Titre : L'Afrique française : bulletin mensuel du Comité de l'Afrique française et du Comité du Maroc
Auteur : Comité de l'Afrique française. Auteur du texte
Auteur : Comité du Maroc (Paris). Auteur du texte
Éditeur : Comité de l'Afrique française (Paris)
Date d'édition : 1920-01-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32683501s
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 janvier 1920 01 janvier 1920
Description : 1920/01/01 (A30,N1)-1920/12/31 (A30,N12). 1920/01/01 (A30,N1)-1920/12/31 (A30,N12).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k9788066z
Source : CIRAD, 2017-132476
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 24/07/2017
- Aller à la page de la table des matières3
- SOMMAIRE
- Trentième Année - N° 1.
- .......... Page(s) .......... 12
- .......... Page(s) .......... 15
- .......... Page(s) .......... 17
- .......... Page(s) .......... 20
- .......... Page(s) .......... 23
- .......... Page(s) .......... 33
- .......... Page(s) .......... 39
- .......... Page(s) .......... 40
- .......... Page(s) .......... 40
- .......... Page(s) .......... 41
- .......... Page(s) .......... 43
- .......... Page(s) .......... 5
- Sommaire du Supplément n° 1
- .......... Page(s) .......... 3
- .......... Page(s) .......... 9
- .......... Page(s) .......... 21
- .......... Page(s) .......... 24
- .......... Page(s) .......... 45
- .......... Page(s) .......... 45
- .......... Page(s) .......... 47
- .......... Page(s) .......... 55
- .......... Page(s) .......... 57
- .......... Page(s) .......... 62
- .......... Page(s) .......... 63
- .......... Page(s) .......... 64
- .......... Page(s) .......... 65
- .......... Page(s) .......... 79
- .......... Page(s) .......... 80
- .......... Page(s) .......... 81
- .......... Page(s) .......... 81
- .......... Page(s) .......... 84
- .......... Page(s) .......... 56
- Sommaire du Supplément n° 2
- Trentième Année - N° 3
- .......... Page(s) .......... 85
- .......... Page(s) .......... 87
- .......... Page(s) .......... 92
- .......... Page(s) .......... 95
- .......... Page(s) .......... 100
- .......... Page(s) .......... 108
- .......... Page(s) .......... 110
- .......... Page(s) .......... 113
- .......... Page(s) .......... 114
- .......... Page(s) .......... 116
- .......... Page(s) .......... 89
- Sommaire du Supplément n° 3
- .......... Page(s) .......... 121
- .......... Page(s) .......... 123
- .......... Page(s) .......... 124
- .......... Page(s) .......... 125
- .......... Page(s) .......... 128
- .......... Page(s) .......... 134
- .......... Page(s) .......... 138
- .......... Page(s) .......... 140
- .......... Page(s) .......... 141
- .......... Page(s) .......... 141
- .......... Page(s) .......... 141
- .......... Page(s) .......... 141
- .......... Page(s) .......... 146
- .......... Page(s) .......... 147
- .......... Page(s) .......... 151
- Trentième Année - N° 4
- .......... Page(s) .......... 91
- .......... Page(s) .......... 71
- Trentième Année - N° 5.
- .......... Page(s) .......... 153
- .......... Page(s) .......... 154
- .......... Page(s) .......... 157
- .......... Page(s) .......... 162
- .......... Page(s) .......... 168
- .......... Page(s) .......... 174
- .......... Page(s) .......... 175
- .......... Page(s) .......... 178
- .......... Page(s) .......... 184
- .......... Page(s) .......... 185
- .......... Page(s) .......... 186
- .......... Page(s) .......... 187
- .......... Page(s) .......... 187
- .......... Page(s) .......... 187
- Sommaire du Supplément n° 5
- Trentième Année - N° 6.
