Titre : L'Afrique française : bulletin mensuel du Comité de l'Afrique française et du Comité du Maroc
Auteur : Comité de l'Afrique française. Auteur du texte
Auteur : Comité du Maroc (Paris). Auteur du texte
Éditeur : Comité de l'Afrique française (Paris)
Date d'édition : 1921-01-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32683501s
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 janvier 1921 01 janvier 1921
Description : 1921/01/01 (A31,N1)-1921/12/31 (A31,N12). 1921/01/01 (A31,N1)-1921/12/31 (A31,N12).
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k97878865
Source : CIRAD, 2017-132476
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 17/07/2017
93 BULLETIN DU COMITÉ
pour eux et leur famille dans les localités et les régions
les plus susceptibles d'un développement prochain. Les
fixer ainsi, les attirer eux, leur famille, leurs parents, leurs
amis vers des terres plus fertiles, d'une exploitation plus
aisée et plus rémunératrice, c'est activer les déplacements
de population qui s'imposeront peu à peu en Afrique si l'on
veut assurer au pays son maximum de rendement dans le
plus bref délai.
Les fonctionnaires.
En même temps que les tirailleurs libérés regagnaient
leur pays d'origine et reprenaient leur existence ancienne,
il a fallu procéder au rapatriement du personnel démobi-
lisé ou en congé. La mobilisation avait enlevé à l'Afrique
occidentale la majeure partie de son personnel administra-
tif et de son personnel commercial. Administration et mai-
sons de commerce ont dû, la guerre finie, procéder à la
reconstitution de leur personnel. Cette tâche ne s'accomplit
pas sans difficultés, difficultés de recrutement, difficultés
de transport. Aujourd'hui encore, trop de postes restent
inoccupés, trop de circonscriptions administratives demeu-
rent fermées,' trop de tribunaux sont incomplets, trop
de services réduits à l'état squelettique. Les moyens
d'action de l'Administration, réduits au minimum par cinq
ans de guerre, demeurent affaiblis. Il en résulte une sorte
d'anémie générale dans l'Administration, qui n'est plus
capable de pourvoir normalement à tous ses besoins et,
parmi les populations indigènes les plus attardées, une
sensible régression. Ce sont des maux inévitables, au len-
demain du grand cataclysme qui a éprouvé l'humanité,
mais ce sont des maux auxquels il faut remédier le plus
promptement possible si l'on ne veut pas les voir irrémé-
diablement s'aggraver.
Il est courant de dire que nous avons trop de fonction-
naires dans nos Colonies. Je n'hésite pas, après trente ans
d'expérience, à m inscrire en faux contre une semblable
affirmation. Non seulement il n'y a pas trop de fonction-
naires dans les colonies, mais j'oserais dire qu'il n'y en a
pas assez. On oublie trop qu'à côté des colons et com-
merçants qui opèrent dans les pays neufs, il y a toute une
population indigène a administrer, population indigène
hier encore réfractaire. aujourd'hui à peine acquise, à la-
quelle tout est à enseigner, depuis les règles les plus élé-
mentaires de l'hygiène jusqu'aux conditions essentielles
de toute vie sociale, population la plupart du temps sans
cohésion, sans cadres sociaux, dispersée sur d'immenses
étendues.
Par contre, il est exact de dire que nous n'avons jamais
assez fait appel jusqu'à présent à nos auxiliaires indigènes.
En Afrique occidentale comme ailleurs, nous avons commis
la faute de briser complètement tous les cadres sociaux
indigènes au lieu de les améliorer pour nous en servir.
Sans revenir à un passé qui ne peut ni ne doit pas être
rétabli, je souhaiterais cependant qu'on n'achevât pas une
œuvre aussi néfaste et que là où subsistent encore des
organismes indigènes susceptibles de bien fonctionner, on
les renforçât pour en tirer tous les avantages qu'ils com-
portent. C'est dans cet ordre d'idées que j'ai soumis au
Ministre un projet qu'il a bien voulu adopter, d'institution
de communes indigènes, et que je verrais avec satisfaction
MM. l es Lieutenants-Gouverneurs procéder à une étude
méthodique de l'organisation de leurs territoires en can-
tons et en provinces indigènes toutes les fois que les
cadres sociaux des populations indigènes s'y prêtent.
Une des grosses difficultés que nous avons eu à résoudre
au cours de l'année a été d'assu&er au personnel les nou-
velles conditions d'existence matérielles qu'imposait le
renchérissement de la vie. C'est aujourd hui œuvre à peu
près faite, mais il en résulte une aggravation considérable
des charges budgétaires pour toutes les colonies. Il sera
donc nécessaire d'envisager dans l'avenir les moyens de
diminuer ces charges dans la plus large mesure possible.
