Titre : Le Monde colonial illustré : revue mensuelle, commerciale, économique, financière et de défense des intérêts coloniaux
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1940-02-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34459430v
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 février 1940 01 février 1940
Description : 1940/02/01 (A18,N200)-1940/02/28. 1940/02/01 (A18,N200)-1940/02/28.
Description : Collection numérique : Numba, la bibliothèque... Collection numérique : Numba, la bibliothèque numérique du Cirad
Description : Collection numérique : Protectorats et mandat... Collection numérique : Protectorats et mandat français
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k9759226m
Source : CIRAD, 2016-192274
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 14/12/2016
22
CLEMENCEAU
ET LE MAJOR HANS DOMINIK
Histoire de deux statues
CETTE histoire vaut d'être contée.
En Afrique, à quinze jours et
quatre mille kilomètres à vol
d'oiseau de la France, un Clemenceau
de bronze, œuvre du maître Henri
Bouchard, se dresse aujourd'hui à
Lomé, capitale du Togo français, sur
la place de la Victoire.
Il est drapé dans sa large houppe-
lande, fortement campé sur le socle,
d'où il domine tout le paysage. Sa
rude tête dit la ténacité, la force tran-
quille, la bonté patriarcale.
Le 24 décembre dernier, veille de
Noël, la statue a été solennellement
inaugurée par le gouverneur Lucien
Montagné, en présence de 15 000 To-
golais, venus du nord et du sud, de
l'est et de l'ouest.
Pour les 800 000 Noirs du Togo qui
ont fait eux-mêmes les frais du monu-
ment, Clemenceau est le bon fétiche,
le géant bienfaisant qui les a délivrés,
il y a vingt ans, de la domination
haïe des maîtres allemands et qui les
protégera à l'avenir contre le retour
des barbares germains.
On imagine l'émotion que dut res-
sentir le fils spirituel de Clemenceau,
l'héritier de sa pensée, notre ministre
des Colonies, M. Georges Mandel,
quand, le 24 décembre dernier, il reçut
un câble signé, au nom de la popula-
tion indigène du Togo, par Tamakloe,
président du conseil des notables de
Lomé.
Ce c^ble disait la volonté des To-
golais devenus français de le rester
au prix du sacrifice suprême, parce
que la France est une mère dont la
politique sage et humaine a fait d'eux
des hommes libres, et il disait leur
reconnaissance éternelle envers Cle-
menceau.
En menant la guerre jusqu'au bout,
jusqu'à la victoire, avec une énergie
farouche, Clemenceau a bien mérité
de l'Afrique. Et c'est pourquoi
l'humble paysan noir qui combat à
nos côtés n'est pas un mercenaire
comme le prétend la propagande du
Dr Gœbbels, mais un soldat comme
nous et qui comprend.
Il ne viendrait plus aujourd'hui,
vingt-cinq ans après, à l'esprit de
Briand de s'écrier, comme il le fit
durant l'hiver 1914-1915 à la vue
d'un train spécial de soldats indigènes,
en présence d'Octave Homberg qui
rapporte ce propos : « Quelle absur-
dité que cette guerre qui fait venir
d'Afrique ces hommes pour combattre
alors qu'ils ne peuvent rien compren-
dre au contlit 1 »
Ils comprennent si bien aujour-
d'hui pourquoi et contre qui ils font
la guerre que c'est avec un élan ma-
gnifique, spontané — le ministre des
Colonies et les chefs de tous nos terri-
toires d'outre-mer en portent le témoi-
gnage — que l'Afrique noire et tout
l'Empire envoient leurs enfants par
centaines de mille.
Ce n'est pas notre faute, monsieur
Gœbbels, si les Allemands furent
pour leurs peuples colonisés des
maîtres cruels, comme vous allez en
juger par l'histoire de la deuxième
statue. Ce n'est pas notre faute non plus si
Mein Kampf est connu du Berbère et de
l'Arabe, du Sénégalais et du Malgache, de
l'Annamite et du Canaque, et si sont connues
aussi les transplantations des peuples de l'Europe
centrale traités comme vil bétail.
Ce qui est notre faute, et que nous revendi-
quons hautement, c'est que tous ces gens et
les tribus de notre Empire noir se sentent
attirés vers ce que Paul Valéry définit, comme
le rappelle André Demaison : « l'intime partici-
pation à une existence plus grande que la leur
et qui est celle de la France ».
COLONISATION A COUPS DE FUSIL
Nous en arrivons à la seconde histoire de sta-
tue, et qui intéresse plus particulièrement les
Allemands, puisqu'il s'agit d'un des leurs, le
légendaire et sanguinaire major Hans Dominik,
dont le Cameroun a été délivré par notre vic-
toire. Cette statue allait être inaugurée à Yaoun-
dé, quand la guerre éclata, en 1914 ; nous l'exhu-
mons aujourd'hui du magasin des accessoires où
elle fut remisée. Clemenceau et sa vaste houppe-
lande, Hans Dominik et son fusil géant, qu'il
CLEMENCEAU, dans sa vaste houppelande, sur la place de
la Victoire, à Lomé, capitale du Togo français.