- .......... Page(s) .......... 189
- .......... Page(s) .......... 191
- .......... Page(s) .......... 194
- .......... Page(s) .......... 201
- .......... Page(s) .......... 204
- .......... Page(s) .......... 206
- .......... Page(s) .......... 210
- .......... Page(s) .......... 215
- .......... Page(s) .......... 215
- .......... Page(s) .......... 219
- .......... Page(s) .......... 191
- Trentième Année - Nos 7 et 8.
- .......... Page(s) .......... 221
- .......... Page(s) .......... 223
- .......... Page(s) .......... 225
- .......... Page(s) .......... 231
- .......... Page(s) .......... 232
- .......... Page(s) .......... 240
- .......... Page(s) .......... 253
- .......... Page(s) .......... 254
- .......... Page(s) .......... 254
- .......... Page(s) .......... 258
- .......... Page(s) .......... 259
- .......... Page(s) .......... 259
- .......... Page(s) .......... 260
- .......... Page(s) .......... 242
- Sommaire du Supplément nos 7 et 8.
- Trentième Année - Nos 9 et 10.
- .......... Page(s) .......... 262
- .......... Page(s) .......... 266
- .......... Page(s) .......... 269
- .......... Page(s) .......... 273
- .......... Page(s) .......... 275
- .......... Page(s) .......... 280
- .......... Page(s) .......... 282
- .......... Page(s) .......... 285
- .......... Page(s) .......... 288
- .......... Page(s) .......... 291
- .......... Page(s) .......... 292
- .......... Page(s) .......... 292
- .......... Page(s) .......... 297
- .......... Page(s) .......... 270
- Trentième Année - N° 11.
- .......... Page(s) .......... 301
- .......... Page(s) .......... 302
- .......... Page(s) .......... 312
- .......... Page(s) .......... 318
- .......... Page(s) .......... 322
- .......... Page(s) .......... 324
- .......... Page(s) .......... 327
- .......... Page(s) .......... 328
- .......... Page(s) .......... 332
- .......... Page(s) .......... 332
- .......... Page(s) .......... 334
- .......... Page(s) .......... 334
- .......... Page(s) .......... 338
- .......... Page(s) .......... 340
- Sommaire du Supplément n° 11
- Trentième Année - N° 12.
- .......... Page(s) .......... 341
- .......... Page(s) .......... 345
- .......... Page(s) .......... 347
- .......... Page(s) .......... 348
- .......... Page(s) .......... 353
- .......... Page(s) .......... 362
- .......... Page(s) .......... 368
- .......... Page(s) .......... 370
- .......... Page(s) .......... 372
- .......... Page(s) .......... 374
- .......... Page(s) .......... 376
- .......... Page(s) .......... 376
DE L'AFRIQUE FRANÇAISE 171
les mesures quelconques prises en Tunisie et
même la production économique de nos trois
colonies. Il est d'hier, cet article du Messaggero
demandant que la France, bien pourvue de fer
en Europe, concède à l'Italie l'exploitation de
l'Ouenza ainsi que celle de phosphates soi-disant
découverts en Tunisie près de la frontière tripo-
litaine.
Avant de faire naître des prétentions aussi
naïves et regrettables que celles-là, notre pro-
messe, d'ailleurs ornée des réserves que comman-
dait la situation, a attiré sur nous une campague
de presse dans la Péninsule et des interpellations
à Montecitorio et au Sénat romain. Le quantum
espéré n'étant pas mis à la disposition de l'agri-
culture italienne, on incrimina notre mauvaise
volonté. On ignorait évidemment sur les bords
du Tibre que le nombre des ouvriers employés
dans les carrières de phosphates avait continué à
baisser (de 6.500 à 4.400 durant la. période 1915-
1918) et que la production étant tombée de
1.500.000 tonnes environ à 819.000 en 1918, on
n'avait pu fournir à l'Italie en 1919 qu'environ
350.000 tonnes à grand peine. En 1920, on man-
que toujours de main-d'œuvre. Les indigènes,
enrichis par les hauts salaires, refusent de tra-
vailler et les Tripolitains des mines regagnent
leur pays natal qu'une subtile propagande leur
représente comme devenu un Eden depuis la
concession par l'Italie du statuio libyen. Brochant
sur le tout, voici en avril la grève dans l'exploi-
tation de la Compagnie de Gafsa, grève déclan-
chée par deux ouvriers italiens à qui leurs exci-
tations valurent d'être expulsés de la Régence.