Il importera de réduire le personnel européen au strict
nécessaire, de le réserver exclusivement aux tâches de
direction et de faire largement appel à un personnel auxi-
liaire indigène pour toutes les besognes d'exécution et de
gestion. Les écoles de Gorée, en se développant régulière-
ment, sont capables de fournir ce personnel. Toutefois, il
faut, pour en assurer le recrutement convenable, en orga-
r
niser les cadres de telle façon que les indigènes qui y entre-
ront soient assurés d'y avoir des conditions d'existence
convenables et d'y faire une carrière honorable. Par
ailleurs, il convient d'associer progressivement, dans la
juste mesure on le permet leur degré de développement,
les divers éléments indigènes de la population à notre
œuvre dans le pays et à la gestion des affaires publiques.
La réorganisation administrative.
Cependant que s'opéraient cette liquidation du passé et
cette o uvre de réadaptation, j'étais amené a constater que
l'ancienne organisation de l'Afrique occidentale française
ne correspondait plus à l'état de choses actuel ni à la men-
talité nouvelle de la population. J'ai alors mis à l'étude une
réorganisation de tous les conseils locaux en Afrique occi-
dentale française : conseils de gouvernement, conseils
d'administration des colonies du groupe, conseils du con-
tentieux et même conseil général et conseil privé du Séné-
gal. J'estime qu'auprès des gouverneurs généraux comme
des gouverneurs doivent être constituées des assemblées
locales fortes où les divers éléments de la population, tant
européenne qu'indigène, sont appelés, chacun dans la
mesure qu'il convient, à participer à la gestion des affaires
publiques. De semblables assemblées permettent au pou-
voir exécutif de rester constamment en contact avec l'opi-
nion publique, le mettent en mesure d'exercer à tout
moment sur lui-même un contrôle utile, lui servent à faire
valoir avec plus d'autorité auprès de la Métropole les justes
revendications des colonies. Ces assemblées locales exis-
taient déjà pour la plupart en Afrique occidentale française,
mais le développement qu'a pris l'ensemble du territoire,
aussi bien que ses diverses parties, l'esprit nouveau qu'ont
créé les cinq années de guerre, commandent que la compo-
sition en soit élargie et les attributions étendues. Le con-
seil de gouvernement doit progressivement devenir l'or-
gane législatif de l'Afrique occidentale française. De même,
dans une mesure plus restreinte toutefois, les conseils
d'administration dans les diverses colonies du groupe.
C'est dans ce sens qu'ont été fixées les nouvelles attribu-
tions des conseils locaux. D'autre part, le nombre des
membres faisant partie de ces assemblées a été augmenté,
la part a été faite plus large que par le passé aux éléments
du commerce et à la population indigène.
En ce qui concerne le Sénégal, la réforme est plus pro-
fonde encore. La colonie se trouvait depuis de longues
années divisée en deux territoires à peu près indépendants
l'un de l'autre. Elle avait deux budgets qui ne se péné-
traient point. La réorganisation qui vient d'intervenir a
pour objet de fondre les deux territoires en une seule et
même colonie, d'opérer la fusion des deux budgets et de
substituer au Conseil général institué en 1879 un Conseil
colonial qui a les mêmes attributions, mais dont la compo-
sition permet à tous les éléments de la population d'être
représentés. Ce ne seront plus désormais les seuls habi-
tants des quatre communes de plein exercice qui seront
appelés à élire les membres de l'assemblée locale, mais
tous les citoyens français habitant la colonie. Ce n3 seront
même plus exclusivement les citoyens français qui seront
appelés à désigner les membres de cette assemblée, mais
les chefs indigènes représentant les populations sujettes
prendront part à cette désignation. Cette réforme s'inspire
des idées les plus larges, sans quoi d'ailleurs elle n'aurait
pu recevoir l'adhésion du colonial averti et libéral qu'est
notre actuel ministre des Colonies. Je ne doute pas qu'ap-
prouvée par lui, elle ne reçoive le meilleur accueil de l'opi-
nion publique au Sénégal. Je suis assuré qu'appliquée
avec équité, de façon à ce qu'aucune des parties du terri-
toire ne soit sacrifiée à l'autre, elle est de nature à ouvrir
pour la plus ancienne de nos colonies africaines une ère
nouvelle d'ordre et de prospérité.
En même temps; M. le ministre des Colonies a bien voulu
approuver et soumettre à la signature du Président de la
République un décret érigeant la Mauritanie en colonie et
le territoire militaire de Zinder en territoire autonome.