La statue du major sanguinaire Hans Dominik représenté
avec son fusil géant, qui devait être inaugurée à Yaoundé
quand la guerre de 1914 éclata.
Deux statues, deux systèmes de colonisation.
-r.
41253 Document comuninqm inédité par M. Gaston Joseph.
maniait d'ailleurs avec adresse, vous allez en
juger, deux images, deux systèmes de colonisa-
tion. Comme on comprend que les Noirs du
Cameroun préfèrent la française !
Mais qui fut Hans Dominik ?
Nous citons textuellement l'Eveil du Came-
roun.
« Yaoundé, 8 décembre 1939.
» Deux épisodes — qui ne sont pas des lé-
gendes, mais des faits — étaient ces jours-ci,
narrés devant l'auteur de ces lignes, par un an-
cien milicien des troupes de Dominik, Michel Bo-
kamba Ndjek, vieux Batanga de la côte, qui,
plusieurs années durant, participa à différentes
colonnes de l'océan à la Béoué.
» Partant de Yaoundé avec une centaine de
fusils, Dominik marchait sur N'Gaoundéré afin
d'en réduire le puissant lamido.
» Deux blancs dirigeaient la colonne : Domi-
nik et le Dr Aise ( ?).
» A Ngila, le chef fit bon accueil : une vieille
rivalité existant entre lui et les gens de
N'Gaoundéré. Dominik mit tout en œuvre pour
s'adjoindre ces guerriers qui augmenteraient sa
propre troupe et lui serviraient de guides. Mais
Ngila, plusieurs fois échaudé par les
gens d'en haut, voulait se rendre
compte de la puissance de ses nou-
veaux alliés. Les lourds mausers sur-
tout l'étonnaient.
» — A quelle distance, avec cela,
peut-on tuer un homme ?... deman-
dait-il.
» Comme on lui répondait : « Plus
de mille mètres », il se montrait scep-
tique et voulut faire l'épreuve.
» Sur l'ordre de Ngila, quatre
hommes furent saisis, transportés à
quelques centaines de mètres de là, -
liés à des arbres. Dominik, le docteur,
les tirailleurs Isamba et Bokamba
se postèrent.
» D'une balle au cœur, Dominik
tua son homme.
» Le docteur tua le sien, visant au
cœur.
» Les deux tirailleurs abattirent,
eux aussi, leurs cibles vivantes, d'une
balle à plein corps.
» Ngila, enthousiasmé, promit son
aide.
» Et l'on monta à N'Gaoun déré »
*
* *
L'autre épisode, lui plus connu, se
passa à Babimbi.
« Un Blanc de John-Holt avait été
tué en allant acheter du caoutchouc
au village de Simakoa (Simakomol ?).
» Dominik vint.
» Il réunit tous les chefs et nota-
bles, fit mettre à mort l'un d'eux.
Le cadavre fut cuit. Tous les pré-
sents en durent manger.
» — C'est ainsi que je fais quand
je ne suis pas en colère, expliqua-t-il.
» De ces deux épisodes, depuis long-
temps connus, l'auteur de ces lignes
n'avait point jusqu'ici trouvé témoin
si bien placé : un milicien même de
Dominik, témoin et acteur du drame.
Il a pensé que d'autres que lui, peut-
être, y prendraient intérêt, ici, au
territoire, et ailleurs... »
KINDENGE-NDJOK.
*
* *
Tout ceci prouve que l'Allemagne
n'a pas changé. Un de nos lecteurs,
historien distingué, M. Henri Dehé-
rain, nous écrit :
« Votre article de tête du mois der-
nier : « Pour comprendre l'Allemagne »
est excellent. Il faut répéter, sans se
lasser que Hitler n'est que l'incarna-
tion permanente de l'Allemagne éter-
nelle. Ses prédécesseurs, Frédéric II,
von Stein, Bismark, Stresemann ont
eu la même mentalité..
» Vous avez eu bien raison de citer
le beau passage de l'article de Lavisse.
Combien de gens s'imaginent qu'il y
a deux Allemagnes : le nazisme et la
bonne Allemagne 1 Quelle erreur de
croire que l'Allemagne consentira à
rentrer un jour bien gentiment dans
une Société des Nations 1 Si elle le
fait, ce sera avec l'arrière-pensée de
mieux nous duper. »
Et des lettres venues d'Angleterre,
à la suite de notre article, prouvent
que les Anglais, de plus en plus,
pensent comme M. Henri Dehérain,
et comme nous.
