Titre : L'Afrique française : bulletin mensuel du Comité de l'Afrique française et du Comité du Maroc
Auteur : Comité de l'Afrique française. Auteur du texte
Auteur : Comité du Maroc (Paris). Auteur du texte
Éditeur : Comité de l'Afrique française (Paris)
Date d'édition : 1921-01-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32683501s
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 janvier 1921 01 janvier 1921
Description : 1921/01/01 (A31,N1)-1921/12/31 (A31,N12). 1921/01/01 (A31,N1)-1921/12/31 (A31,N12).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k97878865
Source : CIRAD, 2017-132476
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 17/07/2017
198 BULLETIN DU COMITÉ
Les prochaines récoltes apporteront, par leur abon-
dance, d'appréciables ressources aux fellahs et aux kham-
mès. Ceux mêmes qui, faute de grain ou de cheptel,
n'auront pu obtenir directement de la terre tout ce qui
leur est nécessaire, trouveront leur part complémentaire
en travaillant dans les champs plus favorisés. Le nombre
des véritables malheureux qui resteront à la charge de
l'Assistance publique en sera considérablement réduit.
Quant aux populations pastorales, le désastre qui les a
frappées sera, par sa nature, plus long à réparer. La ré-
colte d'une seule année peut emplir les greniers vides de
blé ou d'orge, mais l'agnelage d'un printemps ne suffit
pas à combler les vides d'un troupeau aux trois quarts
décimé. Et même, que de petits troupeaux ont été détruits,
qui constituaient dans les territoires du Sud, pour un
grand nombre de familles, l'aisance et l'indépendance !
Nous étudions une combinaison financière qui mettrait à
la disposition des Sociétés de prévoyance des sommes
suffisantes pour offrir à leurs adhérents les moyens d'ac-
quérir un troupeau d'une trentaine de têtes, capable d'as-
surer en deux ou trois années, l'entretien de la famille.
Mais les Sociétés de prévoyance ont été fortement éprou-
vées et leurs réserves sont presque complètement épui-
sées. Vous ne nous refuserez pas les subsides indispen--
sables au fonctionnement de ces organismes, dont vous
apprécierez l'immense utilité.
C'est en vous appliquant à multiplier et à développer
les opérations des Sociétés de prévoyance que nous réus-
sirons à mieux armer l'indigène dans la lutte pour la vie.
L'état d&meskine ne doit pas devenir une profession.
Propager parmi les fellahs et les artisans indigènes nos
méthodes de culture et nos procédés de travail les plus
simples et les plus indispensables : fournir à ces artisans
et à ces fellahs les moyens de culture et de travail qui
leur permettront, en tirant profit des connaissances ac-
quises, de régulariser et d'accroître leur production : tel
est le but que nous nous proposons d'atteindre par la créa-
tion, dans les communes mixtes, de centres d'éducation
professionnelle des indigènes.
Chaque centre comprendra une ferme dans laquelle se-
ront installés des ateliers de maçonnerie, de forge et de
charronnage qui permettront de dispenser les notions pra-
tiques d'agriculture et des métiers manuels dont la con-
naissance est nécessaire à la vie rurale. Le projet-type a
été étudié à Fedj-M'Zala, avec la collaboration de M. Vallet,
délégué financier, et de plusieurs propriétaires de la com-
mune, au dévouement de qui je suis heureux d'adresser
un public hommage. L'administration va se mettre immé-
diatement à l'œuvre en créant, chaque année, G centres, à
raison de 2 par département.
A côté et au-dessus de ces centres d'éducation profes-
sionnelle, nous nous appliquerons à répandre une autre
institution qui, malgré certaines résistances du début, a
réussi à faire ses preuves, grâce à la persévérance d'un
autre de vos collègues, M. Lévy. Je veux parler des
Djemaat-el-fellahat, dont le but essentiel est de procurer à
leurs sociétaires l'outillage, les animaux, les semences,
les engrais, en un mot toutes les avances permettant de
pratiquer une culture perfectionnée et rémunératrice.
Pour supputer les bienfaits que nous pouvons attendre
des centres d'éducation professionnelle et des Djemaat-el-
fellahat, il suffit de constater que. quoique la terre algé-
rienne soit particulièrement propice à la culture des
céréales elle est lourdement handicapée par l'infériorité
du rendement moyen.