La Compagnie essaie d'amener en ce moment des
ouvriers marocains.
En Tunisie même, le léger échec de la prépon-
dérance française qu'indiquent tout de même le
remaniement du décret sur les écoles privées et
l'abrogation de celui sur les ventes foncières, ne
pourra qu'inciter les dirigeants de la colonie ita-
lienne à surveiller avec encore plus d'attention
nos moindres gestes administratifs. On dénon-
cera. à Rome tout acte, même accompli dans l'in-
térêt de tout le monde, lorsque cet acte, quoique
favorable à la population italienne, ne cadre pas
complètement avec l'idée étroite qu'on se fait de
l'italianité dans ces milieux.
Exemple. Un décret beylical de la fin de 1919
a décidé qu'à partir du 1er janvier 1920, les dé-
clarations de naissances et de décès sont obliga-
toires dans toute la Régence pour tous ceux qui
l'habitent ou y résident, sans aucune distinction
de race, de nationalité ou de religion. Ce carac-
tère obligatoire vise naturellement les déclara-
tions devant les officiers de l'état civil tunisien.
La mesure est des plus utiles pour tous et même
pour les autorités consulaires italiennes qui
n'ont jamais pu recenser leurs ressortissants dont
beaucoup négligeaient de s'inscrire à un état
civil quelconque ou ne se servaient que de l'état
civil religieux. L'innovation n'empêche nulle-
ment les Italiens de faire des déclarations à leur
consulat comme par le passé. Elle assure la
pleine communication aux municipalités d'Italie
de tous les faits, sans exception, comportant des
actes d'état civil, puisque copie de ces actes est
transmise au Consulat d'Italie en vertu de la con-
vention franco-italienne du 13 janvier 1875 sur
les échanges des actes d'état civil, convention qui
a été étendue à la Tunisie. Ainsi donc, l'état civil
iêilfèh consulaire continue à subsister comme
auparavant, mais pour les cas où il y avait jadis
omission, il se trouve à l'avenir complété à son
avantage par l'état civil tunisien. On ne voit pas
ce que l'esprit le plus chagrin et le plus en éveil
peut avoir à reprendre. Néanmoins, dès le début
de février, le sénateur italien Pellerano inter-
pelle son gouvernement et le comte Sforza, sous-
secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères, répond
qùé le Consulat général d'Italie à Tunis a .fait
d'amicales observations à ce sujet à la Résidence
générale de France.
Ces divers incidents donnent toute sa valeur à
un mouvement récent qui intéresse au premier
chef les contrées où de nombreux Italiens reçoi-
vent l'hospitalité. Ce mouvement paraîtJlevoir
surtout, au point de vue français, affecter la
Tunisie où une sorte de manie de la persécution
sévit dans certains milieux italiens. Nous vou-
lons parler de la création à Rome d'un pseudo-
parlement qui accueillerait les délégués des Ita-
liens de l'étranger.
Un des thèmes que traitent le plus volontiers
dans ces derniers temps les journaux de la Pénin-
sule-est celui de l'effectif italien dans le monde.
D'aucuns calculent qu'avec les pays annexés, le
retour de beaucoup d'émigrés et l'arrêt de l'émi-
gration, l'Italie compte actuellement 39 millions
d'habitants au lieu de 36 millions en 1914 et ils
pensent que les Italiens dispersés dans le monde
sont 10 à 11 millions en y comprenant sans doute
les descendants d'Italiens déjà dénationalisés. Des
estimations plus sérieuses arrivent à 38 millions
d'habitants pour la Péninsule et ses îles et à 5 ou
6 millions pour les Italiens du dehors. En ce qui
concerne la France, deux gros groupements sont
celui de Marseille qui approcherait de 150.000
âmes, d'après la Patria ltaliana qui se publie
dans cette ville, et celui de Tunisie qui n'a pas
moins de 90.000 personnes.