Stanislas REIZLER.
LE MONDE COLONIAL ILLUSTRÉ
N° 200 .......... FÉVRIER 1940
CLEMENCEAU
ET LE MAJOR HANS DOMINIK
Histoire de deux statues
CETTE histoire vaut d'être contée.
En Afrique, à quinze jours et
quatre mille kilomètres à vol
d'oiseau de la France, un Clemenceau
de bronze, œuvre du maître Henri
Bouchard, se dresse aujourd'hui à
Lomé, capitale du Togo français, sur
la place de la Victoire.
Il est drapé dans sa large houppe-
lande, fortement campé sur le socle,
d'où il domine tout le paysage. Sa
rude tête dit la ténacité, la force tran-
quille, la bonté patriarcale.
Le 24 décembre dernier, veille de
Noël, la statue a été solennellement
inaugurée par le gouverneur Lucien
Montagné, en présence de 15 000 To-
golais, venus du nord et du sud, de
l'est et de l'ouest.
Pour les 800 000 Noirs du Togo qui
ont fait eux-mêmes les frais du monu-
ment, Clemenceau est le bon fétiche,
le géant bienfaisant qui les a délivrés,
il y a vingt ans, de la domination
haïe des maîtres allemands et qui les
protégera à l'avenir contre le retour
des barbares germains.
On imagine l'émotion que dut res-
sentir le fils spirituel de Clemenceau,
l'héritier de sa pensée, notre ministre
des Colonies, M. Georges Mandel,
quand, le 24 décembre dernier, il reçut
un câble signé, au nom de la popula-
tion indigène du Togo, par Tamakloe,
président du conseil des notables de
Lomé.
Ce c^ble disait la volonté des To-
golais devenus français de le rester
au prix du sacrifice suprême, parce
que la France est une mère dont la
politique sage et humaine a fait d'eux
des hommes libres, et il disait leur
reconnaissance éternelle envers Cle-
menceau.
En menant la guerre jusqu'au bout,
jusqu'à la victoire, avec une énergie
farouche, Clemenceau a bien mérité
de l'Afrique. Et c'est pourquoi
l'humble paysan noir qui combat à
nos côtés n'est pas un mercenaire
comme le prétend la propagande du
Dr Gœbbels, mais un soldat comme
nous et qui comprend.
Il ne viendrait plus aujourd'hui,
vingt-cinq ans après, à l'esprit de
Briand de s'écrier, comme il le fit
durant l'hiver 1914-1915 à la vue
d'un train spécial de soldats indigènes,
en présence d'Octave Homberg qui
rapporte ce propos : « Quelle absur-
dité que cette guerre qui fait venir
d'Afrique ces hommes pour combattre
alors qu'ils ne peuvent rien compren-
dre au contlit 1 »
Ils comprennent si bien aujour-
d'hui pourquoi et contre qui ils font
la guerre que c'est avec un élan ma-
gnifique, spontané — le ministre des
Colonies et les chefs de tous nos terri-
toires d'outre-mer en portent le témoi-
gnage — que l'Afrique noire et tout
l'Empire envoient leurs enfants par
centaines de mille.
Ce n'est pas notre faute, monsieur
Gœbbels, si les Allemands furent
pour leurs peuples colonisés des
maîtres cruels, comme vous allez en
juger par l'histoire de la deuxième
statue. Ce n'est pas notre faute non plus si
Mein Kampf est connu du Berbère et de
l'Arabe, du Sénégalais et du Malgache, de
l'Annamite et du Canaque, et si sont connues
aussi les transplantations des peuples de l'Europe
centrale traités comme vil bétail.
Ce qui est notre faute, et que nous revendi-
quons hautement, c'est que tous ces gens et
les tribus de notre Empire noir se sentent
attirés vers ce que Paul Valéry définit, comme
le rappelle André Demaison : « l'intime partici-
pation à une existence plus grande que la leur
et qui est celle de la France ».
COLONISATION A COUPS DE FUSIL
Nous en arrivons à la seconde histoire de sta-
tue, et qui intéresse plus particulièrement les
Allemands, puisqu'il s'agit d'un des leurs, le
légendaire et sanguinaire major Hans Dominik,
dont le Cameroun a été délivré par notre vic-
toire. Cette statue allait être inaugurée à Yaoun-
dé, quand la guerre éclata, en 1914 ; nous l'exhu-
mons aujourd'hui du magasin des accessoires où
elle fut remisée. Clemenceau et sa vaste houppe-
lande, Hans Dominik et son fusil géant, qu'il
CLEMENCEAU, dans sa vaste houppelande, sur la place de
la Victoire, à Lomé, capitale du Togo français.