Cette infériorité résulte de ce que le cultivateur indigène
reste, en Algérie, le plus important producteur de céréales,
mais avec des moyens insuffisants. Or, on a calculé qu'une
augmentation de rendement de 1 quintal par hectare don-
nerait un accroissement total de 1 million de quintaux de
blé et de 1.200.000 quintaux d'orge, et comme des résul-'
tats supérieurs peuvent être assez aisément obtenus, on
voit clairement apparaître le profit des mesures envisagées
pour le bien-être des individus et pour la prospérité
générale.
Les grands travaux publics.
Ce développement de la fortune publique, nous l'atten.
dons par-dessus tout du grand programme de travaux
publics qui restera l'honneur de celte assemblée. Mon
administration partage votre impatience légitime d'entrer .
enfin dans la voie des réalisations. Elle a, dans le plus
bref délai, accompli toutes les formalités qui lui incom-
baient, et saisi aussitôt les ministres de l'Intérieur et des
Finances de cette importante affaire. Je n'ai pas cessé
d'appeler l'attention du gouvernement sur l'intérêt natio-
nal qui s'attache à une solution rapide, et je crois pouvoir
vous donner aujourd'hui l'assurance que le projet de loi
tendant à autoriser l'Algérie à contracter un èmprunt de
1 milliard 600 millions ne tardera pas à être déposé sur le
bureau de la Chambre.
Les transports :par voie ferrée.
En attendant d'être doté de voies ferrées nouvelles, nous
avons le devoir de porter au maximum le rendement utile
de celles qui sont en exploitation. Au cours de mes tour-
nées, j'ai recueilli les doléances des' colons et des com-
merçants, justement- préoccupés du tra-fic intensif que la
prochaine récolte des céréales imposera à-nos lignes.
Des ordres ont été aussitôt donnés pour la mise en état
du matériel roulant, de manière à ce qu'en temps utile la
plus grande partie des moyens de traction soit disponible.
L'instruction professionnelle du nouveau personnel est
activement poussée. Les gares expéditrices seront pour-
vues des planchers, bâches, prélarts, nécessaires à la con-
servation des grains sur les quais des jares, en attendant
leur chargement sur wagons. L'effectif du matériel roulant
est ou sera nécessairement augmenté : sur le réseau ora-
nais de l'Etat, de 10 locomotives et 300 wagons; sur
l'Ouest-Algérien, de 8 locomotives- et 80 wagons; sur le
.P.-L:-M.; de 19 locomotives et 400 wagons; sur l'Est-
Algérien, de 5 locomotives et 354 wagons; sur le Bône-
Guelma, de 15 locomotives et 95 Wagons.
Vous voudrez bien reconnaître que l'Administration a
pris toutes les mesures commandées par les circonstances.
Aussi est-il permis d'espérer que les services seront assu-
rés avec ordre et rapidité, grâce aux efforts des agents et.
employés des chemins de fer que j'ai, personnellement, à
diverses reprises, félicités de leur dévouement, de leur
esprit de discipline et qui -se créeront ainsi de nouveaux
titres à notre bienveillance et à notre sympathie.
Conformément à l'engagement que j'ai pris envers les
Assemblées algériennes, c'est d'ailleurs sur le nouveau
régime des chemins de fer d'intérêt général que vous
aurez à vous prononcer dès le début -de votre session.
Vous connaissez les directives du gouvernement, inspi-
rées par un avis du Conseil d'Etat, aux termes duquel l'or-
ganisation de ce régime doit s'enchâsser dans un pro-
gramme d'ensemble tracé de manière à réaliser une plus
grande homogénéité dans la structure du réseau, à en
déterminer les contours suivant les principaux courants
du trafic et à développer les relations de l'Algérie avec le
Maroc et la Tunisie.
Conformément aux délibérations des Assemblées algé-
riennes, et eu exécution dn décret du 31 décembre 1920,
j'ai engagé, avec les administrations des réseaux algériens
et avec les départements ministériels intéressés, les négo-
ciations envisagées par le Conseil d'Etat. Le projet de
convention que nous vous soumettons en est le résultat.
11 a reçu l'adhésion des représentants du président du
Conseil, ministre des Affaires étrangères, et des ministres
de l'Intérieur, des Travaux publics et des Finances. Il se
présente par suite, à votre examen, dans les conditions les
plus favorables à son adoption.
Les services maritimes.
A côté d-c celle des chemins de fer, la question des ser-
vices maritimes se pose avec une acuité plus grande. Tout
a été dit sur la nécessité ue sortir de la situation actuelle
qui, par son incertitude, compromet nos intérêts vitaux.