Ainsi, ces deux pays pourront prendre un sens plus exact
de leur personnalité que par le passé où ils dépendaient
étroitement du gouvernement général.
Enfin, un dernier acte réorganise les communes mixtes
et organise les communes indigènes qui av.aient été pour la
pour eux et leur famille dans les localités et les régions
les plus susceptibles d'un développement prochain. Les
fixer ainsi, les attirer eux, leur famille, leurs parents, leurs
amis vers des terres plus fertiles, d'une exploitation plus
aisée et plus rémunératrice, c'est activer les déplacements
de population qui s'imposeront peu à peu en Afrique si l'on
veut assurer au pays son maximum de rendement dans le
plus bref délai.
Les fonctionnaires.
En même temps que les tirailleurs libérés regagnaient
leur pays d'origine et reprenaient leur existence ancienne,
il a fallu procéder au rapatriement du personnel démobi-
lisé ou en congé. La mobilisation avait enlevé à l'Afrique
occidentale la majeure partie de son personnel administra-
tif et de son personnel commercial. Administration et mai-
sons de commerce ont dû, la guerre finie, procéder à la
reconstitution de leur personnel. Cette tâche ne s'accomplit
pas sans difficultés, difficultés de recrutement, difficultés
de transport. Aujourd'hui encore, trop de postes restent
inoccupés, trop de circonscriptions administratives demeu-
rent fermées,' trop de tribunaux sont incomplets, trop
de services réduits à l'état squelettique. Les moyens
d'action de l'Administration, réduits au minimum par cinq
ans de guerre, demeurent affaiblis. Il en résulte une sorte
d'anémie générale dans l'Administration, qui n'est plus
capable de pourvoir normalement à tous ses besoins et,
parmi les populations indigènes les plus attardées, une
sensible régression. Ce sont des maux inévitables, au len-
demain du grand cataclysme qui a éprouvé l'humanité,
mais ce sont des maux auxquels il faut remédier le plus
promptement possible si l'on ne veut pas les voir irrémé-
diablement s'aggraver.
Il est courant de dire que nous avons trop de fonction-
naires dans nos Colonies. Je n'hésite pas, après trente ans
d'expérience, à m inscrire en faux contre une semblable
affirmation. Non seulement il n'y a pas trop de fonction-
naires dans les colonies, mais j'oserais dire qu'il n'y en a
pas assez. On oublie trop qu'à côté des colons et com-
merçants qui opèrent dans les pays neufs, il y a toute une
population indigène a administrer, population indigène
hier encore réfractaire. aujourd'hui à peine acquise, à la-
quelle tout est à enseigner, depuis les règles les plus élé-
mentaires de l'hygiène jusqu'aux conditions essentielles
de toute vie sociale, population la plupart du temps sans
cohésion, sans cadres sociaux, dispersée sur d'immenses
étendues.
Par contre, il est exact de dire que nous n'avons jamais
assez fait appel jusqu'à présent à nos auxiliaires indigènes.
En Afrique occidentale comme ailleurs, nous avons commis
la faute de briser complètement tous les cadres sociaux
indigènes au lieu de les améliorer pour nous en servir.
Sans revenir à un passé qui ne peut ni ne doit pas être
rétabli, je souhaiterais cependant qu'on n'achevât pas une
œuvre aussi néfaste et que là où subsistent encore des
organismes indigènes susceptibles de bien fonctionner, on
les renforçât pour en tirer tous les avantages qu'ils com-
portent. C'est dans cet ordre d'idées que j'ai soumis au
Ministre un projet qu'il a bien voulu adopter, d'institution
de communes indigènes, et que je verrais avec satisfaction
MM. l es Lieutenants-Gouverneurs procéder à une étude
méthodique de l'organisation de leurs territoires en can-
tons et en provinces indigènes toutes les fois que les
cadres sociaux des populations indigènes s'y prêtent.
Une des grosses difficultés que nous avons eu à résoudre
au cours de l'année a été d'assu&er au personnel les nou-
velles conditions d'existence matérielles qu'imposait le
renchérissement de la vie. C'est aujourd hui œuvre à peu
près faite, mais il en résulte une aggravation considérable
des charges budgétaires pour toutes les colonies. Il sera
donc nécessaire d'envisager dans l'avenir les moyens de
diminuer ces charges dans la plus large mesure possible.
