elle ne le
sera pas, notre tâche, demeurera claire et simple ; aider de
toutes nos forces, de tous nos moyens. Les modalités de
notre concours évoluent cependant en même temps qu'é-
volue cette guerre et si hier la France nous demandait
l'appoint de nos hommes, c'est aujourd'hui l'apport de nos
richesses qu'elle réclame surtout.
11 faut, en effet, que la guerre se prolonge pour que l'u-
sure continue,systématique, à laquelle l'ennemi est soumis,
l'amène à la reddition complète. Dans cette lutte, comme
dans tous les grands efforts, le facteur de durée pèse plus
que le facteur violence. Certes,il faut que nous tuions du
boche, mais il faut surtontque nous durions plus que lui !
Il faut que notre ravitaillement soit plus abondant en quan-
tité et en qualité que le sien, que notre guerre soit mieux
nourrie que sa guerre !
Or, 1 Afrique Occidentale Française produit des arachides
et des palmistes, du riz et rin maïs, du sorgho et du mil.
du bois et du bétail. De tous ces produits la métropole a
besoin; a nous de 1eR lui fournir! Comment? Je ne puis
entrer il i dans le détail Qu'il me suffise de vous dire que
le ministre du Ravaillement s'est porté acquéreur de l'in-
tégralité de notre récolte 1917 en oléagineux et en céréales,
que le commerce entier de l'Afrique Occidentale Française
s'est groupé pour traiter cette récolte et que les Compagnies
de navigation, habituées de nos rades, se sont unies pour
enlever notre fret dans les meilleures conditions!
Ainsi l'indigène sait qu'il vendra sa récolte, toute sa ré- /,
coite, à des prix rémunérateurs; le commerce sait qu'il a
preneur pour tout ce qu'il transportera à la côte et le né-
cessaire est fait pour que ce qui arriye à la côte en soit
enlevé et transporté dans la mère patrie.
Dans ces conditions, avec ces certitudes, nous pouvons
et nous devons produire intensément. Nous devons dé-
passer largement les chiffres, cependant remarquables, de
ces dernières années. C'est notre intérêt autant que c'est
notre devoir envers la patrie^
A cette tâche je vais me consacrer tout entier; à cette
tâche je vous convie. Elle est nationale Vous trouverez en
moi le chef qui saura accueillir les initiatives, grouper les
bonnes volontés, prendre les décisions, assumer les res-
ponsabilités. Quoique jeune, j'ai l'habitude du commande-
ment. Mais il faut que je trouve auprès de vous tous, une
collaboration franche, joyeuse, enthousiaste 1 Quand il
s'agit de missions de cette envergure, assumées dans des
heures aussi tragiques, quand il s'agit de la guerre et de
la patrie en danger, il ne doit plus y avoir ici des officiers,
des fonctionnaires, des colons et des commerçants; il ne
plus y avoir des Noirs et des Blancs; il n'y a plus que des
Français avides de servir la France.
Moij appel s'adresse à tous ceux qui. vivent sous notre
drapeau; à tous ceux-là s'adresseront mes ordres! Tous
me doivent fidélité et obéissance! Tous me doivent leur
concours entier, car je représente ici la France qui se bat
et je sais qu'en parlant en son nom je serai entendu.
Messieurs, ce concours unanime et enthousiaste que je
sais trouver auprès de vous pour .aider la mère patrie en
guerre, je le réclame aussi de vous pour assurer notre
propre avenir. Ce serait une grave erreur, en effet, de
croire que la guerre sera finie parce que la paix sera si-
gnée et qu'après les heures difficiles que nous vivons, nous
n'en vivrons pas de plus pénibles. C'est l'après-guerre qui
décidera de la guerre ! Le vainqueur sera, non pas celui
qui aura le moins souffert, mais celui qui papseraje plu»
vite ses blessures et qui, grâce à sa méthode, grâce à son
énergie, sera immédiatement prêt à reprendre une lutte
économique qui s'annonce acharnée. Dans cette lutte, les
colonies françaises devront compter surtout sur elles-
mêmes. La métropole concentrera ses énergies et ses capi-
taux sur son propre relèvement. C'est son devoir. Nous fui
demanderons moins parce qu'elle peut nous donner moins.
L'autonomie ne sera plus un vain mot et nous auroas les
charges de l'émancipation eh même temps que ses avan-
tages. Nous serons toujours les enfants soumis de la France
mais nous serons ses enfants majeurs.
Or. nous ne pouvons affronter cet avenir qu'en unissant
nos efforts. Cette guerre a montré cruellement que la Mé-
thode, la discipline et la perseverauce étaient les premières
conditions du succès. Pour les collectivités, comme pour
t-es individus, le génie n'est qu'une longue patience, l'en-
tends bien que ceci nous répugne, que nous demeurerons
toujours épris d'indépendance et amoureux des personna-
lités librement et fortement développées. Mais J'heure est
venue de choisir entre ce qui nous est si cher et ce qui
nous est si indispensable. Pour prospérer, pour vivre, nous
devrons être avares d'idées, de projets, de programmes ;
nous devrons être passionnés pour les réalisations, Or,
celles-ci ne se font que par des concentrations discipli-
nées.
Soyons disciplinés, Messieurs, non pas de cette disci-
pline étroite et résignée qui diminue celui qui obéit autant
que celui qui ordonne, mais disciplinés par libre consen-
tement, parce que nous savons que neus sommes solidaires
les uns les autres, parce que le destin fait un commun
avoir de nos succès et de nos revers, parce que nous ne
pouvons plus ignorer que rien ne se fait de gtand. de so-
lide, de durable, si ce n'est par I'ç,ft rt conjugué d'un peul
qui commande et des autres qui obéissent d'un même élan.
Qu nd ceux du front reviendront parmi nous. eux qui
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