Vous avez précédemment indiqué le régime vers lequel
vont vos préférences.
Il semble enfin venu le moment où nous sortirons de cet
état d'instabilité pour entrer dans l'ère des transports
réguliers et rapides. Sur la décision du sous-secrétaire
d'Etat à la marine marchande, une Commission se réunira
prochainement à Paris. Vous y serez représentés par trois
délégués dont le choix exercé pour assurer votre repré-
Les prochaines récoltes apporteront, par leur abon-
dance, d'appréciables ressources aux fellahs et aux kham-
mès. Ceux mêmes qui, faute de grain ou de cheptel,
n'auront pu obtenir directement de la terre tout ce qui
leur est nécessaire, trouveront leur part complémentaire
en travaillant dans les champs plus favorisés. Le nombre
des véritables malheureux qui resteront à la charge de
l'Assistance publique en sera considérablement réduit.
Quant aux populations pastorales, le désastre qui les a
frappées sera, par sa nature, plus long à réparer. La ré-
colte d'une seule année peut emplir les greniers vides de
blé ou d'orge, mais l'agnelage d'un printemps ne suffit
pas à combler les vides d'un troupeau aux trois quarts
décimé. Et même, que de petits troupeaux ont été détruits,
qui constituaient dans les territoires du Sud, pour un
grand nombre de familles, l'aisance et l'indépendance !
Nous étudions une combinaison financière qui mettrait à
la disposition des Sociétés de prévoyance des sommes
suffisantes pour offrir à leurs adhérents les moyens d'ac-
quérir un troupeau d'une trentaine de têtes, capable d'as-
surer en deux ou trois années, l'entretien de la famille.
Mais les Sociétés de prévoyance ont été fortement éprou-
vées et leurs réserves sont presque complètement épui-
sées. Vous ne nous refuserez pas les subsides indispen--
sables au fonctionnement de ces organismes, dont vous
apprécierez l'immense utilité.
C'est en vous appliquant à multiplier et à développer
les opérations des Sociétés de prévoyance que nous réus-
sirons à mieux armer l'indigène dans la lutte pour la vie.
L'état d&meskine ne doit pas devenir une profession.
Propager parmi les fellahs et les artisans indigènes nos
méthodes de culture et nos procédés de travail les plus
simples et les plus indispensables : fournir à ces artisans
et à ces fellahs les moyens de culture et de travail qui
leur permettront, en tirant profit des connaissances ac-
quises, de régulariser et d'accroître leur production : tel
est le but que nous nous proposons d'atteindre par la créa-
tion, dans les communes mixtes, de centres d'éducation
professionnelle des indigènes.
Chaque centre comprendra une ferme dans laquelle se-
ront installés des ateliers de maçonnerie, de forge et de
charronnage qui permettront de dispenser les notions pra-
tiques d'agriculture et des métiers manuels dont la con-
naissance est nécessaire à la vie rurale. Le projet-type a
été étudié à Fedj-M'Zala, avec la collaboration de M. Vallet,
délégué financier, et de plusieurs propriétaires de la com-
mune, au dévouement de qui je suis heureux d'adresser
un public hommage. L'administration va se mettre immé-
diatement à l'œuvre en créant, chaque année, G centres, à
raison de 2 par département.
A côté et au-dessus de ces centres d'éducation profes-
sionnelle, nous nous appliquerons à répandre une autre
institution qui, malgré certaines résistances du début, a
réussi à faire ses preuves, grâce à la persévérance d'un
autre de vos collègues, M. Lévy. Je veux parler des
Djemaat-el-fellahat, dont le but essentiel est de procurer à
leurs sociétaires l'outillage, les animaux, les semences,
les engrais, en un mot toutes les avances permettant de
pratiquer une culture perfectionnée et rémunératrice.
Pour supputer les bienfaits que nous pouvons attendre
des centres d'éducation professionnelle et des Djemaat-el-
fellahat, il suffit de constater que. quoique la terre algé-
rienne soit particulièrement propice à la culture des
céréales elle est lourdement handicapée par l'infériorité
du rendement moyen.
Cette infériorité résulte de ce que le cultivateur indigène
reste, en Algérie, le plus important producteur de céréales,
mais avec des moyens insuffisants. Or, on a calculé qu'une
augmentation de rendement de 1 quintal par hectare don-
nerait un accroissement total de 1 million de quintaux de
blé et de 1.200.000 quintaux d'orge, et comme des résul-'
tats supérieurs peuvent être assez aisément obtenus, on
voit clairement apparaître le profit des mesures envisagées
pour le bien-être des individus et pour la prospérité
générale.