Depuis assez longtemps, l'idée avait été lancée
de doter les émigrés d'une représentation élue
qui siégerait à Rome. Ces émigrés se sentiraient
ainsi moins détachés du pays natal et la mère
patrie s'intéresserait davantage à eux et à leurs
besoins. Les promoteurs de cette innovation
avaient songé à la réaliser sous la forme de dé-
putés désignés selon les modalités du système
électoral italien et qui s'assiéraient à Monteci-
t9rlo au même titre que les députés nommés par
les électeurs d'Italie. Parmi les objections que
l'on éleva contre ce projet nous en retenons
deux : 1° il serait impossible de faire fonctionner
le système électoral italien à l'étranger sans re- .
courir à l'autorité locale qui probablement se re-
fuserait à intervenir; 2° ces élections politiques
sèmeraient la défiance entre les Italiens et la
les mesures quelconques prises en Tunisie et
même la production économique de nos trois
colonies. Il est d'hier, cet article du Messaggero
demandant que la France, bien pourvue de fer
en Europe, concède à l'Italie l'exploitation de
l'Ouenza ainsi que celle de phosphates soi-disant
découverts en Tunisie près de la frontière tripo-
litaine.
Avant de faire naître des prétentions aussi
naïves et regrettables que celles-là, notre pro-
messe, d'ailleurs ornée des réserves que comman-
dait la situation, a attiré sur nous une campague
de presse dans la Péninsule et des interpellations
à Montecitorio et au Sénat romain. Le quantum
espéré n'étant pas mis à la disposition de l'agri-
culture italienne, on incrimina notre mauvaise
volonté. On ignorait évidemment sur les bords
du Tibre que le nombre des ouvriers employés
dans les carrières de phosphates avait continué à
baisser (de 6.500 à 4.400 durant la. période 1915-
1918) et que la production étant tombée de
1.500.000 tonnes environ à 819.000 en 1918, on
n'avait pu fournir à l'Italie en 1919 qu'environ
350.000 tonnes à grand peine. En 1920, on man-
que toujours de main-d'œuvre. Les indigènes,
enrichis par les hauts salaires, refusent de tra-
vailler et les Tripolitains des mines regagnent
leur pays natal qu'une subtile propagande leur
représente comme devenu un Eden depuis la
concession par l'Italie du statuio libyen. Brochant
sur le tout, voici en avril la grève dans l'exploi-
tation de la Compagnie de Gafsa, grève déclan-
chée par deux ouvriers italiens à qui leurs exci-
tations valurent d'être expulsés de la Régence.
La Compagnie essaie d'amener en ce moment des
ouvriers marocains.
En Tunisie même, le léger échec de la prépon-
dérance française qu'indiquent tout de même le
remaniement du décret sur les écoles privées et
l'abrogation de celui sur les ventes foncières, ne
pourra qu'inciter les dirigeants de la colonie ita-
lienne à surveiller avec encore plus d'attention
nos moindres gestes administratifs. On dénon-
cera. à Rome tout acte, même accompli dans l'in-
térêt de tout le monde, lorsque cet acte, quoique
favorable à la population italienne, ne cadre pas
complètement avec l'idée étroite qu'on se fait de
l'italianité dans ces milieux.
Exemple. Un décret beylical de la fin de 1919
a décidé qu'à partir du 1er janvier 1920, les dé-
clarations de naissances et de décès sont obliga-
toires dans toute la Régence pour tous ceux qui
l'habitent ou y résident, sans aucune distinction
de race, de nationalité ou de religion. Ce carac-
tère obligatoire vise naturellement les déclara-
tions devant les officiers de l'état civil tunisien.