La statue du major sanguinaire Hans Dominik représenté
avec son fusil géant, qui devait être inaugurée à Yaoundé
quand la guerre de 1914 éclata.
Deux statues, deux systèmes de colonisation.
-r.
41253 Document comuninqm inédité par M. Gaston Joseph.
maniait d'ailleurs avec adresse, vous allez en
juger, deux images, deux systèmes de colonisa-
tion. Comme on comprend que les Noirs du
Cameroun préfèrent la française !
Mais qui fut Hans Dominik ?
Nous citons textuellement l'Eveil du Came-
roun.
« Yaoundé, 8 décembre 1939.
» Deux épisodes — qui ne sont pas des lé-
gendes, mais des faits — étaient ces jours-ci,
narrés devant l'auteur de ces lignes, par un an-
cien milicien des troupes de Dominik, Michel Bo-
kamba Ndjek, vieux Batanga de la côte, qui,
plusieurs années durant, participa à différentes
colonnes de l'océan à la Béoué.
» Partant de Yaoundé avec une centaine de
fusils, Dominik marchait sur N'Gaoundéré afin
d'en réduire le puissant lamido.
» Deux blancs dirigeaient la colonne : Domi-
nik et le Dr Aise ( ?).
» A Ngila, le chef fit bon accueil : une vieille
rivalité existant entre lui et les gens de
N'Gaoundéré. Dominik mit tout en œuvre pour
s'adjoindre ces guerriers qui augmenteraient sa
propre troupe et lui serviraient de guides. Mais
Ngila, plusieurs fois échaudé par les
gens d'en haut, voulait se rendre
compte de la puissance de ses nou-
veaux alliés. Les lourds mausers sur-
tout l'étonnaient.
» — A quelle distance, avec cela,
peut-on tuer un homme ?... deman-
dait-il.
» Comme on lui répondait : « Plus
de mille mètres », il se montrait scep-
tique et voulut faire l'épreuve.
» Sur l'ordre de Ngila, quatre
hommes furent saisis, transportés à
quelques centaines de mètres de là, -
liés à des arbres. Dominik, le docteur,
les tirailleurs Isamba et Bokamba
se postèrent.
» D'une balle au cœur, Dominik
tua son homme.
» Le docteur tua le sien, visant au
cœur.
» Les deux tirailleurs abattirent,
eux aussi, leurs cibles vivantes, d'une
balle à plein corps.
» Ngila, enthousiasmé, promit son
aide.
» Et l'on monta à N'Gaoun déré »
*
* *
L'autre épisode, lui plus connu, se
passa à Babimbi.
« Un Blanc de John-Holt avait été
tué en allant acheter du caoutchouc
au village de Simakoa (Simakomol ?).
» Dominik vint.
» Il réunit tous les chefs et nota-
bles, fit mettre à mort l'un d'eux.
Le cadavre fut cuit. Tous les pré-
sents en durent manger.
» — C'est ainsi que je fais quand
je ne suis pas en colère, expliqua-t-il.
» De ces deux épisodes, depuis long-
temps connus, l'auteur de ces lignes
n'avait point jusqu'ici trouvé témoin
si bien placé : un milicien même de
Dominik, témoin et acteur du drame.
Il a pensé que d'autres que lui, peut-
être, y prendraient intérêt, ici, au
territoire, et ailleurs... »
KINDENGE-NDJOK.
*
* *
Tout ceci prouve que l'Allemagne
n'a pas changé. Un de nos lecteurs,
historien distingué, M. Henri Dehé-
rain, nous écrit :
« Votre article de tête du mois der-
nier : « Pour comprendre l'Allemagne »
est excellent. Il faut répéter, sans se
lasser que Hitler n'est que l'incarna-
tion permanente de l'Allemagne éter-
nelle. Ses prédécesseurs, Frédéric II,
von Stein, Bismark, Stresemann ont
eu la même mentalité..
» Vous avez eu bien raison de citer
le beau passage de l'article de Lavisse.
Combien de gens s'imaginent qu'il y
a deux Allemagnes : le nazisme et la
bonne Allemagne 1 Quelle erreur de
croire que l'Allemagne consentira à
rentrer un jour bien gentiment dans
une Société des Nations 1 Si elle le
fait, ce sera avec l'arrière-pensée de
mieux nous duper. »
Et des lettres venues d'Angleterre,
à la suite de notre article, prouvent
que les Anglais, de plus en plus,
pensent comme M. Henri Dehérain,
et comme nous.
Stanislas REIZLER.
LE MONDE COLONIAL ILLUSTRÉ
N° 200 .......... FÉVRIER 1940
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.66%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.66%.
-
-
Page
chiffre de pagination vue 4/26
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k9759226m/f4.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k9759226m/f4.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k9759226m/f4.image
- Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k9759226m
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://numba.cirad.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k9759226m
Facebook
Twitter