Les grands travaux publics.
Ce développement de la fortune publique, nous l'atten.
dons par-dessus tout du grand programme de travaux
publics qui restera l'honneur de celte assemblée. Mon
administration partage votre impatience légitime d'entrer .
enfin dans la voie des réalisations. Elle a, dans le plus
bref délai, accompli toutes les formalités qui lui incom-
baient, et saisi aussitôt les ministres de l'Intérieur et des
Finances de cette importante affaire. Je n'ai pas cessé
d'appeler l'attention du gouvernement sur l'intérêt natio-
nal qui s'attache à une solution rapide, et je crois pouvoir
vous donner aujourd'hui l'assurance que le projet de loi
tendant à autoriser l'Algérie à contracter un èmprunt de
1 milliard 600 millions ne tardera pas à être déposé sur le
bureau de la Chambre.
Les transports :par voie ferrée.
En attendant d'être doté de voies ferrées nouvelles, nous
avons le devoir de porter au maximum le rendement utile
de celles qui sont en exploitation. Au cours de mes tour-
nées, j'ai recueilli les doléances des' colons et des com-
merçants, justement- préoccupés du tra-fic intensif que la
prochaine récolte des céréales imposera à-nos lignes.
Des ordres ont été aussitôt donnés pour la mise en état
du matériel roulant, de manière à ce qu'en temps utile la
plus grande partie des moyens de traction soit disponible.
L'instruction professionnelle du nouveau personnel est
activement poussée. Les gares expéditrices seront pour-
vues des planchers, bâches, prélarts, nécessaires à la con-
servation des grains sur les quais des jares, en attendant
leur chargement sur wagons. L'effectif du matériel roulant
est ou sera nécessairement augmenté : sur le réseau ora-
nais de l'Etat, de 10 locomotives et 300 wagons; sur
l'Ouest-Algérien, de 8 locomotives- et 80 wagons; sur le
.P.-L:-M.; de 19 locomotives et 400 wagons; sur l'Est-
Algérien, de 5 locomotives et 354 wagons; sur le Bône-
Guelma, de 15 locomotives et 95 Wagons.
Vous voudrez bien reconnaître que l'Administration a
pris toutes les mesures commandées par les circonstances.
Aussi est-il permis d'espérer que les services seront assu-
rés avec ordre et rapidité, grâce aux efforts des agents et.
employés des chemins de fer que j'ai, personnellement, à
diverses reprises, félicités de leur dévouement, de leur
esprit de discipline et qui -se créeront ainsi de nouveaux
titres à notre bienveillance et à notre sympathie.
Conformément à l'engagement que j'ai pris envers les
Assemblées algériennes, c'est d'ailleurs sur le nouveau
régime des chemins de fer d'intérêt général que vous
aurez à vous prononcer dès le début -de votre session.
Vous connaissez les directives du gouvernement, inspi-
rées par un avis du Conseil d'Etat, aux termes duquel l'or-
ganisation de ce régime doit s'enchâsser dans un pro-
gramme d'ensemble tracé de manière à réaliser une plus
grande homogénéité dans la structure du réseau, à en
déterminer les contours suivant les principaux courants
du trafic et à développer les relations de l'Algérie avec le
Maroc et la Tunisie.
Conformément aux délibérations des Assemblées algé-
riennes, et eu exécution dn décret du 31 décembre 1920,
j'ai engagé, avec les administrations des réseaux algériens
et avec les départements ministériels intéressés, les négo-
ciations envisagées par le Conseil d'Etat. Le projet de
convention que nous vous soumettons en est le résultat.
11 a reçu l'adhésion des représentants du président du
Conseil, ministre des Affaires étrangères, et des ministres
de l'Intérieur, des Travaux publics et des Finances. Il se
présente par suite, à votre examen, dans les conditions les
plus favorables à son adoption.
Les services maritimes.
A côté d-c celle des chemins de fer, la question des ser-
vices maritimes se pose avec une acuité plus grande. Tout
a été dit sur la nécessité ue sortir de la situation actuelle
qui, par son incertitude, compromet nos intérêts vitaux.
Vous avez précédemment indiqué le régime vers lequel
vont vos préférences.
Il semble enfin venu le moment où nous sortirons de cet
état d'instabilité pour entrer dans l'ère des transports
réguliers et rapides. Sur la décision du sous-secrétaire
d'Etat à la marine marchande, une Commission se réunira
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