La mesure est des plus utiles pour tous et même
pour les autorités consulaires italiennes qui
n'ont jamais pu recenser leurs ressortissants dont
beaucoup négligeaient de s'inscrire à un état
civil quelconque ou ne se servaient que de l'état
civil religieux. L'innovation n'empêche nulle-
ment les Italiens de faire des déclarations à leur
consulat comme par le passé. Elle assure la
pleine communication aux municipalités d'Italie
de tous les faits, sans exception, comportant des
actes d'état civil, puisque copie de ces actes est
transmise au Consulat d'Italie en vertu de la con-
vention franco-italienne du 13 janvier 1875 sur
les échanges des actes d'état civil, convention qui
a été étendue à la Tunisie. Ainsi donc, l'état civil
iêilfèh consulaire continue à subsister comme
auparavant, mais pour les cas où il y avait jadis
omission, il se trouve à l'avenir complété à son
avantage par l'état civil tunisien. On ne voit pas
ce que l'esprit le plus chagrin et le plus en éveil
peut avoir à reprendre. Néanmoins, dès le début
de février, le sénateur italien Pellerano inter-
pelle son gouvernement et le comte Sforza, sous-
secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères, répond
qùé le Consulat général d'Italie à Tunis a .fait
d'amicales observations à ce sujet à la Résidence
générale de France.
Ces divers incidents donnent toute sa valeur à
un mouvement récent qui intéresse au premier
chef les contrées où de nombreux Italiens reçoi-
vent l'hospitalité. Ce mouvement paraîtJlevoir
surtout, au point de vue français, affecter la
Tunisie où une sorte de manie de la persécution
sévit dans certains milieux italiens. Nous vou-
lons parler de la création à Rome d'un pseudo-
parlement qui accueillerait les délégués des Ita-
liens de l'étranger.
Un des thèmes que traitent le plus volontiers
dans ces derniers temps les journaux de la Pénin-
sule-est celui de l'effectif italien dans le monde.
D'aucuns calculent qu'avec les pays annexés, le
retour de beaucoup d'émigrés et l'arrêt de l'émi-
gration, l'Italie compte actuellement 39 millions
d'habitants au lieu de 36 millions en 1914 et ils
pensent que les Italiens dispersés dans le monde
sont 10 à 11 millions en y comprenant sans doute
les descendants d'Italiens déjà dénationalisés. Des
estimations plus sérieuses arrivent à 38 millions
d'habitants pour la Péninsule et ses îles et à 5 ou
6 millions pour les Italiens du dehors. En ce qui
concerne la France, deux gros groupements sont
celui de Marseille qui approcherait de 150.000
âmes, d'après la Patria ltaliana qui se publie
dans cette ville, et celui de Tunisie qui n'a pas
moins de 90.000 personnes.
Depuis assez longtemps, l'idée avait été lancée
de doter les émigrés d'une représentation élue
qui siégerait à Rome. Ces émigrés se sentiraient
ainsi moins détachés du pays natal et la mère
patrie s'intéresserait davantage à eux et à leurs
besoins. Les promoteurs de cette innovation
avaient songé à la réaliser sous la forme de dé-
putés désignés selon les modalités du système
électoral italien et qui s'assiéraient à Monteci-
t9rlo au même titre que les députés nommés par
les électeurs d'Italie. Parmi les objections que
l'on éleva contre ce projet nous en retenons
deux : 1° il serait impossible de faire fonctionner
le système électoral italien à l'étranger sans re- .
courir à l'autorité locale qui probablement se re-
fuserait à intervenir; 2° ces élections politiques
sèmeraient la défiance entre les Italiens et la
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 98.56%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 98.56%.
- Auteurs similaires Comité de l'Afrique française Comité de l'Afrique française /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Comité de l'Afrique française" or dc.contributor adj "Comité de l'Afrique française")Comité du Maroc Comité du Maroc /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Comité du Maroc" or dc.contributor adj "Comité du Maroc")
-
-
Page
chiffre de pagination vue 177/628
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k9788066z/f177.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k9788066z/f177.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k9788066z/f177.image
- Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k9788066z
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k9788066z
Facebook
Twitter