Il importera de réduire le personnel européen au strict
nécessaire, de le réserver exclusivement aux tâches de
direction et de faire largement appel à un personnel auxi-
liaire indigène pour toutes les besognes d'exécution et de
gestion. Les écoles de Gorée, en se développant régulière-
ment, sont capables de fournir ce personnel. Toutefois, il
faut, pour en assurer le recrutement convenable, en orga-
r
niser les cadres de telle façon que les indigènes qui y entre-
ront soient assurés d'y avoir des conditions d'existence
convenables et d'y faire une carrière honorable. Par
ailleurs, il convient d'associer progressivement, dans la
juste mesure on le permet leur degré de développement,
les divers éléments indigènes de la population à notre
œuvre dans le pays et à la gestion des affaires publiques.
La réorganisation administrative.
Cependant que s'opéraient cette liquidation du passé et
cette o uvre de réadaptation, j'étais amené a constater que
l'ancienne organisation de l'Afrique occidentale française
ne correspondait plus à l'état de choses actuel ni à la men-
talité nouvelle de la population. J'ai alors mis à l'étude une
réorganisation de tous les conseils locaux en Afrique occi-
dentale française : conseils de gouvernement, conseils
d'administration des colonies du groupe, conseils du con-
tentieux et même conseil général et conseil privé du Séné-
gal. J'estime qu'auprès des gouverneurs généraux comme
des gouverneurs doivent être constituées des assemblées
locales fortes où les divers éléments de la population, tant
européenne qu'indigène, sont appelés, chacun dans la
mesure qu'il convient, à participer à la gestion des affaires
publiques. De semblables assemblées permettent au pou-
voir exécutif de rester constamment en contact avec l'opi-
nion publique, le mettent en mesure d'exercer à tout
moment sur lui-même un contrôle utile, lui servent à faire
valoir avec plus d'autorité auprès de la Métropole les justes
revendications des colonies. Ces assemblées locales exis-
taient déjà pour la plupart en Afrique occidentale française,
mais le développement qu'a pris l'ensemble du territoire,
aussi bien que ses diverses parties, l'esprit nouveau qu'ont
créé les cinq années de guerre, commandent que la compo-
sition en soit élargie et les attributions étendues. Le con-
seil de gouvernement doit progressivement devenir l'or-
gane législatif de l'Afrique occidentale française. De même,
dans une mesure plus restreinte toutefois, les conseils
d'administration dans les diverses colonies du groupe.
C'est dans ce sens qu'ont été fixées les nouvelles attribu-
tions des conseils locaux. D'autre part, le nombre des
membres faisant partie de ces assemblées a été augmenté,
la part a été faite plus large que par le passé aux éléments
du commerce et à la population indigène.
En ce qui concerne le Sénégal, la réforme est plus pro-
fonde encore. La colonie se trouvait depuis de longues
années divisée en deux territoires à peu près indépendants
l'un de l'autre. Elle avait deux budgets qui ne se péné-
traient point. La réorganisation qui vient d'intervenir a
pour objet de fondre les deux territoires en une seule et
même colonie, d'opérer la fusion des deux budgets et de
substituer au Conseil général institué en 1879 un Conseil
colonial qui a les mêmes attributions, mais dont la compo-
sition permet à tous les éléments de la population d'être
représentés. Ce ne seront plus désormais les seuls habi-
tants des quatre communes de plein exercice qui seront
appelés à élire les membres de l'assemblée locale, mais
tous les citoyens français habitant la colonie. Ce n3 seront
même plus exclusivement les citoyens français qui seront
appelés à désigner les membres de cette assemblée, mais
les chefs indigènes représentant les populations sujettes
prendront part à cette désignation. Cette réforme s'inspire
des idées les plus larges, sans quoi d'ailleurs elle n'aurait
pu recevoir l'adhésion du colonial averti et libéral qu'est
notre actuel ministre des Colonies. Je ne doute pas qu'ap-
prouvée par lui, elle ne reçoive le meilleur accueil de l'opi-
nion publique au Sénégal. Je suis assuré qu'appliquée
avec équité, de façon à ce qu'aucune des parties du terri-
toire ne soit sacrifiée à l'autre, elle est de nature à ouvrir
pour la plus ancienne de nos colonies africaines une ère
nouvelle d'ordre et de prospérité.
En même temps; M. le ministre des Colonies a bien voulu
approuver et soumettre à la signature du Président de la
République un décret érigeant la Mauritanie en colonie et
le territoire militaire de Zinder en territoire autonome.
Ainsi, ces deux pays pourront prendre un sens plus exact
de leur personnalité que par le passé où ils dépendaient
étroitement du gouvernement général.
Enfin, un dernier acte réorganise les communes mixtes
et organise les communes indigènes qui av.aient été pour la
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